▬ Mes 3 premier sortilèges :

Ils sont à choisir dans la liste de sorts proposer par le forum, dans la limite de votre âge/année d'étude.

• Revigor,
• Alohomora,
• Croche Pied,

▬ Ici vous allez nous renseigner sur votre moyenne ou vos notes aux buses/aspic afin que nous ayons une petite idée de votre niveau scolaire, évidement les surdouée qui aurons des "0" ou des "E" dans toutes les matière ne seront pas admis. Car personne n'est parfait.

• De la 1è à la 5è année :

¤ Astronomie → Piètre
¤ Botanique → Effort Exceptionnel
¤ Défense contre les forces du Mal → Effort Exceptionnel
¤ Histoire de la magie → Optimal
¤ Métamorphose → Acceptable
¤ Potions → Optimal
¤ Sortilèges → Optimal

• Option de 3è année :

* Médicomagie → Optimal
¤ Art Martiaux → Effort Exceptionnel
¤ Soin aux créatures magiques → Optimal
¤ Cuisine magique → Optimal

• En 6è et 7è année :

¤ Histoire de la Magie → Optimal
¤ Défense contre les forces du Mal → Optimal
¤ Potions → Optimal
¤ Sortilèges → Optimal
* Médicomagie → Optimal
¤ Art Martiaux → Optimal
¤ Soin aux créatures magiques → Optimal
¤ Cuisine magique → Optimal

Emily, surnommée "Em" ou "Ems" par ses amis (imaginaire), a depuis son plus jeune âge maîtrisé l'art de la discrétion et de la modestie, se contentant de "rester à sa place". Introvertie, timide, et souvent encline à l'auto-dénigrement, elle était une enfant émerveillée par tout ce qui l'entourait. Dotée d'une intelligence précoce, la lignée des femmes Skeeter semblait avoir transmis ses dons à Emily, bien que sous des formes parfois différentes de ceux de sa mère ou de sa sœur.

Passionnée de littérature, elle se plongeait fréquemment dans les livres, rêvant d'aventures et d'un destin épique. La quête d'identité a toujours été au cœur de la vie de la jeune Emily, aspirant à devenir quelqu'un de remarquable. Douce, tolérante et laborieuse, elle était profondément révoltée contre les injustices, ne manquant ni de courage ni d'une franchise bien à elle. À mesure qu'elle grandissait, sa personnalité se dessinait davantage, rompant peu à peu avec les entraves qui la retenaient. Il a fallu des années pour que la demoiselle apprenne enfin à s'affirmer et à parler en son nom propre, mais elle y parvient lentement mais sûrement, laissant transparaître son caractère de lionne naissant. Toujours souriante, d'une affection particulièrement chaleureuse, elle demeure une défenseure inflexible des intérêts de ses proches.

Cependant, Emily ne se limite pas à son cercle proche. D'une nature altruiste poussée à l'extrême, elle se consacre sans réserve à aider les autres, parfois au détriment de sa propre santé et bien-être. Elle oublie fréquemment de prendre soin d'elle-même, repoussant continuellement ses propres limites pour être présente pour ceux qui ont besoin d'elle. Cette propension à l'altruisme la pousse à s'investir intensément dans des causes et à offrir son soutien de manière inconditionnelle, marquant ainsi une autre facette de sa personnalité généreuse et dévouée.

Le romantisme indécrotable de Emily s'épanouit comme une délicate fleur au sein de son être. Passionnée par les nuances subtiles de l'amour, elle rêve inlassablement de contes enchanteurs et de moments empreints de tendresse. Ses pensées s'égarent souvent dans des rêveries romantiques, imaginant des histoires d'amour dignes des plus grands romans. La jeune femme, avec son cœur généreux, est prompte à tomber amoureuse, se laissant emporter par la magie de la passion. Chaque geste tendre, chaque regard complice la transporte dans un monde où l'amour règne en maître. Son romantisme transparaît également dans sa façon d'appréhender la vie, cherchant toujours à embellir les relations et à créer des moments empreints d'une douce poésie. Ainsi, son caractère, teinté de rêverie et de douceur, ajoute une dimension charmante à l'ensemble de sa personnalité déjà riche en nuances.

Cependant, derrière le voile radieux de son caractère, Emily dissimule une bataille intérieure poignante. La jeune femme, malgré toutes ses qualités éclatantes, peine à s'accepter et à s'aimer telle qu'elle est. Cette quête incessante de perfection la pousse à maltraiter l'ongle de son pouce droit, une sorte de rituel autodestructeur qui reflète les tourments intérieurs qu'elle endure. Étant gauchère, c'est comme si ce petit geste d'auto-flagellation symbolisait son incapacité à trouver l'harmonie en elle-même.

Son mal-être s'étend également à sa relation complexe avec la nourriture, un écho silencieux des luttes intérieures qu'elle mène. Les troubles alimentaires, tels des ombres insidieuses, se sont insinués dans sa vie, expliquant en partie son poids fragile de quarante kilos toute mouillée pour son mètre cinquante et des brouettes. Esclave de ses propres tourments, se retrouve ainsi piégée dans une spirale où l'acceptation de soi devient un défi quotidien. Malgré ses nombreuses qualités, elle demeure en proie à un conflit interne qui laisse des cicatrices invisibles, marquant son parcours de vie d'une fragilité touchante.

Qui l’eût cru ? Qu’à l’âge de cinquante-six ans, Rita Skeeter déciderait de devenir « maman » ? Fait étrange, on vous l’accordera volontiers quand on connait le personnage. Mais celle dont la carrière était tout, auteur de « Vie et Mensonge d’Albus Dumbledore » ou encore de la célèbre saga biographique « Harry Potter », célèbre journaliste de la gazette du sorcier, parfois chroniqueuse de Sorcière Hebdo. Rien ne lui manquait à cette femme. Rien si ce n’est une descendance, un héritage. C’est alors que Sutton et Emily devinrent les deux nouvelles « Skeeter ». Le dix-neuf septembre deux-mille-sept pour être exact.

Très rapidement cependant, on pouvait se rendre compte d’un déséquilibre entre les deux petites filles. Elles ne savaient pas encore marché, parler, que l’une avait toutes les attentions de leurs mères, alors que l’autre était laisser dans un coin. L’une avait la meilleure nourrice, des tuteurs, des bonbons et plus d’opulence que nécessaire pour un bambin. L’autre avait Nany, une vielle femme un peu rêche mais qui rapidement deviendra la figure maternelle d’Emily.

Souvent, très souvent même, Emily c’est poser cette simple question : « pourquoi ? ». C’est sans doute l’interrogation autour de laquelle la demoiselle aura construit sa vie, son identité, son destin. Elle n’était pas plus moche, pas plus bête, pas plus quoi que ce soit que Sutton. Elles étaient juste à la fois très similaires mais aussi très différente. Sutton aimait la mode, elle était comme leurs mère. Emily préférait jouer au grand air, quitte à finir pleine de boue.

Nany aura appris à la jeune Emily sa plus précieuse leçon. La jalousie ne sert à rien, on est tous différents et chaque chose arrive pour une bonne raison, même si on ne le voit pas forcément dans l’instant. Petite, la tête blonde avait eu du mal à comprendre, surtout que ce n’était pas de la jalousie qu’elle ressentait, c’était de la peine. Mais en grandissant, très -voir trop- rapidement pour une enfant, elle avait fini par comprendre. C’était un mantra, une force que Sutton n’aurait jamais.

Je ne m’étalerais pas sur les nombreuses différences éducatives ou en matière de vie qu’il y à eu entre Emily et Sutton, à quoi bon. Alors autant sauter directement au chapitre de la lettre de Poudlard. Enfin un endroit où Emily ne serait pas définie par sa jumelle et ses caprices ! Tout du moins, c’est ce qu’elle croyait. Elle en était persuadée et avait vite déchantée.

Envoyer chez les rouges et or alors que Sutton rejoignait les rangs des verts et argent, Emily cru à une nouvelle vie, une où il n’y aurait plus de déséquilibre. Elle n’avait pas pu se tromper davantage. Dès la première semaine, Sutton et sa nouvelle amie Kassie avec leurs cliques avait déjà fait en sorte que personne ne lui parle, prétendant qu’elle avait une maladie magique contagieuse. Vous savez comment sont les enfants, cruel. La seule personne qui acceptait de lui parler était un garçon de deuxième année à Serdaigle, Lysander.

Il fallu attendre l'année dernière, aux alentours du mois de février, pour qu’Emily ce fasse sa première amie. Primerose, elle faisait parti de la clique de Kassie, jusqu’à ce qu’elle en soit « excommuniée ». Partageant leurs dortoirs depuis bientôt trois ans, Emily et Prim n’avait jamais vraiment parlé, mais pourtant ce soir-là, Emily avait décider de consoler Primerose qui pleurais seule sur son lit. Depuis, les deux pestiférées de Poudlard ne c’était plus quitté.

À présent en septième année, Emily se concentre sur son avenir : les BUSE c’est fait, ne reste que les ASPIC, quitter la maison de Rita et se faire un nom loin, très loin de sa jumelle et de sa génitrice. Si possible dans la magizoologie, elle n’est pas encore certaine. Ou peut-être comme conjureuse de sort ou encore médicomage, elle verra bien avec le temps.