▬ Mes 3 premiers sortilèges :

Ils sont à choisir dans la liste de sorts proposée par le forum, dans ceux de niveau 1 (puisque vous commencez niveau 0 donc maîtrise de sort 1).

• Lumos,
• Petrificus totalus,
• Alohomora.

▬ Ici vous allez nous renseigner sur votre moyenne ou vos notes aux buses/aspics afin que nous ayons une petite idée de votre niveau scolaire, évidement les surdoués qui aurons des "0" ou des "E" dans toutes les matières ne seront pas admis. Car personne n'est parfait.

• De la 1è à la 5è année :

Enchantements & Maléfices → Or
Potions → Argent
MST → Or
Biologie Magique → Argent

• Option de 3è année :

Runes Anciennes → Or
Domestication des créature → Argent

• 6è & 7è année :

MST → Or
Enchantements & Maléfices → Or
Potions → Argent
Runes Anciennes → Or
Domestication des créature → Argent

Gentleman, arrogant, parfaitement bien éduqué, prétentieux... Quand on tente de faire le portrait de Mr Bellessaim, on passe du coq à l'âne. Essayons d'être généraux, quoi que pas certains de l'exactitude du résultat... Etienne est un homme séduisant, très apprécié pour sa gaieté et sa sociabilité. Sensible et émotif, Etienne est une personne privilégiant le tact et la tolérance dans ses relations avec les autres. Plutôt idéaliste, il est de nature à proposer des idées réformistes. L’un de ses objectifs principaux est d’améliorer l’environnement de chacun. Il veut tout le monde heureux autour de lui. Le plan affectif de sa vie occupe une place extrêmement importante. Il aime plaire et lorsqu’il sent que ce n’est pas le cas, son énergie se draine rapidement. Etienne est quelqu’un de curieux. Il est un peu touche-à-tout et aime aborder plusieurs domaines à la fois. Le seul problème est qu’il ne finit finalement que par les effleurer. Charmeur et enjôleur, Etienne sait mettre chaque situation à son avantage. Il paraît adaptable et souple quand en fait, il sait manipuler les personnes pour avoir ce qu’il veut. Vif et rusé, il sait quand il faut se montrer sympathique. Malgré ce trait de caractère, Etienne sait ne pas en abuser. Il n’est pas méchant et n’aime pas profiter des autres. Dans son jeune âge, Etienne était très attachant. Il devient rapidement le meilleur ami de tout le monde, car il sait se faire accepter. Etienne se révèle réceptif très tôt et le ressent tout de suite quand une mauvaise ambiance plane dans son milieu familial. Ne supportant pas ces situations, Etienne est alors perturbé et se replie sur lui-même. Comme échappatoire au stress, il peut choisir la musique, la poésie ou les rêves. En amour, Etienne aime jouer et si le jeu lui permet de trouver la femme de ses rêves, alors pourquoi pas ? Quand il aime, Etienne est tendre, doux et aimant. Fonder une famille devient alors important et prend la première place dans ses objectifs. Très exigeant et perfectionniste, Etienne est prêt à de nombreux sacrifices et à se dévouer corps et âme pour son foyer. Si la famille est importante dans sa vie, la vie professionnelle l’est tout autant. Pour lui, ces deux domaines vont de pair, car pour avoir une vie de famille stable, il faut que son activité le soit aussi.

Vous voyez le prince charmant ? Mais si ! Celui qu’on voit dans les films moldus, avec son sourire blanc à faire tomber les demoiselles, les cheveux blond cendré, le regard bleu … mais pas l’armure, ça c’est d’un autre temps. Eh bien, ça, c’est moi. Etienne Archibald Léonard Ballessaim, rien que ça. Suffisamment chanceux dès la naissance pour avoir vue le jour dans la plus vielle et la plus noble des maisons de noblesse Française. Bachelor le plus en vue de mon pays, éduquer en véritable gentilhomme.

Je suis née un sept juillets de l’an mille neuf cent quatre vingt trois, dans un vignoble du sud de la France. Il était onze heure trente, heure de l’apéritif et je ne pense pas que ce soit un hasard ! À l’époque j’étais encore fils unique, comblant mon père Jean-François et son père Jean-Philippe de bonheur, ils avaient leurs héritiers mâles. Celui qui serait éduquer par des tuteurs triés sur le volet, qui aurait des nourrices au curriculum vitae à faire pâlir les diplômés de l’ENA moldu. La cuillère en argent que j’avais dans la bouche alors que je sortais du ventre de ma mère, une héritière de la noblesse Italienne de vielle famille, ne cesserais de transformer en or tout ce qu’elle toucherait.

J’était un petit garçon heureux, un véritable prince. Deux ans après moi vins ma première sœur, Mariane. Il fallu attendre encore cinq ans cependant pour qu’Audrey, ma seconde sœur, voie le jour. Elles avaient la belle vie, de vraie princesse. Quant à moi, j’étais un roi. Bien sûr il y avait un revers à la médaille, je devais filer droit, ne pas déshonorée ma famille, être toujours le meilleur en chasse, en classe et même dans l’art. Très tôt d’ailleurs on m’apprit le solfège, puis le piano. Mon héritage était tel que je devais conserver un certain standing, même entre les murs de notre domaine.

Avant même d’entrée à Beauxbâtons, j’avais déjà plus ou moins fait le tour du monde, c’est dire. Nous avions après tout des clients partout et des tickets d’entrée aux quatre coins du monde. Mes années d’études, j’étais ce garçon doué sans le moindre effort. Celui qu’on jalouse. J’ai appris très rapidement que l’amitié n’étais pas chose aisée, que la confiance ne devait pas se donner facilement et qu’on m’approcherait bien plus souvent pour mon nom que ma personnalité. Carapaçonnée de cynisme, devenant joueur quelqu’un qu’on qualifierait de connard arrogant sans doute. Mais un connard arrogant major de sa promotion.

Je savais déjà que mon avenir était tout tracé, tout comme celui de mes sœurs. J’entamais un périple seul après mes études, l’argent de la famille aidant quand même, je voyageais à travers le monde pour rencontrer d’autre culture pendant une année, faisant de l’humanitaire dans les endroits les plus démunis du globe. Pendant se temps, à sa propre sortie de l’école, Mariane était mariée par arrangement à une branche d’une autre famille de la noblesse Française. Je revins juste à temps pour la voir prononcer ses vœux. Enchainant les expériences de vie pour me forgée une identité en dehors de la maison Ballessaim, sans jamais pour autant craché sur mon héritage, quant à presque trente ans je décidais finalement de revenir définitivement en France, ce fus pour argumenter avec mes aïeux.

Nous avons cependant conclu un marché équitable : ils me laisseraient enseigner, puisque-là était ma lubie du moment. Mais quand le jour viendrait où mon père, qui avait hérité du domaine après la mort de son propre père, ne pourrais plus remplir ses fonctions, alors je devrais reprendre la place qui était mienne. Et c’est ainsi que j’entrais comme professeur à l’académie qui m’avait vue grandir. Dix ans maintenant que j’était enseignant, c’était un monde où je voyais grandir et s’épanouir d’autres générations de jeunes sorciers et sorcière. Je pus même, l’année passée, observé certains de mes élèves lors du tournois des trois sorciers. Seulement pour les épreuves officielles cependant, car en tant que Directeur Adjoint de Beauxbâtons, je m’étais vue confier la charge de l’école pendant que Ramsés était en Angleterre à remplir son devoir.

Moi qui respectais la directrice de Poudlard et héroïne des deux guerres de sorcier : Minerva McGonagall, je fus plus que choqué d’apprendre les évènements qui était survenue à la suite du tournois. Pour une cohésion Européenne et une entraide du monde des sorciers, j’aidais à mettre en place cette été les échanges scolaires et la mise en place des portails entre les trois écoles. D’un point de vue familial, je devais gérer en parallèle les déboires de ma plus jeune sœur qui semblait ne pas vouloir rentrée dans le moule et pourtant n’écoutais que moi. Et la vie continuait son petit bonhomme de chemin avec une nouvelle rentrée, le retour de mes étudiants et l’arrivée de nouveaux. Je savais que l’Angleterre était touché par une vague de folie qui avait perduré tout l’été, mais pour être honnête, je touchais du bois pour que ses déboires ne traverse pas la manche…