▬ Mes 3 premiers sortilèges :

Ils sont à choisir dans la liste de sorts proposée par le forum, dans ceux de niveau 1 (puisque vous commencez niveau 0 donc maîtrise de sort 1).

- Limax Spit,
- Alhohomora,
- Aparecium,

▬ Ici vous allez nous renseigner sur votre moyenne ou vos notes aux buses/aspics afin que nous ayons une petite idée de votre niveau scolaire, évidement les surdoués qui aurons des "0" ou des "E" dans toutes les matières ne seront pas admis. Car personne n'est parfait.

• De la 1è à la 5è année :

• Art obscure et combat → or
• Sortilège → or
• Métamorphose → argent
• Potion et Élixir → Or
• Botanique → argent

• Option de 3è année :

• Arts martiaux → or
• Cuisine magique → or

• 6è & 7è année :

• Art obscure et combat → or
• Sortilège → argent
• Potion et Élixir → argent
• Arts martiaux → or
• Cuisine magique → or

• Etude à Grimardent :

→ Pas prévu pour le moment.

Lech incarne un mélange fascinant d'ambiguïté et de charisme. Il se révèle être un individu amusant, capable de distiller l'humour avec une aisance déconcertante, créant ainsi une atmosphère légère et agréable autour de lui. Son caractère apaisant émerge lorsqu'il se montre attentif et attentionné envers ceux qui l'entourent. Audacieux, Lech se lance sans crainte dans l'inconnu, tout en étant un beau parleur doué pour convaincre et inspirer confiance. Cérébral et cultivé, il n'hésite pas à partager ses connaissances, éveillant la curiosité de ceux qui l'écoutent. Confiant et mature, Lech ne craint pas de relever les défis qui se dressent devant lui. Sa personnalité mystérieuse ajoute une couche d'énigme à son être, suscitant l'intérêt de son entourage. Il se révèle être un protecteur dévoué, doté d'une énergie contagieuse et d'une fougue qui le pousse à explorer de nouveaux horizons. Gourmand et impliqué, il sait apprécier les plaisirs de la vie tout en restant indépendant. Inébranlable dans ses convictions, Lech demeure un homme loyal envers ses proches, prêt à les soutenir en toutes circonstances. Sa patience et sa persévérance sont des atouts indéniables pour surmonter les obstacles avec détermination. Rationnel et réfléchi, Lech prend des décisions éclairées, mais attention, il peut aussi se révéler rancunier envers ceux qui l'ont trahi ou on fait du mal a sa famille. Malgré cela, Lech demeure socialement compétent, cultivant des relations stables et sécurisantes. Il se montre taquin de temps en temps, sans pour autant perdre sa virilité et son esprit sportif. Cependant, il convient de noter que Lech n'est pas dénué d'ombres, car il peut parfois laisser transparaître une facette sadique et sanguine, laissant entrevoir une part sombre de sa personnalité. En dépit de ces nuances, il reste un homme très paternaliste, cherchant à guider et protéger ceux qui lui sont chers.

Il ne servirait à rien de parler de la naissance d’Hermès, à l’instar de ses frères et sœur il a cru pendant bien longtemps que Chronos et Héra étaient ses parents, même adoptif. Il ne pourra pas vous dire de quel berceau on l’aura arraché, où dans le monde, ni même quel jour. Il peut cependant vous dire qu’il est le plus vieux de tous les enfants du Q-Ulte, le premier à avoir été choisi pour être le futur frère d’Artémissia et Athéna. Le premier à avoir été bercée par les bras de leur mère. Arriva peu après Athéna, Démeter, Dionysos, Eris, Ascléspios puis enfin Artemissia. Une fratrie hétéroclite. Aucun d’eux ne se ressemblaient vraiment, si ce n’est peut-être les deux futures reines en devenir par leurs chevelures aussi flamboyantes que l’était celle d’Héra. Véritable « fils a maman », il était celui sur qui elle pouvait compter pour garder un œil sur la fratrie. Dès petit il a endossé le rôle du grand frère, celui qui gère les conflits, celui qui prend soin des autres, celui qui se veut rassurant et tête de proue. Ce qui aura d’ailleurs donnée quelques situations bien cocasses avec Artémissia. Mais également Athéna, qui se voulait voie de la sagesse. Pour autant, des liens aussi profonds qu’inébranlable se développa entre eux tous. Proche de la pieuse Athéna pour lui montrer un peu les avantages de la détente. De son petit frère Asclépios pour les câlins du soir. De Démeter pour leurs longues parties d’échec. De Dionysos pour leurs premiers quatre cents coups. D’Artmémissia aussi, bien évidement pour être son roc. Et d’Eris aussi, à ne pas en douter. Ce qui rendra la trahison, le départ encore plus douloureux et la rancune d’autant plus dangereuse et sans appel.

Pour certain, le concept de grandir au sein de ce qu’on qualifie de « secte » est étrange, pour eux, c’était normal. Et ce n’est que quand on les a envoyés dans ses familles, pour leurs entrées à l’école, que réellement ils avaient eu leurs premiers regards sur le monde extérieur. Autant dire que les premières années furent très compliquées pour Hermès qui vivait très mal la séparation avec sa fratrie. Mais de là où il était, il pouvait continuer cette relation quelque peu privilégier avec sa mère qui enseignait dans l’institut de Durmstrang, là où on l’a envoyé. Nous ne compterons pas ici la transition, quand arriva ses treize ans, vers sa nature de succubus : elle sera comptée plus bas. Nous pourrons dire cependant que le jeune homme à eu des résultats scolaires exemplaire en plus de largement servir les intérêts du Q-Ulte et leurs raisons d’être dans ses écoles en intégrant l’équipe de Quidditch mais également celui de duel où son gain de popularité pu être exponentiel. Quand arriva la sixième année, il pu profiter d’une année entière à partager les même couloirs d’Artémissia et Athéna : il fit parti de la délégation de Durmstrang pour le tournois des trois sorciers. Et quelle année ! L’une des meilleure de ses années d’étude, même sans Quidditch. Avait-il mis son nom dans la coupe ? Non, sa mère le lui avait interdit. Mais ça ne l’avait pas empêché de faire quelques paris avec sa rebelle de petite sœur qui, elle, avait été choisi comme championne pour Beauxbâtons. Ce qui expliquera sans aucun doute le soutiens qu’il aura montrés pour Eiji Kurotchkine, se montrant même bon pote à vouloir lui filer un coup de main dès que possible sans pour autant être envahissant. Après tout, vous avez vu le caractère du champion de son école ?

Aaaah les attentats du ministère… Au milieu de sa septième année. Il enverra peut-être un mot d’excuse au Potter un jour pour avoir manqué d’enterrer vivant leur paternel et le grand frère en passant. Mais au moins, il ne faisait pas parti de ceux qui se sont attaqué à Hermione, hein ? Et la garden party Chasnel ! On en parle ? Pile poil pour les ASPIC, une aubaine. Oui, il était là. Bien sûr qu’il était là. Là où est Artemissia, il n’est jamais loin. Et quand est venu le temps de choisir son camp entre leur « père » et sa sœur ? Il a dû arrivée bon second juste derrière Asclé. Tout en essayant de convaincre Athéna et Héra jusqu’au dernier moment, un échec qu’il portera a jamais sur sa conscience. La naissance de nouvelle rancœur également. La mort de toute une famille, d’un père, d’une mère et d’une sœur. De tous les autres aussi et de tout ceux qu’ils avaient toujours connu. Ceux encore debout pouvaient ce compter sur les doigt de mains : Arté, Asclé, Achlys, Nyx, Hecate, Démeter, Dionysos… Et cette traitresse d’Eris qui avait réussi à trouver le moyen de s’innocenté auprès d’Arté. Fort heureusement, pas pour bien longtemps.

Le temps était venu à la reconstruction. Et effectivement, il montra bien tout son rôle de roc tant pour les uns que pour les autre tout en gérant son propre deuil. Il ne compte pas les nuit où il aura serré Arté dans ses bras pour l’aider à s’endormir. Ni celle où Asclé c’étaient glissé entre eux. Mais continuons dans la longue liste de raison pour laquelle bon nombre de personne doivent mourir ici-bas. Halloween dernière, voir Dionysos… ça aura changer l’épouventard du roc. Une rage qui aura poussé Artémissia à le renvoyer au temple plutôt qu’avec eux. Il ne perd pas souvent le contrôle, Hermès. Mais quand c’est le cas ? Mieux vaut être loin.

Et la conclusion de cette histoire ? Le centre du monde du succube sera toujours sa famille, ses deux sœurs encore en vie et son frère. Oui, il ne comptera pas Eris. En attendant il enchaine des petit boulot et fait office de barman et videur pour l’une des boite londonienne les plus branché chez les sorciers.

Le mois de novembre dans les contrés de Bulgarie est souvent froid, les températures peuvent descendre jusqu’à un négatif de sept degrés. Ou bien, a contrario monter jusqu’à vingt-trois dégrées. Cette année-là, ce fus plutôt le premier que le second. Emmitouflé dans nos capes, on voyait à peine la peau à travers les vêtements. Sauf pour quelques vétérans qui ne cesserons jamais de surprendre, comme le valet de cœur. Ce soir-là, j’allais être le premier. Le premier à devenir ce que nous étions tous destiné à devenir. Il y avait une forme de fébrilité, d’excitation. Mais aussi d’anticipation au sein de toute notre fratrie. Une tonne de question. Parce qu’un par un, nous allions y passer. Et… j’en était le premier. Le premier à avoir soufflé mes treize bougie. Pour la cérémonie, je serais aussi seul. Mes frères et sœur ne pouvait pas participer à la mienne. Pourtant, j’aurais participé à chacune des leurs avec autant de tendresse et d’amour que tout ce qu’ils pouvaient représenter pour moi.

Mis à nue, littéralement, impressionné par la présence de tous ses « grand ». Chronos d’abord, parce que l’as passais toujours en premier. L’as n’était pas doux, pas avec moi. Pas plus qu’il ne l’avait été par la suite avec les autres. Vins ensuite et en même temps Héra, elle si aimante a la peau de pêche et au saveurs envoutante. Puis les valets. Celui a qui j’avais posé quelques questions un peu plus tôt dans la journée et dont la réponse, aussi mystérieuse qu’inquiétante me restait en tête encore aujourd’hui. Achlys. Et puis l’autre aussi. Et enfin, chacun eu sa part du gâteau. Chacun pu prendre un peu plus de ma virginité, un peu plus de ma vitalité. Jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien. Rien d’autre que le baisé de la vie offerte par mon père sous la forme d’un calice millénaire contenant un élixir garder secret pendant tout autant d’années.

Je renaissais un nouvel homme, un nouvel être. Quelque chose qui n’était plus tout à fait humain. Autre chose.

Vins ensuite le tour de mes frères et sœur. Athéna d’abord a qui je montrais bien plus de douceur que mes prédécesseurs, passant inlassablement dans le même ordre mais cette fois, j’avais tout le loisir de m’abreuvé de ma sœur avant le reste des membres de notre Q-Ulte, juste après les valets. Puis Dionysos, Déméter, Eris bien sûr. Asclépios était l’avant dernier. Et enfin vins Artémissia. Et ce trio-là, avec ou sans les autres, celui de celle qui deviendra reine de cœur, puis as d’une nouvelle ère en nous choisissant pour valet -une évidence- perdurera dans le temps. Comme pour rejouer inlassablement ses première fois ou nous avons pu nous découvrir, nous goûté et nous repaitre de chairs autant apprécier que les cœurs.