▬ Mes 3 premiers sortilèges :

Ils sont à choisir dans la liste de sorts proposée par le forum, dans ceux de niveau 1 (puisque vous commencez niveau 0 donc maîtrise de sort 1).

• Alohomora
• Diffindo
• Hyacinthum Flamma

▬ Le système de notation et certaines matières étudiées sont un tantinet différents au Liban. Principalement parce que les cours sont la plupart du temps donnés par les familles nobles du pays. Seules les notations finales sont attribués par le Ministère de la Magie. Son père et le Ministre de la Magie anglais on donc trouvé des équivalence lui permettant de rejoindre la formation d'apprentie auror l'an passé

• De la 1è à la 5è année :

→ Astronomie : P
→ Botanique : A
→ Défense contre les forces du Mal : O
→ Histoire de la magie Libanaise : EE
→ Magie élémentaire et chamanisme : E
→ Métamorphose - Sortilèges et Transmutation : O
→ Potions : EE

• Option de 3è année :

→ Chamanisme et Vaudoo : A
→ Étude des runes : EE
→ Aritmencie : A

• 6è & 7è année :
→ Défense contre les forces du Mal : O
→ Histoire de la magie Libanaise : A
→ Métamorphose, Sortilèges et Transmutation : O
→ Potions : O
→ Étude des runes : EE
→ Aritmencie : T

• Etude à Grimardent :

→ Grâce à son année d'apprentie auror au ministère anglais, Yara entre en seconde année à Grimardent.
Section Défense et si elle aurait adoré prendre la section sport, elle n'aura pas été reçue. Difficile en effet d'être dans une équipe de Quidditch pendant trois ans quand vous avez fait vos études à domicile..

Quand on rencontre Yara pour la première fois, on ne se dit pas qu'elle vient d'une riche et grande famille qui, en Angleterre s’apparenterait à une branche de la famille royale. On imagine plutôt qu'elle vient d'une famille tout à fait lambda. Pourtant Yara est réellement née avec une cuillère en diamants dans la bouche et malgré ce que l'on pourrait être en droit d'attendre d'elle, la jeune femme est tout le contraire de la Princesse Parfaite.
Impulsive à bien des niveaux, c'est une jeune femme dotée d'une grande force d'esprit qui n'hésite pas à faire part de ce qu'elle pense et qui ne manque pas d'une certaine forme de courage par la même occasion. Plus souvent joyeuse qu'elle ne se laisse aller à la tristesse et la déprime, elle a souvent du mal avec les gens qui ont tendance à se laisser aller plutôt que de se prendre en main.

D'aussi loin qu'elle s'en souvienne, elle a toujours eu une grande curiosité en elle, cette envie de découvrir le monde, les gens, les choses. Indépendante et débrouillarde, elle a su se frayer un chemin dans la vie pour suivre une route qui lui correspondrait mieux que toutes les autres. Peu farouche, Yara est une digne partisane de la Pensée Libre et Positive. Elle broie rarement du noir, ne s’apitoie jamais sur son sort. A chaque problème sa solution et il n'est pas encore venu le temps où elle verra les choses autrement. Aventureuse, fidèle avec ses amis tout autant qu'avec ses ennemis, Yara est une jeune femme droite dans ses bottes qui ne cache rien de ce qu'elle pense.
Peu avare en paroles et en rires, elle se lie facilement avec les gens qu'elle rencontre et n'est pas du genre à faire la différence entre  sorciers et moldus tout comme elle ne la fait pas entre riches et pauvres. Ouverte d'esprit et loin d'être stupide c'est une personne pleine d'entrain, toujours prête pour s'amuser bien qu'elle sache être sérieuse si nécessaire.

Joviale et bonne vivante, c'est une exploratrice née. Loin d'elle l'idée de se contenter des discussions de filles, elle s'entend d'ailleurs beaucoup mieux avec la gente masculine. Elle voit chez eux beaucoup plus d'intérêts et de possibilités. L'adrénaline est aussi souvent bien plus présente et Yara préférera toujours une course en moto plutôt qu'une virée shopping. Très sportive, Yara est une pile électrique quand il s'agit de mettre ses talents à disposition que ce soit dans un sport sorcier ou moldu, elle est d'ailleurs très friande d'arts martiaux asiatiques et lier ces arts ancestraux à la magie est tout ce qu'il y a de plus excitant pour elle. Peut-être qu'elle pourrait aller plus loin dans cette idée le temps avançant et sa pratique devenant plus précise. A voir, pour le moment elle doit déjà s'adapter à ce nouvel univers qu'est son poste d'apprentie au Ministère et, depuis peu les couloirs de Poudlard, une fois fait, elle avisera comme elle le fait toujours car vivre sa vie au jour le jour et ne pas s'inquiéter de la suite est une bénédiction que l'on devrait tous s'offrir. Mieux vaut profiter maintenant que quand il sera trop tard, voilà sa bien belle philosophie.

La famille de Yara est une famille ancienne et très influente du Liban et avouer qu'ils règnent quasiment en maître n'est pas peu dire. Partout où le pouvoir coule, vous pouvez être certain de trouver un cousin, un oncle ou une tante de la jeune femme et aucun des membres de sa famille ne déroge à cette règle.
Hommes et femmes s'investissent dans la vie du pays, du côté sorcier bien entendu mais aussi du côté moldu depuis des générations. La moitié des Libanais connaissent leurs noms, savent comment ils vivent et qui sont les membres les plus influents. Ce qu'ils ne savent pas, en revanche, c'est que chaque membre de cette famille est un sorcier. Sorciers ou sorcières de sang-pur, les branches familiales n'ont jamais été souillées et personne n'a encore tenté de s’abaisser à modifier cette règle. Le courroux du patriarche à effectivement un peu tendance à maintenir tout le monde dans le rang. Alors très honnêtement, ils la font bien marrer ces sorciers européens qui pensent qu'il faut un massacre pour asseoir la suprématie du sang sorcier. Au Liban, la suprématie Khazen est déjà bien installée et coule dans quasiment tous les pores de la société. Mais qui dit famille d'une grande notoriété, dit responsabilités qui vont avec et Yara n'a pas échappé à cette éducation de petite libanaise parfaite. Du moins, son père a eu une volonté forte de la faire plier sous le poids des traditions, il n'avait cependant pas prévu qu'elle serait sa seule fille et qu'elle jouerait tellement bien de ses charmes qu'il ne pourrait quasiment rien lui interdire.

Privilégiée dans un monde de privilégiés, Yara a bénéficié de tout ce qu'elle pouvait désirer. Elle n'a jamais manqué de rien, pas même d'amour alors que ses parents étaient plus souvent absents que présents. Ils se faisaient cependant rapidement pardonnés dès qu'ils arrivaient à proximité d'elle et de son regard embué dont elle a su jouer un peu plus chaque jour. Cadette d'une famille de quatre enfants, Yara à deux frères plus âgés qu'elle qui ont longtemps été ses piliers ainsi qu'un frère plus jeune qu'elle n'a jamais manqué d'embarquer dans ses folles aventures. Alors autant dire que les responsabilités retombent plus sur eux, que sur elle et il en a toujours été ainsi. Enfant, Yara était une princesse dans un monde d'hommes et personne n'a jamais pu lui interdire quoi que ce soit. Quoi qu'on en dise, la fille du patriarche Khazen avait beaucoup plus de droits que de devoirs. Car oui, ça aussi il y en avait malgré tout ! Le premier devoir de Yara et de tous les enfants qui naissent avec ce grand nom est sans nul doute celui de ne jamais dévoiler qu'ils sont sorciers. Particulièrement quand les réceptions de la famille ouvrent la porte à certaines personnalités moldues. Autant dire qu'il aurait fait mauvais genre d'exercer la magie, consciemment ou non en leur présence et trahir cette règle est sévèrement punie au sein de cette dictature familiale.

Ainsi, pour parer à une telle éventualité, Yara a donc été très tôt obligée de suivre tout un tas de cours particuliers qui devait lui permettre de se maîtriser en public et ce, avant même que ses pouvoirs ne se développent. Ce fut quasiment la seule obligation où son père ne céda jamais et si elle ne comprenait pas trop au départ les raisons d'un tel acharnement, il lui apparut beaucoup plus clair des années plus tard.

N'allez pas croire que Yara n'a pas conscience de l'importance et de l'influence qu'imprime sa famille sur le pays. Même si elle n'est pas exactement ce que l'on est en droit d'attendre d'elle, elle n'a jamais tenté de ruiner tout ce qui avait été construit depuis des générations. Même aujourd'hui, elle fait usage de sa magie avec parcimonie et uniquement quand elle est certaine qu'aucun non-mage ne pourrait la voir. D'un autre côté, il serait totalement stupide de dire qu'aucun accident n'est jamais arrivé. Les sortilèges d'amnésies des parents de Yara sont d'ailleurs très puissants mais jamais un incident n'a été assez important pour faire la une d'un journal ou agrémenter des bruits de couloirs. Chez les Khazen, on sait se tenir à la seule et unique règle qui pourrait vous valoir un allé simple aux portes de l'enfer si vous aviez l'idée de l'enfreindre.

Et pour que cela n'arrive jamais, on ne se mélange pas avec les autres. Les Khazen sont une vieille famille de sang-pur et pour ne pas perdre ce sang qui leur est précieux, les unions sont particulièrement bien étudiées. On ne se marie pas avec un rang de sang et de pouvoir inférieur. Unis entre cousins et cousines a divers degrés, chacun devient un élément de la machine bien rodée et les mariages arrangés ne sont pas vraiment portés à la négociation. Qu'on le veuille ou non, ce sera l'intérêt commun avant le sien. Ne reste que Yara qui, pour le moment, n'est pas vraiment inquiétée par ça même si elle sent très clairement que la roue est en train de tourner pour elle. Après tout, elle sais déjà qu’elle ne pourra pas passer entre les mailles du filet indéfiniment et, qu’un jour, viendra le moment ou son père prendra la décision pour elle et ou rien ne pourra le faire changer d’avis.

Peut-être aurait-elle dû sentir que cette roue commençait réellement à tourner alors qu'elle entamait ses réelles études de magie. Des études que la plupart des jeunes sorciers vivant dans de grands pays passent dans des écoles ou institutions dédiées. Ce ne fut pas le cas pour elle qui étudia principalement si ce n'est exclusivement à domicile. Après tout, le Liban est bien moins important que certaines autres nations et si le pays, a cheval sur divers continents, aurait pu lui ouvrir l'opportunité d'étudier à l'étranger, quand on s'appelle Khazen, on reste dans le giron familiale.
Des amis ? Yara en a eu des tas. Tous des connaissances lointaines remontant à l'enfance qu'elle croisait en même temps que les précepteurs et employés de divers ministères qui partageaient ainsi leur temps entre tout ces enfants de riches et nobles parents. Au final, à bien y regarder jusque là, sa vie fut plutôt bien rangée.

Et si elle bénéficiait déjà de bien plus de liberté que ses frères, ses années d'études furent réellement salvatrices.  Bien qu'elle quitta peu souvent le domicile familiale, pouvoir évoluer dans d'autres sphères n'en était pas moins important et impressionnant. Ainsi, pouvait-elle développer pleinement cette curiosité jusque là insatisfaite et qui se transformerait bientôt en une envie plus profonde de découvertes diverses et variées. A trop vivre dans des lieux confinés, on a tendance à vouloir laisser ses ailes se déployer. Elle devint plus aventureuse, moins policée au fil des années. Dans cet environnement qui la changeait sommes toute assez radicalement de son petit paysage habituel, c'était une fête et une découverte perpétuelle.
A l'inverse de beaucoup d'enfants qui, comme elle, étudiaient principalement dans le giron de leurs aînés et pour qui on avait de grandes attentes, ce n'était pas le cas pour elle, du moins pas autant. Ainsi, malgré toutes les préparations qu'elle avait pu avoir au sein de la famille proche, elle ne se révéla pas la plus douée, ni la plus assidue. Plus portée sur l'action que sur la réflexion, Yara à rapidement privilégié les cours où l'on se servait d'une gri-gri plutôt que ceux où il fallait constamment avoir le nez plongé dans un livre. De même, elle s'intéressa rapidement au Quidditch bien qu'elle le pratiqua très peu, l'orientation souhaitée par sa famille n'allant clairement pas dans ce sens. Pour elle, les études sages qui devraient l'amener à être une grande sorcière du monde n'étaient pas à l'ordre du jour et trop peu de personnes essayèrent de la raisonner, surtout pas son père qui depuis des années cédait à la plupart de ses lubies. Tant que Yara ne dépassait pas les limites de l'acceptable, elle pouvait faire ce qu'elle voulait, quand elle voulait et comme elle le voulait. Khazen père avait déjà deux fils qui suivaient ce qu'il imposait, autant laissé à sa seule fille la liberté dont aucun autre Khazen n'avait jamais vraiment bénéficié.

Et cette liberté d'action continua ainsi pendant toutes ses études. A tel point qu'une fois ses études terminées et son diplôme délivré par le Ministère Libanais en poche, on l'autorisa à faire ce dont aucune femme de sa famille n'aurait pu rêver. Après tout, si la famille de Yara vivait avec les traditions magiques, ils vivaient aussi avec les traditions moldues et alors qu'elle aurait dû être introduite dans le monde des adultes voire même mariée sans qu'elle n'ait son mot à dire. Ce fut un tout autre événement qui se profila. Une fois encore, son père ne pouvait pas lui résister et les arguments que la jeune femme avait avancés résonnaient comme un doux chant à son oreille. Malgré les objections et le sentiment d'injustice que ça aurait pu faire naître, Yara fut autorisée à parcourir le monde, seule et sans escorte masculine. Dans sa tête, il était clair que ce serait sa dernière chance de profiter des largesses de son père. Au bout d'un moment, elle allait devoir rentrer dans le moule mais, pour l'instant, elle avait encore un peu de temps avant qu'on ne tente de l'entraver et qu'elle doive trouver une solution pour s'échapper.   C'est ainsi qu'elle quitta la demeure familiale et son pays natal dont elle n'avait jamais passé les frontières. Mais plutôt que de vivre dans le monde de la magie, elle s'intéressa d'avantage à celui des moldus. Pendant ses années d'études, elle avait largement eu le temps de vivre dans l'univers magique et d'en voir la plupart des aspérités. En revanche, quoi qu'on en dise, elle avait été beaucoup moins libre de visiter le monde moldu et les coutumes de ces personnes qui étaient très éloignées d'elle. Yara employa donc son voyage à visiter de nouveaux pays et de nouvelles perspectives. Elle apprit mieux à se servir de la magie avec parcimonie et s'attacha même à passer plusieurs jours sans même penser à l'utiliser.

Elle traversa ainsi une grand partie des pays arabes avant de se permettre de voyager au-delà des mers pour découvrir l'Australie et le Japon. Pays dans lequel elle passa sûrement le plus de temps. Il fallait avouer que les asiatiques avaient beaucoup d'attrait pour elle. Pas seulement leurs coutumes qu'elle trouvait un peu bizarre, mais leurs sports et en particulier les arts martiaux semblaient trouver écho au plus profond d'elle même. Jusque là, Yara ne s'était jamais vraiment intéressée à ce genre de choses mais maintenant qu'elle voyait ces artistes en action, ça lui donnait l'impression que combiné à ça, les limites de la magie elle-même pourraient être repoussée. Ce fut à contrecœur qu'elle quitta ces régions pour continuer sa route jusqu'en Europe où elle se laissa un peu plus allée à la magie qu'à l'étude des moldus.
Ce ne fut qu'au moment où elle allait quitté cette partie du globe qu'on l'invita prestement à revenir dans la demeure familiale. Pendant près d'un an, Yara s'était volontairement ou non, tenue loin du monde magique et de ses nouvelles. A vrai dire, elle n'y avait porté que peu d'attention, préférant jouer les baroudeuses et se lier d'amitié avec les gens qu'elle rencontrait au gré de ses pérégrinations. Elle avait adoré ce voyage fait en toute liberté et qui avait trouvé ses racines dans une grande simplicité. Elle avait adoré les personnes qui avaient partagés sa route plus ou moins longtemps et qu'elle ne reverrait peut-être plus jamais. Elle avait rencontré des moldus et des sorciers qui, à leurs manières, avaient marqués sa vie. Mais la lettre de son père et les personnes qu'il avait envoyés pour la ramener signifiait la fin de son voyage. Il ne lui avait pas expliqué pourquoi mais il était temps pour elle de rentrer. Qu'aurait-elle donné pour ne pas poser son doigt sur ce Portoloin et resté encore un peu en France. Peine perdue, elle avait beau être la préférée, on ne refusait rien au roi de la dynastie Khazen et si il ordonnait son retour, elle n'avait pour le moment pas le choix que d'obéir. C'était ça où être pourchassée dans chaque pays où elle poserait un pied et ça... Il en était hors de question.

Résignée mais pas décidée à se faire brider, elle accepta non sans quelques objections de retourner chez elle et ce qu'elle appris lui donna l'impression que son père venait de se foutre d'elle royalement. C'était bien la peine de lui donner l'impression que sa vie faite de plaisirs allait s'arrêter. Elle s'était attendue à tout, sauf à ça et si elle protesta vigoureusement et que l'idée ne lui plaisait pas plus que ça, c'était toujours mieux que de se faire passer la corde au cou par un de ses cousins.
Son père lui apprit à quel point le monde magique avait changé depuis quelques temps. Il lui expliqua les rumeurs qui étaient arrivés jusqu'au Liban et dans ses quartiers. Pour Yara qui était restée assez loin du monde magique c'était une surprise dont elle ne savait trop quoi pensé. Depuis un mois son père s'évertuait à augmenter la coopération magique entre le Liban et l'Angleterre, et autant avouer qu'être ami avec le Ministre de la Magie anglais lui-même permettait d'augmenter quelque peu cette efficacité. A la base, il projetait même d'envoyer un de ses fils au Ministère de la Magie Anglais pour avoir des yeux et des oreilles là-bas. Yara ne comprenait pas vraiment pourquoi mais, visiblement, une nouvelle menace se dressait à l'horizon. Une menace qu'elle n'aurait peut être pas pris en compte avant son année de voyage. Pour être honnête, elle était tellement protégée au Liban et sa famille était si importante qu'elle ne pensait pas que des morts et des événements survenant à l'autre bout du globe puissent avoir un impact quelconque sur son petit pays d'orient.

L'autre nouvelle c'était qu'à défaut d'envoyer l'un de ses fils, Khazen Père autorisait le départ de Yara pour rejoindre une formation d'apprentie auror dans ce ministère si lointain. La seule condition ? Qu'elle revienne sans tarder dés qu'il lui aurait trouvé le bon homme à marier. Condition qui plu moyennement à la jeune femme qui refusa tout d'abord obstinément. Incapable de concevoir que sa vie future pouvait être bradée contre une expérience comme celle-ci. Cependant... Y aller...
Même si elle refusait de l'admettre, la perspectives d'aller en Angleterre, de conserver cette liberté et de se retrouver au cœur de l'action tout en servant les intérêts de sa famille, ça avait du charme. Beaucoup de charme. Trop sûrement et malgré la lourde contrepartie qu'elle avait du accepter, Yara avait fini par s'envoler, rejoignant les rangs des apprentis aurors alors qu'une noirceur nouvelle se profilait déjà à l'horizon.

La suite, tout le monde la connaît où presque. L'an passé n'a pas été une période de tout repos. Le Ministère de la Magie anglais a été la cible d'un attentat, les portails menant par-delà les continents ont dus être surveillés -Par Yara en partie ainsi que d'autres apprentis du Ministère- et pour finir, la Garden Party de Coqueline Chasnel s'est soldée par un échec cuisant où de nombreux invités ont finis par trouvés la mort ou être blessés que ce soit sur le lieu de départ où bien en Egypte ou en Grèce.

Et enfin ? Enfin Celeste Prewett a décidée d'ouvrir une université internationale. La réaction du patriarche Khazen ? Envoyé l'un des deux frère ainé de Yara au Ministère anglais pour qu'il prenne sa place et pour elle... Pour elle ce serait démontrer la suprématie Khazen en brillant dans ses études. Jusqu'au jour où il changerait forcément d'avis... Jusqu'au jour où il la rappellerait auprès de lui.