Umbra Noctis Movens
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Umbra Noctis Movens est un forum RPG, bien sûr, mais pas que. Il vous propose un système d'évolution. Gagner des exp en faisant vos RPs, en participant à la vie du forum, ect... Et monter de niveau pour développer vos maîtrises et skills de sorcier ! Plus encore, chaque personnage à une réelle influence sur les intrigues qui se jouent façon « roman dont vous êtes le héros ». Avec des fins alternatives à chaque épisode et chaque saison ! Vous pourrez aussi dès le niveau 10 avoir votre propre familier et le faire grandir, choisir de vous faire aimer par votre animal magique, ou au contraire le faire obéir par la peur. Vous collectionnerez les dragées surprises de Bertie Crochue pour vous en servir comme monnaie au marché noir, vous pourrez aussi remplir votre compte en banque pour faire du shopping à la boutique... En bref, UNM avec ses quêtes, classes, boss et j'en passe, c'est un habile mélange entre le forum RPG tel que nous le connaissons et le « mmo rpg » !
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Nous sommes actuellement entre le 1er Janvier 2025 et le 30 Avril 2025. Voir le calendrier | Le Forum a été créé par Kassie (contexte, le système de jeu, intrigues, les annexes, etc...) et lui appartiens entièrement. NC(-16) présence de propos caractère hérotique et/ou violent, cb interdite aux mineur à partir de 00h.
Deux décennies après la guerre des sorciers, des groupes extrémistes menacent la paix magique. Vous incarnez les différentes factions sur un forum RPG et serez amenés à choisir votre camp lors du conflit qui s'annonce. Préparez-vous à prendre position et à influencer le destin du monde magique.

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[2024.09.08] Beaubâtons | Etienne et Poppy

 :: Nex Aeternum :: Flood, jeux & co' :: Les archives du forum :: Archives RPs
Etienne A. L. Ballessaim
Etienne A. L. Ballessaim

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Photomaton : [2024.09.08] Beaubâtons | Etienne et Poppy Giphy
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Scolarité et Métier : J'ai étudié à BEAUBATONS, et maintenant je suis prof de MST et directeur adjoint de l'académie française.

[2024.09.08] Beaubâtons | Etienne et Poppy Empty
Ven 18 Nov - 11:37
- Turbulence dans les jardins de Beaubâtons.
▬ Date : 08.09.2024
▬ Lieux : jardins de Beaubâtons
▬ Participants :
@Etienne A. L. Ballessaim & @Poppy Wood

Etienne avait passer son premier week-end depuis la reprise des cours à faire la police, littéralement. Chose épuisante qu’il n’appréciais pas forcément. Fort heureusement, pour ce détendre la veille au soir, il avait pu partager un dîné très agréable en compagnie d’@Irina A. Lupin dans les rues du Village Millefeuille, petit patelin avoisinant l’école uniquement peuplé de sorcier. Un peu à l’image du Pré au Lard chez leur voisin Britannique. Si sur le moment, le partage de ce souper et le fait de revenir un peu tard sans vraiment se préoccuper de ce qui ce passais entre les murs du palais de Beauxbâtons avait semblé être légitime, principalement parce qu’il y avait des surveillants et tout un corps professoral pour surveiller les élèves, le lendemain matin il ce rendit compte que ce fus une grave erreur.

C’est en trombe que la direction, @"Philippe De Bourbon", entrait dans les appartements d’Etienne, sans même frapper à la porte. L’homme ouvra un œil, sa compagne toujours endormis sur un de ses bras. Fort heureusement tout deux toujours recouvers d’un drap.

- Ah heu… Pardon Etienne je vais t’attendre dans ton bureau.

- Tu crois ?

Il leva les yeux aux ciel pendant que la Philippe, gêné, refermais la porte derrière lui. Etienne soupira, retirant avec douceur son bras qui servait d’oreiller à Irina et s’extirpa du lit. Il pris quelques seconde pour s’étirer de tout son long avant de remettre le draps sur la jeune femme pour la couvrir jusqu’au épaule. Enfilant un jean et un simple t-shirt tout en enfilant ses chausson, il ce traîna jusqu’à la porte qu’il ouvrit et referma le plus silencieusement possible pour rejoindre son collègue.

- Qu’est-ce qui a qui ne pouvais pas attendre que j’aille dans la salle du petit déjeuner ?

Demanda Etienne, croisant les bras tout en s’adossant à la porte.

- Tu étais où hier ? Les élèves de sixième et septième année ont décider de faire une fiesta dans les jardins. Non seulement ils ont saccagé pas mal des parterre de fleur, mais en plus on à deux élèves qui visiblement ont pensé que c’était une bonne idée de faire after dans la forêt enchantée. Ils ne sont toujours pas revenu !

- Et où était tout le corps professoral et les surveillants ? Y’a pas une personne qui les a enttendus hier ?

- Probablement ausis occupé que toi.

- Et toi ?

Pause dans la discussion, Etienne affiche un petit sourire sarcastique, De Bourbon semble gêné.

- Je m’en occupe. Je vais commencer par aller voir la nouvelle jardinière. Miss Wood c’est ça ? J’étais pas là quand tu l’a interviewé pour le job celle-là. J’espère qu’elle sera moins bizarre que la dernière.

La conversation ce termine, le directeur acquiesce. Etienne le raccompagne jusqu’à la porte qu’il referme derrière lui et soupire. Il entre de nouveau dans la chambre pour poser un baisé sur le front d’Irina, lui dire de ne pas l’attendre qu’il a du travail. Il va dans la salle de bain, faire un brin de toilette et ressort quelques instant plus tard vêtu d’un de ses costumes habituel, dans des ton bleu foncé avec une chemise blanche et une cravate assortis au tout. Il enfilera ses chaussures ciré le matin même par un des elfe de maison du domaine Ballessaim. Avant de ce rendre dans les jardin, il fera un arrêt prêt des cuisine pour demander un café à emporter avec lui aux petites mains. Et c’est tôt, très tôt pour un Dimanche alors que le soleil commence à peine à ce levé qu’il marchera vers les jardins jusqu’à trouver là où réside la nouvelle jardinière. En un sens, il aurait déjà du la rencontrer de toute façon. Mais n’en avait pas eu le temps avec les préparatif de la rentrée puis la rentrée en elle-même. Posant un pied sur la marche du Péron il toqua par trois fois à la porte. Avant de dévié son regard vers les jardins et la lisière de la forêt enchanté, attendant une réponse.
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[2024.09.08] Beaubâtons | Etienne et Poppy Empty
Ven 18 Nov - 13:47

Turbulence dans les jardins de Beaubâtons.
Poppy V. Wood
Première rencontre   @Etienne A. L. Ballessaim    


▬ Date : 08.09.2024
▬ Lieux : jardins de Beaubâtons
▬ Participants :
@Etienne A. L. Ballessaim & @Poppy Wood

Poppy avait toujours été matinal. Toujours! Non seulement, elle se sentait mieux quand le soleil était haut dans le ciel mais elle avait généralement beaucoup trop de chose à faire pendant qu’il y était; ainsi cela lui avait toujours été très naturel de se lever aux premières lueurs de l’aube. Lever – on s’entends, pas nécessairement être dehors. En plus, c’était dimanche! Pas que les plantes avaient un calendrier de repos, mais que c’était une journée qu’elle-même chargeait moins de tâche afin de profiter un peu d’un repos mérité. Si elle n’était pas dans les jardins déjà, c’était parce que justement c’était dimanche et qu’elle profita d’un instant de lecture en sirotant son thé et en avalant des petits morceaux d’une pâtisseries – car ça avait tout le look, feuilleté sur le dessus, sentant le beurre à souhait et avec une odeur très agréables de framboise et d’amande – qu’elle ne connaissait ni d’Êve, ni d’Adam.  Elle souleva la théière encore fumante une pour énième fois tout en soupirant d’aise. C’était un de ces matins facile, un qu’on sait que la vie est simple et qu’il faut profiter des petits bonheurs de la vie. Mais au dehors, Valeria n’avait toujours pas eu vent des actions dans les jardins. Non, elle n’était pas sortie – elle était bel et bien resté à l’école toute la soirée hier. Peut-être certains membres du corps professoral avaient juste oublié son rôle ou juste pas oser la déranger avec une catastrophe majeure à gérer seule, si peu de temps après son arrivée. Chose était qu’elle avait dormi comme une tombe.

On cogna à la porte de sa petite maisonnette dehors – trois coups net, précis et terriblement protocolaire pour un dimanche matin. Elle tourna la tête muée par la curiosité avant de se lever d’un pas aérien de sa chaise, dans cette toute petite cuisine qu’était la sienne en emportant une dernière bouchée de pâtisserie qu’elle glissa rapidement dans sa bouche sans porter attention aux miettes croustillantes qui s’accrochèrent à ces cheveux défaits.  Quand elle réalisa ne pas être convenable, elle paniqua un peu. Devait-elle faire attendre, devait-elle se mettre à courir vu les circonstances, elle se sentait piéger que ces cheveux ne soient pas protocolairement relevés et attachés comme sa mère lui avait toujours enseigné. Dans une robe d’intérieur avec une robe de chambre détaché posé sur ces épaules dans une soieries de fleur bleu, mauve et blanche, la nouvelle jardinière en poste héla un

I’m comming.

Avant de réaliser en cours de route que l’adaptation pour la langue n’était toujours pas au point. C’était difficile de chasser le naturel mais ce n’était pas impossible. Tout comme, c’était difficile de – eh bien – se contrôler même anxieuse, mais pas impossible. Mais rien, rien ne la préparait à découvrir un très élégant homme blond à sa porte, elle notait que très peu de chose à travers les carreaux brumeux à droite et à gauche de sa porte d’entrée. En soit, elle avait vu grand nombre d’adultes passés ici et là et la plupart ne portait que très peu d’attention à la petite nouvelle obscure et visiblement très occupé qui n’allait presque jamais dans l’enceinte de l’école. Son terrain de prédilection était à l’extérieur ou elle pouvait être maître d’elle-même et ou elle pouvait se faire confiance. Les plantes n’en avaient absolument rien à faire qu’elle soit femme, homme, demi-vélane, centaure ou une brique. Les plantes n’avaient en théorie pas besoin d’elle pour grandir et fleurir si elle était dans les conditions qui leurs étaient optimale ; mais c’était justement parce qu’on faisait pousser nombre d’entre elle dans un environnement hors de l’ordre naturel ou qu’on s’attachait les talents d’une personne tel que le père de Poppy; et plus exactement elle, maintenant.

Elle tira sur sa robe de chambre pour se couvrir, alors qu’il aurait été plus adéquat de juste assumer sa robe d’intérieur avant d’ouvrir le battant lentement. Une brise fraîche s’engouffra dans sa petite cabane et ces cheveux voltèrent légèrement de part et d’autre de son visage. Ne soit pas nerveuse – il vient probablement pour te demander ces liasses de papier et ces rouleaux que tu étais sensé avoir rapporter vendredi. Vendredi avait été fort occupé; on était venu la voir avec une requête pour des potions et simplement retrouver toutes les plantes impliquées et commencé les prélèvements lui avaient pris la journée tant elle ne connaissait pas encore assez bien la serre intérieure, Samedi avait été ponctué par l’organisation des plants maraichers et plus principalement les citrouilles en vue d’Halloween, et ce matin, c’était principalement de l’entretien dans le jardin d’automnes qu’elle avait au programme.

Je peux vous aider ?


La dame aux cheveux noirs et ondulé descendant jusqu’à la taille avait l’air un peu perdue. Elle continua néanmoins à ouvrir le battant tout en ceinturant sa taille de son bras valide pour tenir pudiquement l’étoffe fleuri contre elle, malgré ses doigts pris en coupe à travers le document qu’elle lisait préalablement. Non seulement, le gaillard la dépassait de plus d’une tête mais il était à se jeter par terre. Clairement l’un des deux n’étaient pas à son avantage à cet instant et son petit doigt lui disait que ce n’était pas lui. En même temps, il avait pu se préparer alors qu’elle dégustait tranquillement son petit-déjeuner. Et puis, par Merlin.

Vous excuserez ma tenue. Je n’attendais pas de visiteur.

Voilà qui la délivrait un peu de cette pression dans son bas ventre qu’était l’anxiété à son apparence. C’était toujours mieux cela que de continuer à se sentir nerveuse et par accident généré trop de stress face à un inconnu. Non, valait mieux être à l’aise et souple avant de se créer des ennuis à peine quelques jours après son arrivée en poste à Beauxbâton. Fallait-elle qu’elle se présente ? C’était une remarque idiote dans sa tête. Après tout, c’était lui qui était venu au pas de sa porte un dimanche matin, il devait bien avoir une petite idée de qui elle était s’il était prêt à la jeter en bas de son lit. Elle tenta d’afficher une aisance qui n’était pas sienne tant qu’elle ne savait pas de quoi il retournait pour l’instant. Puis réalisa qu’elle n’allait pas le faire se tenir comme un piquet devant sa porte.

Vous désirez entrer ?

Voilà quelle excellente idée Val! Une bonne et une mauvaise! Comment une idée pouvait-elle apporter autant de potentiel positif comme négatif avec elle. Ce n’était pas pour rien que les arbustes et les fleurs étaient plus sécuritaire. Qu’il dise non, réglerait tout! Vraiment! Et puis déjà, elle voyait les soucis s'enfiler dans sa tête, avec son accent d'anglaise mêlé à son français un peu cassé par moment... Oh lala.

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Sam 19 Nov - 16:38
- Turbulence dans les jardins de Beaubâtons.
▬ Date : 08.09.2024
▬ Lieux : jardins de Beaubâtons
▬ Participants :
@Etienne A. L. Ballessaim & @Poppy Wood

Etienne, une marche toujours sur le perron de l’habitation de la jardinière jetais un regard à sa montre avant que son regard n’aille ce perdre en direction du palais de Beauxbâtons et plus précisément l’ensemble de fenêtre qui constituais ses propres appartements, là où il avait laissé Irina dormir paisiblement. Il eu un soupir. Derrière la porte il entendit quelques mots en anglais. Ah oui ! C’est vrai, la jardinière était Britannique, elle l’avait lu sur son dossier d’application au poste, quand Philippe lui avait montré et qu’il avait simplement fait un signe de tête agrémenté d’un « mh ». Alors oui, il était important pour l’esthétique de l’école de faire entretenir ses jardins à la Française et sans doute une partie de la serres quand le professeur d’herbologie en avait le besoin, mais en soit, Ballessaim préférais ce concentré sur tout l’attrait académique de l’école dans sa fonction.

Après quelques instant la porte s’ouvrit enfin, captant l’attention d’Etienne qui tourna de nouveau le visage vers son encadré pour y découvrir une femme de taille moyenne, vêtue de ses habits de nuit. Elle avait les cheveux brun foncé et une peau pâle. Quelque choses dans la finesse de ses traits perturbèrent Etienne quelques seconde avant qu'il ne mette le doigt dessus. D’une part en raison de son amitié de longue date avec Melissandre, d’autre part parce qu’il l’avait lu dans le dossier : c’était une demi-vélane. Etienne s’éclaircit la gorge.

- Etienne Ballessaim, professeur de métamorphose sortilège et transmutation. Également directeur adjoint de cet établissement. Nous n’avons pas encore eu le plaisir de nous rencontrer.

Dit-il sur un ton plutôt formel, tendant une main à la jeune femme pour la lui serrer comme à son habitude. Si sa fonction dans l’école avait peut-être besoin d’introduction -quoi que- ce n’était certainement pas le cas de son nom de famille. Les Ballessaim après tout avait un pied ferme dans la Prévôté de France d’une part. Et d’autre par que ce soit par leurs vignes, leurs champagne ou leurs chaîne d’Hôtellerie de luxe sous le nom « Barrière », ils étaient particulièrement connu. N’importe quel amateur de vins pour commencé avait vu leurs noms sur nombre d’étiquette avec ce qui était une représentation graphique de leurs domaine principal.

- Non non, ne vous excusez pas. C’est plutôt moi qui devrait m’excuser de venir vous importuné aussi tôt, surtout votre jour de repos.

Répondit Etienne, ramenant sa main gauche, qui avait servis au présentation, dans sa poche. Il lui présentait un sourire amical. A son invitation cependant il répondit par la négative à la fois d’un geste de la main et de ma tête.

- Je voulais simplement savoir si vous aviez entendu quoi que ce soit au cour de la nuit. Il s’avèrent que nos septième et sixième année se serait mis en tête d’organiser une fête de rentrée dans le par cet aurait fait quelques dégâts sur les jardins à la Française non loin de la fontaine proche de la lisière de la forêt enchantée.

Bonjour madame, tu va avoir un sacré boulot à partir de lundi. Il aurait pu tout autant lui dire ça, mais tel qu’il l’avait fait c’était sans doute mieux tourné. Ou pas.

- Il faut que j’aille fait une évaluation des lieux ce matin. Je ne vais cependant pas forcément vous déranger plus longtemps. N’hésitez pas cependant à me faire une liste des dégâts qu’ils auraient pu causer, je n’ai pas votre expertise.

A voir sa tenue et l’heure qu’il était, il n’alla pas jusqu’à lui proposer de venir avec lui faire un tour du propriétaire. Quoi que ça aurait pu être utile en soit, bien qu’Etienne soit en poste depuis maintenant plusieurs année, autant dire que s’accrocher aux détail n’était pas vraiment son fort. Il ne parla pas non plus du couple de jeune perdu en forêt qu’il allait devoir aller chercher par la peau des fesses, cette partie là n’étant pas vraiment le problème de la jardinière. Il baissa la tête, signe furtif d’une prise de congé, considérant cette visite impromptue un dimanche au auror comme relativement déplacer lui-même. A moins bien sûr, qu’elle, ne vois les choses différemment ?
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[2024.09.08] Beaubâtons | Etienne et Poppy Empty
Dim 20 Nov - 5:19

Turbulence dans les jardins de Beaubâtons.
Poppy V. Wood
Première rencontre   @Etienne A. L. Ballessaim    


▬ Date : 08.09.2024
▬ Lieux : jardins de Beaubâtons
▬ Participants :
@Etienne A. L. Ballessaim & @Poppy Wood

Une reliure coincée entre les doigts replié sur elle-même pour tenir bien fermé sa robe de chambre ainsi que l’autre posé sur le cadrage de la porte, Poppy regardait l’homme blond impressionnant installé à l’extérieur de sa petite maisonnette. Si elle ne l’avait pas vu par depuis son arrivée en poste, c’était qu’elle avait consacré tout son temps à l’extérieur à recenser chaque parcelle de terrain. Si les notes du journal de bord du précédent jardinier en chef était incomplet c’était probablement car ils connaissaient le terrain comme sa poche – ou simplement parce qu’il n’avait guère eu le temps de tout mettre sur papier. Elle n’était pas à jour sur les mouvements de ces prédécesseurs et c’était peut-être aussi bien parce qu’elle aurait pu penser que cette école avait des problèmes à garder son personnel. Naïvement, elle espérait que c’était un vieux bonhomme qui avait décidé de prendre sa retraite; un peu comme son père ferait dans quelques années.

Valeria Wood. Enchantée. Mais on m'appelle habituellement Poppy.


Par réflexe, elle avisa de sa tenue. Consciente qu’elle devait paraitre légèrement indécente à côté de lui impeccablement habiller comme s’il sortait du pressing. Ballessaim; ce nom lui disait quelque chose sans pour autant qu’à la seconde elle arrive à cibler la question. Après tout, elle était beaucoup moins versée dans la politique et les relations humains que tous ce qui touchait les plantes et les animaux, c’était à croire qu’elle aurait dû s’installer très loin de la civilisation et qu’elle se serait sentie beaucoup plus comme chez elle que partout ailleurs. Il tendait sa main et elle réalisa que sa main sur le cadrage n’était pas la bonne pour la lui serrer et que cela lui demanderait une gymnastique pour résoudre le problème. Elle se sentit gênée de se manquement et quand elle le vit remettre sa main dans sa poche, elle se questionna à savoir s’il était offensé ou juste aussi mal à l’aise qu’elle en ce si bon matin. Il y avait des nains dans le potager comme disait son père; on ne se présentait pas ainsi un jour de congé simplement pour se présenter; qu’est-ce qui ne lui avait pas encore dit qu’il l’ait mené à sa porte. Elle l’invita à entrer et il secoua la tête. Clairement, la situation continuait d’être mystérieuse.

Et vint alors la raison de sa visite. Elle pinça les lèvres plus mal de ne rien avoir entendu pour débuter et puis vint l’inquiétude de se questionner ce qui avait été … saccagé. Elle ne devait pas céder à la panique – l’imaginer était très certainement bien pire que ce que la réalité lui apporterait comme réponse. À son visage, elle était prise entre le fait qu’elle n’était guère habillée pour une excursion avec le directeur adjoint et celui de ne pas avoir l’air désintéressé par le problème. D’un, de deux, de … et puis, zut.

Donnez-moi juste le temps de me chausser et d’enfiler mon ciré. Je ait vraiment que pour un instant. J’aimerais mieux y aller avec vous pour pouvoir restaurer adéquatement selon vos souvenirs. Je .. est à peine arriver.


Mais à peine avait-elle terminé sa phrase qu’elle se rendait compte d’avoir loupé un mot. Le français c’était archi compliqué. Peut-être n’aurait-elle pas dû pousser sa chance et tente d’entrer comme jardinière ou garde-chasse à Poudlard. Mais elle avait choisi la France, et la voilà qu’elle saccageait leur langue. Il aurait été plus simple qu’il utilise un sortilège pour traduire ces paroles en Français, mais de ce fait, elle n’aurait jamais appris correctement. Elle espérait qu’il ne s’en moquerait pas trop ou du moins qu’il n’en serait pas fortement outré. Mais déjà, elle s’éclipsait de côté, laissant le battant de la porte ouverte et fit coulisser la porte de sa petite garde-robe d’entrée derrière afin de prélever le manteau qui la couvrirait aisément jusqu’à mi-mollet. Complètement bleu marin d’une teinte chatouillante, il était à la fois aussi beau que pratique. Elle posa le document sur une petit table d’une forme indéfinissable et commença à changer sa robe de chambre pour le ciré.

Ne me dites pas que vous craignez d’entrer, quand même.

Mais s’il était conscient de ce qu’elle était. Peut-être serait-il un peu plus nerveux s’il avait matière à perdre. C’était bien mal la connaître. Et en même temps, un préjugée qu’elle n’espérait pas continuellement combattre en compagnie de ces collègues masculins. Elle n’était pas une croqueuse d’homme, n’en déplaise à tous les contes et idées fantasques qu’on se faisait sur les demi-vélanes. Si certaine pouvait avoir la volonté plus légère à ce sujet, Poppy, elle, craignait de blesser autrui - alors il était hors de question de toujours laissé circuler son pouvoir dans ces veines. Si elle devait partager le quotidien de certains hommes à Beauxbâtons autant se dire qu’elle ne préférait qu’aucun d’eux n’ait de méprise sur leur relation à tous deux ainsi que leur volonté ou non à l’écouter et partager leur opinion.

Bien serré avec un nœud à la taille, le ciré était maintenant sur sa robe de jour. Pop glissa les mains dans ces poches et sourit de satisfaction en trouvant une énième paire de gants de travail. Il ne lui restait plus qu’à enfiler ces bas ainsi que mettre ces bottillons et ils seraient prêts à partir. Ah zut. Non pas tout à fait en soit! Il y avait encore ces cheveux qui pendant sur ces épaules et elle ne pouvait pas sortir sans chapeau, non ?  Comme c’était peu pratique. Et comme son croissant amande et framboise et sa théière allait lui manquer dans le froid matinal de l’aurore. Elle pourrait enfiler ces gants tout en marchant pour gagner un très court laps de temps.

Ça arrive souvent ce genre de … situation ?

Autant savoir si elle devait continuellement restaurer les jardins ou si elle devait juste s’assurer de mettre une protection pour leur courir après en plein milieu de la soirée pour les chasser. Déjà l’image qu’elle se faisait d’elle-même n’était guère très jolie. Faites qu’ils disent non, faites que ça soit vraiment simplement un évènement hors du commun!

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[2024.09.08] Beaubâtons | Etienne et Poppy Empty
Dim 27 Nov - 17:03
- Turbulence dans les jardins de Beaubâtons.
▬ Date : 08.09.2024
▬ Lieux : jardins de Beaubâtons
▬ Participants :
@Etienne A. L. Ballessaim & @Poppy Wood

- Enchanté Miss Wood.

Avait-il gratifié la jeune femme avant de remettre la main dans sa poche. Il ne l’appellerais pas « Poppy », pas plus que par son prénom. Ce serait Miss Wood. Car c’était Etienne et que son éducation était finalement ce qui l’encrais dans ce monde. Il nota mentalement les quelques fautes de français et un accent Britanique. Sans pour autant lui en tenir rigueur, après tout l’inclusivité était ceux pourquoi ils œuvrais depuis bientôt deux ans. Etienne nota aussi qu’elle avait l’air un peu plus civilisé à sa manière que leur ancienne jardinière, qui, lourde de ses yeux de panda maquillée de noir était quelque peu étrange avec son fort accent de l’est. Pourquoi Philippe n’embauchait-il principalement que des femme à ce poste ? Peut-être parce que Perceval Hagrid, fils de l’ancienne directrice Olympe Maxim, était déjà pris en tant que garde-chasse à Poudlard, comme l’avait été son père avant lui. Etienne ne répondit que par un sourire mystérieux à l’insistance de Poppy de vouloir le faire entrer. Il connaissais son statue de demi-vélane qui était noté sur son dossier, bien sûr. Mais ce n’était pas ce qui le retenais à la porte. C’était la bienséance, on entre pas chez une femme en habit de nuit au aurore. Ou bien du tout. Non, à la place de cela il descendit les quelques marches du perron qu’il avait monté et ce tourna vers le parc en attendant que la jeune femme ne se prépare.

- Vous n’êtes pas obliger de vous déranger. L’état des jardins pourrait attendre lundi matin Mademoiselle Wood.

L’homme restait tourné vers le parc qui s’étendais à perte de vue. Dans une image bien française, presque un cliché des palais et château de cette France qui était réputé justement pour son style élégant et tout en finesse. Ses lignes géométrique et son amour de la symétrie. Bien loin du style Britanique plus fouillait. Il porta le gobelet encore fumant de son café à ses lèvres et bu une gorgée. La fraicheur de la rosée du matin ne le perturbant pas plus que ça, car fort heureusement le temps dans le sud-ouest de la France près des Pyrénées restait clément à cette période de l’année.

- Fort heureusement non, mais il ne faut pas oublié que le palais grouille d’adolescent. Et hier ils ce trouvaient pour la première fois depuis la fin de l’année. Il faudra s’attendre à ce genre de débordement ponctuellement comme après un nouvel an ou les examens, c’est pourquoi il nous faut être vigilent.

Fort heureusement les fêtes de fin d’année ce faisait dans un climat bien plus frais, il y a fort à parier que dès lors ce ne soit pas le parc qui soit mis en danger. Il n’en demeurais pas moins que les élèves était dans l’âge où l’on test ses limites et les limites des « vieux », les adultes ses terre à terre.

- L’entretien de notre parc vous fait-il peur Mademoiselle Wood ? Je conçois bien que c’est un travail de titan.

Ponctua-t-il, après tout elle avait choisi de travailler dans une école avant toute autre chose. Elle devait donc savoir que les situations cocasse ne manquerait pas. La question était donc, avait-elle pris la mesure des lieux ?
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[2024.09.08] Beaubâtons | Etienne et Poppy Empty
Mar 29 Nov - 22:31

Turbulence dans les jardins de Beaubâtons.
Poppy V. Wood
Première rencontre   @Etienne A. L. Ballessaim    


▬ Date : 08.09.2024
▬ Lieux : jardins de Beaubâtons
▬ Participants :
@Etienne A. L. Ballessaim & @Poppy Wood

Valeria s’activait derrière la porte d’entrée offrant une couverture à son changement rapide. Sans vraiment répondre, elle comprit que l’homme s’était éloigné de la porte. Devait-elle comprendre qu’il ne voulait que l’informer du chaos puis de fuir aussi loin que possible sa compagnie ? Pourquoi ne pas lui avoir envoyé une chouette alors ? Ou encore un elfe de maison ? Ça lui aurait laissé un sentiment un peu moins amer en bouche. Comme si elle n’était pas capable de se concentrer et de se contrôler ? Estimait-il qu’elle avait acquis la position en jouant dans la trame des émotions du Directeur de l’école ? Cette image lui déplaisait énormément et c’était surtout l’image qu’elle essayait pertinemment de ne jamais avoir. On pouvait la percevoir d’une autre incalculable de façon différente, mais être considéré que la sorcière manipulatrice d’homme c’était vraiment la pire chose.

Oh non! Je viens. J’ai juste besoin de quelques minutes.

Comme un coup de vent, elle passa de l’entrée à sa chambre pour enfiler la première paire de bas qu’elle attrapa dans le tiroir, noir. Avec application et rapidité, celle-ci finit par les enfiler sans accroc et glissa ces pieds dans ces chaussures d’un brun foncé, plus pratique que jolie. Son regard se refléta dans le miroir près de la console et la vue de ces cheveux en vague sur ces épaules lui tira une impression étrange. Ah voilà! Elle retira quelques miettes de brioches avant de prendre un peigne, torsadé ces cheveux et l’y inséré pour les faire tenir. Dans l’entrée, elle prit un chapeau et une broche et rejoignit Étienne pendant qu’elle finissait de le fixer.  Elle avait entendu sa réponse concernant les fêtes étudiantes, et même si elle s’était alors engouffrée dans sa chambre à cet instant, il fallait maintenant adresser la réponse. Il lui demandait si elle avait des craintes par rapport au travail et alors qu’elle retouchait la courbe de ces cheveux en arrivant à sa hauteur.

La taille du jardin n’est pas le défi en soit, il semblerait que ça soit plus les élèves, Monsieur Ballessaim.

Ce qui lui avait fait peur c’était l’attaque de Poudlard alors qu’elle n’était qu’une enfant. Ça n’avait rien de comparatif avec le fait de s’occuper d’une tâche colossale. Elle avait souri, essayant de détendre l’atmosphère, avant de sortir ces gants de travail couleur marron et glisser tranquillement chacun des ces doigts fin et long dans ceux-ci. Elle était peut-être à demi-présentable mais se résoudre à ne pas paraitre intéressé et impliqué dans son travail était hors de question. Elle frotta rapidement ces mains gantées contre ces bras question de stopper le frisson qu’il l’avait pris en sortant de sa maison. Les yeux un peu plissés, elle contemplait le début de la lumière du jour.  D’où elle était pour le moment, elle ne voyait pas les conséquences des actions des élèves, mais si on avait jeté le Directeur-Adjoint du lit ainsi que la Jardinière en chef, ça devait être assez conséquent quand même. Était-ce un de ces moments propices aux confidences ? Devait-elle à ce moment-là déclarer que son père effectuait un travail similaire ? Qu’elle avait été assistante pendant quelques années à différents endroits, lui permettant d’être prêt pour ce type de poste. Son dossier devait déjà en faire mention non ? Ainsi que les lettres de recommandations, dont celle de Ste-Mangouste.

J’apprécie votre sollicitude. J’en suis encore à lire le journal du précédent Chef Jardinier, ou plutôt essayer de déchiffrer son écriture. J’arpente une nouvelle portion du jardin chaque jour depuis mon arrivée, question de pouvoir mettre les mettre à jour. Je n’ai pas peur du défi que cela représente, c’est … stimulant.

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Etienne A. L. Ballessaim
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Mer 7 Déc - 16:18
- Turbulence dans les jardins de Beaubâtons.
▬ Date : 08.09.2024
▬ Lieux : jardins de Beaubâtons
▬ Participants :
@Etienne A. L. Ballessaim & @Poppy Wood

Visiblement la nouvelle jardinière tenait à accompagner Etienne, il cocha donc la case « professionnelle » mentalement. C’était un bon point. Quand elle sorti cependant il la regarda sans dénoté la moindre émotion, pour autant c’était un moins un sur la tenue. Certes c’était dimanche au petit jour, mais Etienne tenait au standing de cette académie. Irina avait clairement un laissé passé dans sa tête, clairement voile sur ses yeux due au sentiment qu’il avait à l’égard de l’infirmière. Mais il était intransigeant avec le reste du staff de l’école. A commencer par lui-même, cela va de soi, toujours impeccable sans ses costumes taillé sur mesure. Après tout les Ballessaim étaient la famille la plus ancienne d’Europe avec les De Bourbon. Et ils avaient une réputation à tenir. Ce n’est pas pour rien qu’ils étaient l’unique maison la plus puissante de leur coin du globe. Leurs nom était ancré dans l’histoire de l’Europe au même titre que les De Bourbon, mais à l’inverse des De Bourbon ils n’avaient pas subit les diverses révolutions en Europe. Avantage d’agir dans l’ombre et non à la lumière.

- Effectivement, au sein d’une école cela va de soi.

Avait-il simplement répondu à la jeune femme qui présentait les élèves comme un défis plus grand que l’entretiens des paysage à la française du domaine. Il ce mis alors en route, respectant cependant l’allure qui semblait convenir à la jeune femme, une évidence encore de son éducation.

- Votre prédécesseur était une femme de l’Est, ne vous étonnez pas de voir sa langue natale mêlé à des notes en français, on entendait son accent aussi bien que le vôtre. Quoi que d’avantage peut-être du à ses habitudes d’exprimé ses émotions dans sa langue natale.

Du point de vu d’Etienne, c’était une boutade. Que s’en soit pas une pour la femme également ne lui traversa pas l’esprit. Il s’avança le long d’un chemin de petit cailloux blanc et crème jusqu’à la fontaine représentant le sorcier fondateur de l’académie. Cela ne pris que quelque minute de marche mais déjà on pouvais voir les parterre piétinée, des résidu de ce qui devait être des bombabouse et pétard et autre joyeuserie. Sans compter la fontaine elle-même qui avait été redécoré de couleurs par des dessins de mauvais goût.

- Ils y ont été particulièrement fort cette année. On va avoir des élèves en retenue jusqu’à Noël. Au moins on pourra vous envoyer des petites mains.

Etienne s’avança d’avantage avant de s’accroupir au pied de la fontaine pour soulever quelques détritus. Il fronça le nez quand une odeur nauséabonde lui chatouillât le nez.

- Un marécage portatif à été ouvert pas loin. Effectivement, c’est y allée un peu fort pour votre première semaine. Je vous enverrais des elfes de maison pour vous aider.

Pas une fois encore il n’avait regarder les réaction de Poppy. Il se redressa et lissa ses vêtement, sortant un mouchoir de tissus blanc aux armoirerie de sa famille pour s’essuyer les mains et enfin tourna le regard vers elle. N’oubliant pas dans un coin de son esprit, qu’il avait aussi deux élèves à retrouver dans la forêt enchantée.
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Mer 7 Déc - 22:44

Turbulence dans les jardins de Beaubâtons.
Poppy V. Wood
Première rencontre   @Etienne A. L. Ballessaim    


▬ Date : 08.09.2024
▬ Lieux : jardins de Beaubâtons
▬ Participants :
@Etienne A. L. Ballessaim & @Poppy Wood

Miss Wood était finalement sorti, rapidement, très rapidement, trop rapidement. Sa mère l’aurait vu, elle lui aurait fait avaler toutes ces épingles à cheveux. D’ailleurs, elle se sentait particulièrement gauche uniquement avec son ciré. Ce n’était guère dans ces habitudes. Sobre et collet monté, c’était plus l’image qu’elle projetait habituellement. Elle n’avait guère un œil pour la mode et a avoir de très joli habit était une cause supplémentaire de soucis. Elle voulait surtout qu’on ne la remarque pas. En fait, ce n’était pas vraiment un désir, c’était surtout besoin. C’était plus facile pour elle. Être invisible, ne pas attirer les regards, avoir l’air normale. Ce qui en toute état de fait, n’était pas absolument pas le cas. Elle enfila ces gants de travail alors qu’il marchait vers le Jardins Français, tout en notant mentalement ce que l’Adjoint Ballessaim lui racontait. Ah c’était cela, les petites notes qu’elle n’arrivait pas à déchiffrer. Voilà qui donnait un peu plus de sens à sa lecture, alors que le rouge venait tenter ces joues. Elle essayait au mieux de s’adapter et de faire attention.

Déjà la remarque la mettait un peu plus mal à l’aise qu’elle ne l’était. Mais ce fût bien court comme instant car dès qu’ils furent à proximité de la fontaine, ces yeux s’agrandirent comme des billes, elle porta sa main à sa bouche choquée, mais pas furieuse.  Quand il signifia qu’il y aurait des élèves en retenu jusqu’à Noel et qu’elle aurait des mains pour faire du ménage, elle baissa les yeux pour voir ce que le professeur ramassait. Des élèves, des elfes, il lui préparait une armée ? Elle avait beaucoup déjà à faire avec les préparatifs de l’automne alors même si ça la rebutait d’avoir des elfes dans les pattes, elle devait avouer que ça resterait clairement plus logique que de tout faire par elle-même. Elle aussi l’avait senti, l’odeur de marécage. Son petit nez lui chatouillait.  En soit, un marécage était aussi un milieu où l’on trouvait des plantes étonnantes, mais ça n’avait clairement aucune raison d’y être.

Poppy regardait l’ensemble du travail à effectuer, son nez avait été attiré par l’odeur puis ces mains s’était glissé dans un bosquet qui aurait dû être impeccablement taillé et qu’on voyait clairement que quelqu’un avait décidé de passer au travers au lieu de suivre le chemin. Elle voyait bien les branches brisées et passa son regard avec une pointe de douleur dans ces prunelles.

Rien d’irréparable, en soi.

Même si c’était consternant tous les dommages qu’on pouvait faire en une seule soirée. Elle détestait voir des plates-bandes saccagées c’était un si grand manque de respect envers les plantes et l’établissement. Elle prenait tant de temps et de patience à entretenir des plantes magiques, à s’assurer qu’elle lui apporte les fruits de son travail, que maintenant qu’il s’agisse de rose, de mandragore ou de baies chauffantes ça ne lui faisait plus aucune différence à ces yeux. Ça méritait autant son attention les uns que les autres.

Fontaine, bosquet, ramasser les détritus. Le – elle fronça les sourcil – marécage.  Autre chose qui cloche à votre œil ?  Je vais retourner me changer adéquatement et me mettre au travail dès maintenant. Les elfes, oui. Les élèves, non. Pour déjà, le temps que vous trouviez les réels fautifs, j’aurais déjà bien avancé de remettre les choses en place ici. Si vous voulez me les envoyer pour le punir, je leur trouverai quelques choses de particulièrement désagréable dans les serres pour leur faire mesurer les conséquences et ce jusqu'à Noel.

De plus, elle préférait ne pas les avoir dans les pattes pour deux choses. Elle allait aussi sacrifier sa demi-journée de congé pour réparer leur connerie et à la fin de la journée, sous la fatigue, ses sentiments risquaient plus d’être ébranlés par le comportement des jeunes perturbateurs. Si elle leur accordait d’autre tâche, la déconnexion dans sa tête se ferait aisément et n’aurait plus le même impact sur ces émotions.

Puis-je vous êtes utile à autre chose Directeur Adjoint Ballessaim ?

Aorès tout, elle n’allait pas juste se mettre à courir dans l’autre sens après avoir pris note des choses qu’elle devait corriger, non ? C’était normal de s’assurer qu’il acceptait ces demandes tout comme s’assurer qu’il en avait fini avec elle ici.


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Sam 10 Déc - 23:40
- Turbulence dans les jardins de Beaubâtons.
▬ Date : 08.09.2024
▬ Lieux : jardins de Beaubâtons
▬ Participants :
@Etienne A. L. Ballessaim & @Poppy Wood

Etienne soupira en voyant le champ de bataille qu’était devenue la petite place de la fontaine au fondateur. C’était habituellement un endroit bien entretenue et impeccablement taillée qui s’inspirais grandement des jardins de Versailles, comme l’entièreté du parc de l’école en soit. Il observa également la réaction de l’employée qui semblait ne pas s’énervée, c’était un bon point quand on travaillait avec des adolescents. Quoi que, après cette journée qui l’attendait peut être que les choses seraient différente. Dans tout les cas elle ne semblait pas tenir à l’aide des étudiants.

- Si vous pensez pouvoir vous passé de nos élèves, je suis certain que le maître des potions leurs trouvera des jar de mucus de Veracrasse à nettoyer. Dans tout les cas il faudra vérifier je pense les alentours, nous ne sommes pas à l’abris d’autre surprise.

Il ramassa un foulard oublié dans l’eau de la fontaine. Une étoffe de soie blanche marqué de fleur de cerisier rose. Un nouveau soupire. Le tenant à deux doigts il le posa sur le bord de la fontaine.

- Si vous trouvez d’avantage d’effet de nos élèves, laissez les ensembles les elfes se chargerons de les prendre. Je dois aller chercher nos deux fuyard dans la forêt. Je vous proposerais bien la ballade mais…

Il la regarda de nouveau de pied en cap, ne montrant aucune forme de réaction sur les traits de son visage.

- Mais d’une part je ne pense pas que vous soyez équipé pour une ballade dans la forêt enchantée. Et d’autre part, vous êtes en jour de repos. Vous pouvez attendre demain pour vous mettre au travail.

Il porta une nouvelle fois son gobelet de café à ses lèvres, terminant le breuvage et regrettant de ne pas avoir une recharge sur lui. Un nouveau soupire, las, alors que son regard ce tournais vers la forêt. Dans un lancée, il fit atterrir le gobelet dans une poubelle à proximité, que visiblement les élèves avaient du manqué la veille : comme si elle n'était pas assez grosse.

- Si vous avez besoin n’hésitez pas à m’envoyer une note, il en est de même d’ailleurs si vous manquez de matériel au court de l’année, adressez moi directement vos besoins. Je gère les budgets de cette académie.

Il tendit la main pour serrer la sienne afin de prendre congé, la regardant directement cette fois.

- Au Plaisir Mademoiselle Wood.

L’homme tourna les talons pour prendre la direction de la forêt enchantée. Peut-être aurait-il du demander à Irina de venir avec lui. Pas qu’il en avait besoin, mais il savait la jeune femme friande de ce genre d’excursion. Quoi que… elle appréciais tout autant son sommeil.
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Lun 12 Déc - 3:07

Turbulence dans les jardins de Beaubâtons.
Poppy V. Wood
Première rencontre   @Etienne A. L. Ballessaim    


▬ Date : 08.09.2024
▬ Lieux : jardins de Beaubâtons
▬ Participants :
@Etienne A. L. Ballessaim & @Poppy Wood

Pendant une très courte fraction de seconde de retard alors qu’elle voyait Étienne tourné sa tête vers elle, Poppy eut presque la certitude qu’il s’attendait à voir un orage apparaître en haut de sa tête de demi-vélane et des plumes lui poussés sur les avant-bras et au niveau du cou. Oui, elle avait presque eu l’impression qu’il s’attendait à devoir gérer une catastrophe. Mais Poppy avait passé un an à avoir des crises après l’attaque de Poudlard. Un an à Ste-Mangouste enfermé dans une chambre à calmer les vagues de peur et de fureur qui la prenait, un an à perdre sa vie parce que ces émotions l’emportaient sur tout. Quand elle en était finalement sortie, la demoiselle qu’elle avait été avait un plus grand contrôle de ces émotions et avaient trouvé moyen de prendre plus de distance entre sa colère et son sentiment d’impuissance. Elle avait vu certains de ces amis riposter contre les attaques des mages noires, elle-même avait essayé pendant un moment puis ces sentiments l’avaient exposé à une perte de contrôle qui dépassait tout ce qu’elle avait vécu avant. Maintenant que des élèves aient fait des stupidités dans le jardin la rendait plus triste que fâchée. Non seulement elle avait déjà beaucoup de boulot mais ces plantes avaient souffert de leur manque de savoir vivre, tout comme la fontaine tâchée de couleur qui lui donnait un air grotesque alors qu’elle aurait dû paraitre majestueuse. Si les plantes l’intéressaient plus que les métaux, la forme humaine laissait présager une personnalité de l’école; ce qui laissait encore plus place aux manques de respect des élèves face à cet institution. Il faudrait qu’elle se renseigne plus tard sur qui il s’agissait mais pour l’heure, le travail de nettoyage était la priorité. Avoir les élèves dans ces pattes, c’était un non plutôt catégorique.

Il va lui falloir beaucoup de jar à nettoyer pour qu'ils en aient jusqu'à Noel!

C’était à n’en pas douter, il ne devait pas être que deux qui avaient traîné ici; si oui, c’était les deux être les plus catastrophique que l’école ait eu. Elle aurait bien tout brûlé les objets perdus à titre punitif mais Étienne semblait vouloir recueillir les preuves. Elle tourna le regard vers le directeur adjoint alors qu’il signalait pour la toute première fois que deux fuyards avait pris le chemin de la forêt. Quand il tourna son regard vers elle, jugeant sa tenue au passage, elle avait les sourcils froncés et l’air particulièrement soucieuse. Certes sa tenue n’avait pas le loisir d’être seyante, ça elle savait. Il n’avait pas besoin d’en rajouter. Mais ce qui la mettait mal à l’aise était qu’ils soient tous les deux ici alors que des gamins risquaient peut-être leur peau dans la forêt. Le peu qu’elle avait connu des forêts attenantes à l’école était celle de Poudlard, jusqu’à maintenant, et ce n’était pas un lieu propice aux ballades romantiques et idyllique. On parlait plus de racoin très sombre ou l’on pouvait tomber sur une variée de créature magique qui elle allaient s’assurer de vous faire savoir que vous n’aviez rien à faire là; ou pire encore vous ne le sauriez jamais vu qu’ils vous auraient pris pour cible pour un merveilleux goûté dont vous seriez le nouveau amuse-bouche. Non, ce n’était pas un lieu pour des gamins.  Alors si moindrement, il y avait une ressemblance entre ces deux lieux, niveau dangerosité, ils perdaient tous les deux leurs temps à papoter autour d’une fontaine.  Elle resta bien calme mais plutôt interdite alors qu’ils semblaient lui signifier qu’il allait prendre congé d’elle et partir en forêt. D’un, elle aurait remis en ordre le Jardins Français tout de suite, après s’être changé, congé ou pas. Elle en aurait fait des cauchemars toute la nuit d’imaginer laisser cela ainsi et de deux, vu qu’il était seul, c’était à présumé qu’il allait en forêt cherchés les deux gamins seuls, ce qui n’était peut-être pas l’idée du siècle, surtout sur les deux s’étaient séparés dans différents directions.

Un instant.

C’est qu’il avait des grandes jambes, ce Ballesaim. La voilà qui trottait derrière lui avec quelques fractions de seconde. On pouvait au moins affirmer qu’il avait bel et bien une idée ou il s’en allait; chose qui n’était pas son cas. Il ne s’était même pas retourner qu’elle l’avait rejointe, les mains solidement campées dans ces poches pour se donner un minimum de courage alors qu’elle allait clairement contredire tout ce qu’il lui avait dit l'instant d'avant.

Peu importe ma tenue, à ce titre, deux gamins sont peuvent être actuellement en mauvaise posture. S’ils se sont malencontreusement séparés dans leur fuite, ma baguette de plus ne sera pas de trop. J’ai horreur de le dire, mais il va falloir faire avec ma tenue. Et comme, je vois que personne ne vous accompagne, j’imagine que vous êtes du genre déterminer et à ne pas demander de l’aide en général. Alors je ne vais pas vous demander si je vous accompagne ou non, je vais le faire, c’est tout. La sécurité des élèves reste capitale, et je ne compte pas me dérober vu que je suis tout juste arriver et que j’ai un Jardins qui est une véritable zone de guerre. Ça attendra après les sorciers!

Avec le soleil qui finirait par montée à l’horizon, c’était à espéré que le vent devienne moins frais. Mais en cette journée de septembre, c’était beaucoup moins une espérance qu’un fait vu les dernières journées qu’ils avaient vécu depuis la rentrée. Si elle avait l’air pas assez habillé pour une balade en forêt, lui avait l’air de l’être beaucoup trop; au cumul, ça devrait donner quelque chose de moyen, non ? Et comme, elle n’avait jamais aspiré à avoir un look de sorcière à la mode, même ces fringues habituelles n’avaient pas eu l’air aussi classe que l’habit que portait Ballesaim. Elle travaillait avec des plantes, des la terre et des créatures magiques; comment même espéré qu’elle ait une apparence digne d’un gala. C’était risqué très cher de très couteux vêtements; d’autant que dans son travail le côté pratique était généralement la seule chose qui importait; ou du moins personne ne lui avait jamais demandé d’avoir un look digne d’une revue à la mode sorcière. Avec un peu de sous, probablement qu’elle ajouterait quelques pièces intéressantes, quand sa paye arriverait, un jour. Mais ce n’était clairement pas sa priorité actuellement.

Vous vous attendiez à ce que je pique une colère tout à l’heure ?

C’était peut-être un peu direct, mais c’était aussi une manière de savoir ce qu’il cherchait à voir dans ces expressions. Généralement neutre ou positive, le visage de Poppy laissait rarement beaucoup de chose se dévoilé aux regards des autres. Certaine personne trouverait cela perturbant, d’autre énigmatique. Pour elle, c’était plus une manière de rester calme et de calculer dans sa tête les éléments qu’on lui laissait au visage; d’en peser la teneur. Car pour une demi-vélane, c’était toutes les émotions vivent, bonne ou mauvaise, qui pouvaient déclencher son aura et porter atteintes et altérer la réaction des autres. Poppy avait beaucoup trop à perdre d’être cette femme qui attirer pour rien les hommes et qui se transforme en monstre dès le moindre désagrément.

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Sam 4 Mar - 22:48
- Turbulence dans les jardins de Beaubâtons.
▬ Date : 08.09.2024
▬ Lieux : jardins de Beaubâtons
▬ Participants :
@Etienne A. L. Ballessaim & @Poppy Wood

Elle l’interpelle, il s’arrêtera pour lui faire face. Un monologue. Un long monologue. Etienne lève un sourcil, l’air impassible poser sur le visage de cette nouvelle collègue. Elle est un peu trop obsédée par sa tenue là, non ? La jardinière, elle met le doigt dessus au moins trois fois en une phrase. Donc bon… Oui mais non ? Enfin, Etienne qu’on soit clair s’en care le citron, tant qu’elle reste décente et professionnelle. Mais visiblement Philippe à pas vérifier ce pan là de son CV avant de l’embaucher vu ce qui suit. Est-ce qu’il s’attendait a…

- Mademoiselle Wood, vos états d’âme ne me concerne guère et je n’ai aucun apriori quant à vos capacité d’agir de manière strictement professionnel.

Petit sourire égal qui naît sur le visage d’Etienne, il garde cependant une posture droite, professionnel et on peut lire son sérieux dans ses yeux. La voix à beau être sans une once de sel ou de sarcasme, clairement la jardinière a perdu des points.

- En revanche si vous douté de vos propres capacité à faire office dans une académie magique avec de jeune sorcier, je vous invite à consulter notre infiermière.

Le sourire est toujours là, mais cette fois son regard pourrait presque donner l’impression de sonder l’âme de la demi-vélane. On dit pourtant que la première impression est toujours essentielle dans toute rencontre non ? Elle aurait pu faire mieux.

- Votre accompagnement n’est pas nécessaire. Je vous laisserais donc retourner à votre jour de repos ou bien à vos occupations.

Il aura eu un petit geste de la tête, une petite inclinaison pour prendre congé alors que déjà il tourne les talons et s’enfonce dans la forêt enchantée. Trouver deux gamins amochée ne fus pas bien difficile, il suffisait de trouver le chemin de bouteille de bière rappelant le compte du petit poucet en version beaucoup moins enfantin sans doute. Les ramener au château avait été une autre pair de manche, mais il gère le professeur Ballessaim, ll n’en est pas à son premier rodéo.
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