▬ Mes 3 premiers sortilèges :

Ils sont à choisir dans la liste de sorts proposée par le forum, dans ceux de niveau 1 (puisque vous commencez niveau 0 donc maîtrise de sort 1).

• Alohomora,
• Revigor,
• Diffindo,

▬ Ici vous allez nous renseigner sur votre moyenne ou vos notes aux buses/aspics afin que nous ayons une petite idée de votre niveau scolaire, évidement les surdoués qui aurons des "0" ou des "E" dans toutes les matières ne seront pas admis. Car personne n'est parfait.

• De la 1è à la 5è année :

→ Enchantements & Maléfices : or
→ Biologie Magique ; étain
→ M.S.T ; argent
→ Histoire de la magie ; argent
→ Potions ; bronze

• Option de 3è année :

→ Arts Magiques (danse) ; or
→ Divination ; bronze

• 6è & 7è année :

→ Arts Magiques (danse)
→ Enchantements & Maléfices ; or
→ M.S.T ; or
→ Histoire de la magie ; or
→ Divination ; argent

Demoiselle charmante et de bonne compagnie, Artemissia est une adolescente candide qu’on peut parfois percevoir comme naïve. Loin d’être stupide pour autant, elle pourrait vous étonner par sa malice. D’une nature bon-vivant, elle aime s’amuser et profiter de chaque instant. Bien entendus, cela ne vient pas sans rêver : en effet, elle pourra se montrer trop impulsive et même téméraire ! Féminine et sensuelle, elle aime prendre soin de sa personne. Mais n’y voyez pas là de la « pouffiassitude », c’est simplement qu’elle aime ressembler à une Barbie-rousse, poupée de cire si vous préférez. Avec ses tenues extravagantes et ses manière extravertis à faire sourire même le plus sévère des gendarmes du prévoté. Capricieuse quand elle veut quelque chose, elle l’obtient généralement à force de stratagème ou de petites questions détournés. Profondément amoureuse de la nature, c’est une fille simple quand elle s’y trouve, aimant le bruit d’un simple ruisseau poursuivant sa course ou l’odeur des feuilles en automne. Ne sous-estimez pas cependant son penchant pour la luxure, pêché capital qui l’habite depuis toujours, implanté dans les mœurs du Q-Ulte et la poussera à la débauches aux moment les plus inopportuns !

C’est en pleine après-midi d’un treize aoûts, lors de l’année deux-mille-sept que je vis le jour. Maman m’a toujours dit qu’il faisait particulièrement chaud ce jour-là. Et que la canicule avait failli nous emporter toutes les deux. J’avais déjà une grande sœur à ce moment-là, Athena d’un peu plus de neuf mois mon aînée. Fruit d’un retour de couche à priori, nous avions vraiment peu d’écart. Ce qui nous à permis de grandir ensemble, toujours collée l’une à l’autre, presque aussi proche de des jumelles.

Je ne parle jamais de l’endroit où j’ai grandi, le temple du Q-Ulte. Et pour une bonne raison. Alors que je devais intégrer mon école de magie à onze ans, on m’a demandé de m’inventé une nouvelle vie, on m’a fait avalée une nouvelle identité. Et ses alors que naquis Zoé De Mieville, celle que vous connaissez et que vous avez vue grandir au sein de l’ordre Bellefeuille dans l’académie de Beauxbâtons.

Je raconte dès lors à qui voudra bien l’entendre que je suis simplement fille d’un sorcier et d’une sorcière mort lors d’un accident de transport magique. Vivant avec sa grand-mère dans les profondeurs des Alpes, là où personne n’ira la chercher. Je me suis construit un monde, une enfance, une vie. Un personnage qui se font dans la masse et traverse les âges sans que son histoire ne soit remise en question par qui que ce soit.

Je suis cette fille drôle, bout en train et bonne vivante, celle qui papillonne candide, cœur d’artichaud d’un coup de cœur à un autre. Mais qui se lasse vite. Celle qui amuse, qui rit et qui s’entoure facilement. Qui peut se montrer capricieuse et téméraire. Souvent impulsive et dans ses situations peu croyables, même pour notre monde.

Passionnée de danse, j’en pratique depuis très jeune, déjà dans mon enfance la vrais comme la fausse. Et j’ai continuer à Beauxbâtons, par le biais des arts magiques. Doué en sortilège et maléfice, j’aime manier la baguette. En revanche, on ne peut pas dire que je sois en tête du tableau d’honneur, ça je le laisse aux autres. De toute façon, mon avenir et mon destin sont déjà écrit. Alors autant profiter de ses quelques années d’immersion incognito pour me forger de beaux souvenirs, aussi faux seront-il quand je reprendrais ma place auprès de ma mère.

Vous ne pensiez quand même pas que maman, enseignant à Durmstrang, nous aurais envoyé Athena et moi respectivement à Poudlard et Beauxbâtons sans une bonne raison ? Non, nous le savons depuis toujours, nous avons été programmer dès l’enfance. Et nous continuons, chaque jour, de travailler à nos projets. Pour le satisfaire lui, qui nous guide. Lui qui nous anime. Lui que nous aimons, peut-être même autant que maman.

Alors à la lumière, je serais pour vous Zoé, la malicieuse. Quand dans l’ombre je demeurerais Artemissia de mon vrai prénom, mage du Q-Ulte et prophétesse en son sein. Pratiquante de MST, mais non pas la même que celle enseignée à Beauxbâtons. Je suis ce qu’on appel mage-rouge, j’opère via une magie du sang, une magie que vous n’avez pas vue depuis bien longtemps. Et qui bientôt reprendra ses droits.

La lueur des cierges se reflétais sur la moquette, lueur dansante qui relevais le rouge sanguin qui colorais le sol. Tout autour de moi, mes frères et mes sœurs vêtues de lourde cape d’une couleur similaire, chacun portant une bougie avaient former un cercle autour de moi. Devant moi, ma mère et macrelle, Héra ne souriait pas. Devant elle, mon père et gourou Chronos un flacon de cristal décoré d’ornement luxueux m’attendais. Ma sœur, Athéna était à sa droite quant ma mère elle rejoignais sa droite. D’un pas lent, du haut de mes treize ans à peine soufflés, je m’avançais vers cette potion, celle dont j’avais tant entendu vanter les mérites et qui m’étais destinée depuis ma naissance. Je passais après ma sœur, forcément puisqu’elle avait fêté son anniversaire avant moi. Est-ce que ça fait mal ? Lui avais-je demander un peu plus tôt dans la journée alors qu’elle me parait de mes plus beau attraits, une robe moulante d’un blanc laiteux en mousseline, presque transparente et faisant ressortir mes formes de demoiselle en devenir. Un peu, m’avait-elle répondant en retenant ses mots.

Les autres n’étaient pas aussi jeune quand eux-mêmes avait traversé la dernière épreuve, celle de l’initiation à notre magie. Recruté généralement en fin d’adolescence ou au début de l’âge adulte il n’y avait que Éris, Athéna et moi pour être plonger dans les tourments de la Succube à un âge aussi jeune. Est-ce que ça me dérangeait ? Pas vraiment, je savais que c’était ma destinée, j’avais été formaté en se sens depuis ma naissance, préparer soigneusement par Héra et Chronos en personne. J’étais héritière, princesse de cœur. Je devais réussir le rythme pour survivre et servir, tel était mon destin.

Ma main ne trembla pas quand je me saisis de la potion. Je retirais le bouchon avec lenteur, prenant une grande inspiration avant de la vidée de son contenue. Le goût sucré cachait habillement l’amertume, l’acidité de la concoction. Mais pas assez pour la faire oublier. Et cette odeur fleurie, fruité ne dissimulais pas non plus le sang qui coulais dans ma gorge. Un gout de fer, une odeur âcre. Je bus la totalité d’une traite et quand j’eu fini, je lâchais le flacon qui se brisa net sur le sol, rependant des centaines de petit morceau de verre tout autour de moi. Une douleur me saisit, brûlante, me rongeant les entrailles. Mes bras s’enveloppèrent autour de mon bras. L’affaire ne dura pas plus d’une minute, j’en étais certaine. Et pourtant… Pourtant j’avais l’impression qu’une vie entière c’était écoulé.

Ce soir-là, quand le poison se répandais dans mes veines, changeant l’identité même de mon ADN et scellant à jamais celle que je serais, je perdais ma virginité dans une orgie qui était une tradition suivant cette cérémonie, comme pour la clôturé. Apprendre, comprendre, se nourrir. Car bientôt ma vie, ma jeunesse et ma survis en dépendrais de ses actes de chairs. Je le savais, je l’avais toujours su et pour moi, c’était tout à fait normal. Mais l’était-ce vraiment ? Peut-être qu’un jour, je me poserais la question. Peut-être qu’un jour je remettrais en question ses croyance païenne. Mais pas aujourd’hui, pas ce soir. Car ce soir, je deviens reine de cœur.