▬ Mes 3 premiers sortilèges :

Ils sont à choisir dans la liste de sorts proposée par le forum, dans ceux de niveau 1 (puisque vous commencez niveau 0 donc maîtrise de sort 1).

• Croche-pied,
• Diffindo,
• Revigor,

▬ Ici vous allez nous renseigner sur votre moyenne ou vos notes aux buses/aspics afin que nous ayons une petite idée de votre niveau scolaire, évidement les surdoués qui aurons des "0" ou des "E" dans toutes les matières ne seront pas admis. Car personne n'est parfait.

• De la 1è à la 5è année :

- Arts obscure : noir
- Sortilèges et enchantement : noir
- Métamorphose et transmutation : noir
- Histoire et légendes du monde magique : noir
- Potion et Alchimie : noir
- Botanique : blanc
- Astronomie : blanc

• Option de 3è année :

- Arts Martiaux : blanc
- Runes anciennes : noir

• 6è & 7è année :

- Potion
- Défense contre les forces du mal
- Sortilèges et Enchantements
- Métamorphose
- Alchimie
- Runes anciennes
- Arts Martiaux

Charlie… Que dire de Charlie ? C’est, ou c’était une jeune fille joyeuse, joueuse. Adepte bien souvent du sarcasme et d’une certaine forme d’humour noir que certain pourrais parfois qualifier de morbide. Elle ne manque pas d’intelligence et c’est là tout son problème. Les questions, toujours des questions sur tout et surtout sur le fonctionnement des choses. Des pourquoi constant qui l’éreinte et la fatigue. Dotée d’un bon instinct et d’une facilité à cerner l’autre, les autres elles jouent souvent de ses charmes et de sa personnalité vive pour surprendre. On peu la croire blasée, dénuée de toute expression ou carrément dépressive quand on ne voit pas plus loin que le bout de son nez du moins. Elle n’en demeure pas moins marquée par ses origines : fière voir orgueilleuse, têtue et parfois calculatrice. Elle est également maligne et sais jouer avec les mots, les regards et les gestes. Observatrice elle s’adapte facilement. Rêveuse également il n’est pas rare de la voir plonger au plus profond de ses propres pensées, comme noyer dans le flot incessant d’une rivière aux remous constants. Ambitieuse en un sens, elle déteste ne rien faire et ne supporte pas d’être sous-estimée ou simplement qu’on la prenne de haut. Elle en revanche… prend très souvent les autres pour des cons. Dotée d’un certain dédain des règlements, elle n’adopte que rarement une attitude « girly » et déteste ça de toute façon, les chichis. Pour autant elle aime arborer des tenues outrancières à la limite du politiquement correct et s’orné de bijoux, les bagues sont sa passion. Provocante autant qu’elle fait croire à son petit minois innocent par deux grands yeux bleus particulièrement expressif. Elle se jouent justement des apparences. Fêtarde, elle aime les plaisirs simples de l’ivresse, d’une cigarette brûlée après un bon bol de saké ou de quelques drogues douces pour aider son esprit à décoller encore un peu plus. Pleine de sagesse quand elle le veut bien, on peu dire qu’elle garde ses connaissances pour elle et qu’elle n’en manque pas. Car tout (ou presque) l’intéresse, que ce soit l’histoire ou la manière dont le monde à été façonner, sa curiosité n’a pas de limite. Secrète aussi, elle ne dévoile que peu d’elle-même, ce qui en fait pour certain un personnage mystérieux ou renfermé, tout dépend à qui vous poserez la question je suppose.

Wendy Charlotte Avery… Entre les prénoms tous droits sortis d’un ancien temps très, très loin et le nom de famille salit par quelques passages historiques en bas des pages des registres du Magenmagot, on peux sans doute dire que j’ai tout pour moi. Mon père n’est pas nécessairement celui auquel vous pensez en voyant « Avery » apparaître sur mes papiers d’identités. Sang-pur partageant tout de même des idéaux douteux, que je suppose qu’il m’aura transmis, il ne ce n’est pour autant pas salit le bras d’une marque difforme il y a trois décennies de ça. Non, notre branche de la famille est bien trop maligne pour ce genre de stupidités. Qui plus est, il était bien trop jeune de toute façon pour se la jouer façon Drago Malefoy.

Enfin bref… Ce n’est pas de lui qu’on parle là, mais bien de moi. Je suis née comme tant d’autres bambins Britanique à Sainte Mangouste, hôpital pour sorciers et sorcières au cœur de Londres. Je n’irais pas dire que j’était un beau bébé car soyons honnête deux minutes, un bébé c’est laid. Forcément que pour mes parents je devrais l’être, mais les parents ont généralement zéro objectivité donc bon… J’avais déjà un grand frère, de trois ans mon aîné. On n’a pas vraiment été proche de suite et même maintenant on ne peu pas dire qu’on le soit vraiment. On a passé le plus clair de notre enfance à se foutre sur la tronche à bien y réfléchir. Pourtant, on s’adore. Et autant dire que le premier qui touche à mon frère je l’éclate. La réciproque est d’ailleurs vraie aussi.

Je ne vais pas étaler les liens nian-nian familiaux, trop cliché, ça n’aurait aucun intérêt. Papa, maman, mon frère et moi voilà la base. Papa qui travail pour le ministère et maman… maman qui est partie quand j’avais cinq ans. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’elle voulait vivre autrement je crois. C’était un peu flou. Mais on n’en est pas mort. Et la garde partager ce n’était pas si mal, vous savez tous les clichés qu’on vous sert quand vos parents sont divorcés : double cadeau à noël et aux anniversaire, deux chambres, deux fois plus de jouet, blah, blah, blah. Ouai, si ça peu vous faire plaisir de pensée comme ça, mais en vrais, je m’en bats juste les ovaires. Peut-être parce que je suis de nature trop blasée pour avoir un quelconque avis sur le sujet. Ou simplement parce que ben, c’est comme ça et basta.

Bref papa c’est remarié un an après à une Japonaise sortie d’on ne sait pas où, de l’ambassade du Japon je crois. Sang-pur évidement. Et de la, il à été muter pour occuper le même poste (ambassadeur) mais lui d’Angleterre à l’autre bout du monde. Mon frère et moi vivions avec lui alors on a suivi. Et C’est LA que mon histoire dévie un peu des vôtres. Ouai parce que Poudlard, l’occident, tous ça, ben j’ai vue un peu à Noël ou pendant les vacances d’été. Mais ma vie, je l’ai faite là-bas, au pays du soleil levant. J’ai fait mes premières années d’étude d’ailleurs à Mahoutokoro. C’était une vie sympa, même si ma tête trop blanche et trop lisse c’est souvent attiré des problèmes au milieu de tous ses bridés. Etrange et étrangères m’voyez.

Je ne vais pas vous faire le récap’ de mes cinq première d’année d’étude, ne faut pas déconner ça serait chiant. Tous ce que je peux dire c’est que j’étais une enfant heureuse et joyeuse, que je jouais au Quidditch et que j’avais relativement de bonne note. Après tout là-bas, ce que vous appelez excellence chez vous est à peine dans la moyenne chez nous. Bien sûr qu’on entendait depuis deux ans l’ouragan qui frappais l’Europe. Entre disparitions, meurtres, catastrophe au tournois des trois sorciers. Mais ça ne nous atteignait pas alors… Alors je ne m’en suis pas vraiment préoccuper, d’où à quinze ans ont ce préoccupe des informations de toute façon ?

Et puis il y à eu cette journée de mars où la sonnette à retentis, ou mon frère à ouvert et où j’ai observé aussi silencieuse qu’une ombre l’échange, l’appel. Mâchoire crispée, sentant que le vent allait tourner. Boudeuse car non, je ne voulais pas que les choses changent. Pourtant mon intuition avait été juste. Et le temps de passer mes BUSE (enfin leurs équivalent) et voilà qu’on me demandait de vivre en direct live mon épouventard. Quitter le Japon, mon école, mes amis. Prendre mes clics et mes clacs et repartir en Angleterre. Est-ce que j’aurais dû être heureuse ? Ben je ne l’étais pas. Le pourquoi du comment ? Je ne l’expliquerais pas, pas ici, parce que ça ne vous regarde pas, vous les curieux. Je dirais juste que, en la matière je n’avais pas vraiment le choix et mon père, ou mon frère, non plus.

Je peux aussi vous dire que du moment où j’ai dû prendre le portoloins, ou j’ai vue la grisaille, Big Ben, mon comportement à changer. La gamine enjouée était devenue blazé, triste et sarcastique. Je l’avais toujours eu le piquant, mais cette fois était différente. Car clairement je ne voulais pas être là et je ne me gênais pas pour le faire savoir. Alors autant dire que ma rentrée en septième année à Poudlard serait… explosive ! Quoi je me trompe d’année ? Non, non, j’ai passer les test avec Flitwick et visiblement votre niveau est tellement bas que ma sixième année équivaux à votre septième voir plus…