Poppy V. Wood


Date : 1er mai 1998
Lieux : Poudlard
Salle de classe d'Histoire de la magie
Participants :  Poppy - SOLO


Il est là. Quelques part derrière elle, elle ne le voit pas, mais elle sait qu’il est là. C’est comme une ombre, impossible de le distancer complètement alors qu’elle et trois de ces amis courent dans le couloir. On entend les coups et les cris. Les bris à gauche et à droite, signalant le passage des mangemort qui envahisse Poudlard. Ils le savent que le château est attaqué, le protego totalum est tombé. Plus de barrière. Elle n’aura pas regardé en arrière dans sa course pour essayé de se protéger. C’est que milles flammes semblent l’avoir heurté comme des lucioles au cœur de la nuit. La jeune Poppy ne sait pas trop où elle doit allez.  Y’a-t-il un seul endroit de sécuritaire ? Elle aura un cran d’arrêt, gauche ou droite, elle ne sait. Une brève hésitation, trop courte et pourtant, c’est un corps à sa gauche qui s’élève dans les airs comme une feuille par le vent; mais le bruit, le craquement lui n’a rien de rassurant. Non, rien. Alors qu’elle lève le regard vers le mur en suivant la coulisse de sang jusqu’au sol. Ces yeux s’agrandissent par la peur. Si violente. Se retourner, oui, se retourner pour faire face. C’est qu’elle et ses amis sont si petite face à ces adultes qui attaquent l’école. Et il vient là, le sort de son copain pour installer un bouclier. C’est qu’on les voies bien et les attaques, elles continueront jusqu’à ce qu’ils ne soient plus rien. La porte, oui, la porte. Allons-nous cachez; ils vont fouillés dans les pièces, vous croyez ? À n’avoir aucune marque sur le front, c’est qu’on n’est pas vraiment l’objectif recherché voyez-vous. Et elle tend ces mains tremblantes vers son amie, la soulève à moitié alors que l’autre l’aide de l’autre côté. Elle ne tient même pas sur ces pieds. Elle gémit, lourde, trop lourde. Elle devrait s’aider non ? Se tenir un peu, pour passer la porte et se barricadé. Mais c’est flasque et elle ne veut que se concentré sur ce qu’elle puis contrôlé, ce qu’elle peut essayer. C’est que la panique enfle en elle; et les émotions c’est jamais bon. La porte se pousse et leur assaillant, peut clairement les voir, ces trois petites têtes qui s’engouffre par la porte.

POPPY. Occupe-toi, d’elle.

Il est courageux, lui qui la délaisse pour essayer de prévoir à bloquer la porte, alors qu’il l’aide à la déposé au sol. Dans l’urgence, elle essaie au mieux faire et de le déposer.  Mais débalancer, elle chuteras à demi sur les genoux avant d’arriver à ce que sa tête ne heurte pas le sol. Elle bouge plus ? C’est cela ? Elle aura un regard un peu fou quand elle essayerait de piocher sa poudre d’aneth dans sa trousse de soin. Allez! Allez! Elle mélange avec une fiole d’eau et essaie de la couler en bouche. C’est qu’elle se tient pas cette tête. Non, elle chancèle, comme si le tonus avait décidé de c’était terminé. Et ça cogne! Cogne ! COGNE! Il a bien tenté de la baricadé avec des chaises, mais quelques sorts et c’est basta. Juste assez pour essayer d’empêcher de rentré illico. Le bouclier aura tombé, elle a bien compris alors que l’autre aussi vol comme un oiseau.

NOOOOOOONNNNNNNNNN.

Et c’est la rare. Oui la rage qui coince dans sa gorge. Qui force ces traits à s’altérer. L’un et l’autre de ces amis, au sol comme des poupées sans vie; et elle, elle qui expulse autant de colère que de crainte. C’est que la colère c’est puissant chez la demi-vélane même si ça l’effraie, même si elle hallucine là, entre deux tables de travail dans cette salle de classe. Elles sont trop jeunes, beaucoup trop pour mourir. Et elles ont tentés de fuir, de cet assaut sur l’école. Meurt pas steuplait! Mais il ne reste qu’elle là, debout. Et elle pioche dans son sac, encore, balançant en se relevant entre deux tables d’un seul trait de gauche à droit la pièce avec sa faucille d’une main et sa baguette de l’autre, balançant d’un trait de petite feuille acéré comme des rasoirs après avoir lancé son incantation. Il s’arrêtera d’une seconde avant de rejoindre la porte. Une seule. Mais c’est assez.  

TITANIK.

Ça ne durera pas. Non, ça ne dureras pas. Mais au moins, le mur lui permettra de gagner quelques secondes. Quelques secondes pour qu’elle trouve une solution. Car il doit bien en avoir une quelques parts! Et elle le fait pousser des orchidées justes derrière le mur, le boost au Herbivicus; avant de se baisser vers son amie qui semble reprendre conscience. Elle souffle un peu, mais la colère ne l’a lâche pas. Elle peut bien monter des défenses, mais elles ne seront pas éternelles. Chaque assaut est propice à les mener toutes les trois dans les retranchements les plus profonds. Et elle voit, cette deuxième tête malfaisante à travers le mur de glace qui prépare une grosse boule de feu contre son maigre mur de glace. Trop jeune, trop inexpérimenté. Elles le sont toutes les trois!