Date : Samedi 25 Janvier 2025
Lieux : Pré au Lard, Angleterre.
Participants : @W. Charlie Avery & libre.

Un samedi par mois les élèves des académies de sorcellerie en premier et second cycle, comprenez ceux qui n’avaient pas encore passer leurs ASPIC ou quitter les bancs de leurs écoles après les BUSE, avaient le choix d’aller dans un des village avoisinant ses mêmes écoles, moyennant ou non utilisation de portail magique. Ce jour, Charlie ne ce n’était pas prise la tête. Encore vaseuse de la veille, quand Sutton avait réveillé tout le dortoir avec sa voix un peu trop haut perché au goût de sa camarade, elle avait encore une belle pâteuse et des tambours entre les tempes. Peut-être qu’elle y avait été un peu trop fort avec les pilules magiques de Kai. Mais ça se fête vendredi soir. En réalité, tous les jours de la semaine se fête. La fête à l’addiction.

Elle n’avait enfilé qu’un débardeur par-dessus des bas résille et enfilé un perfecto en cuir sous le regard réprobateur de Sutton qui s’accompagnais de celui de Fallon. Avantage à la fuite de Morgane/Kassie ? Elles n’étaient plus que deux à la faire chier. Mais d’un côté, qu’est-ce qui ne saoulait pas Charlie ? Enfin la soulé… Pas vraiment non. En réalité elle s’en tamponne un peu beaucoup. Elle était juste allée boire une large tasse de café avec un peu d’eau avant de sortir du château en attendant dix heure, qu’on leurs foutent la paix à tous. Heure qui était arrivée en s’accompagnant d’une première cigarette « magique » dans les bosquets, pour faire passer le temps. Le tout avant de trainer les pieds jusqu’au grandes murailles du château et les Gargouilles qui en gardait les grilles, accompagnant les gestes de vérification des plus classique de Joanne, la concierge de l’école.

Quelques minutes plus tard et Charlie était, main dans les poches, en train de faire la queue aux trois balais pour prendre une autre boisson qu’elle emporterait avec elle. Forcément il fallait que ce soit la quiche d’Emily Skeeter qui fasse le service : pas de repos pour les guerriers il parait. Surtout quand ils sont pauvres parce que maman veut bien payer ses études, le gites et le couvet qu’à une seule de ses deux filles. C’est ballot. Sortons les mouchoirs. Mais pas tout de suite, tout de suite Charlie elle va ressortir et marcher un peu jusqu’à remonter la rue principale pour arriver devant Honneydukes où un stand de crêpes chaudes sera en train de faire distribution au passant contre une pièce. Et putain qu’est-ce que ça creuse le jonc ! Une seule crêpe ? ça le fait pas.

C’est là qu’on la voit naître la malice. Parce qu’après avoir agité sa baguette discrètement, Charlie regardera l’étalage du primeur devant en train de déversé une ribambelle d’orange et de clémentine jusqu’à roulé sous les pieds de la crêpière. Et pendant que les deux iront s’embrouillée à grand cris, elle en aura profité pour chiper plus que ce dont elle avait besoin de terme de bouffe la chipie. Pour aller escalader ensuite le toit d’une maison, par-là, parce qu’on regarde rarement en l’air et qu’elle aime la discrétion, Charlie. Rapport à toutes ses années passées chez les bridés sans doute. Le tout pour regarder la crêpière, le primeur et un élève apparemment accusé de son méfait à elle en train de s’époumonée dans la rue. Le rire au bord des lèvres, mais pas trop, parce que y’a les crêpe à y mettre aussi ! Le tout en se balançant les jambes dans le vide, voir sans être vu. Tout un art !