Quitter le cocon familial, devenir un adulte : un vrai ! Quel aventure ! Du moins, on en fait tout un pataquès dans la littérature ou le cinéma Moldu que montre la tante Hermione. Pour James ? Disons qu’après sept année d’étude à Poudlard finalement, c’était pas si « ouf » que ça. Et puis, il irait toujours chez sa mère le dimanche pour qu’elle lui fasse son linge : quel honneur ! Celle qui râlait le plus, c’était Lily. Forcément, James ne serait plus à Grodric’s Hollow pour partager des bataille de tarte à la citrouille et au potimarron pour Halloween. Quoi que… Vu la tête que ça faisait faire au corps professoral à Poudlard, sait-on jamais il pourrait y faire un détour.

James arrivais au 12 Square grimmaurd les mains dans les poches. Forcément, il avait littéralement forcé toute la famille à le déménager un peu plus tôt. Restait plus au final qu’à s’installer tranquillou pépouze avec Noah. Quoi qu’avec les chauvesouris au grenier et le tableau de la vielle black dont la peinture prenais des teinte orange avec l’oxydation ; c’était sur que la vie ici n’allait pas être ennuyeuse. Et qui sait peut-être même que la vielle bâtisse abritais quelques-uns des fantômes des Black. Et pas seulement dans leurs portrait. Qui voudrait de toute façon d’une maison normale et ennuyeuse : ce serait l’horreur ! Pas vrai ?

Alors c’était en jouant avec sa baguette que James attendait sagement Noah sur le perrons, jouant avec sa baguette. Car après tout : les moldu ne pouvait pas voir ce qui s’y passait. Sourire en coin et prêt à partager de nouvelles aventures avec son meilleur ami !

Noah ne tarda pas à apparaitre au bout de la rue, un simple baluchon sur l’épaule pour ce qui serait le prochain chapitre de leur vie : l’université et la vie en collocation. A l’évocation d’une hais d’honneur, James mis ses mains de façon à jouer une trompette invisible en mimant également les bruit de celle-ci, l’air rieur. Il ce releva ensuite pour rendre son acolyte bien virile de ses pectoraux saillant à son meilleur pote. Sur ses pied James ouvrit la porte de la maison pour entrer dans le petit couloir en invitant tacitement le jeune homme à le suivre.

- C’est Kreattur qui s’occupe du ménage, il kiff cette baraque il habitais là avant. Il y habite toujours en vrai, on c’est rendu compte avec Lily que tout les soirs il rentrait dormir ici et restait pas à Godric’s Hollow.

Bon point pour eux : pas besoin de ce prendre la tête avec le ménage ou le frigo. Et avec un peu de chance ils pourraient même négocier la popotte : une vrai vie de rois. Quoi que pas sur que ça mère laisserais faire. Si non comment pourrait-il devenir « indépendant ». Rien qu’à cette pensée James avait envie de roulé les yeux dans leurs orbites.

- Les chambres sont là-haut, j’ai pris celle de Sirius. Il te reste celle de son frère ou une autre. Y’en a genre cinquante de toute façon. La cuisine et là-bas et là ta le salon.

La baraque n’avait pas tant changer avec les années, si ce n’est qu’elle était rester entretenue. Le père de James, Harry Potter n’avait pas tenu à changer l’identité de la dernière demeure des Black. James pointais donc du doigt les différents espace. On pouvais toujours voir la tapisserie des Black avec les générations de sorciers et de sorcières, quelques brûlure par endroit et…

- SOUILLIR MA MAISON ! FILS DU BALAFRE ! TRAITRE A LEURS SANG ! QU’ILS AILLENT TOUS AU DIABLE !

James passa nerveusement la main à l’arrière de son crâne alors qu’il découvrit que les rideaux qui recouvrait le grand portrait dans l’entrée c’était écarter pour laisser voir la mère de Sirius Black, toujours aussi charmante.

- Et notre troisième colocataire. Son tableau est là depuis genre…  la nuit des temps. Impossible de s’en débarrassée et de toute façon Kreattur nous laissera pas faire. Quand elle ce met à pallier faut juste refermer les rideaux. Tu m’aide ?

James pris un des rideau et d’un geste de tête montra le second à Nott. Pas qu’il fallait une force Herculéenne mais presque, à croire qu’en plus de glue perpétuelle, le tableau ce protégeais de tout ce qui pouvais lui nuire… Ou au moins lui faire fermer sa bouche.

Hoooo-Hisse ! On ajouterais bien « la saucisse » mais on va limité le taux de beauferie de ce rp. James et Noah avait réussi, non sans mal, à finalement refermé les rideaux sur la tronche de la vielle chouette de Black. Et après quelques seconde enfin sa voix disparaissait dans l’oublis. Pas sans avoir hurlé quelques autres insultes à leurs égard cependant.

- Crois moi, on à tout essayer. Que ce soit mon père, ma mère ou même toute la fratrie. Mais y’a rien à faire. Je crois qu’il nous faudrait carrément un conjureur de sort professionnel pour la baguette de Sureau si mon père l’avait pas péter en deux.

Bien sur que non, Harry n’avait pas cassée la baguette en deux. Il l’avait simplement remis à sa place : dans le tombeau de Dumbledore. Mais ce n’était pas la version officielle, pas même pour ses enfants qui n’avait jamais compris pourquoi leur père n’avait pas simplement garder l’objet pour lui-même. Encore moins pourquoi ce désir de la détruire. Et ce, malgré les nombreuses explication tant des parents que de la tante Hermione.

- Si on fait pas trop de bruit normalement tout ce qu’elle fait c’est pioncé.

Ajouta James en levant les yeux aux ciels avant de jeté un regard de dégoût au tableau couvert d’épais rideau. Il fis ensuite un signe de tête à Noah pour l’invité à le suivre dans les escaliers. Montant quelques étages jusqu’à arrivée à une porte portant un nom dont les lettres était si vielle que les dorures avait ternis.

- C’est la piaule, j’ai demander à Kreattur de changer un peu les draps et j’ai retiré la déco. Le mec était un fanatique de Serpentard à l’ancienne. Mais le lit à l’air fun, j’suis sur tu saura testé la résistance du bois.

Pas de beauffitude on avait dit non ?

- Tu poses ton sac et on va dans la cuisine ?

Proposa James en ouvrant la porte de la chambre. Il resta cependant dans l’encadrement où il s’adossa. Il y avait un large lit en bois quelque peu ancien, un bureau et une grand commode assortis. Mais mis à part ses quelques meuble, James avait tout décroché et en avait fait dons à Kreattur qui avait été plus que ravis de recevoir en cadeau tout les souvenir de son ancien maître adoré. Si seulement il pouvait faire la même chose avec le tableau de la vielle Black !

- Une bierre et de la pizza, ensuite on prévois notre crémaillère ?

James les mains dans les poches laissa son pote s’installer, ou plutôt poser son sac au pied du lit sans plus de cérémonie. Il avait souris à l’évocation de l’accoutumance qu’il avait pour les couleurs vert et argent. Puis c’était retourné dans le couloir pour reprendre les escaliers. La colocation ne s’annonçait pas si mal. Ils avaient après tout, largement l’espace et le nombre de salle de bain requise pour ne pas ce marché dessus. Ou tomber nez à nez avec le date de l’autre à poil dans la douche, ou le cul poser sur les chiottes.

- Merde, j’avais prévu Pepperoni et choux de Bruxel pour remplacer la quatre fromage, que de déception. Finalement ça va peut-être pas le faire.

Ironisa James alors qu’il descendait quelques marche et ce retournais pour voir si Noah suivais. Son esprit dériva alors sur la pendaison de crémaillère qu’ils ce devait de préparer. Si James y avait déjà réfléchit ? Oui… Et non. Dans le fond on s’en fou non ? Tant que y’a de quoi boire et des nana.

- J’pensais juste invite qui viendra à Grimardent et à Poudlard. Nan ? C’est pas comme si on manquait de place. Et au pire ça fera gueulé la truie dans l’entrée.

L’alcool, oui voilà ça c’était un sujet qui méritais réflexion. Fallait réussir la fête et surtout ne pas manquer tant de bouffe -allo c’est un Potter- que de gnôle. Potter sauta les deux dernière marche de l’escalier en passant par-dessus la rampe pour ouvrir la porte… d’autre escalier. Mais qui cette fois menait à la cuisine de la maison.

- Au pire on a mon autre elfe de maison ; Lily. Elle porte bien ses plot quand elle tape du cognard, elle saura porter les fus.

Et outre les fus, il pensait commander directement au patron de la tête du sanglier quelques bouteille histoire de. Tant qu’il y aurait des gallions, il ne poserait pas trop de question non ? James fini de descendre la dernière marche et alla directement s’affalé sur une chaise droit devant les deux énorme pizza fumante qui les attendait. Sportif comme il était, il lui en fallait bien des calorie. Il penserait à sa future bedaine en approchant la trentaine, entre temps pas besoin d’y réfléchir, même si sa mère passait son temps à lui faire la remarque.

- Ouai et donc une petite commande en plus au patron de la tête du sanglier, et prévoir de la bouffe histoire d’éponger un peu. T’avait des invités spécifique en tête toi ?

Demanda le jeune homme en attrapant une part de pizza quatre fromage qu’il plia en deux avant d’en engouffré une grosse partie dans sa bouche. C’était chaud, c’était bon, c’était le paradis.

- Tu m’p’asse l’jus d’ctrouille ?

Après avoir engloutis sa part de pizza James bus quelques gorgées de jus de citrouille pour la faire descendre. Il ce voyais bien dans cette garçonière avec Noah. Pour sur qu’on irait pas lui prendre la tête. Et de toute façon sa mère veillerais surement à ce que le frigidaire soit toujours remplit de nourriture, saine de préférence. Mais bon… Et pour le linge… Kreattur n’était jamais loin non plus pas vrai ? C’est donc couper le cordon sans vraiment le couper… Hein James ? Mais c’est le propre des étudiants, non ? Alors le voilà, dans cette maison de ville avec son meilleur pote, prêt à entamer leurs vie étudiant. Et quoi de mieux pour ce faire que l’organisation d’une bonne vielle pendaison de crémaillère ?

- Non mais je parle des septième année on fait pas garderie. Mais avec Lily qui va venir squatter la soirée, autant qu’elle soit avec ses potes aussi.

Quel frère aimant et avenant pas vrai ? Et au pire si quelques gentilhomme de Grimardent commençais à avoir quelques idées déplacer, il suffirais de leurs péter les phalanges à coup de battes de quidditch, pas vrai ? Voilà, un bon plan de fait. Et hop une nouvelle part de pizza, qu’il tartine cette fois de sauce piquante avant de la pliée en deux pour s’en mettre la moitié directement dans le bec.

- La bataille de Frittes chez les Ollivander ? Rien que pour ça j’aimerais avoir une piscine.

La classe internationale Potter, surtout avec ta bouche pleine et les postillons qui en sorte quand tu parles. C’est que c’est pas sa sœur qu’il imaginais sur ses épaules ou celle de Noah en petite tenue. Comprenez le, il était pas si loin quand ça avait eu lieu : avec Noah ils c’étaient simplement arrêter pour faire un petit strip-quidditch-pong, parce que l’alcool avait assez taper donc on remplace les verres pleins par les couches de vêtements et on continue !

- J’ai hâte de voir les filles de Uagadou, il parait qu’elle sont flex du poignet.

Encore une démonstration de grande classe, faisant allusion à la magie sans baguette, alors qu’il engloutissais sa seconde moitié de pizza. Au pire, si il était si curieux que ça, il aurait pu demander à Yara non ? C’est qu’il deviens rouge le Potter, tout rouge. Il commence même à s’étouffer alors que ses yeux s’humidifie.

- La vache elle dépote leurs sauce piquante ! J’vais crevé.

Il ce lève d’un bon et va directement à l’évier pour boire à même le robinet, ça pique ! Mais on lui a jamais dit au Potter que l’eau c’était pas la solution ? Apparemment pas. Décidément… Houga houga c’est un animal.

Il était devenue bien rouge le Potter à s’étouffer avec sa sauce piquante. Et l’eau n’avait pas été pour l’aider. Alors autant dire que quand il attrapait la bière tendu par Noah, y’en avait bien la moitié qui partait en grosse lampé dans son gosier. S’en suivis le fait qu’il ce laissa de nouveau tomber sur son siège en s’essuyant la bouche d’un revers de main, laissant la bière sur la table. Notons que l’épisode ne l’empêchera pas de reprendre une grosse part de pizza, cette fois sans la sauce piquante.

- On va faire un tour du quartier ? Y’a un ou deux bar sympa apparemment dans le coin.

Oui ben c’est bon, il avait fait le tour de la question pour l’organisation de la pendaison de crémaillère non ? Pas besoin de s’attarder d’avantage. Par contre l’idée de sortir, explorer le quartier et plus si affinité avec ce qu’ils y trouverons, en voila un autre moyen de les mettre d’accord d’ici à ce qu’ils finissent d’engloutir le dîner. Qui plus est, après un bon gros déménagement des familles il fallait aussi savoir se détendre. Y’a pas un salon de massage Thaïlandais pas loin ? ça aussi, ça le bottais bien le James. Plus pour la masseuse que pour le salon.

Alors des deux lurons là, ils finirons leurs pizza, sans doute en partageant quelques blagues graveleuse ou en faisant des plans sur la comète avant de finalement laisser derrière eux cette garçonnière fraichement investis pour découvrir les plaisirs de la nuit à Londres pour deux célibataire dans la fleur de l’âge. Elle promettais un peu cette année non ?