feat. @Maxwell G. Dracarys • 21.09.2024 • La tête du Sanglier, Pré au Lard • DIALOGUE EN #186353

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L'école avait repris, comme si la normalité voulait forcé son entrée dans ma vie. Comme si je pouvais avoir un semblant de normalité. Mais qu’est-ce que c’est dans le fond être normal ? C’est assez relatif comme principe. Pour les moldus par exemple, les sorciers sont tout sauf normaux. Rien que d’une culture à l’autre, il suffit de voir Eiji et ses cousins dans le paysage anglais. Exemple flagrant d’un fait : la normalité n’existe pas. Il suffit de voir ses murmures dans les couloirs, ses regards me suivre d’une salle de classe à l’autre. Ses silences qui s’installe dès que j’entre dans une salle du château. Je soupire, je passe la bosse dans mes cheveux avant de les remonté en une queue de cheval. L’entrainement de Quidditch dont je venais de sortir c’était plutôt bien passée. Mes camarades avait si peur de leur capitaine de toute façon qu’ils s’accommodais à tous ce que je leurs demandais. Les essais la semaine précédente avait été intéressant, on avait jamais vu autant de personne s’appliquer à venir remplir le stade pour entrée dans l’équipe. Ou plutôt pour satisfaire leurs curiosité malsaine. Mais le pompom avait été ses élèves de Poufsouffle qui était venu eux aussi tenté leur chance. Pour jouer… dans l’équipe de Serpentard. Je pense que sans Fallon et Sutton, ils auraient fini empalée sur un des crochet de Nadash. Au moins ça aurait satisfait leurs curiosité.

Enfilant un simple jean noir et un chemisier d’un vert profond, je remontais mes cuissarde avant d’enfiler une veste en cuir et d’attraper mon sac à main. Cette sortie à Pré au Lard serait un changement bienvenue. J’avais pensée à envoyer un message à Matthew pour peut-être ce rejoindre dans notre appartement au-dessus du magasin familial. Mais finalement, c’était mon géniteur que j’avais décider d’aller voir. Oubliant au passage de le prévenir ou de lui demander son avis. Je voulais son avis, je voulais pouvoir lui parler. Pourquoi à lui ? Bonne question. Après tout je n’avais appris que très récemment qu’il était mon véritable père. Il n’avait jamais vraiment fait partie de ma vie. Mais peut être était-ce parce qu’il était la seule figure adulte qu’il me restait. Même si ses propos n’était pas juste envers ma tante Marie-Jeanne, elle ne pouvais pas comprendre ce qui m’arrivais en ce moment. Peut-être que lui non plus. Allez savoir ?

C’est entourée de la petite clique qui me restais que je traversais le parc du château pour rejoindre le portail et descendre la colline dans les calèche tiré par les Sombral qui rejoignait le village sorcier. La calèche derrière nous ne cessais de gloussée comme des poules. Jessica et l’autre partie de « ma clique », ceux qui m’avais tourné le dos sans surprise et alimentais rumeur sur rumeur. Elle était fière la Rosier, de son tour de force. De son nouveau statut. Si bien qu’en arrivant à la gare de Pré au Lard elle ce permis de me bousculer. Avant d’essayer de me renverser son café. Je dégainais ma baguette un instant figé dans le temps de colère, de rage. Un éclair rouge qui me traversais le visage. Avant que Sutton n’intervienne pour moi. Je fulminais. Une respiration profonde alors que ma baguette fis jaillir quelques étincelle dont je n’avais aucune maîtrise. Et je fini par m’éloignée à grand pas, plantant là tant mes amies que ses pestes. Traversant le village sans m’arrêter. Serrant toujours ma baguette avec rage.

Je passais les portes du pub pour n’y voir que peu de monde. Personne derrière le bar, voilà qui était inattendu. Je passais derrière et rejoignit le petit bureau qui appartenais à Maxwell. J’entrais sans frapper.

« Faut qu’on parle. »

Quel entrée en matière, surtout avec la mauvaise humeur qui pouvais s’entendre dans ma voix. Je le dérangeais ? Peut-être. Ca ne m’empêcha pas d’aller poser mon royal postérieur sur son bureau, quitte à m’asseoir sur quelques papier de ci, de là.

« T’a un moment ? »

Un peu tard pour poser ce genre de question ? Ce n’était pourtant que maintenant que je finissais par le regarder et le voir…

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Ah ! Oups, y’avais quelqu’un dans le bureau de mon « papounet ». J’en avait quelque chose à carrer ? Absolument pas. Et apparemment, lui non plus. Alors pendant qu’il finissait sa petite réunion et que l’homme rondouillet balbutiait je levais les yeux aux ciel et attrapais une bouteille d’alcool sur le bureau, visiblement la piquette qu’était venu lui présenté l’autre truffe. Le portant à mes lèvres sans plus de révérence j’en avalais une gorgée directement au goulot… Puis la recrachais aussi sec.

« C’est quoi cette piquette. Tu va pas servir ça à tes client, c’est ignoble ! Même une bouse de dragon ça fermente mieux. »

Autant dire que l’autre truffe c’était complètement déconfis. Et alors que Maxwell finissais de le mettre dehors, je jetais la bouteille dans la poubelle la plus proche et fis un signe de la main au grassouillet pour lui dire au revoir avec un sourire goguenard. Le temps que Maxwell revienne à son bureau et je regardait déjà ses papiers, en saisissant un puis un second, jetant à peine un regard comme si j’en avait quelque chose à faire. Sans pour autant lever les yeux vers mon géniteur.

« Visite de courtoisie ? Je me rappelle pas que ce soit notre truc. Il me semble pas t’avoir vu à l’hôpital. Mais bon après qu’est-ce que j’en sait, j’était dans le coma de toute façon. »

Répondis-je sur un ton sarcastique sans pour autant arrêter mes petite activités de fouine. Croisant les jambe je fini par laisser la mélasse de papier dans un état proche du fouillis avant de finalement regarder le Padre.

« Tu va pas me proposer à boire ? On est dans un pub après tout. »

Je battais des cils, comme une enfant qui demande à un parent un truc, n’importe quoi. C’est que jouer le rôle c’est plutôt drôle quand on sait que de toute façon il ne l’a visiblement jamais voulu.

« Tu sait quoi des réminiscence de la magie du Q-Ulte ou de ses effets secondaire à long terme ? »

On y va, de but en blanc. Parce que non, c’était pas une visite de courtoisie. C’était un besoin d’aide, d’un coup de pouce. Et qui de mieux que le Padre. Dracarys m’avait toujours frapper comme quelqu’un de mystérieux et qui en savait plus qu’il ne laissait entendre en terme de magie. Bien plus qu’un simple patron de pub dans tout les cas. Et puis lui ayant fabriqué une baguette sur mesure d’une qualité supérieur, il me le devait bien non ?

« J’ai des effets secondaires assez désagréable et j’ai besoin de ton avis. »

Quelques « effets secondaire » voilà un euphémisme. Plusieurs mois de torture mentale, une incapacité à gérer correctement sa colère qui de plus en plus ce transformais en rage et j’en passe. Et si ça continuais ainsi j’était vraiment mal, surtout au vue de la situation actuelle. Surtout que par moment j’avais vraiment l’impression qu’il y avait deux Kassie dans ma tête.

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Je levais les yeux au ciel. Visiblement « papa » n’avait pas envie de servir sa « fille chérie ». Un soupire s’en suivis alors que déjà je sautais de son bureau pour aller vers le guéridon. M’agenouillant en l’ouvrant pour regarder ce que je pourrais bien en sortir je tournais une tête amusée vers mon géniteur quand la conversation s’attardait sur ses si gentille, et surtout inexistante, visite à l’hôpital.

« Tu as garder un registre complet de mes visites ? C’est presque touchant. »

Répliquais-je avec sarcasme. Eiji n’avait-il pas été aussi discret et invisible qu’à son habitude ? Cela était étonnant. Ca l’était encore plus si on y avait vu son cousin ou sa cousine, ses ombres. Je ne laissais rien transparaitre de mes interrogation cependant, bien caché derrière mon sarcasme. Mais une question me brûlais les lèvres. Y avait on vu mon frère Edward ? Lui qui c’était envolée après la Garden Party et n’avait pas même été aperçue au temple, où pourtant, Mattie lui ne c’était pas privée pour me suivre.

J’attrapais une bouteille de Whisky pur feu, à en voir l’étiquette, ce n’était pas de la gnognotte. Je me redressais et servis deux verres. Un dans chaque main j’allais reprendre ma position initiale sur le bureau et en tendais un à Maxwell pour écouter son récit sur le Q-Ulte.

« Mais je ne suis ni morte, ni devenue folle. Enfin, pas complètement ».

J’avais baissé la voix pour cette seconde partie de phrase, buvant une gorgée du breuvage qui vins me brûlé l’œsophage. Le regard perdu dans mon verre et me taisant pour le reste du récit du tavernier. Fronçant les sourcils alors que mon cerveau c’était mis en mode locomotive vitesse lumière. Magie du sang… Boite de Pandore… Forcément tout le monde la voulait cette boite. Et pourtant personne n’était sur de ce qu’elle faisait car les récit variait d’un clan à un autre.

« Cette boite de Pandore… Elle en aura fait des épopées. Comme au cœur du ministère. »

Une autre gorgée et un sourire à l’évocation du souvenir. Comme si l’affrontement d’un minotaure était presque devenue une anecdote plaisante à ce raconter au coin du feu. Une boite qui, si j’avais bien compris avait été détruite et enterrée par mon professeur de potion, elle aussi qui ne donnait plus trace de vie depuis les évènements de juin dernier d’ailleurs.

« Amie… »

Un rire froid, dénuée de tout amusement m’échappa à l’évocation de Zoé alors que sans que je ne le sache un éclair rouge me traversais les iris. Je fus prise d’une envie de meurtre soudaine et passagère, juste le temps d’une seconde de folie qui disparue aussi vite qu’elle était apparue.

« Moi… Qu’est-ce qu’il me voulait ? »

Question rhétorique visiblement puisqu’ils n’avaient jamais daignée en dire plus à Maxwell. La dernière question de Maxwell m’arracha un soupire. Est-ce que Eiji en savait plus que ce qu’il ne m’avait dit ? Me cachait-il des informations ? Comme ses rescapées du Q-Ulte… Jamais je n’en avait entendu parler. Et cette simple idée faisait renaître en mois des envie de massacre. Presque tous, ça voulait bien dire ce que ça voulait dire. Qui et où ? Après tout, l’humanité n’était pas à un génocide près. Et cette race de cafard ne méritais pas mieux que d’être exterminé. Quoi qu’à sucer le sang c’était plus des poux que des cafards mais passons…

« Stephen n’a pas donner signe de vie depuis la garden Party. Mattie… c’est Mattie. Quant à mes amis, je ne vois pas ce que tu veux dire. »

Un sourire qui lui est directement adressée, suivis de quelques battements de cils, car non je n’irais pas jusque-là dans les confidences.

« Est-ce que tu as déjà entendu parler des expériences qu’on peut avoir dans le coma ? Quoi que celui là devait être mixé à leurs magie du sang. Et rien que d’y pensée j’ai une envie folle d’abuser d’un luffa sous la douche jusqu’à m’arracher l’épiderme. »

Une dernière gorgée, cul sec pour finir mon verre. Et je me redressais pour aller me resservir, tendant la main en direction du verre de Maxwell pour lui proposer une recharge à son tour. Et alors que je retournais au guéridon où j’avais laisser sortis la bouteille, sachant pertinemment que le premier verre ne serait pas le dernier je me lançais dans un long récit à mon tour. Retirant le bouchon de cristal alors que je parlais de ma propre expérience. De ses ténèbres, de cette solitude. De ce rire glacial dénuée de la moindre joie, du moindre sentiments. De ses yeux rouges qui semblait me poursuivre. De ce long couloirs et des portes impeccable qu’il contenais, jusqu’au bout du corridor ou cette porte en bois rouge sang m’attendais. M’effrayant autant que je ressentais le besoin de l’ouvrir. De cette boucle infinis. Je racontais tout alors que je servais, refermais la bouteille et reprenais ma place initiale sur le bureau. Buvait une gorgée en approchant la fin de mes explications. Omettant par choix la peur, la solitude, le désespoir et tous sentiments un peu trop personnel que je ne me sentais pas prête à partager. Que je ne me sentirais probablement jamais prête à révéler. Et quand enfin mon récit fus terminé je fixais mon verre et le liquide qu’il contenais, presque concentré.

« Expression d’un traumatisme, d’une peur ? Matérialisation de mon épouventard peut-être dans mes songes. Ou bien autre chose. Quelque chose cloche depuis que je me suis réveillée, je le sent. Et on pourrait l’attachée à un syndrome post-traumatique si l’on veut. Mais je sais que ce n’est pas ça. Je ne sais pas ce qu’il m’ont fait. Mais quelque chose cloche dans toute cette histoire. »

Je marque un temps d’arrêt et bois une autre gorgée. Je fait tourné le liquide dans le verre puis remonte les yeux vers Maxwell, seul personne avec qui j’ai partagé cette expérience pour le moment. Pourquoi lui ? La confiance n’y est pas. Et pourtant, c’est lui que je pense le plus prompt à m’aider.

« Qui était la fille dans le cercueil ? »

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Je suis songeuse autant que Maxwell semble réfléchir. J’ai vu devant mes yeux défilé ce « rêve » si c’est comme ça qu’il faut le qualifier. Et pourtant, j’avais l’impression que c’était plus profond que ça. Plus complexe. Je bois une nouvelle gorgée le regard dans le vide, voyant ce visage, ses yeux. Mon visage mais ses yeux… N’étaient pas les miens.

« Je ne veux pas tomber dans la psychologie de comptoir à imaginé que la porte était ce que j’avais besoin d’ouvrir pour me réveiller, que sa couleur et sa forme était une matérialisation de la peur que j’avais à affronté la réalité après les petites annonces de Jessica Rosier… »

Je marquait une pause. J’avais omis le détail crucial, ce combat, ce duel à mort qui c’était jouer dans mon esprit. Je me mordait la lèvre. On pourrais si facilement tomber dans les banalité en terme d’analyse. Mais ses réponses ne me convenais pas je sentais qu’il y avait autre chose.

« Quand je me suis réveillée j’était dans l’état de n’importe quel personne qui ce réveil après un coma je suppose. Mais quand j’ai fait face au miroir, je les ai revu, ses yeux. »

Matérialisation de peur profonde ? Peut-être que la solution était aussi simple que ça. Peut-être. Je levais les yeux vert Maxwell pour observé son visage, ses réactions, son regard. Nous n’étions pas si proche. Je n’avais appris notre lien que quelque temps avant de me retrouver à l’hôpital. Il était un étranger ou presque et  ma confiance en lui presque inexistante. Mais je savais aussi que si je voulais des réponses, il saurait où les chercher.

« Tu travaillais avec eux ? Et tu n’as rien appris ? Je croyais qu’ils étaient tous tombés comme des mouches à la mort de leurs leader ? »

C’est du moins l’information que j’avais eu jusque-là. A la simple évocation du Q-Ulte un nouveau frisson me parcouru. Accompagnée d’une vague de rage qui ce dessina sur mon visage alors que très furtivement je voyais rouge. Un éclair, une seconde où mes iris vertes furent teinté d’une couleur sang. Je pris une respiration, me rendant compte que je serrais mon verre un peu trop fort. Je le posais alors sur le bureau et posais mes main à plat sur mes genoux comme pour m’ancré en prenant une autre grande bouffé d’air.

« Tu sait qui il est et où il est ? »

Une pointe de rage pouvais ce dessinée dans le calme presque glacial de ma voix. Si on devait décrire la folie meurtrière probablement qu’on aurait pu la dessiné en analysant mon regard. Rage que je ne comprenais pas tout à fait et qui ne m’appartenais pas tout à fait non plus. Bien que ma conscience l’eu interprété tel quel jusqu’à semer le doute dans mon esprit quand à ma santé mentale à mesure que j’appréciais ce sentiment qui était né et me prenais au trippe. Une autre respiration. Les Gaunt était colérique, mais pas comme ça.

« Je ne pense pas qu’il soit judicieux que je sois celle qui aille à la confrontation. »

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Ce sont les miens… réponse simple qui ne ce formula cependant pas. A la place, je détournais le regard. Fuir la confrontation des iris ? Ca ne me ressemblait pas, j’était du genre à soutenir le regard des autres, à m’assoir sur cette forme de confrontation. Pas là. Peut-être parce que j’avais peur de ce qu’on pourrais y voir. Deux yeux rouges comme des fentes de serpents. Un nez presque inexistant, une peau pâle devenu presque verdâtre. Mon épouventard. Je préférais laisser la conversation continuer à ce concentré plus sur ce Q-Ulte que je n’avais pas vu disparaitre de mes propres yeux. Et dont je me méfiais encore naturellement. Tout le monde était si certain qu’ils avaient disparue dans ce temple. On pouvais comprendre pourquoi, on avait tendance à vouloir que les mauvaises choses disparaisse. Regardez donc quand tonton Voldy était revenu après une décennie. Potter avait beau le crié sur les toits : le ministère préférais faire une campagne de cancel culture plutôt que d’affronté la réalité. L’humain est comme ça après tout, il ne veux pas affronté ses peurs mais simplement les faires disparaitre. Ca veut dire que moi aussi ? Alors que je refusais d’affronté les yeux rouges au point de les rendre réel ?

J’écoutais Maxell avec attention maintenant, le regard dans le vide et mon verre à la main. Analysant charque parole comme si un film ce jouais devant moi, matérialisation de visage dans traits dans les ombres. A l’exception d’un visage, celui de Zoé que je pouvais imaginé aussi clairement que je voyais Maxwell au point de m’en planter les ongles dans la chair de ma main à la simple idée qu’elle puisse être en face de moi. J’étais bien placer pour savoir qu’il y à deux côté à l’Histoire avec un grand H. Celui qu’on accepte, qu’on connais et qu’on consigne dans nos livres. Et celui qui git tapis dans l’ombre, danger pour tous et que tous ignore parce que c’est bien plus facile comme ça. Ma branche de la famille Gaunt avait justement jouer de cette faiblesse humaine pour ce fondre et disparaitre. Qu’un Q-Ulte tout entier en ait fait de même n’était qu’un autre petit morceau d’iceberg dans l’océan de secret que recelait le monde.

« Je vais essayer de trouver un de leurs temple. Voir de mon côté si je trouve plus de choses directement là où ils avaient leurs bases. »

Je bus une gorgée de mon verre que j’avais oublié pendant un trop long moment. Un soupire m’échappa. A côtoyer Eiji je finissais par devenir aussi loquace que lui par moment. Car si là était ma seule réponses à toutes celle qu’avait essayer d’apporter « papounet » on était pas rendu.

« J’ai un autre problème à régler aussi. Pas aussi épineux, mais qui pourrais devenir gênant. Qu’est-ce que tu sait des pactes de sang ? Et surtout comment les rompre sans de préférence y laisser ma vie ? Ma mère à eu la bonne idée d’en faire un en mon nom et celui de mes frères. Et il s’avèrent que c’est un conflit d’intérêt. »

Ca ne m’aurait pas étonner qu’il sache les tenant et aboutissant de celle-là. Même si quelque part, l’enfant en moi aurait protester : comment avait-il pu laisser faire si il savait ? A oui, sans doute parce que jusqu’à quelque moi en arrière il n’était que le barman d’un troquet du village à côté de mon école. Mais quitte à aller lui demander son expertise, autant mettre carte sur table sans pour autant avoir tous mes œufs dans le même panier. Parce que si Maxwell avait les connaissance pour au moins faire sauter une épine que j’avais dans le pied, on allait pas dire non.