feat. fabrication de baguette pour @Poppy Wood • 25.09.2024 • Chambre des secret, Poudlard • DIALOGUE EN #186353

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Poppy Wood a écrit:Bonjour Mlle Olivanders,

Après m'être renseignée auprès de certaines de mes collègues, il semblerait que vous soyez la personne qu'il me faut. On m'a recommandé vos services.

J'aimerais votre expertise pour une nouvelle baguette. J'ai des cheveux de vélanes provenant d'un héritage familiale dont j'apprécierai d'utiliser pour le coeur de celle-ci. Côté bois, j'aime beaucoup les arbres fruités, peut-être du pommier ou du poirier. J'imagine que le mieux serait que je laisse cet aspect à votre expertise et or donc, je vous fait entièrement confiance. J'ai actuellement un baguette minuscule; elle est utile et m'a toujours bien servi, mais je crois que dans ma main d'adulte, j'apprécierais qu'elle soit un peu plus longue que 22 cm maintenant.

Merci de votre assistance.

Avisez-moi des coûts totaux, je vous enverrai la somme rapidement pendant que je suis à Londres.

Poppy V. Wood

Tenant le parchemin entre deux doigts je le relisais une nouvelle fois à la lueur d’une bougie avant de le laisser tomber sur la petite table basse que nous avions installer devant un canapé au centre de la chambre des secrets. Les aménagements que nous avions fait de l’endroit étaient plutôt cosy, c’est bien pour ça que j’y trouvais très souvent paix et quiétude. Bien qu’il soit un peu plus complexe pour moi cette année d’y passée du temps à la lueurs des « révélation », à moitié fausse, de Jessica. Petit hic dans cet havre de paix ? Les gouttelette incessante qui tombais régulièrement de la plomberie. Un soupire alors que j’agitais ma baguette pour allumé la radio et y laisser la musique remplacer ses bruits quelques peu désagréables.

Je me levais, la fiole contenant les cheveux de Vélane en main, remuant légèrement mon popotin au rythme des basses de la chanson pour rejoindre mon plan de travail. Car voyez-vous, je ne pouvais pas vraiment m’adonner à cette activité extrascolaire à mon bon vouloir dans l’enceinte de l’école. Et comme la fabrication restais pour moi non seulement une passion mais aussi un moyen de me relaxée, quoi de mieux que ses lieux presque oubliés de tous. Et qui, dans tout les cas, restait fermé à qui ne partageais pas mon sang ou celui de mes frères depuis l’installation de la nouvelle entrée dans le parc, près du saule pleureur au pied du lac. Faut dire que le vieux tunnel qui donnais dans les toilettes de mimi Geignarde c'était effondré en janvier dernier.

Je posais la fiole sur le plan de travail et l’ouvrais à l’aide ma baguette. Précision et délicatesse était de mise quand on manipulais ce genre d’ingrédient pour ne pas entaché leurs propriété ou compromettre leurs neutralité jusqu’à ce que la future baguette atterrisse dans les mains de son futur propriétaire. Analysant le caractère et l’ADN même de la magie de l’élément, j’en profitais pour passer en analyse le parchemin également que j’appelais à moi grâce à un accio, détachant l’écriture manuscrite de Miss Wood pour en déchiffré la personnalité. Ma plume à papote glissais alors les observations que j’en déduisais sur un morceau de parchemin vierge à l’encre noir. Tout en continuant ma tâche je me levais pour aller au bois, à quelque pas sur une étagère où je les avaient exposés. Certain importé de notre domaine en Bulgarie, d’autre de France ou encore d’ici même au royaume unis. Effleurant les petit rondin du bout des doigts jusqu’à finalement sélectionner celui qui, à mon avis, serait le plus à même de fournir une matière approprié.

Une bûche pas très épaisse mais assez longue. Elle provenais du domaine Ballessaim, en France. Son élégance ce soulignais par les dessins même de son écorce. Un ancien Pommier au niveau du verger qui servais à faire un cidre de qualité pour la Maison Française connu pour son vin, son champagne et même parfois ce liquide à la pomme pétillant qui accompagnais si bien crêpes et galettes de froment. D’un autre mouvement de poignet je fis sortir le bois choisi de l’étal pour le faire arrivé jusqu’à mon plan de travail, où, à présent la plume à papote ce reposais sur mes note pendant que les cheveux suspendue laissait émanée une lueur d’or par l’éclairage au bougie. Posant une fesse sur le tabouret je sortais mes outils et mettais mes gants, pour ne pas abîmé la matière ou attraper des échardes. Et le travail commença, la taille du bois, l’élégance de la forme qu’il prendrais à mesure que le travail continuais. La fusion avec son éléments primaire qui ce fis si aisément qu’on aurait pu pensée qu’ils étaient fait l’un pour l’autre. C’était ça tout le talent d’un façonnier de baguette magique après tout.

Les dessins sur le bois, les détails de matières. La rondeur et la longueur. Le travail dura un long moment, si bien qu’au dehors la lune devait déjà éclairé le parc du château de sa lueur fantomatique. J’en aurait oublié le dîner, tant pis, j’avais de toute façon quelque snack ici et pas grand appétits ce soir. Elle fini par naître, cette baguette. Elle fera trente trois centimètre quatre vingt cinq. Elle sera fine et gracieuse, les croisillons sur le bois formant quelques dessins élégant mélangeant la dorure d’une feuille d’or au bois avec une symbiose presque parfaite. Son pommeau sera en torsade sertis d’une simple Grenat rappelant la feuille de l’arbre dont été né l’ouvrage. Et en son cœur, le cheveux de Vélane fera émanée une douce chaleur de son hôte. Je laissais reposer ma dernière création dans une boite à l’effigie du magasin ancestrale d’une famille qui n’était la mienne que de nom et de cœur. L’entourant de soie avant de refermé l’écrin avec soit et de noté en calligraphie le nom de sa future maîtresse : Poppy Wood.

Sortant un nouveau parchemin j’y déposais quelques mots supplémentaire à l’attention de cette nouvelle cliente.

Mademoiselle Wood,

Vous trouverez ci-joint la baguette que vous m’avez commander la semaine dernière. Celle-ci mesure 33cm85, elle est en bois de Pommier des domaine Ballessaim, un arbre ancien qui à grandit dans les verger. Elle est relativement souple. J’espère que vous vous conviendrez à toute les deux.

Je vous prie de me faire parvenir un règlement de 750 gallions à réception de votre commande. N’hésitez pas à revenir vers moi en cas de besoin.

Bien à vous,

Kassie Hedwige Ollivander.

Laissant sécher l’encre je plaçais l’écrin dans mon sac avec soin avant de roulé la lettre et de finalement ressortir de ma tanière, non sans oublié d’éteindre toute les bougies que j’avais laisser brulé à l’aide de ma baguette. Traversant le parc jusqu’à la volière à pas de velours et avec grande discrétion, après tout à cet heure-ci j’aurais déjà dû être dans mon dortoir. J’attachais le paquet envelopper dans du papier kraft, non sans oublier avant de le refermer de protéger l’écrin et la lettre d’un papier de soit d’un vert profond. L’attachant ensuite à la patte d’un Hiboux Grand-duc que je gratifiais d’une confiserie avant de le laisser s’envoler jusqu’à traversé la Manche et l’essentiel de la France pour retrouver la destinataire du colis.