Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Le ciel était gris en cette journée hivernale. Le mois de Janvier en Angleterre ne vendait vraiment pas du rêve, bien au contraire. Et les pluies battantes laissaient les chemins de pierre parsemée de petites flaques d’eau. Les pierres glissantes étaient tâchées par endroit de la gadoue qui s’accrochais aux chaussures des élèves parcourant le parc de l’université Grimardent. C’est la première chose que remarqua Teddy, quand, parapluie à la main elle franchit le portail qui séparait ce nouvel établissement d’enseignement supérieur et l’institue Durmstrang où elle redoublait actuellement sa septième année. Ses notes avaient globalement remonté, un véritable miracle celons certain, qui cachait en réalité un réel travail personnel. Et sans doute quelque part, une forme de soulagement de ne plus avoir Lazar ou Raissa dans les pattes. Même si, ne nous mentons pas, rester si proche de l’école tenue par la famille Romanov n’avait rien d’une partie de plaisir pour celle qui pourtant portait leurs noms à défaut d’avoir leurs gênes.

Aujourd’hui, alors que ses camarades pouvaient profiter d’une journée à se prélasser à Cornelongue en Glace ou bien dans un autre village sorcier avoisinant l’une des écoles de magie entrée dans le traité de partage du savoir l’année dernière, elle avait dû sacrifier ce jour de repos pour venir ici. Ici dans ses murs qui peut-être l’abriterons l’année prochaine. Il faut croire que Melissandre avait tiré suffisamment de ficelle pour lui gagner un entretien avec Celeste Prewett dans le but de sauver ce qui serait peut-être son avenir une fois ses ASPIC en poche. Traversant d’abord le parc, puis la salle de la cafétéria en commandant avec un fort accent de l’est un thé à la serveuse d’un air distrait, la jeune Bulgare ce rendit ensuite dans le bureau de la secrétaire de la doyenne de l’université pour ce faire recevoir. Un entretien qui dura plus longtemps qu’elle ne l’avait prédit. Mais qui fus, en tout point, concluant. Tout du moins, une fois sortie de là, elle était satisfaite. Melissandre les avaient rejoints en début de cession. Et après de longue minute à discuter de perspective d’avenir, d’ambition et de possibilité il semblerait que le groupe de trois femmes en soit venu à une conclusion des plus encourageante. De quoi laisser un fin sourire flotter sur le visage de la demi vélane, quand, accompagner de son ainée elle ressorti du bureau de Celeste qui était toujours en train de plaisanter avec Melissandre tout en lui souhaitant une bonne journée.

C’est de retour dans ce parc tout gris que Melissandre, passant une main dans les cheveux de sa petite sœur pour remettre une mèche rebelle derrière son oreille, lui conseilla de prendre le temps de visiter le campus et de se projeter. Les bras croisés sur sa poitrine, Teddy avait acquiescée avant de coller une bise à sa sœur qui disparue non sans laisser les traces de son passage imprégner les lieux à voir les quelques têtes qui c’était retourner sur la jupe du maître des potions de Poudlard. D’ancien élèves ? Peut-être, mais pas que, soyons en sûr. Après tout tel était le poid d’être une demi-vélane et Teddy ne le savait que trop bien, fuyant son gêne plus qu’elle ne l’acceptait. Ne s’autorisant pas à apprendre à réellement vivre avec, provoquant de fait des situations incongrue et pas toujours agréable par son manque de maitrise. Demandez-donc à son demi-frère, il pourra vous le dire !

La jeune femme repris le chemin du comptoir de la cafétéria pour demander cette fois quelque chose à grignoter et un autre thé vert. Avec une lichette de miel, un petit plus, si la serveuse le voulait bien. Repartant avec sa commande elle se mis en quête de trouver un endroit où manger la salade enfermer dans une boite de plastique qu’elle avait pris. Et la petite douceur pâtissière qui viendrait après. Visité les locaux, c’est ce qu’elle commença à faire. Entrant dans un grand bâtiment blanc et se rendant rapidement compte qu’il s’agissait de salle de classe plus ou moins grande. C’est au premier étage qu’elle décida, au hasard complètement, d’entrer dans une de ses salles qui se ressemblait toute pour poser son postérieur sur ce qui devait être le bureau du professeur et commencer à mélanger énergiquement sa salade, le regard dans le vide et balançant ses jambes d’avant en arrière, les iris tournées vers le dehors pour voir l’étendu du ciel toujours aussi gris -moche- qui s’étendait à perte de vue, refaisant avec elle-même l’entrevue dont elle sortait.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

D’avant en arrière, Teddy continuais de remuer les jambes en regardant distraitement par la grande fenêtre qui laissait voir une partie du parc de Grimardent. Et potentiellement le terrain de Quidditch abritant l’équipe en train de s’entrainé, mais ça, on ne le dira pas. De même qu’on ne soulèvera pas le faire que si elle continue de secouer rêveusement sa salade, elle va finir par en faire de la bouillit et ça risque de devenir très rapidement inmanageable. Ce qu’on pourra noter cependant c’est le sursaut qu’elle aura eu en entendant une voix s’élever alors qu’elle apportait de sa main qui ne malmenais pas son déjeuner, son gobelet fumant à ses lèvres.

Le sursaut qui en découla était à prévoir et ne manqua pas d’arriver. Il n’y eu pas de relent du thé vert, elle n’avait pas eu le temps de prendre sa gorgée et arrêta simplement son geste. Cependant, elle ne manqua pas de lâché sa salade. Qui fort heureusement n’était qu’à quelques centimètre du bureau et non pas du sol. Ou bien on aurait été bon pour la voir manger ses mains. Ce qui ne rate généralement pas non plus quand Teddy à peur, ça tout ceux qui la connaisse pourrons vous le dire -à commencer par Eiji avec l’option des yeux au plafond- c’est l’élan d’aura qui déborde. Mais qui ne durera que la seconde qu’il faudra pour qu’elle tourne les yeux vers la source de cette voix qui avait cru bon de la retirer brutalement de la profondeur de ses pensées et sans trop de ménagement. Le tout pour le regarder, cligné des yeux et penché la tête de côté en laissant naitre un petit sourire en coin quand elle laisse retomber le bras qui tenais le gobelet près de ses lèvres sur la surface de la table et que la seconde main part à tâtons retrouver l’emballage plastique contenant le vert.

- Tu as l’odorrrat fin.

Qu’elle avait répondu de son fort accent de l’est avant de diriger ses iris vers la salade, qui, on ne sait pas trop comment avait survécu tant à ce faire secouer comme un prunier qu’à rejoindre brutalement le bois de la table.

- On est sauf ! Elle à surrrvécue !

Elle reprit le contenant entre ses deux mains et l’ouvrit sans plus regarder le jeune homme pour le moment, galérant très clairement à en détaché les attaches. A croire que ça nécessitait le côté « Harpie » de la jeune femme et la force qui y était associée.

- Tu demande souvent de la nourrriturrrre au inconnues ? [...] Si tu veux. Tant que ça ne te dérange pas de partager la fourrrrchette. Tu visite aussi l’univerrrrsité ? Mahoutokorrrrrro ?

Ce n’est pas bien les préjugée Teddy ! Ce n’est pas parce qu’il à une tronche de bridé qu’il vient forcément… Ah ben si… Mais tu ne le sais pas toi ! Et ce n’est pas parce qu’elle fréquente régulièrement Iwao qu’elle l’aura dit. En plus, c’est gonflé, vu que son propre demi-frère était à Durmstrang… mais que voulez-vous ? Une sorcière d’Europe de l’est jusqu’au bout de ses ongles manucurée…

Elle profita de remonter le regard vers le jeune homme pour décaler ses fesses sur le coin de la table et la poser au milieu.

- Mais rrrrassurrrrre moi, t’est pas malade ?

Flirt ? Oui, ça en à l'air, c’est Teddy. Poupée barbie qui à grandit dans une maison de joie, chez elle c’est encore plus naturel que chez les Français. Un vrai paradoxe la demi-vélane. Surtout qu'elle le fait pas consciement.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

C’est comme des petites vaguelette qui joue au ping pong, elle active son aura par mégarde dans le sursaut de l’instant. Il répond par une petite vague de la sienne. Et de là, on peut parler de serpent qui se mord la queue car les deux auras sont programmées pour se répondre. En espérant que ça ne parte pas en escalade parce qu’on sait tous que la définition de « nourriture » pour un Succubus n’est pas la même que pour le commun et mortel. Et Teddy aimerait réussir à rentrer chez elle -en Bulgarie- sans avoir à ramper jusqu’au portail. Mais ça, c’est un problème pour plus tard.

Le sujet de concentration du moment sera plutôt la salade, ou bien la présence du jeune homme et de toutes ses mimique et intonation qui fait de lui le premier asiatique, à la connaissance de Teddy, à savoir utiliser ses muscles faciaux pour autre chose que serrer les dents ! A lui tout seul, il pourrait donc bien avoir la possibilité de cassé quelques préjugés que la demoiselle aura cultivés ces derniers mois. Teddy pour sa part prendra une mimique offusquée pleine d’exagération, jusqu’à en plaqué ses mains à plat sur ses joues quand il annoncera ne rien avoir avalée depuis la veille. Parce que la Bulgare n’est pas forcément en reste, elle-même, sur les expressions et les réactions.

Ce sera aussi un sourcil qui viendra ce levé quand le jeune homme aura un rire concernant le partage de la fourchette. Elle aurait peut-être dû lui proposer une baguette pour ramasser les rondelles de tomates ou la mozzarella laiteuse ? Elle n’en a malheureusement pas.

- C’est plutôt moi qui devrrrrais dirrrre ça si tu n’a rien mangé depuis hierrrr !

Que ce soit sur le fait de manger ce qu’il veut et qu’elle prendrait le reste, ou sur le fait de ne pas être malade. Et ça c’est parce que dans sa tête de blonde ça n’a pas encore fait le tour du bocal, mais on ne lui en voudra pas, n’est-ce pas ? De ne pas avoir compris de suite ce qu’il voulait dire.

- Pioche en même temps, je connais pas les gestes de prrrremier secourrrrs si tu fait un malaise. T’est arrrrrchi mal tombé !

Ça aura été dit juste avant qu’il ne ce présente, ce qui aura fait monter le rose aux joues de Teddy qui se sentira un peu con du coup. Entre temps elle avait sorti aussi un petit sachet de diverses noix pour le mettre entre les deux, en accompagnement. Elle entrouvrit légèrement la bouche avant d’y laisser apparaitre un léger sourire flottant sur ses zygomatique pendant qu’elle fourrait une rondelle et sa mozzarella entre ses lèvres.

- Teddy Rrromanov, je suis en septième année à Durrrrmstrrrrang. Je visitais l’univerrrrsité parrrrceque ma soeurrrr a insisté.

Répondit-elle en ce présentant à son tour, de manière particulièrement concise. D’un côté il n’y avait pas grand-chose d’autre à dire pour le moment.

- Ton lit est si loin que ça ?

Promis, la question était tout à fait anodine -ou pas- ça dépend d’où en est le ping pong succube-vélane. Et si on en compte les points ou pas.

- J’ai quelques connaissance de là-bas. Mais j’avoue que les yeux on jouer un rrrole prédominant dans mes prrrrronostic. Désolé ?

Désolé d’avoir alimenté le cliché ? Mais du coup, comme elle à taper juste… On devrait en dire quoi ?

- C’est un accent d’où ? Je crrrrois pas l’avoirrrrr déjà enttendu. C’est un coin du Japon ou un autrrrrre pays ?

La cultivation de Teddy, on ne va pas en parler. On ne peut pas tout avoir dans la vie ! Et clairement si elle à été gâtée au niveau de ses formes c’était au détriment du remplissage de sa boite crânienne !

- Prrrrend du thé, sauf si ça rrrrisque une overdose aprrrrès la caféïne pendant tes nuits de garrrrrdes.

Théine, caféine, c’est la même chose nan ? Bon, elle ne sait pas s’il boit l’une et l’autre des boissons, on va poser ça en passant. Mais c’est encore un cliché qu’elle doit avoir dans le crâne.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

C’est en prenant une noix de cajou pour la glisser sur sa langue, sans avoir arrêter de balancer ses jambes d’avant en arrière, que Teddy répondra au jeune homme, le regard ce tournant vers le plafond comme si il s’y dessinait quelque chose qu’elle était la seule à voir.

- Si, mais on va dirrrre que je suis pas l’élève la plus studieuse de Durrrrrmstrang. Si je ne porrrrrtais pas le nom Rrrromanov j’aurrrrais surrrement été expulsé aprrrrès les BUSE. Comme j’arrrrrrive à rrrremonter un peu mes notes, ben ma sœurrrrr m’a décrrrrroché un entrrrrretien avec Prrrrrrewett.

C’est une belle manière de dire que c’est une quiche légèrement longue à la déttente qui à du mal à avoir de bonnes notes. Mais l’idée est claire : elle à besoin qu’on lui mette du plomb dans la tête. Parce que par contre, quand il s’agit de lire sorcière hebdo, là elle n’a aucun mal à ce souvenir des cancans qu’elle pourrait y trouver. Faut croire que la mémoire sélective peut toucher plusieurs zones dans une vie.

- ça viens de la cafèt’ d’ici. Je suis surrrr que leurrrrs elfe de cuisine serrrra content du compliment. Ça manque de garrrrniture si tu veux mon avis. Ou de sauce.

Elle va avoir un sourire sur le visage et redescendre les yeux sur le garçon quand il commentera l’état de la salle de classe. Un rire silencieux pour agrémenter l’ironie de cette visite des quatre murs les moins passionnant sans doute de l’établissement universitaire.

- Effectivement quelques couleurrrrrs peut-êtrrrre ? T’a de meilleurrrr endrrrroit à me montreeeer ?

Teddy avait répondu en formant un cadre avec des doigts en tendant les bras vers le mur d’en face tout en fermant un œil comme pour visualiser la décoration manquante. Elle laissa retomber ses bras, laissant une main filé pour attraper une noix, quand on en revins à parler de lit et de dortoir.

- Avec un amas d’étudiant en rrrrut c’est pas si étonnant que ça d’imaginer le boucan dans les dorrrrrtoirrrr. Surtout que, de ce que j’ai comprrrris c’est mixte. Que pensait donc Celeste ? Ses pauvrrrres étudiants sont obligés d’aller dorrrrmirrrr dans ses salles de classes pourrrr avoir la paix ! C’est prrrrresque de l’harrrrrcellement !

Un petit rebondissement avec le sourire qui va bien, les yeux taquin et l’air de blonde décérébrée pour bien appuyer l’argumentation. Avec les yeux bien agrandit et légèrement vide, elle pourrais placer son index au coin de sa bouche pour renforcer l’effet, mais ça n’est pas nécessaire.

- Sculpté ? Merrrrci. Rrrrusse ? Un peu moins.

Et là, on vois presque le petit bisous qui aurait pu être lancer dans l’air avec le petit cœur qui va avec, ça ne sera pas le cas mais l’esprit y est. Parce qu’au final c’est ce qu’aura pris Teddy, le compliment.

- La Corrrrée du sud ? Parce qu’en Corrrrée du Nord j’imagine que tu ne serrrait pas ici. J’adore vos barbecue !

Apparement, Teddy peut effectivement aller encore PLUS dans les clichés ! Non mais vraiment, y’a des choses sur lesquels va falloir lui acheter un cerveau. Mais au moins, elle sait le placer sur une carte et c’est déjà ça !

- J’ai visité la cafétérrrria et le bureau de Prrrrewett. Y’a d’autrrrre chose à voirrrr ? Tant que c’est pas comme Durrrrmstrrrrang de toute façon ça me va.

Elle va reprendre le gobelet dans la main du garçon pour le porter à son tour à ses lèvres et sourire, encore une fois. De toute façon, Teddy à le sourire facile.

- Moi ça dépend de mon humeurrrr. Mais il fait frrrrroid par ici et c’est trrrrrrès gris. C’est un chocolat chaud que j’aurrrrrais du prrrrendrrrre.

Trop de sucre cependant dans le chocolat chaud. Et puis le thé vert il parais que ça fait maigrir ! Et rien que pour ça, elle se force à en boire.

- Mais version café frrrroid je prefère un latte, plus crrrrémeux, plus doux. Du coup désolé d’avoirrrr intérrrompu ta sieste ?

Elle laisse redescendre le gobelet et le pose quand même entre les deux, parce que faut bien faire descendre la salade. D’ailleurs, elle va attraper une petite feuille et la glissée, la encore entre ses lèvres. Laissant passer quelques instants sans parler le temps de mastiqué et de faire disparaitre le vert.

- Du coup, qu’est-ce que tu pense de l’univerrrrsité ? Des choses à savoirrrrr ?

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Les réactions du jeune homme était si vivante, quoi que quelque peu surprenante. Ce qui devait se refléter dans les yeux de Teddy, qui devenait légèrement vitreux -presque vide- si bien qu’on aurait pu se demander si lui taper sur la tête n’aurait pas sonner creux. Le débat sur l’animation des salles avait continué encore quelques instants.

- D’un côté, on est samedi. Je pense que tout le monde prrréfèrrrre êtrrre ailleurrrs que dans une salle de classe.

Aura souligné la demoiselle. Mais le débat ne s’étendra pas forcément plus, puisqu’il y a d’autre choses à dire et d’autre échanges à avoir. Surtout quand on se rencontre autour d’un repas de fortune dans lequel on picore gaiement.

- Y’a vrrraiment de tout parrrr ici. Je n’ai aucune idée de ce que je vais fairrre l’année prrrrochaine. Je ne suis pas une arrrrtiste. Enfin, même si j’adorrrre la danse. Le Quidditch est toujourrrrs sympa à rrregarrrrder de loin. Mais pas forrrcément pour les prrrouesses sporrrtives.

Un petit clin d’œil passe par là, accompagner d’une petite moue.

- Il y a beaucoup d’étudiant qui vivent surrrr le campus ? ça aussi c’est quelque chose à décider je suppose.

Elle va y réfléchir Teddy, tout en regardant la brochure qui dépasse de son sac à main et qui présente l’université, ses cursus et ses résidences dans une superbe plaquette comme savent faire les sorciers. Et elle n’en sortira qu’en voyant la réaction du jeune homme et lèvera un sourcil. Ne perdant pas pour autant le sourire Colgate qui anime son visage depuis le début de cette rencontre.

- Des orrrrgies, de suite…

Excusons Teddy, qui encore une fois, à grandis dans une maison de joie. Alors ce n’est pas le Q-Ulte en soit, mais on ne sait pas si ce n’est pas franchement pire. Donc pour elle quand on mélange des hommes et des femmes ça ne peut menée qu’à une seule chose. Et ses pas les désagréments -ou avantage- de son statut d’hybride demi-vélane qui lui aura appris le contraire. C’est même tout l’inverse !

- Montrrre moi oui, je suis currrieuse de voirrrr la vie de ce campus. Parrrr contrrrre j’éviterrais bien les explosions de chaudrrrons. Surrrtout quand on sait pas ce qu’il y a dedans !

Et pour répondre à la partie concernant le repas elle aura poussé la barquette de plastique jusqu’à la poubelle, la laissant tomber dans un bruit sourd avant de faire suivre le paquet de noix et la boisson vide. Le tout avant de sortir un gel et d’en déposer une noix au creux de sa main pour les frotter tout en en proposant au garçon. S’en suivis le même procéder mais avec une noisette de crème cette fois de qualité sentant la fleur de cerisier. Aussi concentré qu’elle fût dans le nettoyage de ses mains cependant, elle ne pu que relever les paroles de l’élève en médicomagie. Relevant la tête pour le regarder dans les yeux, toute scintillante qu’elle pouvait être ou paraitre -parce qu’on ne touche pas à l’égo d’une demi-vélane sans en subir les conséquence- elle eu quelques mots pour lui répondre.

- Je suis le type de tout le monde. Standarrrrd de beauté ou pas. Les miens sont univerrrrsel.

Un nouveau clin d’œil et encore une fois le bisou dans le vide suivis du petit cœur ne sont pas loin. Parce que Teddy est parfaite, ou plutôt sa nature la rend parfaite. Et maintenant ce n’est pas lui qui pourra dire le contraire non plus.

- Envie de voirrrr ce que tu voulais me montrrrrrer ? La vie du campus, montrrre moi ce que Prrrrewett ne m’aurrrais jamais montré tant qu’à fairrre. Ou ce que je ne verrrais pas dans les brrrrochures !

Elle sauta presque de la table pour se remettre sur ses pieds, laissant sa jupe voler derrière elle et ce tournant pour mettre en vrac ce qu’il y avait à ranger dans son sac. Puis s’en retournant au garçon elle pencha la tête de côté.

- Aprrrès toi, Yi-Min.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

C’est la main sur la hanche avec une mine faussement -ou pas- outrée que Teddy va s’arrêter en fixant le jeune homme de haut en bas tout en ce décrochant la machoir pour bien marquée son expression, façon pimbêche qu’on soit clair.

- Tu va finirrr parrr me vexée.

C’est qu’elle ne sait pas vraiment si elle doit le prendre au sérieux ou pas. Et qu’en prime, avec toutes ses petites expressions auquel elle n’est pas habituée, elle commence à ce demander si il n’est pas à fond dans une forme de sarcasme bizarre. Mais en ayant Eiji pour demi-frère. Et les Romanov comme exemple de mâle dans sa vie -outre les clients de sa mère autrefois- ce n’est pas si étonnant que sa de voir le doute se dessinée dans sa tête. Ça ne l’empêchera pas pour autant de reprendre son sourire quand elle lève les yeux au ciel, laisse retomber son bras le long de son corps et commencer à rouler des hanches jusqu’à la porte.

- Qui a dit que tu étais spécifiquement visée ? Cela étant, je ne connais pas l’état de ta santé oculairrre.

C’est plus un ping pong d’aura, mais de « sourire petit cœur » ou bien des deux à la fois. Elle s’engouffre dans le couloir et ce retourne une fois face au mur pour ne pas le perdre de vu, tant qu’à faire.

- Bibliothèque et petit rrrecoin… Dans quel genrrre de plan tu m’embarrrque ?

Qu’elle notera en penchant une nouvelle fois la tête de côté, sans avoir l’air plus inquiète que ça non plus. Elle replacera son sac un peu mieux sur le pli de son bras et cintrera le chemisier qu’elle avait du mettre avec sa jupe par habitude. Le tout avant de rattacher la ceinture du manteau qu’elle avait ouvert pour sa pause déjeuner. L’Angleterre n’est pas si froide en comparaison des alentour de son école, mais bien plus humide.

- Effectivement j’aime la danse, mais peut-êtrrre pas de là a en fairrre mon currrsus scolairrre. Après si c’est une option viable…

On notera Zoé dans le cerveau commun et son sourire, la danse et le côté pimbêche sont des traits communs. Mais elle n’est pas là, Zoé. Donc on va la pousser vers sa quête et repartir avec Teddy. Cette dernière réplique cependant était plus pour elle-même que réellement adressée à son interlocuteur alors que son regard avait retrouver le vide quand elle avait replacer une mèche de cheveux derrière son oreille. Remontant le nez quand il mis de nouveau l’accent sur les études et les déficience académique de la Bulgare.

- ça dépend des familles rrriche. Chez cerrrtaines, c’est les apparrrences qui comptes. Ce genrrrre de soucis doivent être mis sous le tapis. Et de toute façon c’est pas une rrrréussite académique ou prrrrofessionnelle qu’on me demande.

C’est plutôt honnête dit comme ça, même si on sens une pointe d’humour qui doit dissimulée quelques petites choses à gratté en surface pour en voir le fond.

- Et toi, la médicomagie, c’est parrr passion, ambition ou prrression familiale ?

Parce que pour passer autant d’heure à travailler, faut vraiment avoir une bonne raison si vous demandez son avis à Teddy. Surtout que la médicomagie doit être la branche qui demande le plus d’engagement de la part de ses étudiants.

- J’aurais jamais devinée la médicomagie en te voyant. C’est parrr où ?

Qu’ils vont, parce que l’attention de Teddy est approximative, son sens de l’orientation complètement naze et donc très clairement elle compte sur lui à cent pourcent pour être son guide. Et le fait qu’elle l’a rencontrer y’a deux minute ne semble pas la perturbée plus que ça.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

- Haaaaaaan mais naaaaaaaan !

Teddy c’était exprimée avec une mine toute kawaï, allant attraper par la même occasion le bras du jeune homme l’instant avant de sortir tout en se pressant contre lui pour lui faire une petite moue ennuyée : ils ne sont pas là pour ce tiré dans les pattes ! Et même si ça tombe comme un cheveu sur la soupe. Parce que Teddy n’aurait juste pas pur réagir autrement que comme ça.

Le geste aura été coupé par la sortie de la salle et l’autotest oculaire que s’administra le garçon ce qui fit rire Teddy, un rire qui n’avais rien de discret ou de silencieux. Parce qu’elle c’était retourner et n’avait pas bouger d’un pouce, en revanche n’avait pas caché son amusement.

- Arf on va pas étudier un samedi de visite, non, non, non !

Et si lui met ses mains dans ses poches, elle qui est sans doute le plus tactile des personnages du cerveau commun, sera aller glisser de nouveau son bras dans le sien en tournant la tête un peu partout pour regarder. Il est probable que la situation soit uniquement dû à son manque de confiance en sa propre capacité à ne pas se perdre, même avec un guide. Ou bien, elle est juste comme ça.

A sa question, vu la vitesse à laquelle il changea de sujet, elle en profita pour ne pas répondre. Elle n’allait pas non plus dire que dans trois minutes elle aurait oublié où mélanger toutes les directions. Et donc de se retrouver au milieu du terrain de Quidditch avec un pot remplit de Mandragore pour les serres si on le lui demandait. Il part de loin, Eiji, s’il décide de « l’upgrade ». Elle agrémentera cependant chacune des directions d’onomatopée validant la présentation. Afin de continuer à rendre cette conversation aussi vivante que possible.

- Avec ton apparrrrence et la pointe de charrrrisme, le commerrrrce ? Ou la politique ? Ou un trrrruc du genrrrre. La médicomagie j’y avait une cousine. Elle était plus du genrrrre grrrrrosse lunette et la tête toujourrrrrs dans les livrrrre.

J’en enttend une qui vomis et ce marre et ce marre et vomis dans sa camisole de force. COUCHER OKSA ! Voilà… On va la rendre à Kai ~ (cœur).

- Aprrrrès… A voirrr tes test oculairrres hein…

Petit coup d’épaule au passage, petit rire aussi. Parce que fatalement pour continuer le chemin elle aura repris le bras du jeune homme et au final elle ne regarde pas vraiment par où ils passent et où ils vont. C’est peut-être elle qui aurait besoin d’un test oculaire ? Un nouvel éclat de rire sur le chemin… Elle ? Assistante d’un ministre ? Ou avocate ?

- ça a l’airrrr d’êtrrrre sacrrrrément de travail ! ça me fatigue rrrrien que d’y pensée.

WINK WINK. Elle fini de ce laisser entrainer dans un nouveau bâtiment, puis dans une salle pleine de miroir. Et c’est là qu’elle lui aura lâcher le bras. Pour laisser tomber son sac dans un coin et trottiner jusqu’au centre le plus au centre possible de la pièce et de la scène. Prenant le temps de s’observer par tous les angles disponibles des miroirs.

Qu’elle lui demandera avec un clin d’œil en faisant déjà glisser son manteau de ses épaules pour le lancer quelque part à proximité de son sac, en vrac. Avant de claquer deux fois ses mains pour faire démarrer une musique entrainante rythmant les mouvements des miroirs aux rythme de « boom-boom ». Bientôt calqué sur quelques mouvements de hanche.

- Et toi ? Tu danse ?

Poursuivit-elle en tendant sa main vers le jeune homme tout en continuant de ce laisser petit à petit porter par le rythme des basses au niveau de son bassin pour accompagner la musique.

- Il faut tester la qualité des équipements !

Ben ouai, la scène est-ce qu’elle glisse correctement ? Est-ce que la musique s’accorde à ses besoins ? Est-ce que la scène la mettra -ons- suffisamment en valeurs ? Et soit elle fera une démonstration toute seule en ce laissant porter par les notes de musique, soit elle sera rejoint par le jeune homme. Dans tous les cas, même si ça aurait été mieux avec un verre dans le nez parce que Teddy est une fêtarde, même au naturel ça reste sympa de relâcher la pression avec des inconnus dans une salle de danses au pif.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Elle aura réellement paniqué pour lui ! Saleté de petit bougre ! C’était marqué sur sa tronche à la blonde, sur qui on voyait l’inquiétude déformait les traits. Et elle n’était pas seulement tomber dans le panneau, elle n’avait pas juste marché ! Elle avait carrément couru, sprinté pour imprimer sa silhouette dans le panneau en le traversant pour bien noté qu’elle l’avait pris en pleine poire ! En commençant à vouloir l’aider à chercher par exemple, ou à avoir un peu trop d’empathie à son égard s’il avait vraiment perdu ses lunettes… L’éclat de rire l’aura ramener à la réalité et provoqué une petite moue à semi-boudeuse quand elle avait pressé son bras en signe de désapprobation avant de rire elle aussi.

- Cassé les clichés, c’est bien aussi je suppose.

Qu’elle agrémentera, regardant encore moins là où ils vont sur le chemin. Bien trop occuper par ses expressions. Une fois dans la salle de danse, le beats lancer, elle se sera lâchée de plus en plus sur la musique entêtante jusqu’à lancer une invitation. Parce qu’on ne laisse pas « bébé dans un coin » ou un truc comme ça, d’après un film moldu célèbre.

- Surrrrprrrrend moi, un médicomage c’est censé êtrrre habile non ?

Et elle va le regarder faire un petit instant, sourire aux lèvres. Battant toujours le rythme de ses hanches même si elle reste statique en partie pour le regarder petit à petit ce dé-(b)ridé. Le sourire s’élargira quand elle le verra ce lâcher petit à petit. Et quand il lui tendra la main, elle l’attrapera pour aller se coller directement à lui, son dos contre le torse du jeune homme pour accompagner de nouveau mouvements de danse au rythme de la musique.

Conduire, ou par moment se laisser conduire. L’un ou l’autre ou bien les deux, tant que le moment reste sympathique à partager. Porter par la musique, Teddy ne pense pas à la sensualité des mouvements ni à ce qui pourrait « parraitre » contrairement à tout ce qui lui aura été enseingée depuis l’enfance. Elle ce laisse juste aller dans la démonstration autant que dans le partage des beats de la musique avec Yi-Min, qui, se trouve être un pas si mauvais danseur que ça.

Et une fois que la musique s’arrêtera, elle laissera sa tête tomber en arrière sur l’épaule du jeune homme le temps de reprendre un peu de son souffle, avant de ce détacher pour s’avancer jusqu’au bord de la scène et s’y laisser tomber. Assise d’abbord, puis elle se laissera tomber un peu plus en arrière pour s’allonger à demi, quand ses jambes reste dans l’angle de la marche, une main sur son ventre.

- Surrrrprrrrrenant médicomage. Tu t’en sorrrt plutôt bien, même sans lunettes ! Un peu rrraide. Mais ça ce trrrravail.

Elle fait passer le bout de sa langue entre ses dents, parce qu’elle ne la tirera pas comme d’autre pourrais le faire. Mais sa moue taquine ne cache rien de sa pensée.

- Bon la salle de danse est validée. T’a encore de l’énerrrrgie ?

Elle aura tourner la tête, ou tendu le cou pour le regarder.

- D’autrrrre surrrrprise dans l’univerrrrsité ?

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

C’est en reprenant son souffle, laissant sa poitrine se soulevée au rythme de chacune de ses inspirations, que Teddy aura continuer à sourire. Fixant d’abord le plafond avant de tourner les yeux vers le jeune homme. Ses cheveux éparpillés sur cette scène qui lui servait de dossier à l’horizontal, une main sur le ventre et l’autre retourné au niveau de son front, cachant quelques peu de ses yeux.

- C’était trrrès bien, je te taquine voilà tout.

Aura-t-elle ajouté, ne tenant pas à le véxé ou bien à blessée ses sentiments de quelconque manière. Après tout, grandir dans un monde de sarcasme et de passive-agressivité forge parfois un caractère qui n’est pas toujours sympathique à l’oreille de tous. Et si les taquineries n’étaient pas faites pour être mesquines, elle pouvait celons l’oreille qui les entendait, paraître l’être.

Teddy releva le regard pour observer le changement d’ambiance, de couleur. Fermant les yeux pour laisser les notes de musiques, plus douce, arrivée à ses oreilles tout en fredonnant légèrement. Ses zygomatiques toujours étirée finement. Le bras sur son visage glissant mollement jusqu’à s’étendre le long de son corps, dans une sorte de miroir de la gestuelle du jeune homme. Elle ouvra de nouveau ses paupières pour observer l’arc en ciel de couleur d’un air semi-distrait. Avant de se mettre de côté en plaçant cette même main sur son visage pour s’appuyer dessus, le coude poser sur le bois du parquet de la scène. Le regard tourner vers les traits du visage immaculée du garçon.

- Oui, pourrrrquoi pas. Si je dois décider de m’y installer ou pas l’année prrrrochaine autant voirrrrr la qualité des chambres prrrroposer ici et de ce qu’on trrrrouve dans les parrrrties communes.

Elle marque une courte pause, comme si elle réfléchissait, jouant distraitement de sa seconde main avec une mèche de ses cheveux.

- Tant qu’il n’y a pas d’explosion de chaudrrrron impliqué !

Le sourire s’élargit, encore une fois et elle pivote pour ce remettre en position assise, passant ses cheveux par-dessus son épaule gauche pour libérée complètement le côté droit tout en continuer de jouer avec une mèche, le visage tourné toujours vers le jeune homme par-dessus son épaule.

- Il y a souvent des fêtes parrr ici ? Où c’est aussi étrrrriqué que les établissement d’enseignement secondairrrre ?

Il est sans doute un peu trop tôt pour penser à faire la fête. Et techniquement, le lendemain, elle devra être en pleine forme pour une mission à Marrakesh avec Roxane Eagle et les jumeau Scamander, mais ça, elle l’apprendra sans doute plus tard dans la journée. Donc ça ne sera pas un frein à ses ambitions de découvrir tous les attraits d’une vie d’étudiante universitaire.

- Et puis tu pourrrrrais me faire ton café glacée après cette première session de danse. Il parrrait que c’est bon pour l’énerrrrrgie.

Le petit clin d’œil partira, parce que si ce n’est pas soulevée, les échanges des auras se serons sans doute intensifier avec la danse. Et si ça picote chez le Succube, du côté de la demi-vélane ça accentue encore plus son caractère séducteur et sa tendance au flirt. Bien qu’elle ne se rende pas forcément compte qu’effectivement, l’aura est en marche. Mais ils auront tout le loisir de s’en rendre compte -ou pas- s’ils sortent d’ici et croise du monde. Après tout, l’une comme l’autre des auras ont tendance à attiré l’attention. Mais tant que personne ne ce présente comme le futur ministre de la Magie ayant défait trente-six dragon à Teddy, ça devrait aller ?

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

On ne va pas se mentir, à voir toutes les petites moues et réactions de Yi-Min, toutes les ponctuations qu’il aura tant quand il parle que quand c’est elle qui a quelques mot… Elle lui aurait bien fait un gros câlin Teddy en lui ébouriffant les cheveux comme on le ferais pour quelqu’un qui à l’air particulièrement attachant. Mais l’instant étant passée, ça n’est sans doute que partie remise. Parce qu’elle mentirait si elle ne décrivait pas une certaine attraction, un peu comme une mouche autour d’une forte lumière si on devait écouter les métaphores de Zoé. L’effleurement aura été un touché aussi fugace qu’il avait tout de même laisser une trace chez la jeune femme, ce qui expliquait sans doute son innocent besoin de bouger, changer de position une fois de plus.

- C’est possible ça ? De trrrouver LA meilleurrrre chambrrrre ? Et puis, on ne sait pas dans quel rrrrésidence je pourrrrrrais êtrrrre envoyé. Ça ce desside comment d’ailleurrrrrs ? C’est toujourrrrrs flou leurrrrrs truc de rrrrépartition.

Ici ou bien à Poudlard si vous voulez son avis. Mais philosopher sur l’évolution d’une personne et le fait que voir quelques-unes de ses caractéristiques ne peut pas définir la personne qu’elle deviendra, sauf justement en la forçant dans la-dites case… ça va l’a faire paraitre plus intelligente qu’elle ne prétend l’être. Et comme son rôle de potiche blonde façon bimbo est son armure à elle… Encore une fois, n’allons pas gratter trop sous la surface !

- Tu fait de la couturrrre aussi ? Je m’inquiète autant des furrrroncles d’une potion mal prrrréparrrrrer que de la calcination de la soie. - Aura-t-elle répondu avec une petite moue. Mais du coup, j’ai déjà un prrrremier contact pour les petits et grrrros bobo ?

C’est le retour du sourire après la moue, dévoilant ses dents blanches et un regard pétillant qui cherche à rester ancré dans celui du jeune homme.

- Dans ce cas, on rrrrisque de ce trrrrouver entourrrer d’inférrris. Voilà qui rrrrisque d’être intérrrressant.

En parlant des stigmates de soirée de la veille. C’est que c’est tout de même important, de la vie. Et comme elle n’aura pas tellement pu profiter de ses années à Durmstrang pour expérimenter avec la surveillance constante des Romanov, quitte à continuer ses études -peut-être- autant le faire ici, l’expérimentation ? Il parait que chez les moldus, ça sert justement à ça l’université. C’est du moins l’un des arguments de Melissandre. Le plus gros point négatif ? La présence tant de Lazar que de Raissa. Et sans doute le haut de sa liste de « contre » pour intégrer l’université.

C’est un pincement de lèvre qui remontera en une bouille du genre « mignon » qui effacera la pensée du moment alors que Yi-Min replace une mèche oubliée derrière son oreille Elle ne s’en mordra pas la lèvre, mais l’éclat dans son regard qui fixe toujours le sien ne doit pas mentir sur ce qui lui aura traversé l’esprit. C’est que l’aura de succube ça se ressent même quand on ne s’en rend pas compte !

- Merrrrci d’y avoirrrr pensé pourrrr moi. – petite pause, le temps d’en revenir au festivité universitaire. Pauvrrres elfes ! Quoi que, on les paye parrr ici maintenant je crrrrois.

Par ici, chez les Anglais. Parce que vous imaginez si en Europe de l’Est on commençait à être aussi laxiste qu’en Europe central ? Ce serait l’anarchie ! Voilà une autre phrase qu’elle entend souvent chez les Romanov. C’est un tout autre discours chez sa sœur cependant, depuis qu’elle a commencé à y vivre.

- Je ne rrrrefuse jamais de nouvelles expérrrrience.

Parce qu’on ne prend pas trop de risque avec la façon dont on boit un café de toute façon. Mais si lui traine ses syllabes en longueur, elle parle autant avec ses expressions faciales qu’avec ses mots laissant le doute plané sur le véritable sens de ses mots, bien que ça ne soit pas forcément conscient encore une fois.

- Ah ben non ! Si je te perrrrd je fait comment pourrrr retrouvé mon chemin !

Ponctura-t-elle avec quelques pas devant lui avant de se retourner et d’aller… Lui attraper le bras de nouveau, parce qu’il faut croise que chez Teddy, marché en s’accrochant au bras de la personne avec qui elle est c’est une habitude. Elle l’aura fait bien sûr après avoir attraper son sac à main qu’elle aura laisser glisser sur son avant-bras en coinçant le manteau dans l’accroche des hanses par flemme de le remettre plus qu’autre chose.

- Les résidences donc… Elles sont loin ? On y trrrrouve quoi exactement ? Tu va avoirrrr une chambre à me montrrrrer en exemple ?

Ne doutons pas qu’il doit y avoir encore d’autre question de formulée, Teddy peut-être un véritable moulin à parole ! Et c’est toujours guilleret, le sourire aux lèvres et bousculant le jeune homme avec douceur, les deux mains sur son bras et sans aucune pudeur du au fait qu’après tout : ils étaient des inconnus il y a quelques minutes encore, qu’elle va suivre ses pas d’un peu trop près. Mais elle est aussi comme ça Teddy.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Est-ce que Teddy avait eu une réaction à la proximité entre eux ? Qui, finalement, avait passer tout le trajet ou presque collé, ou pas bien loin. Pas le moins du monde ! Pour elle, c’était normal en fait. Il n’y avait rien de choquant là-dedans. Rien de spécial, juste deux personnes penchées sur un prospectus de l’université en discutant gaiement de ce sujet tout en échangeant des regards, des moues et quelques gestes pour bien appuyer la conversation. Car si lui était plein de petites expressions bien à lui, auquel Teddy commençais doucement à s’habituer tout en essayant de ce les traduire, elle non plus n’était pas en reste sur le sujet avec sa tête de blonde, ses yeux parfois rond et vitreux qui notais une pause trois petit point dans son cerveau, sa bouche qui formait des « o ». Ou même quelques onomatopées qu’elle ajoutais à la conversation.

- Colocataire ? C’est aléatoirrrre ou tu l’a choisi ? Imagine si tu tombe surrrr quelqu’un qui pue !

Une remarque des plus pertinente ! Du moins, dans sa tête. Qui lui aura fait passer de la grimace à un visage choquée ou bien l’inverse. Et c’est principalement quand le sujet des « résidences » sera abordé qu’on aura droit à toute sorte de réactions, de « oh » et de « ah ». On pourrait faire la blague aussi : pourquoi les blondes ont la lèvre inférieure gonflé, les oreilles décollées et le front plat ? Et pour la réponse, on la verra passe son index pour pliée cette lèvre inférieure. Remettre une mèche derrière son oreille. Mais elle n’en est pas encore à se taper le front avec le plat de la main. Bientôt, peut-être.

- J’en sait fichtrement rien. Je ne suis pas vraiment truc de nature et tout. Les duel… Disons que faites l’amour pas la guerre ? Une boite de capote coûte moins chère…

Et on va couper la phrase ici, parce que la bombe nucléaire n’existe pas dans ce monde. Donc on s’imaginera que la phrase sera adaptée à l’image des sorciers ? Dans tous les cas, on en aura compris l’idée !

- Haaaaaan et il se passe quoi si tu rrremplit aucune des cases ?

Ben ouai, c’est vrai ça ! D’ailleurs en le demandant elle aura relever les yeux avec un air à moitié paniquée légèrement exagérée.

- ça ce trouve je serais obliger de me caché clandestinement surrrr le campus. Donc je vais essayer de me souvenirrrr du chemin jusqu’à ta chambrrrre !

Ben ouai ! Si elle coche aucune case… Et qu’on ne sait pas où la mettre ! Remarque, c’est quelque chose dont elle à l’habitude.

- Mais c’est toujourrrrrs mieux que les classement de Durrrmstrrrang qui stigmatise les élèves et les enferrrrmes dans des caste en fonction de leurrrrrs notes. Une fois que tu es catalogué en bas c’est prrrrresque impossible d’en sorrrrtirrr. C’était comment à Mahoutokorrrro ?

Et on imagine qu’il a du lui expliqué où trouver le temps de le faire pendant cette marche jusqu’au bâtiment devant lequel elle lèvera le nez de la brochure pour la première fois depuis qu’ils l’avaient sorti pour la regarder.

- De vie ? - C’est de ça qu’il manque le batiment ? Et de couleurs !

Qu’elle aura ponctué en plaçant l’index devant son visage comme quelqu’un pris d’une certaine révélation ou quelque chose comme ça. Geste qui s’arrêta quand elle laissera ses bras tomber le long de son corps et regardera Yi-Min avec une véritable tête de chien battu.

- Tu vas m’abandonner aux inféris ? J’étais ravie de te rencontrer Yi-Min.

C’est une telle tragédie ! En tout cas, ça sonne tout comme. Mais si c’est s’absenter qu’il veut faire, elle ne va pas non plus sortir des admoniteurs. De toute façon, elle n’en a pas. Non, elle à ses yeux de cocker et les battements de ses cils.

- Mais si c’est vrrrrraiment pour me prrrrréparrrrrer une nouvelle expérrrrrience surrrrrprrrrrise… Mmmmmh… ça se discute. Parrrrr contre je te garrrrrantis pas qu’entrrrrre temps je ne vais pas me perrrrrdrrrre quelque part. C’est même trrrrrès prrrrrobable !

Entre le doigt qui s’appuie sur son menton avec son regard un peu vide penché sur le haut. Sa tête qui exagère une forme de « peur » et le retour des yeux de cocker pour finir par un sourire, on ne manquera pas de noter le fil de sa pensée. Pas besoin d’avoir un doctorat en observation pour lire en elle comme dans un livre ouvert.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Il y a certaine personne avec qui il est facile de s’entendre tout de suite. Pour Teddy, qui est tout de même de nature sociable voir même parfois carrément naïve à s’ouvrir un peut trop facilement, ne serait-ce que par son caractère tactile, il n’avait pas été difficile de se rapprocher de Yi-Min avec qui l’entente semblait plutôt bien passé. Outre les échanges gentillets de leurs aura respective qui devait tout de même peser leurs poids sur le partage qu’ils avaient depuis qu’ils c’étaient croiser dans cette salle de classe, il y avait aussi une certaine facilité tant dans la communication verbale que non verbale qu’elle voudrait bien reconnaitre si on lui posait la question. Mais avec le degré d’asocial peuplant notre petit monde, il faut bien contre balancer avec des opposée ! SI non, on n’avancerait pas.

- C’est mixte ou il mette quand même par genre dans les chambres ?

La question pouvait semblait un peu stupide et entre son exemple et celui de ses amies, Teddy aurait pu faire la déduction que tout de même, on n’allait pas pousser le vice avec les moins de vingt-cinq ans sortant tout juste de l’adolescence en découvrant le monde en dehors des murs de leurs maisons familiale ou bien d’internat plus sévère. Elle aura eu une petite réaction quand le jeune homme lui aura ébouriffé les cheveux baissant légèrement la tête en riant avec légèreté. Elle aura même placer un index inquisiteur pour aller lui titillée les côtes avant de répondre à sa grimace en passant une nouvelle fois sa langue entre ses dents sans la tiré vraiment.

- Tu va quand même pas me validé le cliché qui dit que tout les asiatique, à ma connaissance, ont une poutrrrre dans le rrrrectum ?

Pardon à son frère, hein. Mais c’est clairement à lui qu’elle pense quand elle va dire ça. Bon, Iwao n’a pas sa poutre dans le rectum, mais ce n’est pas la question. Et petit boost d’égo au passage pour le voisin de palier et son sourire en coin qui aura ouvert un œil dans le cerveau commun.

- Je suppose oui, je suis pas vrrrrraiment spécialisée dans quelque chose mais bon ça viendrrrrra peut-être ? Toi du coup ça doit êtrrrrre tout ce qui est médicinal, la métamorrrrrrphose aussi ? Générrrrrralement ça va ensemble non ? C’est des sorrrrrts complexe !

Qu’elle aura relancer, sous entendant que pour elle les médicomage était des têtes, très probablement du moins. La métamorphose et médicomagie étant reconnu, après tout, comme les terrains les plus complexes de la sorcellerie.

- Si ton lit est vide, je pourrrrrrais le squatter pourrrrr échapper aux classes les plus barrrrrbantes, moi je trrrrrrouve que c’est un bon deal !

Elle écouta ensuite ses explications sur le fonctionnement de Mahoutokoro avec un certain intérêt, qui lui semblait d’ailleurs tout à fait cohérent. Ne sachant pas cependant que là-bas l’école commençais plus tôt on pu voir à la réaction de son faciès ou bien à ses onomatopée la surprise d’apprendre que les plus jeunes étaient libre de rentré chez eux.

- Mahoutokorrrrrro n’aime pas la paix ou la ferrrrrtilité ? C’est ce que représente le blanc. Du moins, par chez moi. Je suppose que c’est différrrrrent là d’où tu viens du coup. Mais ça reprrrrrrésente surrrrrrtout le courrrrrage.

Est-ce que Teddy avait un intérêt particulier pour les couleurs ? Oui et non, en Bulgari les bâtiments avaient tendance à être coloré et les architectures très différentes. C’est sans doute pour ça d’ailleurs qu’elle trouvait les lieux ici ternes et sans réelle saveur.

- Je sais pas si tu es déjà aller là d’où je viens, mais chez nous les bâtiments sont beaucoup plus colorrrré, même sans vie on dirrrrrait qu’il y en a parrrrr la vivacité de l’arrrrrchitecturrrrre. Il faut le voir pour comprrrrrendrrrrre.

Mais en réalité si elle avait dit ça, c’était surtout une tentative de plaisanterie en reprenant leurs arguments respectifs un peu plus tôt dans la salle de classe, plutôt que l’envie d’exposer son point de vue. Ce qu’elle ne relèvera pas pour autant.

L’instant de la moue et de la fausse panique passé, il semblerait que Yi-Min ait abandonné ses idées de préparation pour plutôt accompagner Teddy dans une mission de furtivité à travers les quelques salles de la résidence dans le but de rejoindre le premier étage sans encombre. Serrant sa main dans celle du jeune homme sans s’offusqué outre mesure qu’il l’ai prise, puisque le but après tout était d’éviter les inféris encore endormis en plein décuvage. Elle avait donc acquiescé. Et sur le chemin on aura pu voir les exagérations de leurs missions façon 007 dans sa gestuelles et sa façon d’exagérée ses pas feutrée. On vit tout de même quelques âmes remuée, perturbé sans doute dans leurs sommeils par la présence des deux auras qui devait titillée leurs sens et l’alcoolémie dont ils se remettaient. Plaçant tout de même sa main de libre devant son nez, l’odeur de bière n’était pas forcément des plus agréable. Elle lui arracha même une grimace. Les tableaux d’étudiant devant lesquels ils passèrent cependant lui firent lever les sourcils plus d’une fois tout en accentuant son sourire. Visiblement, passé une certaine heure il doit être complexe de monter dans les étages pour rejoindre les petits appartements étudiants !

- Une cuisine commune ! Voilà qui doit être intérrrressant pour découvrrrirrrr des plats du monde entier… Ou déclencher des guerrrrrres !

Plaisanta-t-elle en enjambant une jambe, un bras, ou quelque chose par là qui était à moitié caché sous le tapis qui visiblement servais présentement de couverture. Répondant à l’espièglerie de Yi-Min en lui renvoyant une image similaire le chemin dû ce faire sans trop d’encombre, reste à voir si des âmes connus avaient été croiser au sein de la résidence.

Découvrant la petite pièce qui servait de refuge au Coréen, la curiosité de Teddy pris le pas sur la bienséance, comme souvent. En y entrant elle alla de suite observer les cadres photos. Il faut croire que la règle du « on touche avec les yeux, pas avec les mains » ne s’applique pas à la demi-vélane qui était emprunte à une véritable investigation de tout ce qu’elle pouvait trouver en surface.

- Haaaaaan c’est trrrrop mignon ! C’est tes parrrents ? Ooooh juste de voirrrr tout tes livrrres j’en ai mal à la tête ! Comment tu fais pourrr dormirrrr au milieu de tous ses parrrrchemins ! Je comprrrrend pourrrrquoi t’a prrréférrrrré une salle de classe !

Elle prenait les cadres entre ses mains, pour les replacer ensuite, commentant sans doute ce qu’elle y voyait que ce soit les scènes à Mahoutokoro ou ce qu’elle pouvait y voir. Elle fis de même avec les artefact, demandant parfois ce que c’était ou à quoi ça servait ou bien d’où sa venait. Visiblement, plus curieuse de découvrir l’univers du jeune homme que l’université en elle-même et avec, comme certain dirais, un certain caractère « sans-gêne », même si elle n’allait pas non plus se mettre à ouvrir les tiroirs pour regarder dedans.

- Et du coup c’est quoi que tu voulais prrréparrrrer ? On peut le faire ensemble si tu veux !

Qu’elle avait fini par dire en laissant tomber son sac sur le sol dans un bruit sourd au même moment où elle avait laissé tomber son postérieur sur le lit tout en tournant de nouveau les yeux vers le jeune homme.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Je tiens à préciser que Teddy à légèrement bugué et à m’excuser platement pour la suite de conneries qui risque de suivre. Sans compter le craquage mental de sa joueuse qui est à bout de nerf à force de ce faire insulté à longueur de journée. Ceci étant posé par-là, nous pouvons commencer le airpé de préférence par le début.

Ce que Teddy essayait de faire ? Ben visiblement, rien qui marche ce qui expliquera la moue boudeuse -fâchée qui suivra et qui lui donnerais presque trop l’air d’un dessin animé ce qui est déjà réservé par une de ses voisines de palier.

- Haaaaan ! C’est pas juste ! Faut que je trouve où ça marrrrrrche alorrrrs !

La connerie est sortie, ne la relevons pas parce que je vous assure qu’elle s’imagine les pieds ou des zones de chatouilles normales et rien de plus. Mais comme sa joueuse, encore une fois, est au bout de sa vie elle détecte bien les doubles sens de sa bimbo blonde un peu concon de personnage. En plus, Yi-Min il est vraiment trop KAWAI.

- Je l’a vois pas… Mmmmh c’est toi le doc’, donc je te prrrrroposerrrrrrais pas d’auscultation. Surrrrrrtout là.

Là ? Au milieu d’on ne sait pas où ? Ou là, dans le rectum ? On va laisser ça à l’appréciation des joueuses et pas forcément entré dans les détails non plus. Que Yi-Min est un cul agréable à regarder ou pas n’étant pas la question. Et le voilà ! Le gros calin ! Quand Teddy passe ses deux bras autour de la taille du jeune homme, et on imagine pas la démarche si c’était quand ils étaient au milieu des escaliers ! Le tout pour…

- Haaaaaaan Mais naaaaaan ! C’est juste que mon dem…connaissance à moi m’a donner un mauvais exemple surrrrrement ! Son cousin un peu moins… Quoi que si quand même… Huuuum c’est compliqué !

Demoiconnaissance Teddy ? Oui on à bien vu la vois trainé en longueur pour que tu te rattrape aux branches comme tu pouvais. C’est pas grave, personne dira rien.

- NEUVIEME ANNEE ?!!!!!

Bon là, ne doit pas y avoir que les auras qui risque d’avoir fait lever quelques paupières. Tout ce qui avait été dit avant avait provoquer des acquiescements et des « ooh » « ah oui je vois ! » mais ça… ça l’aura poussé à l’exclamation et les traits déformé par le choc de son visage son particulièrement sincère, tout comme l’agrandissement de ses yeux.

- La vache ! Mais quel enferrrrrr… Neuf ans à Durmstrang je me serrrrrrais pendu déjà !

On va l’a laissé s’en remettre et levé un sourcil. Colocataire ? Ah oui c’est vrai ! Il à un colocataire, elle avait déjà oublié. Elle ne l’a pas rencontré donc il n’existe pas.

- Nan… J’aurrrrrrais du ? Il est mignon et sympa ?

Le « comme toi » ne suivra pas, même si la joueuse était très tentée de l’y glissée. Et puis, fallait bien qu’elle entre dans son jeu ! Donc l’intonation y sera à fond. Aux explications et comparatif du blanc, elle n’aura qu’acquiescée encore une fois en prenant ce qu’il y avait à retenir des informations partagées par le jeune homme. Elle ne donnera pas d’avis, elle n’a pas forcément à en avoir. Mais c’est toujours bon à savoir pour éviter de ce pointé un jour si Eiji l’invite en robe blanc immaculé par exemple, n’est-ce pas ? On ne dira pas qu’elle croit encore au père noël, au passage.

S’en suivra la découverte de la chambre qui aura déjà été détaillée. Et les petits commentaires sur ce qu’elle regarde ou touche, tant avec les yeux qu’avec les mains du coup.

- Voilà une perrrrrspective qui me vend l’univerrrrrsité plus que le rrrrreste ! De nouvelles rrrrrencontre, avec la possibilité de ne plus voirrrrr cerrrrrrtain anciens camarrrrrrades de Drrrrrurmstrrrrrrang ? ça m’irrrrrais trrrrrrès bien !

S’éloigner de l’univers des Romanov, mais elle ne va pas le formulée à voix haute, voilà son objectif. Car en porter le nom amène quelques obligations même si elle n’en a pas les gênes. On l’a dit, le paraitre avant tout. Soit belle, tait toi et fait ce qu’on te dit quand tu peux nous servir.

- Peut-êtrrrrre mais ton lit doit êtrrrrre quand même beaucoup plus conforrrrrtable !

L’éternel débat de ceux qui travaillent trop ? Le confort, ou s’étaler juste là et s’en foutre ? Teddy choisira toujours le confort. N’en doutons pas.

- Ah non ! Pourrrr cette fois, je suis d’accorrrrrd avec la décision d’avoirrrr choisi la salle de classe. Tu ne pouvais pas manquer une rencontrrrrre comme moi. Ça aurrrrrait été forrrrrt domage.

Bisous, cœur, cœur et boost d’égo.

- Je crrrrois que je devrrrrrais m’en sortirrrr.

Elle aura quelques petits coups d’œil vers lui, pour suivre son cheminement vers la salle de bain pendant qu’elle se dirige vers les placards qu’il aura indiqué pour sortir le nécessaire à faire le café. Les coups d’œil se transformerons en un bug de quelques instants quand elle s’apercevra que la porte n’est pas tout à fait fermée et lui laisse l’occasion d’avoir le regard qui traine. On le verra, encore une fois, le levé de sourcil, la tête qui penche de côté et le petit sourire en coin. On notera aussi que ce n’est jamais une bonne idée quand on a la main à plat sur la plaque en train de commencer à chauffer pour le café. Parce que… ça brûle ! C’est un juron qui lui échappera, étouffer par le fait qu’elle serre les dents et remue sa main d’avant en arrière comme pour l’aérer, ce qui ne sert absolument à rien. Elle allumera l’eau -froide- pour passer sa main dessous pendant que l’expresso coule et avant qu’il ne réapparaisse. Et aura aussi eu le temps d’entourer sa main dans un chiffon qu’elle aura trouvé par là.

- Mmmh ? Voui.

Oui elle va attrapper le pull en tournant un regard plein de malice vers Yi-Min qui passera de ses iris à ce qui pourrais être encore découvert, un sourire de « chat » sur le visage et un petit spasme au niveau du sourcil pour noté la malice quand elle lui tend le vêtement.

- J’adore ! T’a des beaux bijoux, tu me montrrrre ? Si t’en a d’autrrrre ?

Diamond are a giiiiirl best frieeeeeeend ♫ On va le chanter en Coeur, c’est Teddy, forcément. Elle n’est pas au niveau d’une Niffleur-Tsune dès que ça brille, mais ça ne l’empêche pas d’être attirée.

- A peu prrrrès, je crrrrois. Je fait pas souvent du café donc tu me dirrrra si il à pas brrrrûlé.

Parce qu’il est tout à fait possible de faire brûlé du café, et qu’elle n’est pas souvent ou jamais à la cuisine Teddy. Je ne suis même pas certaine qu’elle ait déjà fait du café dans sa vie. Par contre ce qu’elle fera c’est s’approcher de Yi-Min qui se recoiffe pour poser ses mains sur les siennes -l’une toujours entourré du chiffon humide- pour les pousser comme on pourrais le faire à un enfant et commencer à elle replacer ses mèches de cheveux.

- Voilà ! Là t’est badass. Du coup tu prrrend la suite c’est ça ?

De la préparation ? Parce que « Iced Americano » ça ne doit pas juste être un expresso ? Si non il l’aurait juste appeler « expresso » non ?