Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Onze ans… En incluant les ASPIC : onze ans. Elle ne va juste pas s’en remettre ! […]

La bonne odeur de shampoing et de savon déposer sur ses mains, Teddy admira son travail avec fierté un petit instant. Non sans avoir un mouvement de surprise quand le jeune homme lui attrapa le poignet au vol qui se retranscrit par un léger mouvement de recul, qui dura une demi-seconde à peine et devait être à peine perceptible. Le tout avant de passer son autre main à l’arrière de sa tête d’un ai gênée de la blonde qui est un peu gourde.

- J’ai tout gagner aujourrrrd’hui ! Un guide, une visite et des soins grrrratuit ! Décidément, j’ai bien choisi l’endrrrroit pourrrr parrrrtager ma salade.

Rafraichit ? Elle marque une pause, son regard partant légèrement de côté comme pour noter la réflexion.

- Je l’ai mis sous l’eau et j’avais mouillée le chiffon.

Elle n’est pas tellement douée pour les soins non plus, Teddy. Que ce soit version sorcier ou pas ce n’est pas vraiment sa tasse de thé.

- Ah les fameuses lunettes !

Avait-elle ponctué en ce faisant « trainer » près d’une commode avant de s’asseoir à son tour sur le bord du lit pour laisser le médicomage faire son « travail ». En revanche elle n’a pas spécialement l’envie d’expliquer le pourquoi du comment, parce que bon…

- C’est la buée qui m’a rendu aveugle. Un peu comme un effet de fumigène ? Ou alors je voulais simplement voirrrr.

Voir quoi ? On ne sait pas… mais finalement elle en a trop dit, ou pas assez. Et le tout avec une pointe de malice quand elle ne quitte pas le visage de Yi-Min des yeux. Parce que si son aura de vélane à elle le titille et lui donne envie de plaire, elle n’est pas en reste avec l’aura de Succube qui ne rend pas seulement le jeune homme séduisant mais également attractif. Pour autant, ce qui suivra pourrais peut-être surprendre.

Elle aura observé les expressions faciales du garçon plus que ses gestes pendant toute la durée du soin. Et pour une fois, elle n’aura pas été une véritable pipelette. En revanche elle sera reconnaissante quand il aura fini et qu’il y aura mis la douceur nécessaire.

- Mrrrrerci Yi-Min, t’es a-do-rrrrrable.

C’est un bisou qu’elle viendra déposer sur sa joue, en toute innocence pour appuyer ses remerciement.

- T’a l’airrrrr bien garrrrrnis ! – en bijoux – N’empêche pour en rrrrevenir au dorrrrrtoirrrrr mixte, c’est vachement arrrrrchaïque. Surrrrrtout que ben… Ils ne prrrrrennent pas en compte la sexualité des gens en fait. Ça ne t’a pas mis trop mal à l’aise ? Il doit pas être à trrrrrop à ton goût ton coloc du coup !

Ah ! Pardon… Habituer à la masculinité toxique, principalement par les hommes Romanov… Teddy est persuader d’avoir trouvé le futur « meilleur ami gai » de la « potiche blonde » qu’ellle est. Ou quelque chose comme ça. C’est triste d’ailleurs…

- Pourrrrrquoi les mec les plus gentils et les plus mignons qui en plus savent danser sont toujourrrrrs gai ?

Tourner sept fois sa langue dans sa bouche ? Elle devrait, mais elle ne sait pas faire. Alors ça aura été sorti dans un soupir pendant qu’elle se tournais pour attraper la boite à bijoux et commencer à regarder un peu ce qu’il y avait dedans. Jusqu’à sortir une bague qui visiblement lui avait taper dans l’œil plus vite que les autres.

- Haaaan elle est trrrrrop belle celle-là ! Tu l’a acheté où ?

Date : 25 janvier 2025
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Est-ce que Teddy c’était attendu à une telle réaction ? Vraiment pas ! Au point qu’elle en aura ouvert grand les yeux. Que ses joues se seront teintées de rouge et qu’elle sera rester comme un rond de flanc à le regarder d’un air hébété. Pour bien comprendre la logique de la jeune femme, il faut savoir qu’elle à grandit en grande partie dans une maison de joie où sa mère travaillait. Protéger cependant par celle-ci pour ne pas avoir à mettre ses courbes aux services de la finance. Ça ne l’aura pas empêché de voir un défilement des pires hommes qu’on puisse croiser dans le monde des sorciers. Surtout que, rappelons que le côté demi-vélane viens de sa mère ! Ensuite, il y aura eu les Romanov : que ce soit celui qui apaprait comme étant son « père » sur son certificat de naissance, son vrai fils Lazar ou bien son oncle Dragoromir. Et à eux trois je peux vous garantir qu’ils en tiennent une couche en termes de masculinité toxique ! On pourrait parler d’Eiji, même si ce n’est pas non plus un gros con. Mais il reste tout de même le mec badass, mystérieux et avec un caractère de cochon et un esprit très directif. Et Iwao, certes son plan cul, mais quand même macho on ne va pas se mentir ! Et en conclusion, on terminera tout simplement par les mœurs en générale de l’Europe de l’Est chez les sorciers qui sont très loin d’avoir autant évoluer que le reste de la société mondiale moldu et sorcière en termes de féminité. Parce que si on trouve les sang-pur et familles de Noblesses un peu partout archaïque, je ne vous raconte pas ce que ça donne chez les Baklava ! Et sans avoir besoin de faire parti des familles de noblesse !

Donc effectivement, elle c’était visiblement fourvoyer à voir comment le jeune homme avait réagit avec virulence et semblait s’être vexé comme un pou en ce relevant d’un bond. Pourtant, elle ne pensait pas à mal. Et c’était même basée sur un gros compliment : pour une fois elle avait l’impression qu’un homme n’était pas juste un gros con. Un sacré changement !

Gênée par la situation elle avait fini par prendre un air relativement triste, les sourcils tournés vers le haut de son visage cripsée quand elle se mordit la lèvre inférieure avec un peu trop d’insistance en l’écoutant tout en ce recroquevillant sur elle-même. Voilà qu’elle devait avoir tous gâchée de leurs rencontres ! Mais quelle blonde ! Quelle idiote ! N’avait-il pas sous enttendu plus tôt pourtant qu’elle n’était pas son type ? C’était d’ailleurs à ce moment là qu’elle avait commencer à se faire cette conclusion : Teddy est une demi-vélane, par définition c’est le type de tout être attirée par la gent féminine.

- Pa… pardon Yi-Min… Désolé. Je voulais pas te vexé ou quoi…

Surtout que lui semblait avoir bugué sur la remise en question de sa sexualité sans entendre les compliments derrière, de quoi embêté encore plus la demi-vélane qui se trouvais bien con. Elle replaça la bague dans son écrin et referma la boite avec soin pour la poser sur la petite commode quand elle se releva. La chose étant que quand elle se sent mal, la demi-vélane est un peu paumée.

- J’ai pas l’habitude de voir des garçon être sympa et… Enfin. Toi aussi en soit tu me plait bien, c’était tout le sens de ma phrase. Je enfin… heu…

Si elle avait lever la tête pour le regarder en fronçant des sourcils comme si elle cherchait ses mots tout en l’engueulant d’avoir aussi mal pris ce qu’elle avait dit, sans forcément le vouloir mais parce que ça ne sort généralement pas comme il faut quand il le faut avec Teddy. Ce qui la rendait plus agressive que ce qu’elle n’aurait voulu ou dû. Elle fini par baisser les yeux de nouveau en regardant ses chaussures comme si c’est là que se trouvait sa réflexion. Le tout en replaçant, une fois encore une mèche de cheveux avant de commencer à jouer avec par réflexe.

- Je t’ai fâché ?

Et l’agressivité latente de la précédente tirade en serait presque remplacer par une voix de petite fille prise en faute. Vraiment, l’équilibre en termes de santé mentale chez plusieurs de mes personnages féminins en rapport avec leurs traumatisme dû à leurs expériences avec les figures masculine -ou dans familiale- est à creusé, parce qu’on en a une floppé. Mais laissons donc ce moment d’auto-analyse pour moi et moi-même.

- Et puis t’est homophobe ? Ce n’était pas une insulte non plus ! J’tai dit que t’était archi mignon et que justement j’étais dégoûté que tu le sois ! Même si tu ne l’est pas du coup ! Alors j’vois pas où est le problème.

Et c’est le retour d’un poil d’agressivité, le regard revenu ce planter dans celui du jeune homme, le changement de ton dû à un mécanisme de défense légèrement plus pimenté que d’autres. Le tout sur fond d’aura qui doit glissé encore d’avantage et trouver réponse, ce qui ne devrait pas arranger la situation… Quoi que ?

Date : 25 janvier 2025
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Elle va se radoucir aussi vite qu’elle était montée dans les tours la demi-vélane. Elle va même observer le visage du jeune homme un peu trop longtemps en continuant de jouer avec une même de ses cheveux en l’entortillant continuellement autour de son index. Le visage légèrement penché sur le côté pendant qu’elle suivra ses mouvements, que ce soir ceux de ses lèvres quand il parle. De ses mains quand il ferme le pot de crème. Ou bien quand ses fesses retrouve le confort du matelas qu’elles avaient quitté un peu plus tôt. Et pour toute réponse au départ elle aura un sourire énigmatique en commençant à comprendre peut-être un peu de ce qui ce passe. Ce qui ne l’empêchera pas de se pencher jusqu’à aller poser sa tête sur l’épaule du garçon quelques seconde.

- Et c’est pour ça que j’ai du mal à croirrre que les mec gentils sont pas gais. Mais c’est souvent le prrroblème des demi-vélane.

Ce n’est pas un secret, qu’elle est hybride. Les gens qui connaissent ce mélange de créature magique et de sorcier le capte même plutôt rapidement. Et ça donne des situation plutôt incongrue et pas toujours agréable, tant avec les femmes qu’avec les hommes d’ailleurs et quelque soit leurs attirances sexuelles.

Elle se redressera et déposera un autre bisou à la volé sur sa joue qu’elle terminera par un coup d’épaule taquin avant de ce relever pour ce remettre sur ses deux pieds, tiré ses bras vers l’avant les mains jointe en ayant croiser ses doigts pour s’étiré tout en se balançant d’avant en arrière.

- Changeons de converrrsation alors ! On a qu’à oublier ce que j’ai dit. Et t’a rrraison, rrretenir que le meilleur ! Du coup, tu me montrrre ton café que t’aime tant ?

Relancera-t-elle en pivotant sur ses talons pour se mettre face à lui qui est toujours assit et, les genoux frôlant les sien (ou les tibias vu qu’elle est debout et pas naine ?) tendre les deux mains pour l’aider à se relever toujours avec ce petit sourire mystique portant une pointe de taquinerie.

- Tu m’a Prrresque prrromis d’autrrrre surprrrise ! Aprrrès tout, ton rrrôle est maintenant de me vendrrrre l’université nan ?

Elle le dira sur le ton de la plaisanterie, parce qu’il n’est pas étiqueté « tour guide ». Mais ça a été un peu le cas depuis qu’ils ce sont croisé.

- Tu devrrrrrais dire à Celeste de te payer d’ailleurrrrrs !

On a dit changement de sujet ! Donc on part complètement sur autre chose. Parce que quelques minutes, une demi-heure ou une heure complète -on ne sait pas trop- après une rencontre aussi agréable que sexy il faut continuer à élever le niveau ! Et oui, elle louche sacrément et s’il lui prend les mains pour se relever, y’a très certainement un pouce qui glissera le long de sa paume de main en passant que ce soit conscient ou pas. Parce que si maintenant il va pouvoir remettre les choses dans leurs cases vu qu’elle à exprimer sa nature. De son côté, elle n’est pas franchement familière avec les auras de Succube et ne ce souviens pas forcément en avoir déjà croiser un jour. Mis à part celui qui l’aura torturé, mais ça très sincèrement, elle ne va pas s’en souvenir même si le sort à été brisée parce que si non je pourrais plus la faire sortir de sa chambre. Donc ça donne quoi, Yi-Min, une vélane qui croise pour la première fois la magie d’un mage rouge ? Outre le flirt intempestif, les gestes de plus en plus tactiles et les regards insistant, bien entendu. On le prévient, même si il se lève, il est fort à parier qu’elle reste d’une manière ou d’une autre accrocher à lui, que ce soit à lui prendre à nouveau le bras ou en ayant le menton sur son épaule pour suivre et regarder ses gestes.

- Et aprrrrès le café... tu veux fairrre quoi pour parrrrfairrre cette rencontrrre-découverrrte ? Une idée en tête ?

Date : 25 janvier 2025
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- Tu deviens pas stupide rrrrooooh. Mais du coup ton avis sur moi est biaisé je suppose.

Y’a eu un soupire, là, quelque part. Parce que finalement c’est toujours comme ça. Et qu’on ne l’apprécie jamais vraiment pour elle, mais parce que ses dons l’exigent. Elle va faire l’autruche pour le moment, parce qu’elle passe un bon moment. Mais maintenant qu’elle à eu sa réalisation, ça va lui rester en tête à Teddy.

En route pour la fabrication du café ! Et non, Teddy ne va pas forcément bouger plus que pour accompagner les gestes de Yi-Min, ou alors en ce collant encore plus à lui par moment parce que l’aura du succube est quand même vachement proche et même si ce n’est pas conscient, ça fait son petit effet. Assez pour rendre sa voix plus chaude depuis un moment déjà et ses intonations plus dans une tendance au flirt.

- Je dérrrange ton besoin de sieste alorrrrs ? Le café devrrrais aider, mais si tu manque de forrrrce on peut aussi rrrester ici.

A papoter ? De quoi on ne sait pas, mais ils trouveront ! Elle lèvera la tête, frapper par la proximité au passage pour n’être qu’à quelques centimètre du visage de l’homme, de quoi presque sentir le grain de sa peau.

- Je suis cerrrrtaine qu’il y en a d’autrrrre à découvrrrir ! Ou alorrrrs on peut aussi rrretourrrrner dans la salle de danse, voirrrr si je me suis trrrromper sur ta souplesse.

Elle va retourner la tête pour regarder devant elle, c’est mieux. Parce que de près aussi il est vachement mignon. Et y’a eu comme un coup de chaud la qui lui aura légèrement fait remuer quelques parties de son corps à mesure qu’elle sentait un frisson lui remonter l’épine dorsale. Ce qui ne s’arrangea clairement pas quand il du retirer les bouteilles d’eaux du frigidaire en laissant, au passage, ses doigts glissés sur les courbes de l’adolescente qui eu une grande inspiration pour elle-même. Ce qui n’arrivera qu’après qu’elle eu un petit rire en le voyant se prendre comme une gifle mentale à l’évocation de Celeste Prewett pour mieux rediriger la conversation sur les cafés.

- T’aurais du me laisser faire, j’ai tendance à avoir toujours chaud, donc je craint pas trop le froid.

Et ce n’est pas seulement parce qu’elle vient d’une école où la neige est épaisse. Et où le lac de Poudlard sonne comme une piscine en plein mois d’août pour eux. C’est aussi le sang des demi-vélane qui est légèrement plus chaud que celui des sorciers normaux.

- Haaaan je sais pas… Je pourrais probablement pas le refaire comme toi y’a tellement d’ingrédient différent et tout !

C’est du pur sarcasme déguisé sous la voix de la blonde écervelée qu’elle sait si bien faire, avec l’option index sur la lèvre intérieur et regard hébétée pour parfaire le tout dès qu’elle attrapera le verre et fera de nouveau face au jeune homme. Elle prendra une gorgée et aura une courte grimace, n’étant pas habituer au goût de la boisson qui lui a été offerte. Il faudra qu’elle goutte une seconde fois pour voir si elle apprécie ou pas. Laissant son verre reposer au bout de ses doigts elle se sera retourner pour s’appuyer contre Yi-Min en laissant son dos s’appuyer contre son torse et le reste de son corps à moitié contre le comptoir, l’autre contre les jambes du jeune homme. Exposant de fait autant son cou, que son décolleté à celui qui devait avoir pris un peu de hauteur.

- Mmmmh ça manque un peu de sucrrrrre pour moi. Mais ça doit êtrrrre tip top en été au borrrrd de la piscine.

Il ne la verra peut-être pas levé les yeux au ciel quand il lui demandera à quelle heure elle était censée retourner à Durmstrang, en revanche il aura surement entendu le long soupir qui aura précédé une nouvelle gorgée. Elle aura laissé suspendu le verre entre ses doigts, son coude appuyer sur sa seconde main, puisque son second bras entourait sa propre taille.

- Il y a une heurrrrre de ça peut-êtrrrrre ? Ou maintenant ? On s’en fiche un peu non ?

Il y a grande chance que la raison principale de son échec scolaire soit l’école dans laquelle elle a été envoyé et le fait qu’elle s’y sent particulièrement mal. Ça doit aussi être pour ça qu’elle découvrait précédemment l’université avec beaucoup d’anticipation, ne pouvant plus attendre d’être enfin libéré du poids de l’école en général. Mais ce sentiment n’était pas né d’une haine particulière pour l’enseignement, mais plutôt ceux qui l’administrait. Mais Teddy, ses émotions ce mélange souvent et vont aussi vite que ses jugements.

- Pourrrrquoi tu veut déjà te débarrrasser de moi ?

Une manière comme une autre de ne pas s’attarder sur le sujet quand elle penche sa tête en arrière pour aller chercher le visage et les yeux de Yi-Min, une moue mi-boudeuse, mi-amusée qu’il verra à l’envers.

Date : 25 janvier 2025
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- Haaaan mais si tu supporte pas le chaud non plus… ça va compliqué les choses !

Là aussi on verra une certaine espièglerie dans le ton de voix de la jeune femme. Qui, très clairement, profitais de la proximité des corps pour l’appuyer encore d’avantage avec les cambrures que les gestes de préparation du café lui imposaient. Et ça continura quand elle trouvera une place contre lui, même de dos. Laissant la cambrure de sa chute de reins s’appuyer sur le jeune homme autant que le haut de son corps. Son visage tourné vers lui pencher en arrière jusqu’à se poser là aussi contre une épaule ou bien une autre zone du corps de Yi-Min, de façon à pouvoir le voir, même dans un angle étrange elle eu un éclair de surprise quand lui-même semblait avoir eu une révélation digne d’un facepalm.

- Oublié quoi ?

Et la question trouva réponse l’instant d’après quand il sorti une paille pour la lui mettre dans son verre. Le sourire demeura, s’intensifia aussi peut-être. Teddy glissa la paille entre ses lèvres pour jouer avec du bout de sa langue, ayant repris une posture un peu plus normale quoi que toujours aussi proche du garçon. Mais il a dit qu’il n’aimait pas le froid ! On est en hiver, faut se tenir chaud… Pas trop non plus apparemment, puisque ça non plus il n’aime pas.

Teddy suivait presque naturellement les mouvements qui lui était indiqué quand il pensait la décaler légèrement pour aller farfouiller de ci et de là. Observant ses gestes et tentant de comprendre le but caché derrière tandis qu’elle continuait de jouer avec la paille sans pour autant boire du café à laquelle le morceau de plastique était relié. Elle dû cependant lâcher la boisson pour accueillir entre ses main une assiette qu’elle tin juste au-dessus de sa poitrine, qui visiblement pouvais aussi lui servir d’accoudoir ou quelque chose comme ça, mais surtout qui lui permettais de présenter l’objet à Yi-Min tout en observant la minutie de ses gestes en ce mordant la lèvre inférieure. Sentir le souffle si proche du jeune homme qui avait le menton poser sur son épaule n’était pas sans la perturbé et à voir la proximité rechercher consciemment ou pas par son bassin qui se collait encore d’avantage à l’Asiatique, la tension était palpable.

Il lui faudra une grande inspiration, qui ce voudra également silencieuse, quand il commencera à couper le fruit en quartier et qu’elle reprendra sa boisson pour recommencer à jouer avec la paille du bout de la langue tout en ayant le regard cette fois sur un point invisible face à elle. Voyant la fourchette garnit d’un morceau de pomme, la demoiselle eu un sourire et laissa s’échapper la paille pour aller attraper du bout des doigts le quartier de pomme et l’enlever de la fourchette. En glissant une petite partie entre ses lèvres elle commença à suçoter le fruit pour en tiré le jus. Mais pas avant d’avoir glissée quelques mots.

- C’est un serrrrvice cinq étoile !

Elle ne reviendra pas sur le débat de la raisonnabilité quant à devoir rentrée ou pas dans son école, elle n’en a pas envie et n’y repensera pas. Surtout qu’elle est plutôt bien là, elle passe un bon moment. Et si Yi-Min à pas envie de voir tout retomber comme un soufflé en entendant parler de la doyenne de l’université, l’effet douche froide chez elle, c’est dès qu’on parle de l’école d’Europe de l’Est ou de la famille dont elle porte le nom mais pas les gênes. Les deux étant étroitement liés.

- Je suis non violente, je trrrrrouverrrrais bien un autrrrre moyen si tu fais quelque chose qui me va pas. Mais c’est pas le cas jusque-là.

Aura-t-elle répondu en sentant la main du jeune homme lui dégagée la nuque jusqu’à lui arrachée un petit frisson. Le sourire s’intensifiant alors qu’elle replaçais le quartier de pomme entre ses lèvres, fermant les yeux au contact de l’effleurement du bout des doigt de Yi-Min. Les pommettes remontant encore d’avantage en entendant les mots qui suivrons avant qu’un léger soupire ne lui échappe marquant une nouvelle vague de cette aura dont elle n’a pas le contrôle qui se fera plus forte que les précédentes sans doute quand elle sentira la chaleur des lèvres du garçon se poser doucement sur sa nuque. A tâtons elle posa de nouveau le café pour libérer sa main qui ne tenais pas le quartier de pomme entre ses lèvres. Allant chercher le contact, un peu plus, du bras qui sera venu entourer sa taille, tel une sorte de validation.

La demoiselle se penchera légèrement en arrière jusqu’à aller poser sa tête de nouveau penché en arrière sur l’épaule du jeune homme, son regard allant trouver le sien. Les iris vertes légèrement pétillante, jouant du bout de la langue avec ce huitième de pomme qu’elle à entre les lèvres pour en proposer silencieusement l’autre bout, invitation au partage quand elle fait remonter la main qui tenais jusqu’alors le fruit dans la nuque de Yi-Min pour passer ses ongles dans sa nuque et trouver la douceur de la naissance de ses cheveux. S’il y avait encore quelques écarts par endroit entre eux, il est fort probable qu’il n’y en ait à présent plus aucun. Car même les doigts de cette main qui c’était poser sur le bras autour de sa taille, allait chercher les siens pour s’y glissée doucement.

Date : 25 janvier 2025
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Il y a comme une sensation étrange qui s’éveille chez Teddy, celle d’une pierre qui fait une chute vertigineuse au creux de son estomac, ou quelque chose comme ça. Son regard ne ment pas sur l’attraction qu’elle ressent dans cet instant, pas plus que les frissons qui la parcours quand elle sent le bout des doigts de Yi-Min l’effleuré. Et à voir qu’elle-même provoque quelques sensations chez les jeunes hommes à son touché, augmentera encore ce désir naissant au creux de son ventre.

Les auras se répondent, augmentant encore d’avantage le pouvoir de l’attraction, de l’envie qui se dessine dans ses pupilles qui se seront dilaté pour mieux marquer subtilement ce qui peut bien lui passer par la tête quand elle offre un simple petit morceau de pomme retenu prisonnière entre ses lèvres et qui ne demande qu’à être libérée. Les gestes du jeune homme aussi lent qu’il sont envoutant seront suivis avec attention, même si quelque part naît une pointe d’impatience quand il prendra le temps de se débarrasser de ses lunettes. Précipitation naissante, à ne pas en douter, par l’influence du Succube mais sur lequel Teddy ne mettra bien évidement pas le doigt.

Et enfin vins le sourire, celui qui accompagne les mots. Les gestes. Qui vois la pomme disparaitre et quelques choses de plus goûtue encore venir s’offrir. Une douceur plus sucrée encore que le fruit dont c’était l’office. Elle sentira une nouvelle fois le parfum de sa peau, la douce odeur de shampoing accompagner de l’agrume d’un savon qu’il aura utiliser sous la douche. De quoi éveillée ses sens un peu plus alors que la demoiselle, n’ayant pas le self-contrôle du garçon, ne pourra pas lutter contre une aura qu’elle ne sent même pas se déployer. La rendant encore plus belle, séduisante. Ouverte à ce faire courtiser ou bien à partager un moment de volupté sans l’ombre d’un doute.

La magie se mêlera à l’échange qu’ils auront et ce sera doux. Pour celle qui n’a jamais connu une telle douceur, ce sera une nouvelle saveur. Quelque chose qu’elle prendra le temps d’apprécier, prolongeant encore un peu plus l’échange, l’intensifiant aussi sans doute en voulant gouter un peu plus à la pulpe de ses lèvres et à ce qu’elle cache. Resserrant ses doigts entrelacer à ceux du jeune homme tout en remontant un peu leurs mains, comme pour effacer toute traces de distante pourtant déjà complètement inexistante. Sa seconde main continuera à jouer entre sa nuque et la naissance de ses cheveux du bout des ongles, marquant l’envie et l’appréciation d’un moment partagées entre deux étrangers, plus si étrangers que ça à mesure que le temps avance.

Son souffle chaud tentera de reprendre un peu de l’air dont elle commence à manquer, loin d’être étouffer par le partage qui la met plutôt à bout de souffle quand son regard cherche une nouvelle fois celui du jeune homme. Quand le sourire exprime encore d’avantage de ce que les mots n’exprimeront pas dans cette situation, principalement parce qu’ils y seraient mal venus. Lentement elle se détachera, juste le temps de se tourner pour lui faire face et repartir à l’assaut de ses lèvres dans un geste doux, prenant son temps. Celui de goûter aux saveurs de sa pulpe. Celui de laisser la main qui aura libéré la sienne se glisser sur sa taille pour se refermer sur le tissu du pull qu’il aura enfilé un peu plus tôt. La seconde restera à ce qui deviens sa place, mais aura peut-être arrêter l’exploration de la peau du jeune homme pour se poser simplement là où elle avait trouvé refuge.

Son cœur c’est emballé, sa peau c’est réchauffer. On voit ses joues rosir petit à petit et de nouvel éclat danser au creux de son regard. Ne laissant planer aucun doute quant à ce qui l’enveloppe actuellement : un désir qui naît au creux de ses reins et remonte le long de son épine dorsale, accompagné de cette aura invisible qui pousse tout ce petit mélange à s’intensifier.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Le velouté d’un touché… La douceur du contact. De leurs lèvres qui se découvres, bouches avides et curieuses qui se gouttes et se savourent. Attise le désir et fait monter l’envie de plus d’explorations, de goutter d’autres parcelles de peau, de laisser le toucher aussi profiter de quelques saveurs. Sentir les légers frissons qui parcours son épiderme et les vagues de gourmandises qui vont accroitre encore d’avantage la sensation de l’effleurement des peaux, du bout des doigts aussi curieux soit-il qui parcours le tissu à la recherche du contact chaud d’une peau de pêche. D’endroit encore inexploré ou inaccessible qu’on ne partage que dans l’intimité d’une certaine sensualité.

La lubricité apporter par la barrière que représente les vêtements, ce contact presque trop chaste dans l’envie graduelle qui de plus en plus fait monter l’emballement des auras. Elles se mélangent et opère une magie particulière dans le secret de cette petite chambre étudiante, semble rebondir contre les murs pour ce reversé contre leurs propriétaires. Donner encore plus d’envie à l’appétence que les corps qui se touche et se rapproche jusqu’à ne plus laisser d’espace entre eux, comme pour marquer l’attirance, ressente l’un pour l’autre en cet instant.

La lenteur, la langueur et la douceur seront une surprise, un terrain inconnu : inexploré. Que Teddy accueillera à bras ouvert. La monté graduelle de l’érotisme du moment fera naître en elle une ferveur nouvelle. C’est si différent de ce qu’elle connait habituellement que ça n’en sera que plus délectable. Elle pourra nous dire après, si c’était mieux que ce qu’elle aura toujours connu. Une chose est sûre, elle à l’impression que sa peau prend feu, que ses lèvres supplient de ne plus se détacher des siennes. Et que son corps tout entier réclame d’avantage. Effet d’aura de succube, d’un mélange des deux ou simplement d’une certaine alchimie trouvé entre une demi-vélane et un succube. On ne se posera pas la question, car elle n’a pas lieu d’être.

Les soupires qui passerons la barrière de ses lèvres quand il effleurera à peine son épiderme, à travers le tissu ou non, son si sincère qu’il ne laisse aucun doute quant à l’abandon qui se dessine. Ce n’est qu’un baisé, qu’un échange encore chaste. Et pourtant… Pourtant ses iris vertes quand elle se plonge dans les sombres pupilles du jeune homme laisse à la lecture l’envie et le désir qui l’anime. Son souffle court qui, quand leurs bouches se séparent, rebondit et ce réverbère sur sa propre peau, marque-la monté d’une forme de frénésie.

Bientôt, elle supplierait presque à ses mains qui découvre ses courbes de faire disparaitre le tissu qui les entraves. C’est que certaine zone, aussi proéminente soit-elle, sont particulièrement sensible. Alors quand leurs doigts s’enlacent de nouveau et que l’échange et rompu pour laisser place à l’invitation de faire quelques pas vers un lieu plus propice à l’échange, elle suivra le mouvement. Non sans se mordiller légèrement la lèvre inférieure. Ou bien ressentir cette envie pressante de retrouver la pulpe des lèvres du jeune homme. Comme si ses propres lèvres prenaient feu tant elles ressentent le besoin de ce contact. Quand il s’assira sur son lit, elle le rejoindra, prenant place sur ses cuisses, ses jambes venant encadrer le jeune homme laissant remonter le tissu déjà court de la jupe pour dévoiler la limite les bas qui couvrait ses jambes.

Si au départ sa bouche vint à la recherche de sa compagne, sa partenaire de jeu tout en laissant glissé le bout de sa langue pour marquer l’envie, mordillant très légèrement pour marquer quelques instant suave. La jeune femme dont une main cherchera le contact de la peau du jeune homme en allant se faire exploratrice sous son pull, pendant que l’autre est suspendu à son cou. Elle ira également découvrir sa peau du bout des lèvres. De petits baisée tendre et pourtant si chaud déposer à la commissure de ses lèvres, redessinant les traits immaculés de son visage. Descendant la ligne de sa mâchoire pour trouver la tendresse de son cou. La seconde main rejoindra la première, sous le tissu duveteux du pull pour relever le tissu avec langueur, jusqu’à le remonter à l’en faire disparaitre si le jeune homme lui en laisse l’occasion. De quoi se faire plus exploratrice du bout des mains ou du bout des lèvres. Que ce soit en passant le bout de ses ongles sans trop appuyer, juste de quoi marquée son passage sur son torse ou bien dans son dos. Pendant que la pulpe de ses lèvres continue de laisser quelques traces brûlantes sur leurs passage tout en l’invitant à se laisser porter en arrière et reposer son dos contre le matelas pour lui laisser l’occasion de profiter d’un peu plus de terrain dans cette exploration épicurienne.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Les lèvres exploratrices de la jeune femme continueront de déposer leurs marques sur l’épiderme du jeune homme. S’aventurant le long de son cou pour descendre sur ses clavicules. Redessiné leurs lignes et rejoindre en leurs centre la naissance de ses pectoraux pour mieux suivre l’ascenseur qui mènera à son nombril. Tout en douceur, lentement pour bien marqué chaque passage, chaque baisé. S’accompagnant de geste suave du bout des doigt pour effleurer sa peau, accroitre encore d’avantage la naissance du désir qui se fait sentir, même à travers un effleurement taquin d’une zone un peu plus sensible quand elle ramènera son bras à elle pour mieux remonter les étages après avoir jouer un peu jusqu’à la ligne des hanches de son partenaire.

Elle pressera son bassin contre lui, augmentant encore un peu la cambrure de ses reins pour rapprocher encore les corps quand leurs lèvres se scellerons à nouveau. Quand elle partagera du bout de la langue quelques autres caresses de bouche. Non sans jouer des pauses qu’il leurs offres pour laisser voir un peu plus de ce désir qui l’anime par l’expression des traits de son visage, la rougeur de ses joues ou bien les quelques éclats égayant son regard.

Les soupirs ne sont pas en reste quand elle sent les mains de l’homme se poser sur ses courbes, ses baisé déposer de fines traces chaudes sur sa peau, comme pour la marquée au fer rouge dans ce lien éphémère qui les retiens l’un à l’autre en cet instant d’éternité. Prolongeant l’envie, laissant naître les prémices du plaisir. Celui du partage, de la découverte et bien plus encore.

Elle s’en mordra la lèvre inférieure de voir son chemisier petit à petit s’ouvrir, quand elle aura accompagné ses mouvements si naturellement qu’on aurait pu dire que la chorégraphie de cette danse lui venait presque naturellement. Relevant les jambes de chaque côté du bassin du jeune homme quand il prendra le dessus pour commencer sa propre exploration de la poitrine de la demoiselle, laissant son bassin se cambrer encore d’avantage comme pour mieux s’offrir et le laisser cueillir le parfum de sa peau à travers la dentelle fine qui couvre ses courbes. Une main remontant lentement le long des côtes du jeune hommes, partant de son bassin pour effleurer sa peau jusqu’à remonter à l’épaule puis sa nuque et retrouver la naissance de ses cheveux pour glisser ses doigts dans ses mèches sombres. L’autre main restant au niveau de sa hanche pour venir s’accrocher d’un doigt ou deux au porte-ardillon de son pantalon, l’attirant inconsciemment un peu plus à elle comme pour ne plus laisser leurs corps échapper l’un à l’autre.

On pourra entendre d’autres soupire encore quand la main dans les cheveux du jeune homme laissera sentir la fine, presque imperceptible pression de ses ongles tant le touché de la demi-vélane reste doux, traitant avec le corps du jeune homme comme elle le ferais avec une gemme précieuse. Elle aura doucement fermé les yeux quand son bassin semble s’animé suffisamment pour montrer le désir qui grandit en elle par la cambrure qui continue de s’intensifier, par une de ses jambes qui remonte le long du mollet de l’homme, sa cuisse effleurant le tissu de son pantalon pour s’arrêter quand elle formera une courbe en angle droit.

La main sur sa hanche viendra dessiner quelques arabesques sur la peau du garçon jusqu’à venir ce plaquer sur sa hanche avant de descendre tout en ce glissant sous le tissus de ce pantalons, continuant sa course jusqu’à rejoindre le bas de son dos et y laisser l’emprunte une fois encore de ses ongles sans être trop insistante au point de laisser trace de leurs passage. Elle cherchera, après ses quelques instant ou l’abandon perdure et se renforce, à retrouver le visage du jeune homme. A planter d’abord ses iris verte, brillante d’envie, dans les sienne. Un fin sourire sur le visage. Avant que ses lèvres partent à la recherche une nouvelle fois de leurs partenaires. Que ses mains ne remontent pour l’une, quand l’autre descend et ce rejoigne toute deux séparant les corps de quelques centimètres pour laisser l’espace à ses doigts de glisser sur l’ouverture, par l’avant du sous vêtement en dentelle dont la pression relâchée semblera être libératrice une fois que le tissu cèdera. Ce faisant, ses mains reprendrons le chemin de la taille du jeune homme pour l’attirer de nouveau à elle et partager un nouveau baisée plein de volupté, du désir animée par la douce chaleurs qui se diffuse sous sa peau et l’emmène bien loin de la réalité dans une petite bulle où seul le moment présent ne compte alors que les peau ce rencontre et partage leurs douceurs.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

L’addiction, celle au plaisir, celle du désir. Celle qui naît au creux de ses reins et ce diffuse dans tout son corps. Qui anime sont regard d’une flamme nouvelle, la pousse à cambrer un peu plus son bassin pour mieux offrir ses courbes. Celle qui ce fait soupir, quand elle se languit de vouloir plus, toujours plus. Plus de gourmandises, plus de baisés, plus de caresse. Plus d’échange. Sentir l’autre plus proche encore et finalement trouver que ce n’est toujours pas assez. Car plus de thermomètre interne va grimper, plus c’est une certaine forme de fusion des corps que son envie fait sentir, jusqu’à enflammer sa peau tout en continuant de l’assaillir de frissons.

Le tissu devient de plus en plus optionnel alors que la découverte des corps prolonge un peu plus les explorations. Tant des réactions, des petits regards, des sourires et de soupirs lascifs échanger dans le creux de l’oreiller. Les mains toujours avides de découvrir cette peau pour y laisser quelques traces de passage fait tout en tendresse. La volupté des gestes accompagnant la croissance de l’envie qui se fait déjà bien sentir, la jeune femme se laissera dévêtir en accompagnant toujours les gestes du jeune homme pour les facilités, comme un instinct qui prendrais le dessus avant même que les pensées ne soient formulées ou qu’une quelconque forme de réflexion ne soit nécessaire.

D’autres murmures de plaisir prendront formes, sans doute plus vigoureux que les précédents quand l’homme prolongera sa découverte en intensifiant la profondeur de son passage. Que ce soit par ses baisée ou par ses gestes, laissant naitre chez Teddy de nouvelles réactions. L’une de ses mains ira se loger dans les draps de ce lit pour en froisser le tissu quand l’autre trouvera à nouveau le chemin des mèches de cheveux du jeune homme au-dessus de sa nuque. La cambrure de son bassin ne laissant aucun doute quant à l’expérience des sensations qu’elle vivra au cœur de ses caresses.

N'ayant plus aucun contrôle sur sa propres aura qui doit actuellement être à son paroxysme alors que son corps continue de réclamer ce qui sera une forme de soulagement, à ne pas douter. Les baisés de la demi-vélane répondant à ceux du Succubus sans plus de retenue. Pris d’autant d’ardeur que de gourmandise. Sa langue cherchant une partenaire pour un tango aussi sensuel que débridé. Indiscipliné cependant, elle finira par n’être plus très loin de perdre la raison quand elle rompra l’échange et bouger rejoindre cette main qui malmenais le linge de lit, pour lui faire rejoindre celle, inquisitrice, de l’homme.

Dans des gestes doux, quelques mouvements de bassin pour former une invitation silencieuse, elle voudra renverser les positions à nouveau. Encadrant les hanches du jeune homme de ses cuisses quand elle aura pris le dessus. Abandonnant la douceur de ses lèvres pour celle de son cou quand ses deux mains cours le long de son épiderme jusqu’à trouver l’attache qui maintenait encore son pantalon et l’en défaire. Elle glissera l’une de ses mains sous le tissu à présent rendu plus souple pour trouver, elle aussi, les porte d’une intimité qu’ils aurons trouvés dans le partage l’un avec l’autre. Jouant de souplesse de son poignet pour faire naître le plaisir, accroître la convoitise. Elle continuera de jouer avec cette main en couvrant sa peau de nouveaux baisé, l’autre faisant descendre le tissu, aider bientôt par la seconde quand elle se redresse légèrement pour ne pas retirer que l’un des vêtements mais les deux qui pourrais l’encombrer dans la poursuite de cette aventure.

Après un échange de regard, avoir laisser trainer ses yeux à la fois sur le visage et sur le corps du jeune homme, elle repartira à l’assaut de son plaisir en ce penchant jusqu’à aller découvrir tout ce qu’il y à de plus intime. Par les caresses tant dans ses gestes que dans la salve de baisé qui continue de vouloir réchauffer sa peau. Jouant avec langueur, taquinant l’envie, titillant la tentation jusqu’à ce qu’elle puisse atteindre son paroxysme et frôlée l’aliénation, faisant naitre la démence tant la soif de l’assouvissement de ce vœu deviendrais insoutenable pour lui, et sans doute aussi pour elle.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Douce caresse du bout des lèvres, du bout de la langue. Baisser suave qui révèle l’envie d’éveillée le plaisir. Elle joue de ses nerfs, de sa patience. Un art pratiqué à l’ombre d’une chambre isolée du monde et de la réalité. Donnant de ce qu’elle aura appris à écouter, entendre bien trop jeune peut-être et avant même d’avoir eu sa première baguette, encore plus son premier échange avec un homme. Mais qui sera maitriser pour provoquer chez lui les vagues de plaisir et l’avidité d’une envie qui ne fait qu’accroitre le désir par ses assaut continuel dans le but unique de découvrir toujours plus de son corps.

Il est doux… Si doux que donner deviens plaisir pour elle aussi. Se donner, s’abandonner. Laisser l’instinct qui régit son corps prendre le pas sur toutes formes de raisons, les pensées n’étant centré que sur le moment présent et l’échange. Echange de nouveaux baisée quand il sera allé la retrouver, encadré son visage de ses mains et qu’elle aura pris place pour que leurs bassins soit si proche qu’il soit impossible d’ignorer l’attraction. Les soupirs plus pressants, marquant les chemins du plaisir que dessine chaque baisées, chaque caresse. Relevant la sensibilité d’une peau qui s’enflamme par l’envie.

Elle ne sait plus dire quelle position prendrons les corps tant la coordination de cette danse, l’appel des mouvements qui se répondent est naturelle. Tant elle est éprise par la volupté des jeux qu’ils partagent. Ses mains continueront de chercher le contact de la peau du jeune homme. Ses lèvres seront avides de goûter encore à sa peau, chaque parcelle dont elle pourra se délecter. La délicatesse des mouvements appelant l’appétence à atteindre son paroxysme quand chaque cellule de son être semblera vouloir scellée cet instant de possession dans l’abandon.

C’est un nouveau gémissement qui lui échappera, quand son regard perdu dans celui du jeune homme laissera voir une forme de soulagement. Celle de parfaire cette union. L’association des corps est si naturelle, que son bassin répond à chaque assaut du garçon dans une parfaite symbiose. Ce son de nombreux soupirs qui sont lâché dans l’air et exprime tout ce que le corps pourrait avoir à dire, bien qu’il s’exprime déjà par ses gestes et ses réponses à l’autre. Ce sont ses mains qui continuent de se perdre sur son corps, d’enlacer, de presser sa peau sous ses doigts ou sous ses ongles tout en douceur, appuyant les salves de plaisir que le désir saura exploiter. Ce sont ses jambes qui remontent un peu plus pour offrir son corps complètement, laisser la communion de faire et sentir un peu plus la présence du jeune homme en elle.

Et entre chaque respiration, qui se font plus saccadée, parfois même oubliés. Il y à ce refus de quitter la pulpe de ses lèvres. De ne plus sentir chaque saveur de sa peau dont on ne pourrait se lasser. Il naît en elle, au milieu de toute cette volupté, comme le besoin de satisfaire, de repère son partenaire. De se livrer totalement. Réponse à une aura de Succube à laquelle la demoiselle aura complètement succombé jusqu’à vouloir inconsciemment combler la soif de l’hybride en se livrant totalement à son contentement. Par-delà le fantasme même d’une jouissance partagée, l’adolescente sentira quelque chose de nouveau l’envelopper. Une couverture de bien être, de rassurance qui accroitra encore d’avantage la fougue que fait naitre la passion dans l’échange de ses corps. Contrastant avec la bienveillance dont ils auront fait preuve dans tout cet échange l’un pour l’autre. Répondant à la consommation du succube d’énergie dont elle n’aura pas conscience par la nécessité de satisfaire et de s’adonner complètement au chemin du plaisir que prendrons les corps qui se mêle et se démêle dans ses assauts répétés qui pourrais bien durée une éternité tant la réalité semble avoir été altérée.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

L’appel des corps qui se consume, fondent l’un en l’autre. Se mêle et s’entremêle à l’infinis pour laisser le souvenir, une trace d’un passage et d’un moment partagés. L’indéniable alchimie de deux êtres qui s’offre l’un à l’autre dans une valse aussi sensuelle qu’elle est passionnée. Des gestes qui se répondes, des bassins qui suivent le même rythme. Un suave mélange de caresses et de baisée qui ne semble pas encore satisfaire la faim qui naît au creux des reins de la jeune femme, insatiable de ce partage dans lequel elle s’exprime tant par ses gestes que par les soupirs qui lui échappent, même à bout de souffle.

La langueur et la douceur ne font qu’ajouter une toute nouvelle dimension aux portes de la jouissance qui arrive par vague et déferlerons bientôt pour se saisir de tout son corps dans un ouragan de plaisir. Ses mains liées à celle du jeune homme, a sa peau qu’elle embrasse partout où ses lèvres pourrons l’atteindre et trouver encore et encore le contact. Ses paumes qui descendront le long des côtes du jeune hommes pour trouver son bassin puis la naissance de ses fesses et accompagner, encourager ses mouvements de hanches. De fines maques, là aussi, laisser par ses ongles pendant que son touché à lui continue de faire grimper le thermomètre qui n’est pas loin d’explosée pour laisser passer un véritable feu d’artifice qu’elle sent se préparer.

Chaque muscle, chaque os, chaque parcelle de sa peau semble vouloir se donner, appartenir, nourrir son désir et l’appétit qu’il aura lui aussi. Le charme est à son paroxysme autant que l’envie d’atteindre une certaine forme de félicitée à deux. L’assaut répété éveille en la jeune femme des sensations qui se diffusent en continue dans tout son être et accentue encore d’avantage, si ses possible, l’accompagnement de chacun de ses gestes tant elle profite autant qu’elle donne à son partenaire. Ses jambes remontent encore, comme pour parfaire la profondeur de leurs échanges, tracer le chemin de l’orgasme qui viendra bientôt les envahir et emporter le souvenir de la communication des deux être. Le corps, l’âme. Même si le cœur n’y a pas été invité, il tambourine dans sa poitrine avec force dans une course de vitesse effrénée.

C’est un tsunami qui l’emportera bientôt, fera se tendre chaque partie de son corps dans une forme de relâchement divin. Quand le plaisir atteindra son paroxysme dans un dernier souffle, un dernier soupir. Celui qui marquera l’apogée de l’entreprises qu’ils auront pris le temps de bâtir et de voir fleurir à force d’échange et de partage. Ce sont des frissons qui parcourrons son échine, des petits spasmes qui secourons chaque nerf de son corps. La jouissance continuera de diffusée l’adrénaline de son passage pendant plusieurs instants, laissant les doigts de la jeune femme crispée sur la peau du jeune homme, la cambrure de son corps dans une parfaite offrande alors que son visage, penché vers l’arrière, porte les marques du plaisir qui aura fini d’envahir son corps pour en prendre une complète possession.

Puis se sera une vague de fatigue, saine et satisfaite, qui ferons relâcher les corps quand ses bras retomberont de chaque côté de son corps, qu’elle fermera doucement les yeux pour que sa respiration ce face plus profonde. Que son sourire vienne illuminée son visage. Une main remontera dans la nuque du jeune homme pour l’attirer à elle et déposer sur ses lèvres un baiser doux, un baiser suave. Un baisée qu’elle prolongera pour le rendre plus profond, laissant diffusée quelques messages encore qu’elle voudra bien faire passer. Puis son sa seconde main rejoindra la première pour enlacer ses doigts pendant que ses pouces jouent de quelques arabesques contre cette nuque, à la racine de ses cheveux. Qu’elle laisse retomber sa tête sur l’oreiller pour observer le visage du jeune homme, la pureté de ses traits parfait. La douceur de sa peau et la chaleur de son regard. Une petite moue sur le visage, le regard pétillant. Les joues rosies autant que ses lèvres seront rougies par la passion qui les aura dévorées. Encore quelques instants, pour apprécier ce visage et en imprimé le souvenir dans sa rétine, avant qu’elle ne ferme les yeux de nouveau en laissant une respiration un peu plus profonde lui échapper.

Elle se sent tout chamallow, toute molle. A vrai dire, elle n’y réfléchit pas encore puisqu’elle resterait bien comme ça encore un peu. Mais bientôt il faudra se demander si ses jambes auront la force de la porter, il y à un doute qui plane. Parce qu’elle est comme sur un petit nuage de coton, drainée complètement de son énergie.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Teddy se sera sentis partir petit à petit vers d’autre contré, envelopper dans une aura de bien être et de satisfaction. Ses paupières rendu lourde, elle n’aura même pas conscience du fait qu’elle s’est endormi. Les gestes tendres que continuera d’avoir Yi-Min pour elle cependant, trouverons écho dans sa mémoire pour laisser leurs emprunte. Elle ne pourra pas dire combien de temps elle sera restée paisiblement endormis dans le lit du jeune homme. Elle aura senti à un moment une vague de chaleurs l’envahir comme pour lui rendre un peu de force. Mais envelopper dans le bien-être son inconscient refusera de l’éveillée. Pour finir, elle dormira bien mieux pendant ses quelques minutes qu’elle ne le fait chaque nuit à Durmstrang. Surement parce qu’étrangement elle y trouvera un sentiment de sécurité qu’il n’y a pas là-bas et qui se trouve sûrement prématurée entre les draps d’un homme qu’elle vient juste de rencontrer. Chose qui, soulevons-le, n’arrive que trop rarement.

Quand petit à petit sa conscience reviendra, on pourra si l’on regarde par-là, voir le bout de ses doigts bougé. Elle qui c’était laisser porter, ne se roulant pas en boule comme elle le fait habituellement quand elle dort. Elle n’avait même pas pensée à se mettre sur le ventre malgré de profonde croyance qui lui dicte que dormir sur le dos est ce qui provoque les cauchemars. On pourra mettre la réparation de ce sommeil sur l’effet prolongée du partage qu’elle aura eu avec le jeune homme. C’est ce qu’elle fera. Même si la réalité est tout autre : le sommeil est né de l’épuisement qui aura suivis le drainage de ses forces tant physique que de l’esprit. C’est ce qui rend ses membres encore endormis quand son esprit lui recommence à fonctionner, à reprendre le pas sur la réalité pour évaluer l’endroit où elle se trouve toujours et le fait même qu’elle s’y est endormi.

Ouvrant les yeux, elle remontera un de ses bras jusqu’à son visage, frottant ses yeux du dos de sa main avant de la descendre vers ses lèvres et de s’y attarder quelques secondes. La vision encore floue jusqu’alors reprendra la netteté de la normalité. Ce même regard se tournera vers le jeune homme pris par la lecture, ou bien le travail autour d’un livre dont elle ne connaît pas la teneur. Elle l’observera quelques instants, assez surement pour qu’il sente le son regard sur lui. Et si ses yeux se tourne vers elle, il y sera accueilli par un sourire avant qu’elle ne détourne le regard et commence à s’appuyer sur un coude pour se redresser quand l’autre main maintient le drap contre sa poitrine.

Depuis toujours, elle n’a connu qu’un seul type d’homme. Ceux qui se rhabille tout de suite après et ne demande pas leurs restes avant de s’évaporer. Y compris Iwao qui semble toujours pressée après leurs échanges. Partager un lit jusqu’au matin, ou même simplement prolonger quelques moments de tendresse post-coït n’est pas quelque chose qu’elle à déjà connu. Alors quelque part, il va gagner des points justes par le simple fait qu’il n’aura pas écourté sa présence dans les trois minutes qui aurons suivis la fin de leurs ébats. D’un autre côté cependant, ça fait naître quelques insécurités et question quant à la marche à suivre. C’est la raison pour laquelle elle prendra encore quelques instants avant de prendre la parole.

- Est-ce que ça te dérrrange si je prrrend une douche ?

Pas qu’elle veuille effacer les traces de son passage, le parfum délicatement poser sur sa peau. Mais c’est là aussi une habitude pour elle. Pivotant les jambes pour sortir du lit et laisser ses petits petons rejoindre le sol elle se penchera pour ramasser les vêtements qui aurons quitté sa peau un peu plus tôt et les rassemblés. Une fois la réponse du jeune homme donné, elle se rhabillera dans le cas d’une négation. Mais comme on doute fort que se soit le cas, elle rejoindra la salle de bain, laissant la porte pas tout à fait fermée à son tour. Pas pour les mêmes raisons que celle de Yi-Min, venant d’elle, c’était surtout la claustrophobie qui naissait dans de trop petits espaces. Laissant l’eau coulé sur sa peau plus que nécessaire sans doute, elle prit un peu son temps avant de ressortir de la salle d’eau en terminant de rattacher les boutons de son chemisier. Ses mains s’emmêlant dans le tri des boutons pour ne pas attacher lundi avec mardi, chose qui lui arrivait un peu trop souvent !

Et une fois de retour dans la chambre, au final, elle se retrouva un peu comme un rond de flan pour les raisons évoqués plus tôt. Posant son regard sur le jeune homme, qu’il travail encore ou ait commencer une autre activité. Papillonnant du regard tout en laissant ses iris passer de lui à d’autres endroit dans l’indécision du moment.

- Pas de ice Amerrrricano cette fois ?