Umbra Noctis Movens
NC (-16) | Avatar réel | Pas d'activité minimum | 150 mots mini IRP
Umbra Noctis Movens est un forum RPG, bien sûr, mais pas que. Il vous propose un système d'évolution. Gagner des exp en faisant vos RPs, en participant à la vie du forum, ect... Et monter de niveau pour développer vos maîtrises et skills de sorcier ! Plus encore, chaque personnage à une réelle influence sur les intrigues qui se jouent façon « roman dont vous êtes le héros ». Avec des fins alternatives à chaque épisode et chaque saison ! Vous pourrez aussi dès le niveau 10 avoir votre propre familier et le faire grandir, choisir de vous faire aimer par votre animal magique, ou au contraire le faire obéir par la peur. Vous collectionnerez les dragées surprises de Bertie Crochue pour vous en servir comme monnaie au marché noir, vous pourrez aussi remplir votre compte en banque pour faire du shopping à la boutique... En bref, UNM avec ses quêtes, classes, boss et j'en passe, c'est un habile mélange entre le forum RPG tel que nous le connaissons et le « mmo rpg » !
V O T E S

Nos prédéfinis

Les informations

Nous sommes actuellement entre le 1er Janvier 2025 et le 30 Avril 2025. Voir le calendrier | Le Forum a été créé par Kassie (contexte, le système de jeu, intrigues, les annexes, etc...) et lui appartiens entièrement. NC(-16) présence de propos caractère hérotique et/ou violent, cb interdite aux mineur à partir de 00h.
Deux décennies après la guerre des sorciers, des groupes extrémistes menacent la paix magique. Vous incarnez les différentes factions sur un forum RPG et serez amenés à choisir votre camp lors du conflit qui s'annonce. Préparez-vous à prendre position et à influencer le destin du monde magique.

Les statistiques


membres


messages
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
-20%
Le deal à ne pas rater :
-20% Récupérateur à eau mural 300 litres (Anthracite)
79 € 99 €
Voir le deal
-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

Partagez

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko

 :: Nex Aeternum :: Flood, jeux & co' :: Les archives du forum :: Archives RPs
Page 2 sur 3 Précédent  1, 2, 3  Suivant
Theophilus M. Nott
Theophilus M. Nott

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Felix Mallard
Niveau : 54/100
Points d'Exp : 13687
Health Point : 2 700
PC (compétences) : 20/26
PC (caractéristiques) : 26/26
Scolarité et Métier : Il à fait ses études à Poudlard au sein de la maison Serpentard. Je suis à présent étudiant à Grimardent dans la résidence Magilignes.

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Dim 19 Nov - 1:23

Theo & Sutton.

Date : mercredi 1er janvier 2025
Lieux : Chemin de Traverse, Londres.
Participants : @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter.

Oooh mais c’est qu’elle n’est pas contente la petite Skeeter ? Elle va nous piquer une crise de colère ? Taper des pieds ? Se rouler par terre ? C’est la sieste qui a été interrompu trop tôt ? Notons que le Nott n’a pas vraiment de patience avec ce genre… d’attitude. Et encore moins avec des intonations de voix qui ne devrais pas être diriger vers lui. Il va ramener les mains sur ses cuisses en y appuyant ses coudes, joinde ses doigts et poser la tête sur leurs jointures en tournant son visage vers la demoiselle. Et s’il ne dit rien pour le moment, c’est simplement parce qu’il observe tout le petit manège avec cette boite. Il lui laissera le temps de l’ouvrir, mais pas forcément d’en voir l’intérieur avant qu’il ne vienne à bouger de nouveau pour la récupérer et s’installer un peu mieux contre le dossier.

- Tu va commencer par baisser d’un ton Skeeter.

Il va laisser trainer ses doigts dans cette même boite pour en sortir ce qui semble être un colier sans aucune valeur, une breloque. Suivis… D’une enveloppe kraft assez épaisse qu’il laissera tomber sur les genoux de la blonde. Où elle pourra avoir tout le plaisir de découvrir les photographies qui avait tant plus à toute la petite bande au Canarie, tout spécialement Emily d’ailleurs. S’en suivra un morceau de parchemin avec le dessin d’une gemme au fusain.

- Tu reconnais ce truc ?

Il tendra le parchemin nonchalamment vers la demoiselle et continuera son exploration. Ne doutons pas qu’il doit s’y trouver quelques autres détails de l’épopée de toute la bande en Espagne. Thaddeus n’a pas tort en conseillant à Emily de ne plus garder ses effets personnels ici, mais ça Theo ne le sait fatalement pas. Il y a peut-être d’autres chose qui aurons capté l’attention de la Skeeter, peut-être. Mais lui ? Il va laisser la boite tomber dans un bruit sourd sur la table. Il se sera tourné vers Sutton, ne doutons pas qu’elle doit être toujours en train de fulminée ? Dans tous les cas, son attitude commence à taper sur le système de Theophilus qui est venu chercher une alliée, pas faire garderie.

- Je te proposais un deal. Mais si ça ne conviens pas à tes attentes, Sutton.

La pause théâtrale ? Elle sera le temps de régler un peu de l’attitude de la blonde qui à l’air de s’être oublié ou de se sentir poussée des ailes. Et de facto, d’avoir perdu son cerveau dans le processus. Si c’est de motivation qu’elle manque, il peut toujours lui en donner. Notamment au moment ou il attrapera son poignet, quoi qu’elle face ou qu’elle regarde pour la pousser un peu plus sur l’assise du canapé, n’ayant pas la douceur de certain quand au risque de mouvement trop brusque qui approcherons l’arrière de sa tête du dossier ou bien de l’assise. Il se penchera sur elle en suivant le mouvement qu’il aura initié.

- Je peut toujours agir à ma manière. Mais je suis presque certain que tu appréciera beaucoup moins.

Il va marquer une pause le temps de partir à la recherche de ses yeux. C’est fou comme le mâle alpha qu’il se croit être à besoin de prouver son ascendant à chaque fois qu’il veut faire comprendre ses idées. Ça donne des envies de meurtre au cerveau commun.

- Reprend toi. Ce n’est pas en perdant ton sang-froid que tu arriveras à quoi que ce soit. Et je n’ai pas non plus grande patience.

KoalaVolant



Theo Nott
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t753-theophilus-m-nott#16244
Sutton Skeeter
Sutton Skeeter

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Dove Cameron
Niveau : 60/100
Points d'Exp : 15873
Particularité : doppleganger palier 1/7 | magie antique - palier 0/7
Health Point : 3 000
PC (compétences) : 27/37
PC (caractéristiques) : 37/37
Scolarité et Métier : Je suis en septième année à Poudlard, dans la maison Serpentard. Je suis également la rédactrice en chef de la gazette des écoles, mais ça, vous devez déjà tous le savoir. A moins que vous ne soyez un demeuré ? Ou que vous viviez sur une île déserte au fin fond de l'antarctique...

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Dim 19 Nov - 9:21

Oser fouiner, c'est s'aventurer dans les trésors cachés de la curiosité.
feat. @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter


On ne remerciera jamais assez la boite de ne pas avoir lâcher son jet d'encre à la face des deux Serpentard. Car, même si ça aurait été très drôle à voir, ça aurait sûrement été la goutte d'eau pour la petite blonde dont le regard essaye déjà de transpercer le contenant qu'elle à entre les mains. Et vu sa réaction quand elle se retournera vers le Nott, écarquillant les yeux quand il lui vole ce qu'elle à entre les mains... Autant dire qu'elle n'est pas encore redescendue et qu'elle n'est pas loin d'un nouvel éclat de voix. Même si monsieur lui enjoint de garder ses lèvres scellées pour une fois. Elle aura d'ailleurs tellement de mal à se retenir qu'elle sera obligée de se pincer les lèvres si fort qu'elles vont finir par simplement disparaître de son visage avant qu'elle ne soupire largement pour détourner le regard et commencer à faire claquer les ongles de sa main droite sur son bas. Un silence bienvenue, même si, dans cinq minutes, elle va aussi se mettre à taper du pied.

C'est fou ce que les gens aiment lui passer devant ces derniers temps. Comme si elle était du genre à apprécier ça la plupart du temps ! Et si elle était déjà frustrée, autant dire que ça ne fait qu'en ajouter à une humeur déjà bien dégradée. On inspire, on expire. Et avec autant de silence que de profondeur même si l'envie de fermer les yeux pour se calmer n'est toujours pas présente. Après tout, c'est peut-être lui qui a transformé cette peluche en boite mais c'est dans la chambre de sa sœur qu'elle se trouvait. Et visiblement la patience est un trait commun que les deux Serpentards semblent partager. A minima en ce moment.
C'est donc en ignorant royalement sa fouille de l'écrin à souvenirs de sa jumelle qu'elle va attendre, jusqu'à ce qu'elle sente un poids sur sa cuisse et qu'elle vienne attraper l'enveloppe de papier kraft.

Et là, je peux vous dire qu'il n'y aura plus personne en haut. Parce qu'après avoir ouvert ladite enveloppe, elle commencera à parcourir les clichés et, ce sera loin de la calme. Emily par-ci, Emily par-là. Emily dans différents endroits, en train de faire différentes choses insignifiantes, Emily qui prend une douche en pleine nature... Emily dans ses vêtements... Emily, Emily, Emily et... Elle a dû se mettre à trembler quelque part, même si ça doit être passé inaperçu que ce ne sont plus que des photographies d'Emily qui défilent devant ses yeux. C'est elle aussi et la différence entre les deux est tellement flagrante que c'est à se demander comment les gens peuvent encore les confondre. Elle en train de faire du shopping avec Kassie, avec Fallon. Qui essaye une nouvelle robe, dans le parc de Poudlard, sur le chemin de traverse, près de la Gazette du sorcier avec sa mère, apprêtée pour une nouvelle journée. Elle aussi, pendant la fête de Kassie, juste avant un jeu de la bouteille. Elle toujours, ce même soir, une plume à papote s'agitant alors qu'elle observe un manoir en flammes. Elle aussi, le dos à un arbre dans le parc de Poudlard, en train de soutirer quelques informations à McLaggen. Elle est récente celle-là, même si on notera qu'ils n'en sont qu'aux préliminaires, puisque le reste aurait dû se passer dans une salle de bain...

Elle aura relevé la tête l'espace d'une seconde, pour regarder le dessin mais la réponse à la question aura été balayée par une nouvelle photo. Elle et Emily, en pleine dispute, comme d'habitude. Ses yeux vont repartir vers le dessin une nouvelle fois. En revenir aux photographies. Le dessin encore. Et on est ravis qu'elle ne saigne pas et qu'elle ne se mettent pas à chanter quitte à aveugler Theophilus au passage. Les photographies encore. Elle n'aura pas vu le collier pour l'instant, ni la petite bourse en peau de mock. Les photographies...
Et un sursaut quand la boite retrouve la table. Au point où ça lui fait resserrer le poing sur l'un des clichés, le froissant entre ses ongles pendant qu'une partie des photographies glissent sur le sol, de même que le dessin au fusain. Elle aura un autre sursaut quand elle sentira la main de Theo autour de son poignet et qu'elle se verra basculer en arrière. Ça aurait bien pu lui couper le souffle encore une fois, si elle n'en avait pas déjà manqué. Les mots du jeune homme viennent doucement s'imprimer dans son esprit alors qu'elle regarde les doigts qui sont venus se poser sur sa peau tout en froissant toujours un peu plus le cliché qu'elle tient dans son autre main.

C'est une sensation étrange que celle de ne pas savoir où l'on se trouve réellement. Ou d'avoir l'esprit ailleurs, au moins une partie, pendant que l'autre essaye réellement d'imprimer ce qui est en train de se passer. Et, on ne va pas se mentir, entre les photos, les souvenirs de cette pierre, la soirée d'hier, le fait qu'elle soit... Autant le dire : soumise au bon vouloir du sang-pur qui se tient... Plutôt au-dessus que devant elle présentement, surtout vu comment elle se ratatine. Elle serait bien incapable de décrire le regard qu'elle aura pour lui là, tant ses iris ont dû mal à se stabiliser. Comme si elles hésitaient à le regarder dans les yeux ou bien qu'elles essaient de fuir le fait de se perdre dedans.
Le souffle qui l'avait quittée semble avoir retrouver son fonctionnement, l'air qui entre dans ses poumons venant soulever sa poitrine sûrement plus qu'en cas de respiration normale. Elle en aura entrouvert la bouche en continuant d'imprimer ses paroles, les poings toujours crispés que ce soit sur du vide ou sur du papier glacé.

« Et si... »

Elle va fermer ses paupières le temps d'une inspiration, plus profonde que les autres sûrement et qui va lui permettre de desserrer les doigts sur la photo. Laissant la boule que forme cette dernière rouler sur le bord du canapé puis le sol.

« Je te dis que cette pierre fait partie de ce qu'ils cherchaient la dernière fois ? »

C'est presque une question, une vrai question. Comme si elle attendait réellement une réponse alors que sa main libre vient se poser sur les vêtements du jeune homme pour en faire glisser l'étoffe entre ses doigts.

« Ou bien que j'ai une interview en fin de journée ? »

Même si l'idée de balancer sa sœur n'était pas l'objectif du jour, il se trouve qu'elle a aussi beaucoup de questions à lui poser présentement. Du genre de celles qui ne peuvent pas attendre. Sa main va continuer de longer les vêtements, sage aventurière qui semble attendre un peu plus qu'une gentille invitation. Ou bien son paiement tout simplement ? Puisqu'on pourrait presque le voir comme ça, en réalité.

« C'est là qu'elle devrait aller, sauf si elle veut que je l'étrangle pour m'avoir fait rater une occasion pareille... »

Et la phrase va rester en suspend, de même que son souffle ou son regard qui va finalement venir se fixer dans celui du jeune homme.  
 

KoalaVolant


b.a.d.b.i.t.c.h


I got mercy, I got grace. Desperado with the scales. Throw a rose on your body, Mask of Zorro, I'm so wanted! Watch me dance, watch me sing. Don't ever get caught again. You'll then see : The bad bitch
KoalaVolant
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t1194-sutton-skeeter
Theophilus M. Nott
Theophilus M. Nott

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Felix Mallard
Niveau : 54/100
Points d'Exp : 13687
Health Point : 2 700
PC (compétences) : 20/26
PC (caractéristiques) : 26/26
Scolarité et Métier : Il à fait ses études à Poudlard au sein de la maison Serpentard. Je suis à présent étudiant à Grimardent dans la résidence Magilignes.

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Dim 19 Nov - 13:38

Theo & Sutton.

Date : mercredi 1er janvier 2025
Lieux : Chemin de Traverse, Londres.
Participants : @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter.

Il observera ses traits, ses réactions. Ce moment où elle fermera quelques seconde les yeux avant de formulée ses réponses. Il sentira sa poitrine se soulevée à la mesure de ses respirations. Pour autant, il ne bougera pas d’un pouce. Il y aura l’étendu de ce sourire narquois à voir qu’il obtient petit à petit ce qu’il à passer un peu trop de temps à devoir demander. Et quand les mots auront fini leurs chemins jusqu’à ses oreilles, c’est presque trop tendrement qu’il se penchera un peu plus pour aller déposer ses lèvres sur le front de la demoiselle, la seconde main semblant vouloir trouver un chemin le long de sa cuisse.

- Tu vois ? C’était pas si difficile.

Il ne va toujours pas bouger, mais étrangement la rapprocher de lui en sentant la prise qu’elle à sur le tissu de ses vêtements tout en posant son menton sur le sommet du crâne de la jeune femme pour fixer son regard dans le vide.

- Il semblerait qu’on ait à faire. Et que je vais te devoir une invitation à dîné ce soir. Une fois que j’aurais mes document en main.

Le contraste entre la dureté menaçante de celui qui voulait imposer les réponses et celui qui serait presque trop mielleux, doucereux dans l’instant est frappant. Mais ne doit pas être étranger à la jeune femme et être une part importante de leurs dynamiques.

- Pendant que tu… « dormais » hier ta sœur nous à fait quelques dingueries. Elle a comme… siphonner la magie de Morgan en la touchant. Est-ce que c’est quelque chose que tu es capable de faire aussi ?

Il s’est redressé pour que son regard aille de nouveau à la rencontre du sien. Dans toute cette nouvelle « douceur » ses prises seront rester ferme. Et on peut voir ce dessinée l’un des intérêts qu’il pourrait prêter à la plus belle et élégante des jumelles Skeeter, ce n’est pas con un Nott. Et ça sait très bien aller là où se dessine ses intérêts. Et si une personne aussi médiocre qu’Emily à réussit à mettre hors-jeu, même pour quelques instants, la Jedusor. On comprend, en partie, pourquoi il veut garder Sutton à porter de main. Il laissera sa main quitté le poignet de la jeune femme, remonter le long de son visage et une nouvelle fois, passera son index sur la peau de pêche de son visage.

- Et où est donc cette interview ? Pourquoi est-ce qu’elle voudrait y allée à ta place ?

Sa voix un toujours un murmure serpentin, et la malice qui nait dans son regard ne laisse aucun doute sur ses intentions. Pas plus que le soupire qui s’échappera de ses lèvres quand il approchera son visage, surement d’un peu trop près, pour aller capturer les lèvres de la demoiselle. Une main de fer dans un gant de velours. Parce qu’il faut toujours savoir appâter les jolies guêpes avec du miel, pour nourrir le paradoxe entre douceur et crainte que cette dernière ne soit pas la seule emprunte qu’il laissera dans son sillage. Un jeu qui l’amuse beaucoup. Parce que les réponses soulèvent d’autre questions, mais qu’il ne reviendra pas tout de suite sur le dessin au fusain ou les photos qu’il aura vu du coin de l’œil, plus tard peut-être. Mais à voir les émotions que ça aura provoqué chez la jeune femme, il doute qu’elle ait réponses à ses nouvelles interrogations. Visiblement, il faudra mettre la main sur la moindre des jumelles pour en savoir davantage. Ce qui, dans un certain plaisir sadique, lui fait très envie.

- Il semblerais que ta moins que rien de sœur ait quelques petites choses à nous dire, tu ne crois pas ?

KoalaVolant



Theo Nott
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t753-theophilus-m-nott#16244
Sutton Skeeter
Sutton Skeeter

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Dove Cameron
Niveau : 60/100
Points d'Exp : 15873
Particularité : doppleganger palier 1/7 | magie antique - palier 0/7
Health Point : 3 000
PC (compétences) : 27/37
PC (caractéristiques) : 37/37
Scolarité et Métier : Je suis en septième année à Poudlard, dans la maison Serpentard. Je suis également la rédactrice en chef de la gazette des écoles, mais ça, vous devez déjà tous le savoir. A moins que vous ne soyez un demeuré ? Ou que vous viviez sur une île déserte au fin fond de l'antarctique...

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Dim 19 Nov - 14:59

Oser fouiner, c'est s'aventurer dans les trésors cachés de la curiosité.
feat. @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter


C'est comme un tourbillon d'informations qui vient se dessiner dans son esprit. Des données interminables qu'elle vient lentement glisser dans différentes cases. Pas pour les oublier, pas pour les trier, simplement pour en hiérarchiser l'importance. Et si les rouages de son esprit restent certainement invisibles à l’œil nu, c'est sûrement parce qu'au milieu de toute cette agitation, il y a comme une sorte de brume. De celle un peu étrange qui vous font ressentir des choses un peu étranges aussi. Du soulagement, peut-être, quand il pose ses lèvres sur son front et qu'elle en fermera les yeux une nouvelle fois. De l'envie aussi, quand c'est la chaleur de sa main qu'elle sent par-dessus la finesse de son bas. De l'angoisse, à sentir l'autre toujours enroulée autour de son poignet. De l'impatience sûrement, quand il se rapproche un peu plus, réduisant la faible distance, et qu'elle sent son souffle sur sa peau.
C'est un mélange assez savoureux qui vient doucement se distiller dans tout son être. Dévoilant sûrement, tout le paradoxe, toute l’ambiguïté, de cette relation.

Comme si la résistance était une chose recherchée, juste pour ressentir la pression dont il peut être capable avec un simple geste. Comme si elle avait besoin de sentir cette tension pendant qu'elle tire, elle-même, sur le fil d'où elle pourrait tomber. C'est comme un équilibre précaire entre ce moment où elle sera inutile et celui où elle pourrait rester utile. Toute une dynamique qui a prit place il y a quelques temps maintenant. Un monde entre la toxicité et une bouffé d'air un peu trop frais qui vous aide à respirer. Sans être une destruction mutuelle assurée, c'est laisser cette emprise masculine l'envelopper un peu plus encore à chaque fois. Quitte à ce qu'elle l'étouffe par moment où qu'elle la ressente un peu trop dangereusement. C'est osciller entre les frissons de la peur et de l'envie de le ressentir.

Un peu comme ceux qui seront provoqués par ses doigts qui glissent lentement en direction de son visage tandis que ses mots évoquent la soirée de la veille tout en minimisant, voir en balayant, le fait qu'elle ait été la victime. La première du moins, puisqu'elle n'aura pas vu les autres actions de... Morgane... Et ça devrait être d'autant plus dérangeant que celui qui est au-dessus d'elle présentement, est l'une des personnes qui y a participé. Même si c'est de façon passive, il aurait tout aussi bien pu être le bourreau vu la personne à qui il est affilié. Et ça, on ne va pas se mentir, ça devrait la tétaniser au point que tout le reste ne devrait plus exister.

Elle aura à peine le temps de faire un simple non de la tête, ses iris toujours accrochées à celle du jeune homme, qu'elle sentira son propre corps répondre à chacun de ses gestes avec un peu trop de convoitise. Quant à sa volonté, elle semblera s'échapper en même temps que son souffle.

« Je n'ai pas les détails. Au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, c'est un groupe de parole auquel je ne suis pas invitée. »

Et rien que de le dire, elle en aura baissé la voix. Comme si l'avouer pourrait rompre ce qu'elle voit se dessiner entre eux.

« Mais je supposes que si elle à prit mon apparence, c'est parce qu'elle veut se rendre sur un autre continent. »

On pourrait presque croire qu'elle a du mal à le dire. Où alors c'est juste que la brume qui se distille dans son cerveau devient un peu plus épaisse à cause du jeune homme. Comme si sa présence, toujours imposante, rendait compliquée le cheminement de ses pensées.

« L'interview à lieu à Uagadou. Et j'imagine que ça aura un lien avec ce qu'ils ont fait la dernière fois... »

Le nom de l'école aura été prononcé dans un soupir quand elle aura accueilli ses lèvres dans une certaine forme de salvation. Comme si, l'espace d'un instant, elle pouvait toucher d'un peu trop près une certaine forme d'exaltation. Malsaine certes, mais réelle d'une certaine façon. Et tout comme elle réagit trop bien à sa dureté, à cette emprise presque trop cruelle qu'il a sur elle, c'est avec la même énergie qu'elle va répondre à cette apparente douceur. C'est presque sans contrôle que tout son corps va se tendre, se cambrer doucement pour renouveler un peu plus de cette proximité. C'est sa main qui va quitter ses vêtements pour remonter lentement jusqu'à son épaule. Accompagnée de cette jambe sur laquelle elle sent toujours la fermeté de son touché et dont la cuisse va venir se coller à sa taille.

Et quelque part, au milieu de tout ça, il y aura toujours le doute d'avoir dit un mot de trop. Ou pas assez. Comme si vivre sur cette corde raide était la seule chose qu'elle arrivait à faire. Comme si ça permettait à son souffle de continuer, à son sourire de s'élargir quand leurs lèvres se sépareront.

« Alors je vais devoir la faire parler... »

Elle l'aura dit en se redressant légèrement, approchant sa bouche de l'oreille du jeune homme.

« L'interview est à seize heure... »

Et la phrase restera doucement en suspend pendant que tout son corps semble appeler à autre chose. De même que ses lèvres qui, à défaut de chercher celles du jeune homme, semblent vouloir partir à la découverte de sa peau. Quant à savoir si il la laissera faire ou pas, ce sera à son appréciation. Puisque l'essence même de cette relation, n'est-elle pas étroitement aux réponses qu'elle apporte à ses questions ?
 

KoalaVolant


b.a.d.b.i.t.c.h


I got mercy, I got grace. Desperado with the scales. Throw a rose on your body, Mask of Zorro, I'm so wanted! Watch me dance, watch me sing. Don't ever get caught again. You'll then see : The bad bitch
KoalaVolant
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t1194-sutton-skeeter
Theophilus M. Nott
Theophilus M. Nott

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Felix Mallard
Niveau : 54/100
Points d'Exp : 13687
Health Point : 2 700
PC (compétences) : 20/26
PC (caractéristiques) : 26/26
Scolarité et Métier : Il à fait ses études à Poudlard au sein de la maison Serpentard. Je suis à présent étudiant à Grimardent dans la résidence Magilignes.

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Dim 19 Nov - 15:56

Theo & Sutton.

Date : mercredi 1er janvier 2025
Lieux : Chemin de Traverse, Londres.
Participants : @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter.

Dans le théâtre complexe des relations, parfois se joue une pièce équivoque où l'homme, tel un marionnettiste adroit, manie les fils subtils de l'emprise. C'est une toile tissée de nuances où la force de sa domination s'entrelace à la délicatesse de ses gestes, comme des ronces étreignant une fleur délicate. Sa main, tour à tour ferme et caressante, guide et contrôle dans une danse habile où la douceur masque l'étau invisible qui se resserre. Il agit tel un chef d'orchestre, distribuant avec parcimonie des notes de tendresse, des éclats de gentillesse qui viennent envelopper la toile de leur douce mélodie. Ses mots, comme des murmures envoûtants, sont un élixir ensorcelant qui capture l'attention, qui dépose sur ses lèvres un sourire éphémère et sur son cœur une dépendance insidieuse.
Parfois, il s'agit d'un regard, profond et captivant, une étreinte furtive mais possessive, ou encore des gestes attentifs teintés d'une bienveillance calculée. Ces douceurs dissimulent la trame d'une relation où chaque geste, chaque attention semble conditionnée, régi par un équilibre fragile entre l'offrande et la retenue.

L'ancien Serpentard dans cette posture exerce un contrôle silencieux, tel un faucon planant au-dessus de sa proie, il maintient son emprise par des câlins feutrés, des mots mielleux qui masquent la cage invisible où se déroule la pièce. Comme un peintre habile, il compose une fresque d'émotions contrastées, mêlant la douceur apparente à la puissance sourde de sa domination. Dans cette relation aux teintes sombres, la jeune femme, prisonnière de cette dualité subtile, se retrouve happée dans un tourbillon émotionnel. Elle se love dans les bras tendres offerts, trouvant refuge dans ces instants fugaces de douceur, ignorant parfois la toile complexe qui se dessine autour d'elle, emmêlée dans les fils de cette manipulation habile. Ainsi, Theophilus, tel un illusionniste habile, jongle avec l'ambiguïté de ses actions, orchestrant un ballet où se confondent la tendresse et la dépendance, où la douceur devient l'arme de choix pour maintenir la petite blonde dans l'ombre de son emprise.

- Si elle est capable de ce faire passée pour toi, je n’ai aucun doute sur le fait que l’inverse doit être possible aussi sans grand mal. Maligne comme tu sais l’être.

Dans cette continuité, le jeune homme, tel un architecte de sentiments, ressent un frisson de puissance parcourir son être. C'est une sensation enivrante, celle de dominer sans paraître contrôler, de diriger sans sembler commander. Chaque geste de tendresse distribué avec discernement lui confère une empreinte de maître des marionnettes, amplifiant son sentiment de suprématie. L'écho de son influence sur elle résonne en lui comme une symphonie bien orchestrée. Chaque cambrure obtenue, chaque réconfort offert, lui donne l'impression d'être le souverain d'un royaume émotionnel où il dicte les règles tacites, où son charisme façonne les contours de cette relation.

Il savoure ce pouvoir insaisissable, cette capacité à modeler les émotions de l'autre à sa guise, tout en maintenant l'apparence d'une bienveillance désintéressée. C'est comme tenir les rênes d'une monture indocile, sentir la force sous-jacente de cette emprise subtile tout en masquant son contrôle sous un voile de douceur. Chaque fois qu'il voit l'effet de ses attentions se refléter dans les yeux de la demoiselle, il se sent comme un magicien ayant maîtrisé l'art de l'enchantement. Cette sensation de toute-puissance, de manipuler les cordes des émotions à sa guise, est une ivresse qui l'enveloppe, le confortant dans sa position dominante. Reculant juste assez pour ne pas lui laisser le plaisir de pouvoir découvrir les saveurs de son épiderme tout en remontant sa main un peu plus haut vers l’arrondit de ses fesses à travers le fin tissus d’une jupe qu’il fait remonter. Douce torture bien plus douce que les précédentes.

- Ce qui te permettrais sans doute de t’immiscer dans leurs petit groupe pendant que je prendrais plaisir a avoir une petite conversation avec elle pour lui rappeler sa… place.

L'homme s'imprègne de cette impression de grandeur, se délectant de la dépendance qui se tisse silencieusement autour de l'autre, façonnant ainsi un équilibre fragile où la douceur de ses gestes devient l'outil d'un pouvoir subtil et captivant. Cependant, dans cette danse entre tendresse et contrôle, le garçon peut aussi être prisonnier de cette illusion de toute-puissance, étant lui-même enchaîné par la nécessité de maintenir cette emprise, constamment sur le qui-vive pour conserver ce fragile équilibre émotionnel qu'il a tissé. Sa seconde main allant rejoindre le cou de la demoiselle pour finir de l’allongée complètement sur le divan, l’encerclée et approcher un peu plus son bassin. Il fera légèrement pivoter son visage à l’aide de ses doigts autour de son cou pour se donner en offrande le cou de la jeune femme ou il ira chercher le goût de sa peau du bout de la langue dans quelques appréciations qui loin d’être douce, n’en demeure pas moins dénué d’une certaine forme de passion qu’il lui offre alors qu’il repose presque tout son poids sur elle. La main sur ses formes continuant son chemin sous le tissu de la jupe pour aller titillée d’autres sens en une douce torture. Et quand elle filera à travers la dentelle dont est apprêter la jeune fille sous ses vêtements, ses lèvres capturerons à nouveau celle de la jeune femme dans un baisée qui n’aura rien d’innocent ou de tendre. Une parfaite juxtaposition entre les gestes de cette main exploratrice et cette bouche avide. Quelques instant pour répondre à la cambrure de la jeune femme, sentir encore un peu de son ascendant.

KoalaVolant



Theo Nott
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t753-theophilus-m-nott#16244
Sutton Skeeter
Sutton Skeeter

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Dove Cameron
Niveau : 60/100
Points d'Exp : 15873
Particularité : doppleganger palier 1/7 | magie antique - palier 0/7
Health Point : 3 000
PC (compétences) : 27/37
PC (caractéristiques) : 37/37
Scolarité et Métier : Je suis en septième année à Poudlard, dans la maison Serpentard. Je suis également la rédactrice en chef de la gazette des écoles, mais ça, vous devez déjà tous le savoir. A moins que vous ne soyez un demeuré ? Ou que vous viviez sur une île déserte au fin fond de l'antarctique...

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Dim 19 Nov - 17:29

Oser fouiner, c'est s'aventurer dans les trésors cachés de la curiosité.
feat. @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter


Il y a dans cette relation, une dimension que l’œil extérieur pourrait avoir du mal à comprendre, à entendre. Quelque chose de complexe qui vient essentiellement d'elle sûrement, même si on peut tirer un chapeau bas au maître qui arrive, qu'il s'en doute ou non, à venir chercher tout ce qui se cache au plus profond de son âme. Parce que ce n'est pas uniquement dans la toile qu'il tisse qu'elle vient se perdre, c'est dans ses propres conflits également. Et là où toutes les alarmes pourraient se mettre à sonner, elle fini par entendre une toute autre mélodie. De celle qui arrive à la laisser sans voix. Où de celle qui la pousse un peu plus dans ce vice. Puisqu'il n'y aura aucun doute quant au fait qu'elle finira par baisser totalement les armes, acquiesçant a la moindre de ses demandes tant qu'il veut bien lui accorder un soupçon de son attention. Que ce soit rude, que ce soit doux, que ce soit quelque part entre les deux ou bien les deux en même temps. Si sa tête devrait s'y refuser, son corps réclame pourtant cette présence.

C'est dans ces détails que vient se créer le relief. Celui d'une relation qui n'en est pas une. Parce que l'échange est bien souvent réduit a l'essentiel. A une envie, à une pulsion, à quelque chose qu'on offre et qu'on retire presque aussitôt. Pour elle, c'est avoir l'impression d'être prête à tomber à tout moment jusqu'à cet instant où elle n'arrivera pas à se relever. Au-delà de ça, c'est aussi laisser à l'autre tous les droits et ne rien pouvoir dire. Car tout comme elle ne fait que trembler face à ses menaces, elle ne peut que frissonner sous ses caresses, sous le peu qu'il donne et qui l'enlise un peu plus dans l'envie de gagner, un jour, d'un peu de ce pouvoir. C'est venir tracer les contours de ses faiblesses, d'une estime d'elle-même qui, malgré les apparences, est sûrement plus basse que ce que l'on peut imaginer.

Et tout ce contrôle qu'il exerce, au point de lui fait perdre l'usage de son bon sens, s'entendra dans ce soupir qu'elle va lui offrir. Parce que l'entendre dire amen à une proposition comme celle de prendre la place de sa sœur... Quand on sait ce qu'Emily représente pour elle, que cette simple idée aurait un effet plus répulsif que de la mort aux rats, c'est sans conteste une victoire sur la volonté de la jeune femme. Une qu'elle va offrir sans la moindre résistance, si ce n'est un fin mordillement de sa lèvre inférieur quand il va lui refuser le grand de sa peau, quand ses doigts vont venir déposer quelques arabesques sur la courbe de ses fesses. C'est un abandon presque total qu'elle viendrait presque déposer entre ses mains.

Là, maintenant, elle vendrait bien tout ce qui n'est pas elle pour profiter encore un peu plus de ce qu'il distille au plus profond de son être. Cette main qui viendra glisser dans son cou, elle ne cherchera pas à la fuir cette fois. Pas plus qu'elle ne la fera trembler, si ce n'est d'un tout autre désir que celui de lui résister. C'est presque comme si elle recherchait son contact un peu plus encore en se laissant basculer totalement en arrière. Comme si se peau ne pouvait se passer de cette étreinte qui continue de tendre les muscles de son corps. Y compris ce cou qui se soulève un peu plus lorsque sa tête bascule en arrière, qu'en quelques geste, elle ne peut plus rien voir d'autre que le dossier de ce canapé. Qu'elle ne verra même pas, ses yeux s'étant sûrement fermés dans le processus alors que, sous le poids du jeune homme, elle pourrait sentir son souffle se couper.

Ce sera sûrement le cas, quand elle sentira sa main s'aventurer un peu plus sous sa juste, distillant quelques caresses qui ne font qu'accentuer la cambrure de ses reins, cette envie qui grandit au creux de son bassin et sous la couleur crème de son épiderme. C'est une soumission totale qui viendra se perdre sur ses lèvres, s'élevant en un doux gémissement qu'elle ne prendra même pas la peine de retenir et d'où la gène sera totalement absente. Ce sont les contours d'un nouveau délice qui viendront animer son regard quand elle croisera brièvement le sien, juste avant que leurs lèvres ne se scellent une nouvelle fois. Qu'elle répondra avec presque autant d'avidité qu'elle est en train d'en perdre le nord en sentant les doigts du jeune homme glisser entre ses cuisses.

Il lui faudra très certainement reprendre d'un peu de son souffle, le temps de basculer un peu plus sa tête en arrière pour profiter un peu plus de cette profondeur. Elle sentira son dos se soulever doucement pour suivre la cambrure de ses reins à mesure qu'elle ressent le besoin de se rapprocher un peu plus encore, de sentir cette puissance écrasante l'envelopper de façon plus intense encore. Indépendamment de sa volonté, c'est tout son être qui réclame un peu plus de proximité, de cette tension qu'il fait naître en elle et dont elle ne fait que toucher du doigt les saveurs les plus subtiles. Elle ne cherchera même pas à aller à l'encontre de ce qu'il pourrait dicter, poupée de chiffon qu'elle est entre ses mains expertes en manipulation de l'être. Marionnette avide aussi sûrement qu'elle est offerte et qui attendrait presque de avoir jusqu'où il pourrait l'autoriser à aller cette fois, jusqu'où il va s'autoriser à aller cette fois. Jusque dans quelles profondeurs instables il réussira à l'emportée.  
 

KoalaVolant


b.a.d.b.i.t.c.h


I got mercy, I got grace. Desperado with the scales. Throw a rose on your body, Mask of Zorro, I'm so wanted! Watch me dance, watch me sing. Don't ever get caught again. You'll then see : The bad bitch
KoalaVolant
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t1194-sutton-skeeter
Theophilus M. Nott
Theophilus M. Nott

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Felix Mallard
Niveau : 54/100
Points d'Exp : 13687
Health Point : 2 700
PC (compétences) : 20/26
PC (caractéristiques) : 26/26
Scolarité et Métier : Il à fait ses études à Poudlard au sein de la maison Serpentard. Je suis à présent étudiant à Grimardent dans la résidence Magilignes.

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Dim 19 Nov - 18:05

Theo & Sutton.

Date : mercredi 1er janvier 2025
Lieux : Chemin de Traverse, Londres.
Participants : @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter.

Comme un alchimiste maniant les éléments, l'homme savoure le délice de guider la jeune femme précisément vers l'endroit où ses desseins la mèneront. C'est une chorégraphie complexe, une symphonie d'intrigues où chaque geste, chaque mot, est une pièce maîtresse dans un jeu de persuasion. Il tisse avec habileté un réseau subtil d'émotions, effleurant les remparts de ses résistances jusqu'à ce qu'elles s'effritent sous la caresse de son charisme magnétique. Tel un sculpteur patient façonnant la pierre, il use de douceur et de patience, chassant les doutes, et érodant lentement les frontières qui protègent son indépendance avec le bout explorateur de ses doigts. Ses gestes, tissées avec délicatesse, deviennent des serments envoûtants, des promesses voilées, construisant un sentier pavé de confiance, le chemin inévitable vers l'acceptation de ses désirs. Chaque sourire conquis est un pas de plus vers l'accomplissement de ses desseins, chaque lueur de consentement dans ses yeux renforce l'édifice de sa domination, un édifice élevé sur les ruines de ses défenses désormais brisées.
Dans ce parcours fascinant, il se délecte de l'art subtil de la persuasion, savourant chaque instant où ses intentions prennent racine dans l'esprit de la jeune femme. C'est comme diriger une pièce de théâtre exquise, où chaque acte est méticuleusement préparé pour conduire à un dénouement prédéfini. Chaque pas franchi dans ce jeu subtil est une victoire qui renforce son sentiment de contrôle, l'enivrant de cette sensation de puissance suprême, lui donnant l'impression de détenir les rênes invisibles de son destin.

La sensation d'avoir tissé un lien indéniable avec elle, comme un fil invisible qui les relie, est une source d'orgueil et d'euphorie. C'est comme avoir trouvé la clé qui ouvre toutes les portes, celle qui lui permet d'influencer ses choix, de guider ses pensées vers le chemin tracé par ses propres désirs. Chaque concession obtenue, chaque mur intime qu'elle laisse tomber en sa présence, est comme une victoire douce-amère qui ajoute une nouvelle couche à sa propre emprise sur elle. Sous cette apparence de tendresse calculée se cache une satisfaction presque jouissive, celle de voir ses plans se réaliser selon ses souhaits. Chaque geste de docilité qu'elle exprime devient une confirmation tacite de sa domination, une preuve supplémentaire de sa capacité à influencer ses décisions. C'est une satisfaction intime, presque secrète, qui l'envahit alors qu'il observe avec une félicité voilée la jeune femme s'abandonner peu à peu à ses volontés, comme un papillon attiré par la lumière qu'il projette. Cependant, dans ce tableau de pouvoir qu'il peint avec adresse, il ne peut ignorer les nuances sombres qui teintent cette toile. Car derrière chaque sourire conquis, derrière chaque accord obtenu, réside l'ombre d'une manipulation subtile, une emprise déguisée en douceur.

Tout en allant gouter un peu plus de sa peau du bout des lèvres, retraçant le contour pulpeux des siennes ou allant redessinée le contour de sa mâchoire, il jouera de ses courbes au creux de ses cuisses à travers le fin tissus, dernier rempart qu’il serait si facile de faire disparaitre. Il s’amuse de la faire languir, de continuer ce petit jeu de possession pour la laisser sombrer dans l’abandon alors que chaque réponse de son corps se fait un peu plus insistant. C’est ce qui fera naître, ou accentuera le sourire qui viendra ponctuer ce qui aura été sans doute un autre soupir alors qu’il sera allé tracer quelques dessins au creux de son cou du bout de la langue. Il se redressera, juste assez pour glisser a nouveau une main sous l’arrondit de ses fesses sur lequel ses doigts se crisperons légèrement quand l’autre ira jouer d’autres formes le long du buste de la jeune femme. Encore quelques instants de jeu, de sensualité qui finiront par ce brisée comme un miroir quand il finira par laisser claquer la paume de sa main bien à plat sur ses mêmes courbes, sous cette jupe trop étriquée à son goût.

- Debout, on a du travail.

Une douche glacée pour elle peut-être. Pour lui ? Un jeu tout au plus, que d’observée les joues rosies ou le désir qui c’était dessinée derrière ses iris. Il se redressera, attrapant au passage une des boissons apporter précédemment par l’elfe pour en prendre une gorgée. Laissant la semelle de ses chaussures salir quelques-unes des photos qui étaient tombé au sol. Epargnant le croquis, pas par choix, mais par chance.

- Tu devrais aller te repoudrer le nez, tu fais un peu… négligée.

Le sourire de petit con, on le voit bien, là, quand il va ramasser l’enveloppe kraft et reprendre la position qu’il affectionne tant sur le canapé, croisant les jambes, un bras étendu sur le dossier quand l’autre est occupée à remuer le papier glacé sans qu’il n’ait plus un regard pour Sutton.

- Un truc à manger ne serait pas de refus non plus. C’était quoi cette interview que tu devais faire ?

On n’est pas loin de l’homme qui demande sa bière et son sandwich, c’est un fait. Il portera l’œil sur sa montre, il serait bon de ne pas trainée outre mesure. Quitte à reprendre certaine activité plus tard, quand il sera satisfait. Ou bien qu’elle se montrera encline à le satisfaire ?

KoalaVolant



Theo Nott
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t753-theophilus-m-nott#16244
Sutton Skeeter
Sutton Skeeter

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Dove Cameron
Niveau : 60/100
Points d'Exp : 15873
Particularité : doppleganger palier 1/7 | magie antique - palier 0/7
Health Point : 3 000
PC (compétences) : 27/37
PC (caractéristiques) : 37/37
Scolarité et Métier : Je suis en septième année à Poudlard, dans la maison Serpentard. Je suis également la rédactrice en chef de la gazette des écoles, mais ça, vous devez déjà tous le savoir. A moins que vous ne soyez un demeuré ? Ou que vous viviez sur une île déserte au fin fond de l'antarctique...

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Dim 19 Nov - 19:22

Oser fouiner, c'est s'aventurer dans les trésors cachés de la curiosité.
feat. @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter


C'est sûrement bien malgré elle que la brûlure vient se répandre sous sa peau, traçant les contours des gestes du jeune homme jusqu'à en devenir aussi chaude qu'elle terminera par la glacer. C'est une torture qui se fait à la fois douce et violente quand les courbes de l'envie sont éteintes à peine la flamme s'est elle embrasée. C'est aussi une longue chute, lente et douloureuse, qui fait presque exploser tout ce que l'âme tentera toujours de cacher. Ce sont des réalités qui explosent là où l'imaginaire semble mourir. Mais, quelque part, au fond, ça restera aussi l'espoir de pouvoir le ressentir à nouveau. De pouvoir sentir ce poids au-dessus d'elle et pas seulement physiquement. Mentalement aussi, quelque part. Puisqu'au final, tout est lié d'une certaine manière. Au fond, c'est très étrange comme comportement, comme façon d'analyser les choses aussi, même pour elle ou, surtout pour elle ?
C'est un débat qu'elle ne pourra pas avoir quand elle se retrouve délaissée, comme au bord d'un précipice qui mériterait certainement de l'engloutir totalement. Sûrement autant qu'il sera venu éroder les contours de sa confiance, de son estime, ou de quoi que ce soit d'autre qui va venir fendiller l'armure.

Une faille qu'elle masquera comme elle en masque tant d'autre lorsqu'elle va reprendre une position assise. Évitant soigneusement de regarder le jeune homme quand elle passe une main dans ses cheveux blonds pour les recoiffer. Dégager quelques mèches lorsqu'elle redresse la tête comme si rien de tout cela ne s'était passé. Elle l'aura pourtant bien dans la tête, cette claque venue se déposer sur ses courbes. Comme un ordre qu'on donnerait à une simple monture, bête de somme, qui doit continuer d'avancer quoi qu'il en coûte. Et autant dire que cette saveur lui laisse plus qu'un arrière goût amer dans la bouche. Elle en crisperait d'ailleurs un peu trop la mâchoire tout en continuant de remettre en place ses vêtements. Remontant un peu mieux les bas, baissant la jupe et ajustant les plis nés sur le haut. Une mise en forme subtile qui signe sûrement une envie de disparaître qu'elle pourrait avoir présentement.

Et les prochaines paroles du jeune homme ne vont pas vraiment aider à ce qu'elle se remette de la douche froide sous laquelle elle se trouve encore. De ce gouffre dans lequel elle aurait presque l'impression de tomber un peu plus. Négligée ? Tss... C'est une blague, n'est-ce pas ? Et c'est sûrement ce que son coup d’œil, particulièrement agacé, aurait envie de lui dire. Si il n'était pas si concentré à observer autre chose. Elle en baissera les yeux sur le sol pour voir quelques clichés malmenés, d'elle ou de sa sœur, sous les semelles du Nott, elle ne pourra pas le définir complètement. Le souffle qu'elle va expirer en venant s'accroupir par terre pour venir en ramasser la plupart, jusqu'à ce qu'il daigne bouger ses pieds.
Si ça, c'est pas l'expression de l'irrespect, même elle ne sait pas ce que c'est. Parce que franchement, écraser sous ses bottes le visage de quelqu'un d'autre alors que trois secondes avant... Elle va inspirer une nouvelle fois tout en se relevant, serrant les dents tout dégageant quelques unes des mèches de ses cheveux.

Les photographies toujours en mains pendant quelques secondes avant qu'elle ne les poses avec un peu trop de brutalité sur la table. Elle tournera ensuite les talons, non sans un regard en arrière pour le jeune homme qui doit toujours en être à sa contemplation.

« Il y a des muffins dans la cuisine... Mais je te conseillerais de les éviter. »

L'Elfe ? Ah oui pardon, elle semble l'avoir oublié ou bien elle l'a juste un peu mauvaise. Il faudra lui pardonner. Mais son air négligé et elle doivent disparaître vers d'autres horizons. Qui sont formés par les murs de sa chambre et de cette salle d'eau dont les deux portes vont claquer avec force. Parce qu'a défaut de pouvoir lui en mettre une, les claques se perdent réellement.
Et qu'à défaut de douche froide, elle va en préférer une chaude. Parce qu'entre le petit séjour dans le grenier, la chaleur de quelques étreintes déposées en toute intimité et... Bref, la crasse doit sûrement être retirée, que ce soit la sienne, celle d'Emily ou l'empreinte qu'il aura laissé.

Avant de disparaître cependant, et pendant qu'elle aura retiré ses talons près de la porte de sa chambre, elle aura prit le temps de répondre à l'autre de ses questions.

« Je dois interviewé la directrice de Uagadou, l’événement du nouvel an est également une fête à ne pas manquer. »

Quand au fond de ce qu'elle pourrait en retirer ? Ou du sujet qu'elle pourrait bien explorer ? C'est une information qui n'a pas besoin d'être dévoilée. Après tout, ça n'aiderait en rien sa recherche des documents... Et c'est ainsi, sûrement, qu'elle aura disparue. La première porte claquant juste après pour se refermer comme l'esprit qui vient de se faire violenter. 
 

KoalaVolant


b.a.d.b.i.t.c.h


I got mercy, I got grace. Desperado with the scales. Throw a rose on your body, Mask of Zorro, I'm so wanted! Watch me dance, watch me sing. Don't ever get caught again. You'll then see : The bad bitch
KoalaVolant
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t1194-sutton-skeeter
Theophilus M. Nott
Theophilus M. Nott

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Felix Mallard
Niveau : 54/100
Points d'Exp : 13687
Health Point : 2 700
PC (compétences) : 20/26
PC (caractéristiques) : 26/26
Scolarité et Métier : Il à fait ses études à Poudlard au sein de la maison Serpentard. Je suis à présent étudiant à Grimardent dans la résidence Magilignes.

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Dim 19 Nov - 20:40

Theo & Sutton.

Date : mercredi 1er janvier 2025
Lieux : Chemin de Traverse, Londres.
Participants : @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter.

Il aura surement levé un sourcil en même temps que ses yeux par-dessus la fameuse photo d’une douche en extérieur sur laquelle il devait avoir trouvé un indice quelconque pour y passer plus de temps que les précédentes. C’est que c’est avec un peu de force que Sutton avait poser ce qu’elle venait de prendre à ses pieds sur la table. Il la suivis des yeux quand elle s’éloigna un grand pas, son sourire en coin s’accentuant par l’amusement qu’il retenais d’exposer un peu trop, à l’instar d’un rire qui aurait pu lui échapper s’il n’avait pas été lui. Des muffins hein ? Elle est si frustrée ça qu’il ne l’ait pas « beurrée » son « muffin » à elle ? Que ce soit littéral ou non, un autre jeu de mots aurait été plus appréciable et bien moins… rustre. Son regard sera reparti vers le cliché, puis le suivant quand elle eu ses derniers mots, auquel il répondit par un simple geste de sa main libre « du vent » ou « tu peux disposer » c’est ce qu’on pourrait y lire dans la grande grâce du sang-pur qui ne tardera pas à entendre les portes claquées les unes après les autres.

Il sera reparti à sa concentration jusqu’à ce qu’une photo en particulier pique sa curiosité. Ou son agacement ? Allez savoir. Car la feuille de papier glacée sera légèrement froissée par ses doigts crispés quand il se redressera pour se mettre sur ses pieds dans un soupire. Qu’il contourne la table basse sans faire grand fis de quoi que ce soit alors que ses pas retrace les chemins qu’aurons pris ceux de la demoiselle l’instant d’avant. Et si elle à claquer les portes pour bien se faire entendre, lui sera aussi silencieux que le serpent qui glisse et s’immisce dans l’intimité d’une salle de bain déjà pleine de buée. Assez pour ne laisser entrevoir que la silhouette de dos, qui ne l’aura pas entendu venir, ni retirer ses chaussures ou bien déboutonner lentement sa chemise pour se libérer de ses quelques vêtements avant de se glisser dans son dos. C’est au moment où elle sentira la main du jeune homme venir se poser dans sa nuque qu’il annoncera sa présence pleinement. Quand son autre main ira se poser sur le mur en face, à plat et montrant le cliché aux yeux de la demoiselle.

- C’est délicat, une bonne entente.

La main glisse de la nuque à son cou, quand il l’attire pour la faire reculer quitte à laisser l’eau qui file sur ses courbes venir le chatouiller, lui qui aura gardé la boucle de sa ceinture au même titre que son pantalon à leur place.

- Il serait dommage que la notre cesse à cause de traces de mauvais goût.

Le cliché en question, on l’aura deviné, sera celui la mettant en scène avec McLaggen. Un rustre de rouge et or dont la famille à certes acquis une certaine notoriété le siècle dernier. Mais qui n’en demeure pas loin un insecte. Une nuisance.

- Si je vois encore quelque chose comme ça Sutton, je pourrais très facilement me mettre en colère.

Ça aura été glissé à son oreille au moment ou la main contre le mur s’en détachera pour laisser le cliché rejoindre le carrelage et l’ancre s’imbibé de l’eau qui en diluera les couleurs. Cette même main ira se poser au niveau du ventre de la jeune femme pour en sentir la fermeté de la peau sous la crispation de ses doigts. Qu’est-ce qu’elle ne ferait pas pour attirer son attention ? Parce que oui, évidement, c’est comme ça qu’il le voit. Lui qui se crois au-dessus de tout et de tous. On pourrait l’imaginer jaloux, ce serais se fourvoyer. Même si on trouvera une part de vérité dans le fait qu’il n’aime pas partager. Sa main contre le cou de la jeune femme s’adoucira pour remonter une nouvelle fois dans sa nuque et passer son pouce sur la ligne qui marque la naissance de ses cheveux laissant en suspens les mots quand son regard reste porter sur une dalle face à eux et que l’eau continue de tacheter les vêtements qui n’aurons pas été retirer. Ou bien faire perler quelques-unes de ses gouttes le long des mèches pourtant si bien coiffé du sang-pur.

KoalaVolant



Theo Nott
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t753-theophilus-m-nott#16244
Sutton Skeeter
Sutton Skeeter

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Dove Cameron
Niveau : 60/100
Points d'Exp : 15873
Particularité : doppleganger palier 1/7 | magie antique - palier 0/7
Health Point : 3 000
PC (compétences) : 27/37
PC (caractéristiques) : 37/37
Scolarité et Métier : Je suis en septième année à Poudlard, dans la maison Serpentard. Je suis également la rédactrice en chef de la gazette des écoles, mais ça, vous devez déjà tous le savoir. A moins que vous ne soyez un demeuré ? Ou que vous viviez sur une île déserte au fin fond de l'antarctique...

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Dim 19 Nov - 22:27

Oser fouiner, c'est s'aventurer dans les trésors cachés de la curiosité.
feat. @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter


Le geste qu'il aura eu là, juste avant qu'elle ne claque la porte de sa chambre, il aura sûrement été de trop. Même pour elle. Ou bien surtout pour elle ? Parce que se faire balayer dans sa propre demeure comme si l'on était pas mieux qu'un insecte... C'est généralement à sa sœur qu'on réserve ce genre de traitement. Et ça suffit amplement à Sutton pour être plus que vexée par la situation. C'est comme une plaie à vif dans laquelle on vient gentiment tourner un couteau rouillé. Et autant dire que la sensation est loin d'être appréciable. N'en témoigne le geste presque rageur qu'elle aura pour allumer l'eau avant de retirer ses vêtements. Qui voleront sûrement un peu partout pendant que la Serpentard fait ce que l'on nomme communément, un caprice de star. Et si, généralement, ils se font sous le couvert de la mauvaise foi. Quand elle est seule, c'est juste de la pure colère qui se voit. Pas besoin d'artifice quand il n'y a pas de spectateur pour regarder.
Ce sera donc avec cette même rage qu'elle finira sous l'eau presque trop chaude, quitte à s'en brûler la peau les premières secondes avant que la buée ne s'installe et qu'elle ait plus l'impression de se retrouver dans un cocon. Ne doutons pas, d'ailleurs, qu'elle comptait bien prendre tout son temps. Au moins les minutes qu'il faudrait pour redescendre où pour s'aider à redescendre, c'est qu'au bout d'un moment, laisser une femme frustrée, ce n'est pas bon sur la durée.

Theo n'aura donc aucun soucis à se faire. Car même si il n'avait pas usé de discrétion, il est fort à parier qu'à force de le maudire pendant que l'eau ruisselle sur ses cheveux et sa peau, elle ne l'aurait pas entendu arriver. Le simple souffle d'un air frais à son entrée dans la salle de bain, contraste parfait avec la chaleur qui l'enveloppait, n'aura pas réussi à semer le doute dans son esprit quand à la présence d'une tierce personne. Jusqu'à ce qu'elle sente ses doigts sur sa peau, sa main qui vient se poser sur sa nuque et qui lui arrachera un petit cri de surprise. Tendant instantanément tous les muscles de son corps alors qu'elle aura sûrement eu un mouvement pour s'échapper. Une proie, ça cherche souvent à prendre la fuite et ce n'est pas la main du jeune homme qui va venir se poser sur le mur qui pourrait la rassurer. Ni celle qui passe de sa nuque à sa gorge, qui vient la forcer à relever la tête pour reculer de quelques petits pas, jusqu'à avoir le dos collé au jeune homme pendant que sa main à elle vient se poser sur la cuisse de ce dernier. Ses ongles en auront certainement froisser le tissu, imprimant une pression au travers pendant qu'elle fixe le cliché.

Il y a comme un temps de latence dans l'esprit de la verte et argent. Comme si l'impression des mots qu'il vient glisser à son oreille ne trouvaient pas d'endroit où s'accrocher au départ. Jusqu'à ce qu'elle se décide à ouvrir la bouche, laissant échapper ce qui devait être un soupir pas loin de se transformer en rire.

« Si je comprends bien, tant que tu ne vois pas, ça veut dire que c'est bon ? »

En prononçant ces mots dans un demi sourire, elle aura lentement resserré ses doigts sur le pantalon du jeune homme, non sans déglutir en même temps alors que sa gorge est toujours soumise à son étreinte.

« Ce n'était rien ça, c'est devenu beaucoup plus intéressant dans la salle de bain... »

La phrase en suspend sera accompagnée d'une remontée de la main de la jeune femme, qui viendra glisser le long de la cuisse du jeune homme, jusqu'à se poser sur une toute autre partie de son anatomie sur laquelle elle va venir imprimé une légère pression. Le tout pendant que ses yeux fileront à nouveau vers la photographie d'où les couleurs disparaissent lentement.

« Tu veux que je te montres ou bien... Tu comptes terminer ton office ? »

Une demie seconde, juste une pour une autre suspension des mots pendant que la main qui n'est pas venu se faufiler contre la braguette du jeune homme va venir se poser sur le mur d'à-côté. Qu'elle va aussi retenir un peu plus de cette respiration en sentant les doigts du jeune homme sur son ventre, jusqu'à s'en mordre la lèvre inférieure bien malgré elle tout en accentuant la cambrure de ses hanches.

« Je tiens aussi beaucoup à ma manucure et ça m’ennuierait de l’abîmer. »

C'est qu'elle a bien cinq doigts à cette main là, dont les ongles vont glisser lentement sur le carrelage lorsqu'elle y crispera ses doigts. Cinq aussi sur cette autre main et bien des idées pour s'en servir dans un moment des plus privés. C'est qu'à force de frustré les femmes, elles ont appris à profiter de leurs moments d'intimité, y compris quand elles sont seules ou bien mal accompagnées...
Et dans ces simples mots, c'est peut-être l'instant où l'on verra qu'il y a effectivement quelque chose qui ne va pas dans cette façon qu'ils ont de fonctionner. Parce que pour pousser le vice au point de risquer de réellement l'énerver... Mais ça, c'est comme le geste qu'il aura eu pour elle un peu plus tôt, ce sera simplement balayé comme si ça n'avait jamais existé.
 

KoalaVolant


b.a.d.b.i.t.c.h


I got mercy, I got grace. Desperado with the scales. Throw a rose on your body, Mask of Zorro, I'm so wanted! Watch me dance, watch me sing. Don't ever get caught again. You'll then see : The bad bitch
KoalaVolant
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t1194-sutton-skeeter
Theophilus M. Nott
Theophilus M. Nott

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Felix Mallard
Niveau : 54/100
Points d'Exp : 13687
Health Point : 2 700
PC (compétences) : 20/26
PC (caractéristiques) : 26/26
Scolarité et Métier : Il à fait ses études à Poudlard au sein de la maison Serpentard. Je suis à présent étudiant à Grimardent dans la résidence Magilignes.

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Dim 19 Nov - 22:47

Theo & Sutton.

Date : mercredi 1er janvier 2025
Lieux : Chemin de Traverse, Londres.
Participants : @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter.

Les liaisons dangereuses, ce jeu pervers et enivrant, sont une valse exquise dans les arcanes du pouvoir et de la manipulation. C'est un théâtre où se jouent des rôles insidieux, où chaque acteur est maître dans l'art de l'illusion, tissant une toile de séduction, de tromperie et de désir. Les protagonistes se livrent à des jeux malsains, méticuleusement orchestrés pour assouvir leurs propres désirs, où la conquête de l'autre devient un défi délicieusement perfide. Chaque regard, chaque geste, est un pas stratégique dans cette danse macabre, où le contrôle et la manipulation se mêlent à une passion dévorante.

Les échanges sont des joutes verbales empreintes d'une cruauté raffinée, où les mots sont des lames acérées qui blessent avec précision, où les complots se tissent dans l'ombre pour déstabiliser et assujettir. Ces liaisons sont des échiquiers où les pions sont déplacés avec froideur et calcul, où l'objectif ultime est de détruire les barrières de l'autre pour s'approprier son être et sa volonté. Chaque victoire est une jubilation sadique, une preuve de supériorité dans cette lutte perpétuelle pour le contrôle et la domination.

Pourtant, derrière ce masque de sophistication et de manipulation, se cachent des âmes tourmentées, prisonnières de leur propre jeu. Ces liaisons, aussi exaltantes soient-elles dans leur noirceur, laissent dans leur sillage des cœurs meurtris, des âmes écorchées par la cruauté de leurs propres manigances. Ces petits jeux malsains, où la ruse et la duplicité sont élevées au rang d'art, laissent des cicatrices invisibles, des traces indélébiles de douleur et de destruction dans les replis de ces liaisons toxiques.

Il va serrer un peu plus la main autour de son cou en revenir à sa gorge, même, à mesure de ses mots. A mesure de cette main qui ira se poser contre sa cuisse, glisser trop près de sa braguette. C’est du dégout qui crispe le visage de Theo et qu’elle ne pourra pas voir. Un dégout profond qui se heurte aux dédains et à une certaine forme de colère. Colère qui rugit de l’affront, de l’insolence aussi. Cette même insolence qu’il trouve pourtant si souvent exquise. Sa main sur cette nuque filera pour aller encadrer son menton et le plaqué un peu plus contre lui, serrant un peu trop les os de sa mâchoire pendant que l’autre continue l’exploration de ce bas ventre.

Les doigts qui tenaient ce menton irons ce faufilé jusqu’à trouver une place entre ses lèvres et y forcer barrage alors que ses lèvres s’approcherons de son oreille pour chuchoter quelques mots à l’air serpentin.

- Mais je t’en prie, fait moi donc une démonstration de tes talents de racolage.

Et en les disant ses mots, la main qui avait atteint l’aine de la jeune femme glissera contre sa ceinture pour en défaire la boucle avec lenteur jusqu’à tirer le cuir par-delà les ardillons pour le laisser voguer un peu plus loin hors de cette douche. Il y a bien des idées qui lui passerons par la tête, certaines censuré d’ailleurs par sa joueuse. Ce qui ne l’empêchera pas d’aller défaire les quelques boutons de son jean quand il maintient toujours la jeune femme contre lui.

- Que je vois ou pas, la prochaine fois, je te tue.

C’est si suave à l’oreille, presque trop doux dans son intonation quand on voit le poids des mots. Quand on sent que la main qui maintiens le visage en forçant le chemin de ses lèvres est presque trop ferme. Ou que l’autre, qui en à fini de libéré le jean pour le laisser glisser sur le sol retourne cherche un peu de cette cambrure. D’abord en ce plaquant contre ses hanches, avant de rejoindre ses reins et la pencher un peu plus pour mieux épouser ses formes et du bout des doigts aller chercher les soupirs qu’elle pourrait bien avoir à lui offrir. Et qu’on soit claire, il n’en a cure de sa manucure.

KoalaVolant



Theo Nott
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t753-theophilus-m-nott#16244
Sutton Skeeter
Sutton Skeeter

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Dove Cameron
Niveau : 60/100
Points d'Exp : 15873
Particularité : doppleganger palier 1/7 | magie antique - palier 0/7
Health Point : 3 000
PC (compétences) : 27/37
PC (caractéristiques) : 37/37
Scolarité et Métier : Je suis en septième année à Poudlard, dans la maison Serpentard. Je suis également la rédactrice en chef de la gazette des écoles, mais ça, vous devez déjà tous le savoir. A moins que vous ne soyez un demeuré ? Ou que vous viviez sur une île déserte au fin fond de l'antarctique...

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Lun 20 Nov - 0:19

Oser fouiner, c'est s'aventurer dans les trésors cachés de la curiosité.
feat. @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter


C'est une toile aux tons discordants qui vient se peindre ici. De celles dont les couleurs n'arriveront jamais à s'accorder. De celle, ou chaque coup de pinceau passé, est une nouvelle blessure qui vient se poser sur des âmes déjà bien abîmées. Comme pour masquer les précédentes jusqu'à les rendre quasiment inexistantes. C'est un dessin qui vient révéler les teintes les plus sombres, les plus obscures, celles qu'on masque généralement et qui, à mesure que le jeu continue, ne font que s'assombrir un peu plus. C'est tirer sur les fils du destin comme on tire sur une corde raide. Jusqu'à le dérouler chaque fois un peu plus pour essayer d’apercevoir ce moment où il va céder. Ce sont aussi des corps, des cœurs et des âmes dissonantes qu'on retrouve dans cette pièce. Des choses qui ne sont pas faites pour s'assembler et qui à chaque instant cherche quelque chose de différent. Que ce soit asseoir sa domination pour l'un ou se laisser emporter pour l'autre. Quoi que ces âmes essayent de cacher, c'est dans les affres du tourment qu'elles semblent vouloir le faire.

Parce qu'il n'y a pas un moment où elle se sentira vraiment en sécurité alors qu'elle vient doucement repousser quelques limites de ses mots ou de ses gestes. Des petites lettres qui se distillent dans l'air quand les frissons continuent de parcourir son corps. Qu'ils sont à la fois liés à la crainte, à la peur, à des doutes et une certaine forme de satisfaction malsaine. De celle qui vous fait dire qu'un point sensible vient d'être trouvé, qu'il vient d'être effleurer, qu'avec un peu plus de verve encore, vous pourriez le mettre à nu ou bien le faire se dévoiler. C'est une envie insidieuse de se mêler à l'autre sans lui offrir quoi que ce soit en retour, si ce n'est un grain de peau où un souffle. Et c'est aussi une autre forme de dépendance qui se crée parfois. Parce que où que se cache le plaisir, ça veut surtout dire que l'espace d'un instant on est pas tout à fait seul dans ce monde qui pourrait bien nous tourner le dos à tout moment.

Ce ne serait pas la première fois que ça arrive dans ce monde. De voir les traits des mensonges que l'on trace autour de ceux des autres, de voir les vies brisées une à une dans un sillage qui laisse les âmes sans la moindre volonté. C'est un jeu dangereux qui se livre une éternelle bataille comme si le souhait restait qu'il ne termine jamais. Qu'il soit chaque fois un peu plus insidieux, un peu plus pernicieux, jusqu'à éteindre le reste de ce qui pourrait être.
Mais malgré tout ça, malgré toute cette douleur qui se distille, qu'elle soit mentale ou qu'elle deviennent physique, c'est aussi un moyen de s'échapper d'un endroit qu'on craint pour en trouver un autre plus effrayant encore. Jusqu'à pouvoir retourner dans le précédent et s'en accommoder pendant un moment.

La barrière de ses lèvres aura cédée après quelques secondes de veine résistance, laissant tout le loisir au jeune homme d'y glisser un de ses doigts avant que la langue de la demoiselle ne viennent jouer avec ce dernier. Parcourant ses contours avec sensualité jusqu'à exprimer une autre forme d'art que celle de l'usage des mots. Ce sont ses lèvres qui viendront s'y enrouler à leur tour, bien que l'emprise de l'ancien Serpentard sur sa peau soit un peu plus rude à chaque instant. Comme mué par une volonté propre et malgré tout l'effroi que le moindre de ses gestes pourrait provoquer, c'est pourtant tout son corps qui se presse un peu plus contre celui du jeune homme. Comme si le mot racolage n'avait aucune signification pour elle, comme si l'insulte lui glissait dessus comme l'eau qui continue de glisser sur ses formes, laissant quelques fines traces sur l'arrondis de sa poitrine ou de son ventre.

Ce sont aussi des tensions qui viennent s'écraser les unes entre les autres, des réalités qui se tissent et qui viennent s'imbriquer dans les profondeurs de son esprit. C'est aussi la naissance d'une profonde aversion qui viendra masquer toutes les autres. Comme un refus d'obtempérer de son esprit alors que tout son corps se retrouverait presque à sa merci. Comme si les ordres qui naissait de chaque touché dont la douceur est pourtant absente arrivaient à diminuer, en quelque sorte, le poids des derniers mots qu'il aura glisser à son oreille.
Même si elle les entendra bien ses mots, qu'elle n'en doutera pas non plus alors qu'elle ne sait plus, elle-même, si elle apprécie de sentir l'ambiance changer. Comme si la toile sombre du départ était en train de se disloquée lentement pour laisser place à une toute autre réalité. De celle qui pourrait glacer d'effroi lorsqu'elle se cambre un peu plus, largement aidé par le poids de cette main qui se sera logée au creux de ses reins.

Cette main dont les doigts retourneront glisser sur son corps, dans un mélange presque trop savant d'autorité, de despotisme et d'offrande certainement. Parce qu'elle pourra à nouveau toucher du doigt ce qu'elle cherchait à atteindre dans ce salon. C'est comme une victoire dans l'abnégation. De celles qui laisseront toujours un goût amer dans la bouche, quelque chose de doucereux dont on serait presque trop pressé de se débarrasser. Et qu'on essayera pourtant, d'aller rechercher.

La main qui aura délaissée l'intimité du jeune homme à mesure qu'il aura assit son pouvoir viendra se poser contre le mur d'en face pour y maintenir une certaine forme d'équilibre alors que ses ongles pourraient bien disparaître sur la dalle de ce carrelage lorsqu'elle crispe ses doigts. Que ce soit sous l'effet de la peur, de l'adrénaline ou du plaisir qui commence à monter. A se distiller sous chaque parcelle de sa peau malgré cette scène qu'on verrait presque forcée. Si il recherche ses soupirs, fins gémissements qui s'élèvent dans l'air, il est fort probable qu'entre les gouttes d'eau qui continuent de ruisseler sur sa peau, il ait pu en accueillir plus d'un. La demoiselle étant loin d'être discrète dans la plupart de ses expressions.

Certains auront sûrement été plus éperdus que d'autres, plus tendus aussi ; entrecoupés par ses geste ou par cette main qui lui scie toujours la mâchoire. Par ce doigt qui n'aura pas quitter ses lèvres et dont les saveurs pourraient bien commencer à disparaître à mesure qu'il devient plus une gène qu'un simple jeu. Elle essayera sûrement de tourner son visage afin de gagner un peu plus de cet air qui se fait déjà rare sous l'humidité de cette buée, ce sera peut-être le moment d'un peu plus de résistance bien que le refus ne soit pas encore prononcé. C'est l'entrelacs de toutes les volontés, de celles qui viennent s'écraser les unes contre les autres, de celles qui viennent chercher un écho dans celles de l'autre. Même si celles-ci restent muettes, invisibles et qu'elles ne font naître qu'un peu plus de doute dans toute cette panoplie de sensations dont aucune ne passe vraiment au-dessus de l'autre pour l'instant.

Parce que la toile peinte par ceux qui viennent se perdre dans ces jeux dangereux, attendent parfois de voir d'autres couleurs se dessiner en face, d'autres dessins plus où moins fins, plus ou moins clairs. Quelque chose qui viendrait se poser en plus dans le cadre de ces âmes torturées.  
 

KoalaVolant


b.a.d.b.i.t.c.h


I got mercy, I got grace. Desperado with the scales. Throw a rose on your body, Mask of Zorro, I'm so wanted! Watch me dance, watch me sing. Don't ever get caught again. You'll then see : The bad bitch
KoalaVolant
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t1194-sutton-skeeter
Theophilus M. Nott
Theophilus M. Nott

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Felix Mallard
Niveau : 54/100
Points d'Exp : 13687
Health Point : 2 700
PC (compétences) : 20/26
PC (caractéristiques) : 26/26
Scolarité et Métier : Il à fait ses études à Poudlard au sein de la maison Serpentard. Je suis à présent étudiant à Grimardent dans la résidence Magilignes.

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Lun 20 Nov - 13:25

Theo & Sutton.

Date : mercredi 1er janvier 2025
Lieux : Chemin de Traverse, Londres.
Participants : @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter.

Explorer la part obscure tapie au plus profond de notre être, c'est comme naviguer dans les méandres mystérieux d'une grotte inexplorée, où la lumière se heurte aux ombres dans une danse énigmatique. C'est plonger dans les abysses de notre psyché, là où se cachent nos pensées les moins avouées, nos émotions les plus troubles et nos désirs les plus enfouis. Tel un explorateur téméraire, nous nous aventurons dans les recoins sombres de notre âme, déchiffrant les énigmes enfouies sous les strates de l'inconscient.

Dans cette quête intérieure, nous sommes confrontés à la dualité du yin et du yang qui réside en chacun de nous. La lumière, éblouissante par ses vertus et ses qualités, cohabite avec l'obscurité, où résident nos peurs les plus profondes, nos parts les moins acceptées. C'est un voyage introspectif et parfois tumultueux, où se mêlent courage et vulnérabilité, nécessitant une honnêteté brutale envers nous-mêmes.

Cette odyssée vers l'ombre peut être déclenchée par des événements de vie inattendus, des fissures dans notre réalité qui laissent entrevoir les fissures de notre propre être. Parfois, c'est une quête délibérée, une descente dans les profondeurs de notre moi, armés de méditation, de thérapie ou de l'art comme flambeau pour éclairer notre chemin. Chaque chemin emprunté offre une nouvelle perspective pour comprendre ces zones d'ombre sans jugement ni condamnation, mais avec une compassion profonde pour notre propre humanité.

Néanmoins, cette exploration n'est pas sans défis. Elle est un tumulte émotionnel, un maelström de sentiments contraires, déstabilisants, confrontant parfois à des facettes de soi difficiles à accepter. Affronter nos démons intérieurs peut être douloureux, mais c'est dans cette douleur que réside le potentiel de transformation. Accepter cette part sombre, l'embrasser plutôt que de la repousser, c'est s'engager dans un processus de croissance intérieure, un pas vers l'intégration et l'harmonie de soi.

Au final, plonger dans notre part d'ombre est une invitation à regarder au-delà des masques et des illusions, à accueillir la totalité de notre être. C'est une aventure complexe où chaque ombre dissimule une lumière prête à éclairer notre chemin vers une connaissance plus profonde de nous-mêmes. C'est un périple vers la découverte de notre propre vérité, une danse entre les ténèbres et la lumière qui nous guide vers une acceptation plus large de notre humanité.

Refuser de reconnaître ses propres défauts et parts d'ombre, c'est comme ériger un rempart de vanité et d'orgueil pour dissimuler la vulnérabilité inhérente à notre humanité. Cette fuite de la réalité de soi-même peut conduire à une série de mécanismes de défense, où l'égo devient un bouclier, une armure contre la prise de conscience de nos faiblesses. Se réfugier derrière une façade de perfection apparente, se conforter dans un statut social ou des faux-semblants, c'est s'accorder le droit à une forme de violence, parfois subtile, souvent dissimulée. C'est s'autoriser à se tromper soi-même et à justifier des comportements préjudiciables, tout en renforçant une image de soi construite sur des bases fragiles et illusoires. Cette dissimulation peut conduire à une dissonance entre l'image que l'on projette et la réalité de nos actions, créant ainsi une division intérieure qui alimente le cycle de la négation de soi.

C’est Theophilus.

Theophilus qui continue de faire courir ses doigts sur les zones les plus sensibles que la jeune femme aura à lui offrir. Qui continue de se faire insinueux par cette autre main, ses doigts qui viennent forcée le passage entre les lèvres de la jeune femme. C’est l’ancien serpentard qui s’arrêtera, presque trop nettement, retirera sa main quand il sentira -ou entendra- le corps de la jeune femme un peu trop bien répondre à ses assaults. C’est lui encore, qui quittera la pulpe de ses lèvres pour redescendre sur la ligne de ses clavicules quand la seconde remonte ses courbes du bout des doigts et avec presque trop de douceur offrant un contraste frappant d’un geste à l’autre. Le tout pour rejoindre l’arrondit de sa poitrine et aller y jouer du bout des doigts.

C’est lui, toujours qui tournera la jeune femme, qui s’arrêtera sur son visage, les traits déformés par l’impassibilité brisée des marques du dégout. Un dégoût qu’elle pourrait prendre pour elle mais qui est bien plus profond que ça. C’est en réalité une sorte d’aversion de lui-même, de ses désirs. La dualité même de ce qu’il devrait être et de ce qu’il veut réellement qui se dessine sur sa peau, se distille sous son épiderme et guide ses gestes quand il en viendra à la plaquer un peu plus contre le carrelage froid de cette salle de bain. Quand ses mains quitteront sa peau pour faire descendre les derniers morceaux de tissus qui pouvait encore le couvrir. Il glissera une main sur l’arrondit des fesses de la jeune femme jusqu’à rejoindre sa cuisse. La seconde fera de même et dans une impulsion il pourra, en s’aidant très largement du mur carrelé, la soulever.

Et dans cet instant fugace avant qu’il ne décide de prendre possession d’elle, pleine et entière. Il y aura un regard, aussi furtif qu’il est presque indécelable où l’on pourra voir une forme de doute, de remise en question. Balayer presque immédiatement par l’ouragan d’un baisée qui mêlera passion et une certaine forme de brutalité quand il ira capturer la pulpe des lèvres de la jeune femme, pressant d’autant plus son corps contre le sien qu’elle doit sentir chaque détail du désir et de l’envie qu’il essai pourtant si bien de caché derrière une certaine maitrise de soi. Il n’ira pas, cependant, s’approprier son corps. Il ne suivra pas le chemin de la possession et préfèrera simplement la route d’une douce torture qui nait dans l’écrin des envies quand l’union n’est finalement qu’à un petit coup de rein de distance… Et laisse déjà flirter toute l’intimité des corps rapproché sous l’eau ruisselante d’une douche bien trop chaude.

KoalaVolant



Theo Nott
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t753-theophilus-m-nott#16244
Sutton Skeeter
Sutton Skeeter

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Dove Cameron
Niveau : 60/100
Points d'Exp : 15873
Particularité : doppleganger palier 1/7 | magie antique - palier 0/7
Health Point : 3 000
PC (compétences) : 27/37
PC (caractéristiques) : 37/37
Scolarité et Métier : Je suis en septième année à Poudlard, dans la maison Serpentard. Je suis également la rédactrice en chef de la gazette des écoles, mais ça, vous devez déjà tous le savoir. A moins que vous ne soyez un demeuré ? Ou que vous viviez sur une île déserte au fin fond de l'antarctique...

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Lun 20 Nov - 22:05

Oser fouiner, c'est s'aventurer dans les trésors cachés de la curiosité.
feat. @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter


Dans cet échange empli d'une âpreté douceâtre il est possible, par-delà les voiles de personnalités affirmées. De voir se dépeindre toute la couleur des sentiments. Des sentiments qui ne sont tournés que vers eux-mêmes la plupart du temps, comme une envie et un désir égocentrique de simplement profiter de l'autre pour voir ce qu'il pourrait bien avoir à offrir. Pour effleurer, peut-être et du bout des doigts, les contours d'âmes qui ne sont peut-être pas aussi vilaines que ça. C'est aussi s'en défendre ou le nier l'instant d'après, se complaire dans cet ébat et dans les élans dominateurs de cet homme. C'est perpétuer, quelque part, l’ascendance qu'ils ont de part leur droit de naissance. De part ce sang qui coule dans leurs veines et qu'ils portent au ciel tel un étendard éternel. C'est aussi nier le sien ou venir couvrir ses racines d'une couche subtile de poussière. Comme pour les faire disparaître où en masquer les contours, pour les faire oublier ou les oublier. Pas parce que vous en avez honte, pas parce que votre normalité vous coûte tant qu'elle vous étouffe, mais parce qu'elle est incomplète à vos yeux. Que lorsque vous les ouvrez, c'est pour voir des formes se retourner, vous ignorer, vous laisser derrière encore et toujours. Forgeant un peu plus de ce caractère néfaste dont vous finissez par cous entourer.

Quand on connaît certaines de ses faiblesses, de ses peurs et de ses doutes. Qu'on les réfutes ou non, il est toujours plus facile de tenter de les éliminer. Comme si les prendre au corps et les embrasser pourrait briser quelques ficelles que le monde à lentement tissé. Peaufinant la créature que vous êtes devenue, à coup d'amour ou à coup de burin. Et la où la vie n'est qu'un contrôle permanent, de votre tête, de votre cœur, de votre corps et de tout votre être. En perdre les rênes est, quelque part, soulageant. Comme si, l'espace d'un instant, ce qui avait été forgé pouvait disparaître doucement. Ce n'est pas une recherche de douceur, ce n'est peut-être même pas l'envie d'un partage, c'est une autre forme d'égoïsme qui prendra la forme d'une satisfaction toute personnelle.
C'est aussi savoir, quelque part et tout au fond, que ça ne ressemble en rien à ce qui vous inspire. A ce à quoi vous aspirer, toujours pour vous et jamais pour les autres. C'est camper sur une position que vous êtes le seul à comprendre, à arpenter et c'est pourtant distiller des impressions contraires. De celles qui viennent répondre à des gestes un peu trop rudes par instants et si doux les suivants.

Sous le couvert de cette buée, on l'on pourrait ne plus distinguer que de vagues silhouettes, c'est un enchevêtrements de beaucoup de pensées. De celles qui viennent se poser sur l'esprit et qu'on ne partage jamais. De celles qu'on vient masquer toujours un peu plus pour n'être que ce que l'autre pourrait vouloir distinguer. C'est un divertissement ludique ou le parjure reste sans commune mesure.
Pour elle, ce sera aussi l'attente d'un peu plus encore. D'un peu plus de cette pesanteur posée sur son esprit. D'un peu plus de ces sensations qui se distillent sous sa peau, tel un tourbillon obscure qui viendrait emporter les contours de ses réalités. C'est aussi déroulé un fil de pensées muettes qui ne trouvera pas d'écho et aucune autre âme que la sienne pour venir s'accrocher. C'est offrir ce qui peut être offert et continuer à refuser de laisser entrevoir ce qui se cache ailleurs. C'est se laisser faire jusqu'à nier tout son être, c'est souffrir entre ses mains qui font naître des sensations délicieuses dont la saveur vient remplir un manque à combler.

Elle en aura le souffle court quand les caresses de l'ancien Serpentard s'arrêteront bien trop brusquement, quand elle ressentira cette absence, aussi éphémère soit-elle. Que ce soit celle entre ses cuisses ou celle qu'elle ressentait entre ses lèvres. C'est un instant qui lui coupera le souffle, qu'elle le veuille ou non. Qui fera naître une nouvelle forme de doute, petite coupure qui viendra se loger entre les précédentes. Et qu'elle pourra oublier l'instant d'après alors que la pointe de ses ongles auraient pu laisser une marque sur ce carrelage. Quelque chose de supposé entre les gouttes d'eau quand elle finira par se redresser lentement, juste une peu pour laisser le passage à d'autre caresses. Une autre perception de ce qui peut être accueillis. La douceur qui suivra lui semblera presque chimérique en comparaison de celle qu'il n'offrait pas avant.

La pointe de sa langue glissera doucement entre ses lèvres, étouffant un soupir quand les mains du jeune homme atteignent sa poitrine, qu'elle la sent se soulever un peu plus et de manière un peu plus erratique. Comme si le souffle décousu de sa respiration cherchait à découvrir un peu plus de ce contact. Sous l'effet de ses doigts qui aurons glissés le long de sa clavicule, c'est une nouvelle cambrure de ses reins qui aura accompagné le geste ; accentuant l'ondulation de son corps lorsque sa tête bascule un peu plus en arrière. Elle devrait pourtant s'en méfier de cet instant. De celui qui se déroule juste avant que son dos ne rejoigne la fraîcheur du carrelage. Que ce soit un frisson qui la parcours trop vite à cause de la différence de température, jusqu'à provoquer un léger spasme qui la fera se rapprocher un peu plus du jeune homme.

Elle aura presque eu envie de détourner les yeux en découvrant les traits de son visage. Comme si le dégoût qu'il affichait venait chercher sa propre honte, celle qui vient lui rosir les joues quand elle sent la dureté de la pierre dans son dos. Que ses mains viennent doucement se glisser dans ce qu'il reste d'espace entre leurs deux corps ; des mains qui se retrouveront piégées dans l'étreinte presque trop constante qu'il impose à leur deux corps. L'irritation qu'elle en viendrait presque à ressentir n'a rien d'un euphémisme quand il vient évoluer sur la courbe de ses fesses et qu'elle sentira ce carrelage glisser difficilement sur sa peau. C'est aussi une nouvelle soif qui va la parcourir quand elle accompagne le mouvement, emprisonnant ses hanches au creux de ses cuisses tout en finissant, enfin, par couler un regard vers lui. De ceux qui n'auront le temps de se perdre nulle part quand il prendra possession de ses lèvres, que ses mains ainsi libérée remonteront avec empressement, comme si l'avidité s’emparait à nouveau de son être. Et tandis que l'une s'arrêtera sur l'épaule du jeune homme, l'autre viendra se glisser dans son dos, parcourant la ligne de ses muscles du bout des ongles.

Elle laissera le soin au désir monter un peu plus encore, de venir titiller ce qu'il reste de frustration, d'irritation et de tout ce qui ne devrait normalement pas se trouver dans ce genre de relation. Comme si le mélange de douceur et de rudesse arrivait à la confondre dans des méandres qui deviennent plus clairs tant ils étaient sombres.
Au milieu de cet échange, qui rendrait fou la plupart des sens, elle cherchera sûrement à reprendre un peu de son souffle, quelques instant pour laisser s'imprimer quelques fines traces dans son dos avant d'y pose sa main à plat, d'appuyer avec une certaine fermeté entre ses omoplates quand son regard cherchera réellement le sien.

Elle s'en mordra la lèvre inférieure, faisant peu cas de la douleur qu'elle pourrait ressentir en y allant un peu trop fort.

« S'il-te-plait... »

Le souffle de sa voix, murmure à peine audible offrira un parfait contraste entre ce qu'elle est maintenant et ce que l'on sait d'elle généralement. Car entendre Sutton Sketter prononcer ce mot, voir l'expression de ses lèvres quand elle va le mimer plus que le dire, ça n'arrive jamais. Tout comme elle ne dit pas merci ou bien avec tellement de suffisance que ce n'est rien de plus qu'un rire satisfait qu'elle offre en réalité. Il y a dans son regard une brillance qui ne naît jamais, une étincelle qui n'a pas pour origine qu'une envie soudaine d'assouvir une pulsion animale. C'est encore une fois, et malgré tout, bien plus profond que ça. C'est aussi un contraste entre ce que montre son corps et ce qu'aura tenté de dire sa voix. Une différence presque flagrante entre la supplique qui naît dans ses yeux et la suffisance dont elle habille ses traits.
Au fond, bien loin, c'est autant un ordre qui se distille suavement qu'une invocation sincère. C'est aussi laisser planer ce souffle quand elle ne va plus pouvoir quitter ses traits, quoi qu'ils expriment ou quoi qu'ils lui disent. Et malgré tout ça, il y a peut-être toujours un fond de menace bien cachée. De celle qu'on ne dira jamais mais qui reste présente. Car si le regard supplie, il sait aussi gardé sa part de dureté, de celle qui sait d'où cet ébat est né et dont des mots seront venus l'écorchée.   
 

KoalaVolant


b.a.d.b.i.t.c.h


I got mercy, I got grace. Desperado with the scales. Throw a rose on your body, Mask of Zorro, I'm so wanted! Watch me dance, watch me sing. Don't ever get caught again. You'll then see : The bad bitch
KoalaVolant
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t1194-sutton-skeeter
Theophilus M. Nott
Theophilus M. Nott

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Felix Mallard
Niveau : 54/100
Points d'Exp : 13687
Health Point : 2 700
PC (compétences) : 20/26
PC (caractéristiques) : 26/26
Scolarité et Métier : Il à fait ses études à Poudlard au sein de la maison Serpentard. Je suis à présent étudiant à Grimardent dans la résidence Magilignes.

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Lun 20 Nov - 23:06

Theo & Sutton.

Date : mercredi 1er janvier 2025
Lieux : Chemin de Traverse, Londres.
Participants : @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter.

Dans l'entrelacs complexe des relations humaines, se façonnent parfois des liens subtils dans l'obscurité des relations nocives. Tel un réseau insidieux s'enchevêtrant autour d'une intimité fragile, ces attaches malsaines s'accrochent à l'âme, ourdissant une trame complexe de dépendances et de dénis. C'est une danse épuisante où les frontières s'effacent, où le désir de dépasser ses propres limites se heurte brutalement à la voix intérieure qui somme d'arrêter.

Les images reflètent une réalité où chaque interaction est tissée de ces interdictions insoupçonnées. Comme une valse entre attraction et danger, ces relations évoluent, laissant des empreintes subtiles sur l'âme. Elles sont semblables à des mirages empoisonnés dans un désert émotionnel, attirants avec leurs promesses de passion intense, mais saturées d'une toxicité corrosive.

Les affres de ces contraintes imposées se mêlent aux méandres d'une relation malsaine, engendrant une dualité douloureuse entre l'envie de briser ces chaînes et l'incapacité à rompre ces liens. Telles des vagues de culpabilité et de désir, ces attaches tumultueuses imprègnent l'âme d'une confusion tourmentée où honte et tentation s'entrelacent dans une étreinte suffocante. L'âme se perd alors dans ce réseau relationnel, cherchant désespérément une issue, mais se retrouve toujours captive de ces rapports empoisonnés. Ces limites personnelles deviennent les barreaux d'une prison émotionnelle, emprisonnant l'estime de soi et la volonté dans un cercle vicieux.

La lutte entre ces interdits et la relation toxique devient un combat intérieur, une bataille entre la tentation de céder et le besoin impérieux de se libérer de cette emprise nocive. Comme un cri étouffé dans l'obscurité, l'âme aspire à briser ces chaînes, à s'affranchir de cette relation qui, telle une drogue, offre un répit éphémère tout en sapant progressivement la santé émotionnelle. Ces limites se nichent parfois au cœur de relations toxiques, exacerbant la douleur émotionnelle et créant un tourbillon de conflits intérieurs. L'âme, telle une fleur cherchant la lumière, aspire à s'épanouir loin de ces liens nocifs, à retrouver la liberté et la paix dans des rapports empreints de respect, de bienveillance et d'authenticité, où chaque échange serait dépourvu de ces entraves invisibles et dommageables.

Est-ce donc cela, qu’elle ressent, quand elle s’offre pleinement à lui dans un souffle. Dans un soupir. Dans une alliance de quelques mots qui seront supplique de l’envie ? Un sourire, un rire silencieux peut-être même. On ne sait pas tellement si c’est de la colère, du sadisme, de l’envie, du désir ou de la satisfaction qu’on peut lire sur ses traits. C’est un peu tout à la fois. Et rien en même temps.

Dans l'âtre secret de l'âme tourmentée, les limbes de l'interdit ourlent une trame épineuse, enlacée autour des désirs murmurés. Comme des murmures dans l'antichambre du silence, ces interdits s'insinuent, orchestrant une symphonie discordante d'émotions en éveil. Tels des courants tumultueux, les pulsions proscrites s'évertuent à briser les barrières de la décence, gravant une empreinte trouble dans l'éphémère sable de la morale.

Il y a cette sensation d'être retenu, captif d'une dualité intérieure, tel un papillon hypnotisé par la flamme, mais conscient du brasier qu'elle représente. L'interdit, tel un labyrinthe énigmatique, suscite une tension entre son magnétisme et la culpabilité, pareille à une brume dense, émoussant le discernement. C'est une danse exquise entre la tentation, envoûtante comme un refrain mélodieux, et la voix intime de la raison, criant en silence pour être entendue au sein du tumulte des pulsations du cœur.

Les images s'entrelacent dans cette fresque tissée d'émotions. L'interdit se dresse parfois tel un fruit défendu, délectable et séduisant, mais imprégné du poison insaisissable. Il devient miroir déformant, reflétant un soi masqué sous les oripeaux sociaux, ébranlant l'identité dans une dualité déconcertante. Tel une éclipse solaire, l'interdit voile la clarté des choix, plongeant l'âme dans une semi-obscurité où les désirs s'ébattent entre ténèbres et lueur.

Les métaphores s'élèvent en remparts face au flot tumultueux des passions. Chaque battement de cœur résonne tel le tic-tac implacable d'une horloge, rappelant l'importance des décisions à prendre. Le poids de l'interdit s'installe, parfois lourd tel un joug de fer, parfois léger comme une plume caressant la conscience. Pourtant, même dans cette tourmente intérieure, l'âme tourmentée distingue une beauté étrange dans ce conflit, une poésie dans cette épreuve entre le désir et l'obligation, entre la passion et la retenue. Ainsi, dans le théâtre intime de l'âme, se déploie un drame muet où les rideaux s'ouvrent sur une scène de désirs enfouis, où chaque mot, chaque pensée, chaque regard est teinté de l'ombre du muet. Au cœur de ce tourbillon, l'âme explore, tâtonne, cherchant cette danse entre libération et contrainte, entre acceptation et refus de ses propres limites.

Qui serait-il pour lui refuser une certaine forme de libération ? Lui, maître marionnettiste : despote à ses heures qui se délecte dans le pouvoir éphémère qu’il applique par certaines formes de sadisme. Lui qui de ses mains, pétris cette peau. Qui se ses lèvres, ce délecte de chacune des saveurs qu’il pourra relever sur la pulpe des siennes. Lui qui laissera une main quitter l’arrondis de ses fesses pour tâtonner jusqu’à une baguette qui laissera échapper un sortilège. Une nouvelle insulte crachée au visage de la jeune femme, aussi anti-sexy soit-il de le faire, mais après tout, si le cliché à bien prouvé une chose : c’est qu’il ne sait pas tout à fait où elle va quand elle n’est pas avec lui.

C’est la baguette qui tombera dans un bruit sourd sur l’amas de tissus abandonner au sol quand cette même main viendra scellée l’union des corps en poussant un peu plus les portes de l’intimité jusqu’à prendre complètement possession de son corps. Il n’y aura ni langueur, ni douceur. Il n’aura pas pris le temps de l’exploration pour se frayer un chemin qu’il estime déjà être le sien. Et dans ses mouvements de bassin, on trouvera une certaine forme d’avidité. S’il n’ira pas se faire appeler « petit lapin » -encore une fois, il n’y a rien de petit chez lui d’ailleurs- il n’en demeure pas moins quelques peu rude dans sa manière de réveillée en la jeune femme de nouvelle sensation.

Sensation qui à mesure de ses va-et-vient serons rejoint par l’exploration d’une poitrine qu’il ira retrouver du bout des doigts. Même si la première main reste en maintient sous les fesses de la jeune femme, ça n’empêche pas la seconde de ce faire exploratrice. Retracer ses courbes et jouer de quelques sensibilités qu’elle pourrait avoir. Remonter encore un peu et dans un soupire, aller une nouvelle fois pressée ses lèvres contre les siennes jusqu’à laisser s’insinué une langue à la recherche d’une partenaire.

KoalaVolant



Theo Nott
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t753-theophilus-m-nott#16244
Sutton Skeeter
Sutton Skeeter

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Dove Cameron
Niveau : 60/100
Points d'Exp : 15873
Particularité : doppleganger palier 1/7 | magie antique - palier 0/7
Health Point : 3 000
PC (compétences) : 27/37
PC (caractéristiques) : 37/37
Scolarité et Métier : Je suis en septième année à Poudlard, dans la maison Serpentard. Je suis également la rédactrice en chef de la gazette des écoles, mais ça, vous devez déjà tous le savoir. A moins que vous ne soyez un demeuré ? Ou que vous viviez sur une île déserte au fin fond de l'antarctique...

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Mar 21 Nov - 17:01

Oser fouiner, c'est s'aventurer dans les trésors cachés de la curiosité.
feat. @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter


La relation toxique, maintenant qu'elle est installée, révèle tout un paradoxe entre les pensées. Parce que même si elle semble capable de s'y perdre, qu'elle y revient à chaque fois malgré des moments qui sont parfois loin d'être agréables, elle aspire tout de même à autre chose, cette jeune fille. Celle dont les poings se seront serrés avec force lorsqu'il aura pénétré le cœur de son intimité. L'une toujours sur son épaule, l'autre toujours dans son dos, chacun de ses doigts se repliant sur lui-même jusqu'à imprimer la forme de ses ongles au creux de ses paumes. Ça aura été une grimace aussi, ou bien plusieurs qui seront venues de poser sur ses traits durant ces premiers instants. Ceux d'une douleur un peu trop sourde qu'on ressent quand l'absence de douceur marque trop bien l'absence du moindre des sentiments.

Et plus que l'insulte d'un coup de baguette, c'est cette absence de respect, plus profonde, qui viendra la conforter dans une toute autre réflexion. Aussi furtive soit elle quand elle encadre un peu plus sa taille jusqu'à épouser les formes du jeune homme, offrant un peu plus de profondeur à cet échange par l'avancée de son bassin.

Qu'on y croit, ou non, Sutton Skeeter n'est pas qu'une petite peste ambitieuse. Bien sûr qu'elle l'est, autant pour le côté peste que pour le côté ambitieux. Mais c'est aussi une jeune femme en quête de compréhension, d'une certaine forme d'amour aussi. Que ce soit d'elle-même où celui de quelqu'un d'autre. Malgré des airs très durs et cette force malsaine qui viendrait bien écraser les autres, c'est aussi une romantique finie qui aspire à ne pas être qu'un simple pansement sur un plaie ou celle qui la provoque. Elle est en quête silencieuse d'une relation plus simple, plus douce peut-être aussi, ou le mensonge et la manipulation ne sont pas le pain quotidien. Ou chacun trouve en l'autre un équilibre plutôt qu'un jeu de pouvoirs qui ne fini plus.

Elle aura donc une tendance certaine à développer quelques crush, de vagues sentiments, souvent unilatéraux, qui n'engagent à rien mais qui peuvent la suivre ou l'emporter l'espace d'un instant. Elle s'y laisserait bien bercée pendant un temps, vivant dans une illusion créée par son imagination avant de passer à autre chose, d'en trouver un nouveau. Ou de retourner dans ce qui semble être devenu une habitude avec le temps. Une relation étrange, qui dérange.

L'intensité ressentie dans les premiers instants, ceux qui aurons accompagné aussi bien quelques gémissements que des crispations laisseront doucement place à autre chose. La sensation du carrelage qui rougie la peau de son dos, sera une sensation qui diminue à mesure que son corps accepte la présence et qu'elle se laisse happer par ce monde aux couleurs sombres. Dans un soupir qui n'a rien de lascif et aura plutôt l'air d'être contraint, elle lui laissera toute l'occasion de forcer un passage jusqu'à ses lèvres, laissant même le bout de sa langue rejoindre le ballet, avide quelque part de cette autre sensation dont la chaleur se répand doucement.

Et si l'avidité teintée de rudesse de l'un vient se poser sur elle, allant jusqu'à assombrir son esprit pour l'enfermer dans une nouvelle forme de torpeur. C'est avec de la passion qu'elle va répondre. Quelque chose de nouveau et qu'elle ne pourra pas contrôler. Une mise à nue qui pourrait être bien plus dangereuse que ce qu'elle suggère et qui va se traduire par une détente de la plupart de ses muscles. Et si ceux de ses cuisses viendrons s'imprimer un peu plus contre les hanches du jeune homme, ses mains vont pouvoir, à nouveau, se détendre en entamant une lente exploration. Comme un contraste encore plus prononcé en comparaison des mouvements du garçon.

Celle qui était jusque-là crispée sur son épaule glissera lentement contre cette dernière, parcourant sa nuque pour aller se poser à l'opposé. L'autre, dont les ongles auront retracer les muscles du jeune homme, remontera lentement entre ses omoplates, toujours caressante quand elle vient se poser sur sa nuque. L'étreinte prudente de celle qui redoute que tout s'arrête ou qu'un mouvement contrarit l'esprit de l'ancien serpentard, se fera plus fervente quand c'est un réel embrassement qu'elle lui offre au creux de ses bras. Dans un soupir, elle laissera son visage retomber lentement sur l'épaule du jeune homme, jusqu'à le glisser au creux de son cou alors que son souffle, plus court viendra se poser sur sa peau. Le désir né au creux de ses reins, loin de s'éteindre, viendra la faire se coller un peu plus à lui, les courbes de sa poitrine rejoignant la finesse des muscles de son torse alors que son bassin continue d'onduler au rythme qui lui est imposé.
 

KoalaVolant


b.a.d.b.i.t.c.h


I got mercy, I got grace. Desperado with the scales. Throw a rose on your body, Mask of Zorro, I'm so wanted! Watch me dance, watch me sing. Don't ever get caught again. You'll then see : The bad bitch
KoalaVolant
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t1194-sutton-skeeter
Theophilus M. Nott
Theophilus M. Nott

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Felix Mallard
Niveau : 54/100
Points d'Exp : 13687
Health Point : 2 700
PC (compétences) : 20/26
PC (caractéristiques) : 26/26
Scolarité et Métier : Il à fait ses études à Poudlard au sein de la maison Serpentard. Je suis à présent étudiant à Grimardent dans la résidence Magilignes.

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Mar 21 Nov - 19:20

Theo & Sutton.

Date : mercredi 1er janvier 2025
Lieux : Chemin de Traverse, Londres.
Participants : @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter.

Des mouvements rudes, qui ne semble pas être animé par autre chose que l’attentes bestiale de besoin primaire d’un corps de primate cache, sous-jacent, quelques secrets qui ne ce révélerons pas au grand jour. Que l’esprit réfute, refuse de voir, d’entendre. D’admettre ou bien de vivre. Le manque de tendresse ne fait qu’accentuer le refus de quelque chose de plus profond. L’absence de respect pour ce corps pourtant si doux au touché n’est là finalement que pour sa propre protection. La sienne ? Ou celle de la jeune femme qu’il tiens au creux de ses bras ?

L'ancien Serpentard se tenait en retrait du monde, cachant derrière le masque de l'indifférence les méandres de son être intérieur. Une éducation rigide avait tissé autour de lui un manteau de normes et d'attentes, comme des chaînes légères mais bien présentes, le maintenant dans un moule étroit, l'empêchant d'explorer librement les territoires de son âme. Tel un funambule sur le fil de la vie, il avançait avec une assurance feinte, luttant contre la morsure des émotions refoulées qui, telle une marée montante, menaçaient de submerger ses fondations. Ces tourbillons intérieurs, pourtant, ne s'éteignaient pas malgré son obstination à les ignorer. Ils murmuraient dans le silence de ses songes, dessinaient des constellations de désirs interdits au creux de son esprit.

Il était comme un musicien jouant une partition imposée, sa mélodie intérieure étouffée sous les notes imposées par d'autres, une symphonie de conformité où les notes dissonantes étaient volontairement évitées. Pourtant, même dans le fracas assourdissant de cette partition, une mélodie secrète continuait de résonner en lui, un appel lancinant à écouter la voix intérieure que le monde extérieur tentait d'étouffer. Sous l'armure de l'homme résolu, battait le cœur du garçon qui rêvait d'horizons différents, de chemins inexplorés où les passions pouvaient s'épanouir librement. Comme un jardin en friche, son âme attendait, patiemment, que la brise du changement souffle et dissipe les brumes du déni.

Il savait, au fond de lui, que refuser de se confronter à ses propres ressentis était une danse avec l'illusion, une fuite éphémère d'une réalité qu'il devrait tôt ou tard affronter, ou continuer « marche ou crève ». Mais pour l'heure, il se tenait là, en équilibre instable entre ce qu'il était et ce qu'on attendait de lui, jonglant avec les paradoxes de sa propre existence, cherchant, peut-être inconsciemment, un chemin pour harmoniser les élans de son cœur avec les impératifs du monde qui l'entourait.

Dans le paysage émotionnel de l'ancien Serpentard, la confrontation avec ses propres désirs était perçue comme une faille, une potentielle brèche dans l'armure de la force intérieure qu'il s'était construite. La société dans laquelle il avait grandi, façonnée par des valeurs rigides et des croyances inébranlables, ne tolérait pas la vulnérabilité. Les émotions étaient vues comme des faiblesses à dissimuler, à disséquer avec une précision chirurgicale pour les extirper du quotidien, comme des mauvaises herbes dans un jardin impeccablement entretenu.

Au sein de son climat familial, l'expression des sentiments contraires aux normes édictées était considérée comme une transgression, une trahison envers des principes immuables. Les désirs enfouis étaient comme des secrets honteux, interdits à énoncer, ensevelis sous le poids des traditions et des attentes ancestrales. Ainsi, le jeune homme se retrouvait coincé entre deux mondes, jonglant avec la dichotomie de ses propres aspirations et des exigences extérieures. Il était pris dans une lutte silencieuse, où l'expression de ses émotions était comme une corde raide à parcourir au-dessus d'un précipice. Chaque pas en direction de la révélation de soi-même était empli de la peur du rejet, de la désapprobation, ou pire encore, de la déception de ceux dont ils voulaient l’approbations.

Cependant, malgré cette pression sociale et familiale pesante, il ressentait la force irrépressible des émotions qui pulsait en lui, tel un torrent sous la glace, prêt à jaillir dès que la barrière se fragiliserait. D’autant plus lors de ses échanges, cette intimité qu’il trouvait au creux de bras réchauffant son cœur de glace. Cette dualité intérieure, ce conflit entre ce qu'il était et ce qu'on attendait de lui, créait un tourbillon émotionnel au sein duquel il se débattait, cherchant un équilibre entre la loyauté envers ses racines et la liberté d'explorer les chemins de son être authentique.

Ça ne justifierait pas sa façon de traité Sutton, ni la violence avec laquelle il lui donnait pour mieux reprendre. Le dédain avec lequel il prenait possession de son corps, de son être. Sans patience ni retenu. Avec toute l’ardeur de la haine profonde qui ne lui était pourtant pas destinée. Mais qu’il se gardait bien pour lui-même. Il y a des choses inavouables, des choses qui ne seront jamais dîtes et partager. Qui sont caché, enfouis sous la crasse de cruauté dont il s’habille et dont il la couvre.

Moins, sans doute, dans cet instant, celui ou le touché de la jeune femme l’enveloppe dans une étreinte qui, sans perdre de sa passion, deviendra sans doute plus douce. Plus compréhensive aussi. Quand ses lèvres à lui irons se poser sur son front, alors qu’elle-même à trouver le chemin de son coup. Quand son souffle, erratique, marquera les chemins de l’absolue. Quand plus qu’un désir égoïste il s’ouvrira au partage en resserrant, lui aussi, cette étreinte comme pour l’envelopper dans ses bras et accueillir ses formes contre lui. Le chemin du désir approchant le plaisir, celui de l’extase se profilant à l’horizon pour venir balayer cette pomme pourris dont on ne laissera que le cœur charnu aux douces saveurs sucrées.

Et quand l’apogée arrivera, les emportera l’un et l’autre, ce sera pour mieux s’oublier. Ou oublier finalement colère et rancœur. Ne serait-ce que pour un moment fugace. Une seconde d’éternité plongée dans l’oublis. Quelque chose qu’on ressent, mais qu’on ne voit pas. Qu’il laissera couler sur eux, sur lui, sur elle. Jusqu’au dernier frissons ressentis sur l’épiderme de la jeune femme. Le dernier tremblement, le dernier soupire.

Et même après ses instants d’abandon, il ne la quittera pas aussi brutalement qu’il l’aura retrouvé. Il ira même jusqu’à déposer un baisée, trop doux, trop douloureux aussi sur ce front, cette peau. A défaut d’avoir ses lèvres il aura sa peau dans quelque chose qui est quelque part douloureux. Mais qui prolongera l’étreinte même au-delà de la satisfaction qui viendra après la jouissance. Un moyen, sans doute, de ne pas provoquer d’autre douleurs quand il sait très bien qu’on les retrouvera aux prochains virages car c’est comme ça que ça doit être. Qu’il doit être.

KoalaVolant



Theo Nott
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t753-theophilus-m-nott#16244
Sutton Skeeter
Sutton Skeeter

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Dove Cameron
Niveau : 60/100
Points d'Exp : 15873
Particularité : doppleganger palier 1/7 | magie antique - palier 0/7
Health Point : 3 000
PC (compétences) : 27/37
PC (caractéristiques) : 37/37
Scolarité et Métier : Je suis en septième année à Poudlard, dans la maison Serpentard. Je suis également la rédactrice en chef de la gazette des écoles, mais ça, vous devez déjà tous le savoir. A moins que vous ne soyez un demeuré ? Ou que vous viviez sur une île déserte au fin fond de l'antarctique...

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Mar 21 Nov - 21:48

Oser fouiner, c'est s'aventurer dans les trésors cachés de la curiosité.
feat. @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter


Ce qui va naître de ce simple geste, de cette étreinte en réponse à ses assauts, aura le don de lui faire perdre un peu plus la tête. De lui donner cette envie de profiter d'un peu plus, un peu plus longtemps. Quelques instants pour étirer le temps afin que ce moment, cet unique moment, puisse se graver quelque part. Comme si il permettrait d'effacer tout le reste. Ce qu'il y avait eu avant, ce qu'il y aurait avant. C'est le pansement qu'elle déteste tant. Ce qu'elle pose sur lui et sur elle en même temps. Malgré la ferveur du geste, cette envie de le partager pour mieux l'accueillir en retour, il y a toujours une forme d'égoïsme. De celui, moins empoisonné, qui vient offrir un court instant de répit quand elle déposera enfin ses lèvres sur la peau de son cou, que ses bras viendront l'enlacer un peu plus encore tandis que son souffle se fait plus court. Qu'il devient plus erratique alors que la seule pensée de rejoindre les portes du plaisir devient de plus en plus insoutenable. Comme une envie brûlante qui n'a de cesse de se développer. Qui trouve, au cœur de la différence, un endroit pour continuer de s'alimenter. Une seconde ou des minutes qui la feront revenir à lui. Même quand il aura les prochains mots, les prochains geste, les prochaines actions blessantes qui viendront la heurter. Que ce soit dans sa fierté ou dans ses sentiments. Dans des émotions qu'elle viendra balayer d'un revers de main puisque ce qui n'est pas, ne peut pas être.

Malgré un partage plus suave, plus doux peut-être, de ceux qui vous font penser, un court moment, que le monde dans lequel vous évoluer pourrait être différent. Il y a toujours la réalité qui attend, celle qui se cache plus loin et qui, même ici, vous appelle d'un signe de main. C'est une étreinte pleine de ferveur, pleine d'ardeur, emplie de douceur et de douleurs. Ce sont les seuls sentiments qui sont et qui devrons restés. Ceux qui permettrons l'oublie dans la passion, dans l'envie. Dans le désir plus simple d'échanger quelque chose, de partager d'autres choses. De celles qui ne seront jamais dites puisque les secrets qui les concernent sont fait pour être gardés. Elle aura un soupir, un de plus et qui viendra se perdre dans cette étreinte, se répercuter sur cette peau fine, sur des contours qu'elle ne regarde même plus mais qu'elle ressent à travers ses paupières closes. Ces un frisson également, quand elle sentira ses lèvres sur son front, quand elle sentira que l'étreinte se resserre et qu'elle change de forme, un peu au moins. Ça restera une interprétation qui lui est propre, a laquelle son corps répondra quand les frissons se feront plus intense, qu'ils appelleront à d'autres sensations jusqu'à ce qu'ils deviennent insoutenables. Que les garder pour soi soit au-delà de l'entendement et qu'elle ne pourra rien faire d'autre que de les partager. De les laisser couler sous sa peau, rouler sur ses muscles et venir alimenter ce sang qui pulse dans ses veines, fait battre son cœur à la chamade si bien qu'elle pourrait en devenir sourde. C'est l'extase qui vient se poser sur elle, l'envelopper et l'emporter quand elle renforce un peu plus sa prise autour de ses épaules, qu'elle laisse son visage s'enfouir un peu plus comme pour cacher les gémissements qui pourrait passer la barrière de ses lèvres.

C'est un instant dont la magie réussira à faire naître l'oubli. Juste ce qu'il faut, ou tout ce qu'il faut. Le corps toujours sous l'effet du plaisir, parcourut par les souvenirs récents de leurs désirs, elle restera un instant encore, comme figée entre ses bras. Suspendue entre ce qui doit être et ce qui vient d'être. Elle se sent soulagée dans un sens, pas seulement sexuellement, pas seulement psychologiquement et encore moins émotionnellement. C'est quelque chose sur lequel elle ne met pas vraiment le doigt et qui va lui faire relever la tête doucement. Jusqu'à ce qu'elle puisse voir se dessiner les traits de son visage du coin de l’œil. Elle aura une autre inspiration, aussi silencieuse qu'elle est profonde quand elle va se redresser un peu plus. Que sa joue viendra frôler celle du jeune homme, sans la toucher cependant. Comme si la suggestion de sa présence était suffisante jusqu'à ce qu'elle puisse prendre quelques secondes pour observer son regard avant qu'elle ne laisse le sien dévier doucement sur les lèvres de l'ancien Serpentard, qu'elle les observent l'espace d'une demi-seconde et qu'elle parte à la recherche d'autres lieux.

Il y a des choses qu'elle ne fait pas, Sutton. Ou très rarement, même si elle préférera considérer que ça n'arrive jamais. Par exemple, elle n'initie pas les baisers. Ce sont les autres qui viennent a elle. Elle ne l'aura pas fait aujourd'hui non plus, ni sur ce canapé, ni dans cette douche. Dans son esprit, celui qui sera venu s'emparer de sa bouche, ça aura toujours été lui. Et c'est toujours les autres. Elle répondra à chaque fois, avec plus ou moins d'envie, plus ou moins d'intérêt et plus ou moins de passion ou de ferveur. Mais jamais, elle n'ira chercher l'arrondie de lèvres qui ne sont pas les siennes. C'est comme une protection, comme un fin voile entre le possible et l'impossible. A aucun moment elle n'a tenté de s'en emparer, de choisir délibérément de venir poser ses lèvres sur les siennes. Elle sera partie à la recherche de son cou, ce qu'il lui aura refusé sur ce canapé. Sur ce cliché non plus, sinistre photographie prise par un inconnu, elle n'avait rien initié. Si baiser il y avait, il ne venait pas d'elle en premier. Ce n'était peut-être pas le cas avant quand, plus jeune, la découverte de l'inconnu laissait place à quelques explorations. Des tentatives pour comprendre comment ça marche, des secrets qu'on garde entre amies et qu'on ne partage pas. Comme le font la moitié des gens, la moitié des enfants. Mais depuis sa quatrième année, depuis qu'elle est passée du statue d'enfant à femme, jamais plus ça ne sera arrivé. Elle peut être tentatrice, les provoquer, les suggérer. Mais ce n'est jamais elle qui vient franchir les derniers centimètres ou quelques millimètres. Et, cette fois encore, elle ne le fera pas. Elle déviera plutôt lentement vers la commissure de ces dernières, à peine un effleurement comme si la suggestion était plus importante que la possession, si bien qu'on ne saura pas réellement si elle l'a vraiment touché ou non. Ses jambes continuerons lentement de se détendre, de se délier, tout comme ses bras se feront moins présents autour de ses épaules. Ses cuisses viendront lentement glisser le long du corps du jeune homme, ultime touché pendant que ses mains accompagnent la descente. Jusqu'à ce qu'elle puisse poser la pointe de ses pieds sur le sol, que ses talons finissent par faire de même et qu'elle fasse un léger pas en arrière, tout petit, presque inexistant mais qui marquera la fin d'un instant.

Elle aura sûrement fini par le quitter des yeux dans tout ce processus, dans cette séparation qui se voudrait pleine et entière. Et une fois sur le sol, elle ne va pas relever tout de suite la tête. Laissant d'abord un sourire venir se dessiner sur ses lèvres, quelque chose qu'on voit souvent et qui est comme un masque qui va la faire se redresser lentement.

« Je n'avais tout à fait terminé mais je suppose que tu vas avoir besoin d'un peu de savon maintenant. »

C'est presque sans aucune gène qu'elle pointera le bas du ventre du jeune homme, sur lequel est enroulé le précédent sortilège. Et si, elle ne va pas regarder directement c'est avant tout pour se laisser glisser sur le côté, pour sceller la fin d'un instant avec une certaine forme de brutalité. Ça aussi, ça protège. D'avoir l'impression que vous êtes l'auteure de la première attaque, de la naissance ou de retour de la première tension. C'est empêcher d'entendre ou de voir quelque chose qui viendrait de lui et qui ferait sûrement plus mal qu'elle ne voudrait le dire. C'est encore un paradoxe, le même que celui qui était présent avant. Celui qui reprend sa place comme si de rien n'était, comme si il avait toujours été là et que l'instant éphémère ou cette dualité c'était estompée, n'avait jamais existé. Tout comme elle n'embrasse pas sur les lèvres, elle ne souhaite pas être la première victime. Même si elle l'est, au fond. Qu'elle se fait aussi mal que ce qu'il pourrait lui faire. Mais ce n'est rien dont ils ne doivent pas avoir déjà l'habitude. Puisque c'est le fondement de leur relation. D'être toxique. Pour l'un, pour l'autre et pour eux-même tout autant.
 

KoalaVolant


b.a.d.b.i.t.c.h


I got mercy, I got grace. Desperado with the scales. Throw a rose on your body, Mask of Zorro, I'm so wanted! Watch me dance, watch me sing. Don't ever get caught again. You'll then see : The bad bitch
KoalaVolant
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t1194-sutton-skeeter
Theophilus M. Nott
Theophilus M. Nott

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Felix Mallard
Niveau : 54/100
Points d'Exp : 13687
Health Point : 2 700
PC (compétences) : 20/26
PC (caractéristiques) : 26/26
Scolarité et Métier : Il à fait ses études à Poudlard au sein de la maison Serpentard. Je suis à présent étudiant à Grimardent dans la résidence Magilignes.

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Mar 21 Nov - 22:18

Theo & Sutton.

Date : mercredi 1er janvier 2025
Lieux : Chemin de Traverse, Londres.
Participants : @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter.

Dans les méandres de l'existence, les mots sont des lames acérées, des flèches empoisonnées capables de pénétrer les remparts de l'âme. Comme des éclats de verre dissimulés sous un tapis, ils attendent leur opportunité pour blesser, pour lacérer l'intégrité même de l'être. Chaque parole, chaque geste est une arme en puissance, chargée de potentiel destructeur, capable de causer des blessures invisibles mais profondes, des cicatrices à jamais gravées dans la chair de l'âme. Tel un papillon pris au piège dans la toile d'une araignée, les mots blessants emprisonnent l'esprit, le maintenant captif dans un tourbillon de douleur et d'incompréhension.

Les actions, telles des vagues tumultueuses, peuvent éroder lentement les rivages de l'estime de soi, transformant les certitudes en sables mouvants instables. Un rejet, semblable à une porte close, crée un vide glacial, une absence qui pesant lourdement sur le cœur, laissant un écho lancinant dans les espaces jadis occupés par la chaleur de l'acceptation ou d’une douceur qui s’avérait éphémère.

Chaque refus était une épine plantée dans le jardin de l'âme, une douleur lancinante qui ne se contiens pas de marquer la surface, mais qui s'enracine profondément, obscurcissant les perspectives, nappant l'horizon d'une ombre persistante. Les blessures infligées par les mots et les actions résonnent telles des cloches funèbres, égrenant le chagrin dans le silence oppressant de l'incompréhension.

Dans cette danse complexe de l'existence, les mots deviennent des épées tranchantes, les gestes des blessures saignantes, et les refus des cicatrices indélébiles. Chaque interaction est un pas sur un champ de mines émotionnel, où la prudence se mêle à la douleur, où la vulnérabilité se teint de la crainte de nouvelles blessures. Et pourtant, malgré la brutalité des mots et des actions, la résilience persiste, telle une fleur fragile émergeant des fissures du béton, cherchant à se cloitrer dans les moments les plus sombres.

Au fil des épreuves et des douleurs, l'ancien Serpentard avait appris à enfermer jalousement ce qui pouvait être qualifié de sensible, de beau, ou de bon au plus profond de son être. Comme un coffre-fort verrouillé, il a dissimulé ses sentiments et ses affections derrière une façade de vanité, de cruauté et de toxicité. Tel un masque soigneusement ajusté, il arborait cette carapace, cachant soigneusement les vestiges de son humanité authentique sous des couches épaisses de cynisme.

Cette fois ne fera pas exception.

Les émotions, telles des oiseaux en cage, sont maintenues sous clé, condamnées à ne jamais connaître la liberté de s'exprimer pleinement, ou tout court. Chaque lueur de tendresse est étouffée par la peur de la vulnérabilité, chaque élan de compassion réprimé par la crainte d'être blessé. Ses sentiments, refoulés et ignorés, étaient devenus des compagnons silencieux, relégués dans les profondeurs de son être, attendant en vain d'être entendus.

D’abord part sa famille. Puis ceux qui pourraient avoir la chance, aussi infime soit-elle, de touché son cœur.

Ainsi, chaque sourire était une grimace, un sarcasme. Chaque geste de bonté une façade, dissimulant la fragilité et la douceur enfouies sous des couches de mépris. Comme un acteur dans une pièce de théâtre, il jouait le rôle du cynique avec une maîtrise trompeuse, camouflant soigneusement la vulnérabilité sous des répliques cinglantes et des regards froids.

C’est ce masque qui petit à petit reprendra sa place sur les traits de son visage quand l’étreinte se ternira et que les distances seront reprises.

Mais derrière ce masque, dans les recoins les plus secrets de son être, persiste un écho lointain de la sensibilité qu'il a enterrées, un murmure de ce qu'il a d'étouffer, ce qui continue de le faire suffoquer. L'ancien Serpentard a construit cette armure pour se protéger, pour survivre dans un monde où l’humanité est perçue comme une faiblesse. Et pourtant, malgré son armure de fer, il ne peut complètement éteindre la lueur fragile de ce qui palpite toujours au fond de lui, attendant patiemment que les murs qu'il avait érigés se fissurent pour enfin laisser filtrer la lumière de son être authentique.

Ça n’arrivera pas, pas aujourd’hui en tout cas. Pas maintenant qu’elle aura été la première à relancer les hostilités des ombres qui planes sur leurs relations. Et sur toutes les autres, en ce qui le concerne.

Le sourire en coin reviendra. Le regard dédaigneux également. Il cessera de la regarder, complètement. Et si l’instant d’avant il avait presque eu envie de goûter au cadeau d’un baisé qui était à porter de main, à porter d’âme et de cœur. Tout ce qui avait pu constituer l’abaissement de son armure de glace avait été balayer. Et avec, toute chance de voir à nouveau certaine lueurs éclairé son regard.

- Tu peut donc disposer. Et n’oublis pas mon sandwich. Je ne suis pas d’humeur pour du sucré.

Rapport au fait qu’effectivement, il aurait besoin de cette douche maintenant. Il finira de lui tourner le dos. Et qu’elle soit là, ou pas, lavera les dernières traces de leurs échanges jusqu’à tous les faires disparaitre. Sortira de cette douche, ne s’y éternisant pas outre mesure. Il sèchera ses vêtements, bien entendu, que ce soit à l’aide de sa baguette si ça lui est possible. Ou d’outillage magique qu’il ne doute pas être en possession des coquettes femmes Skeeter de cette maison. Il remettra ses vêtements, un à un. Impeccable, sans plis, comme une nouvelle armure, un nouvel étendard. Jusqu’à ce que le miroir lui renvois l’image qu’il voulait voir. Ou bien qu’il n’efface ce qu’il se refusais de contempler de près ou de loin. Qu’elle soit là ou pas… Il l’aura tout bonnement ignoré comme on le fait d’une catin une fois avoir balancé un sac de gallions sur un matelas tâché.

Puis il reprendra les chemins qu’il doit prendre. Que son esprit, son être, son ambition son voué à suivre.

Il rejoindra le salon, de nouveau. Passant une main pour ramener les plus longues mèches de ses cheveux en arrière comme pour finir de les plaqués là où elles devaient rester, immuable, impeccable : toujours. Ce n’est finalement que quand il l’aura décidé, ou bien qu’il se soit confortablement réinstallé et après avoir regarder la montre à son poignet, jouant à faire tournoyer sa baguette de son autre main, qu’il daignera enfin lui accorder son attention ou à minima, reconnaitre son existence sous son propre toit.

- On y va.

Ce n’est pas une question, il n’y a aucun doute ou interrogation dans ses mots. C’est un ordre, pur et simple. Et un regard, qui ne croisera pas le sien. Ou s’il le fait ce sera avec le dédain et tout le mépris qu’on lui connait.

KoalaVolant



Theo Nott
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t753-theophilus-m-nott#16244
Sutton Skeeter
Sutton Skeeter

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Dove Cameron
Niveau : 60/100
Points d'Exp : 15873
Particularité : doppleganger palier 1/7 | magie antique - palier 0/7
Health Point : 3 000
PC (compétences) : 27/37
PC (caractéristiques) : 37/37
Scolarité et Métier : Je suis en septième année à Poudlard, dans la maison Serpentard. Je suis également la rédactrice en chef de la gazette des écoles, mais ça, vous devez déjà tous le savoir. A moins que vous ne soyez un demeuré ? Ou que vous viviez sur une île déserte au fin fond de l'antarctique...

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Mar 21 Nov - 23:12

Oser fouiner, c'est s'aventurer dans les trésors cachés de la curiosité.
feat. @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter


Froideur et méchanceté font mauvais ménage avec douceur et sensibilité. Et si les derniers arrivent parfois à percer des barrières érigées, parfaites architectures pour accrocher des masques, ce sont souvent les premiers qui refont surface rapidement. Qui vous reviennent en pleine face aussi sûrement qu'ils aurons mis du temps à disparaître l'instant d'avant. C'est une habitude dans laquelle on trouve une certaine complaisance l'espace d'un court instant. Avant que la balle jetée dans l'autre camp ne vous reviennent en pleine face. Veine tentative pour venir briser le masque. A quoi d'autre pourrait-elle s'attendre venant de lui au final ? Si ce n'est à rien ? C'est une question qui cache déjà la réponse en son sein. Et qu'elle n'aura même pas le besoin d'analyser quand c'est un sourire en coin, accompagné d'un haussement de sourcil, qui va venir se poser sur ses traits. Elle va le prendre ce tir là, rapport au fait qu'il aura été plus doux l'instant d'avant. Même si ça n'en diminue pas l'impact mais c'est ça aussi, la douce saveur d'un retour de batte...
Attrapant une serviette blanche, elle va prendre le temps de l'enrouler autour de son corps, masquant ce dernier sur le tissu en éponge avant d'en dégager les cheveux qui s'y seront coincés. C'est aussi comme ça qu'elle sortira de cette pièce, laissant les vêtements sur le sol pour ne prendre que sa baguette et sortir de cet environnement où la buée peut-bien tout emporter en disparaissant. Ce ne l'atteindra pas. Pas maintenant. Ça lui viendra quand elle acceptera de regarder son reflet dans le miroir de cette coiffeuse, quelques temps après avoir pris le temps de choisir d'autres vêtements. Une marque où une autre qu'elle ne regardera même pas puisque seul va compter la perfection de ce qu'elle pourrait porter. L'accord parfait dans lequel elle va s'envelopper. Ce sera une jupe, sans aucun doute, toujours trop courte et qui ferait sûrement rougir sa sœur. Elle qui revient à son esprit quand elle l'imagine venir fouiller dans ses affaires. Ce sera un chemisier à manches courtes aussi, dont les boutons ne seront pas tous refermés ; ils vont en Afrique après-tout et si ce n'est ce manteau noir à gros boutons dorés qu'elle va venir poser sur un dossier, il n'y aura rien d'autre qui suggère qu'ils vont restés dans le froid de l'hiver.

Et tout comme il va l'ignorer en sortant de cette salle de bain, elle fera de même. Le regard concentré sur ce que lui renvoi son propre reflet. Quelque chose de tordu, qui n'est pas elle et qu'elle va cacher sous une maquillage parfait. Comme pour marquer cette différence entre elle et sa jumelle un peu plus encore. Ou bien pour masquer d'autres choses, pour s'armer d'autres artifices que des perles d'argent viendront compléter. Elle ne sortira qu'une fois ses cheveux finement bouclés, ce serre-tête sombre posé sur la blondeur de ses cheveux et ses chaussures hors de prix glissées à ses pieds. Elle ne remettra pas ce qu'elle portait avant.
C'est un sac qu'elle prendrait finalement, le doigt près de la bouche quand elle hésitera sur lequel choisir avant de tendre la main vers celui qui complétera la tenue. Elle y déposera plusieurs objets, sans les voir vraiment et sans en faire le compte maintenant. On sera assuré que ce qu'une femme se doit d'avoir sur elle, elle l'aura et c'est la tête haute qu'elle finira par sortir de cette chambre, fermant la porte derrière elle avec beaucoup plus de discrétion que les claquements qu'elle avait offert auparavant.
Dans une démarche assurée, elle ira d'abord vers la cuisine, se calant dans l'encadrement de la porte, les bras croisé tout en apostrophant l'Elfe de Maison afin qu'elle lui prépare ce que le jeune homme avait demandé. Un sandwich ou quoi que ce soit d'autre qu'elle fera envelopper par l'esclave qui ne leur appartient pas et dont elle se fout royalement.
Dans une valse de cheveux blonds, elle ira lui déposer l'aliment sur les genoux. Où le lâcher plutôt, avant qu'elle ne se retourne pour enfermer dans la boite ce qui devait y être. Photographies, croquis et autres artefacts qui avaient été éparpillés. Elle la refermera sans un regard et terminera de la glisser dans son sac quand il se décidera enfin à lâcher trois mots.

Un ordre auquel elle ne va même pas répondre quand elle passera son manteau sur ses épaule, le fermant à mesure qu'ils vont se diriger vers l'ascenseur et que ses bras viendront se croiser sous sa poitrine. Suffisance de l'âme et refus pure et simple d'être approchée. C'est ce qu'elle dit, dans les mouvements de son corps.

« Nettoie-tout, que maman soit satisfaite. Ho... et brûle les vêtements qui sont sur le sol dans ma salle de bain, je ne penses pas les porter à nouveau. »

Oui, elle a dû entendre l'elfe. D'une manière ou d'une autre. Puisqu'elle ne l'aura pas regardé, préférant contempler les portes de l'ascenseur avant d'y entrer et de se retourner pour faire face à l'appartement qui disparaîtra bientôt devant eux. Elle ne fera pas le récit de la descente ni de toutes les absences qu'il y aura eu entre eux. Parce que ça n'a aucun intérêt et qu'encore une fois, ce n'est pas elle qui fera le premier pas. La première attaque avait été posée, rempart de l'extrême qui vient verrouiller le reste. Et il y a fort à parier que, ni l'un, ni l'autre, à moins d'être obligé n'ait envie d'échanger.
Que ce soit pour se contenter du paraître qu'attend la société ou pour éviter aux faiblesses de se révéler. Elle ne dira pas que c'est indolore, que ça ne coûte rien et que ce n'est pas étouffant d'une certaine manière. Mais c'est comme ça, ça porte le goût de la fatalité et ça ne demande rien d'autre qu'un silence pour être exprimé.

Le réceptionniste ? Lequel ? Elle ne l'a pas vu quand elle est passé devant le comptoir. Il n'a aucun intérêt maintenant qu'il a livré ce qui lui revenait. Et lui arracher les yeux maintenant, au sens propre comme au figuré n'est pas dans son intérêt. En rentrant sûrement, quand elle aurait assez de colère et de frustration pour refaire la surface de la terre. Pour l'instant, elle s'inquiète plus des portes qui s'ouvrent et de cet air qu'elle va retrouver.

« Je supposes qu'on perdrait trop de temps en attendant un portoloin ? »

Pas qu'elle irait en demander un. Mais c'est un Nott, ça à le bras long. Et pas que. Mais c'est un sujet qui est resté sous la buée.

« On va devoir passer par le portail de Poudlard sinon et sans mon laisser-passer... Et bien je supposes que tu sera capable de faire ce que tu fais de mieux ? »

Oui, elle l'aura enfin regardé. Du coin de l’œil en relevant légèrement la tête afin de pouvoir apercevoir ses traits. Et oui, la petite touche sarcastique est du ressort du compliment. Encore une fois, c'est un Nott. Qu'elle le veuille ou pas, il aura toujours plus de poids qu'elle. Principalement si ils se rendent sur un continent étranger ou, potentiellement, son abrutis de doublure sera déjà passée !  
 

KoalaVolant


b.a.d.b.i.t.c.h


I got mercy, I got grace. Desperado with the scales. Throw a rose on your body, Mask of Zorro, I'm so wanted! Watch me dance, watch me sing. Don't ever get caught again. You'll then see : The bad bitch
KoalaVolant
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t1194-sutton-skeeter
Theophilus M. Nott
Theophilus M. Nott

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Felix Mallard
Niveau : 54/100
Points d'Exp : 13687
Health Point : 2 700
PC (compétences) : 20/26
PC (caractéristiques) : 26/26
Scolarité et Métier : Il à fait ses études à Poudlard au sein de la maison Serpentard. Je suis à présent étudiant à Grimardent dans la résidence Magilignes.

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Mer 22 Nov - 13:46

Theo & Sutton.

Date : mercredi 1er janvier 2025
Lieux : Chemin de Traverse, Londres.
Participants : @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter.

L’enrobage de médiocrité d’une baguette de pain garnis de divers aliments rebondira sur les cuisses de l’ancien Serpentard qui fera une sorte de grimace de mécontentement. Lèvera les yeux aux ciels aussi, sûrement. Il prendra tout de même le « snack » entre ses mains en dépliant les contours qui l’enrobe jusqu’à découvrir ce sandwich improvisé. Le tout en ce levant de son fauteuil. Et en ignorant royalement ce que la jeune femme pourrait avoir à dire à son elfe de maison. A vrai dire, il ne prendra que comme une forme de folie latente l’idée de brûlé c’est vêtement, du moins, ça aurait été le cas s’il en avait eu quoi que ce soit à foutre. Ce qui ici n’est pas le cas, donc c’est à douté qu’il l’ait même entendu en réalité ! Il aura par ailleurs, pris la tête de ce convoité. Ou les devant, en s’engouffrant dans l’ascenseur jusqu’à rejoindre le miroir du fond et s’appuyer sur la barre de métal froide devant celui-ci avec ses coudes. Ses crocs se refermant avec précaution autour de ce met qu’il goutait avec une certaine forme d’appréhension, comme si le simple fait que ça ait été préparer par une sang-mêlé -ou l’elfe d’une sang mêlé- suffit à faire douter de sa qualité.

Ça n’y coupera pas d’ailleurs, le sandwich à peine entamé finira dans la poubelle de la réception pour y renverser tout ce qui le composais sans ménagement avant qu’il ne frappe ses mains entre elles sans grand bruit, mais pour pouvoir se débarrasser des quelques miettes qui aurait pu l’entraver. Il prendra une large bouffé d’air en rejoignant l’extérieur, comme si le bâtiment l’étouffait quelque part. Il ne la regardera pas quand elle dira ses quelques mots, ne notera pas le compliment à peine voilé. Oui, c’est un Nott. C’est un fait en soit. Et même si ses yeux ne dévient pas vers la demoiselle, il ne manquera pas de lui attraper le bras.

- On transplane.

Il est déjà plus sympa que Morgane hier, il la prévient ! Trois seconde avant de tourner les talons, certes, mais c’est déjà ça ! Nous noterons que c’est d’ailleurs certainement elle qui mène la danse ici, au moins de joueuse à joueuse puisque Theo n’a pas sa maitrise ! Mais c’est un détail que nous n’aborderons pas pour les besoins de préservation des égos, surtout chez un grand colérique. C’est sur le chemin de traverse qu’ils arriveront, et plus précisément, sur l’allée qui va leurs permettre de tourner dans l’allée des embrumes pour rejoindre la tristement célèbre boutique Barjow & Beurk ; tenu par le père de Maya, cousine d’Oriana. Pardon, il devait décider avec elle de l’itinéraire ? Il n’a pas pris l’option « communication ». Enfin… si -à l’université-, mais non. Bref, ce n’est pas la question !

- Attend là.

Ce n’est pas une question. C’est devant la devanture du magasin, quand déjà il ouvre la porte et fait tinter la clochette au-dessus. Il n’y restera pas bien longtemps, cinq minutes tout au plus. De quoi faire ce qu’il avait à y faire, qui ne regarde personne d’autre que lui. Et dont les détails seront, pour ce airpé en tout cas, mis sous scéllée. Quand il ressortira, ça sera avec une vielle montre à gousset dans la paume de sa main qu’il tendra à la jeune fille pour qu’elle y glisse ses doigts.

- Ne t’éloigne pas quand on sera là-bas.

La méfiance entre eux voudrait que ce nouvel ordre face état de son manque de confiance en la jeune femme qui pourrais bien essayer de lui échapper ou de le laisser sur le carreau. La réalité est tout autre et se rapprocherais presque trop d’une idée sympathique pour être abordé entre eux, ça ferait tache voyez-vous ? Tic-tac-tic-tac-…Paf !

Et non loin, ils n’auront pas vu cette silhouette dans les ombres. Celle aux longs cheveux d’un noir de jais donc la finesse des traits son caché derrière un masque en tissus léger. Juste assez pour cacher une tête digne d’un manga qu’elle à actuellement, blasée et soupirant quand elle sort son médaillon pour échanger quelques kanjis avec son cousin. Car les traces de magies seront surement encore latentes quand elle arrivera sur place pour les recueillir, ou trouver l’information, quel qu’elle soit de l’endroit où il allait. Il semblerait que chez la team Ninja aussi, il faille bientôt un portoloin !

KoalaVolant



Theo Nott
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t753-theophilus-m-nott#16244
Sutton Skeeter
Sutton Skeeter

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Dove Cameron
Niveau : 60/100
Points d'Exp : 15873
Particularité : doppleganger palier 1/7 | magie antique - palier 0/7
Health Point : 3 000
PC (compétences) : 27/37
PC (caractéristiques) : 37/37
Scolarité et Métier : Je suis en septième année à Poudlard, dans la maison Serpentard. Je suis également la rédactrice en chef de la gazette des écoles, mais ça, vous devez déjà tous le savoir. A moins que vous ne soyez un demeuré ? Ou que vous viviez sur une île déserte au fin fond de l'antarctique...

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Mer 22 Nov - 17:09

Oser fouiner, c'est s'aventurer dans les trésors cachés de la curiosité.
feat. @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter



Et bien on peut dire une chose de Théo, c’est que quand une porte se ferme chez lui, elle ne le fait pas à moitié. Elle devrait le savoir pourtant depuis le temps ! Même si, visiblement, c’est devenu une réelle habitude que de forcer un peu plus cette fermeture. Que ce soit en l’attaquant en premier où en lui répondant de la même manière que celle qu’il a de la traiter. C’est un peu comme se retrouver devant un miroir dans lequel le reflet est un peu plus déformé à chaque fois. Un miroir dont on voudrait bien éviter les traits tant ils sont anguleux ; synonymes de petites cicatrices qui ne provoque rien d’autre qu’une envie de se protéger un peu plus et, il semblerait qu’ils ne connaissent qu’une façon de le faire. En blessant l’autre, que ça leur saute aux yeux ou non.

Elle aura pourtant tenté, que ce soit avant de prendre cet ascenseur ou une fois dans la rue, d’obtenir autre chose qu’une réaction polaire qui lui donnait l’impression qu’elle n’existait tout simplement pas, ou plus. Une réponse quelconque, même bourrée de sarcasmes aurait été plus agréable que le froid mépris qu’il lui offrait.
Mais visiblement, elle ne valait même pas ça…
Et le soupir frustré n’était sûrement pas loin quand il lui attrapera le bras.

Elle eut à peine le temps d’émettre une protestation que la machine était déjà lancée et qu’elle se retrouvait dans un tout autre paysage. Manquant de trébucher sur ses talons hauts quand elle relevait les yeux vers lui, presque effarée.
C’est d’ailleurs presque instinctivement qu’elle avait passé une main sur son bras, le rapprochant de son corps jusqu’à venir plier son avant-bras sur son ventre avant de reprendre une marche obligatoire vers l’allée des embrumes. Elle ne le dirait pas mais ce mouvement, là, il avait eu presque la même saveur que celui de la veille. De cet instant ou ‘Morgane’ lui avait empoigné le bras avant de disparaître vers d’autres contrées, le Square Grimmaurd visiblement, qu’elle reconnaîtra une fois réveillée. On remerciera donc Théo de venir lui remettre en pleine poire l’incident de la veille est les angoisses qui allaient avec mais… En même temps… Il était de son côté maintenant, à Morgane… Ça devait vraiment l’étonner ?
Après-tout, elle avait bien conscience que dans ses yeux - pour peu qu’il la regarde de temps en temps - elle n’était qu’une simple sang-mêlée qui, éventuellement, pouvait servir de temps en temps. Comme un pansement, ou un kleenex suivant le temps.

Preuve étant, c’est qu’il faudrait pas se montrer trop longtemps en sa présence ! Et donc la laisser faire le planton dans la ruelle. Non mais vraiment, le regard qu’il aura eu là, il était presque halluciné. Parce que bon, sinon si elle avait juste besoin de faire décoration invisible, elle pouvait toujours lui envoyer une photo par hibou ! Ça tombait bien, elle en avait plein son sac ! Du coup c’est une Sutton dos au magasin qu’il aura retrouvé, sa main ayant finalement quitté son bras au bout d’un moment, pour qu’elle les croise à nouveau très simplement. Ses cheveux voletant lentement la tête de gauche à droite quand elle observe la rue, trop impatiente sûrement. Ou bien, un peu plus agacée encore que l’instant d’avant. Non mais vraiment, la faire attendre, elle ! Et ce qui lui aura semblé durer une éternité en prime ! Non mais franchement, elle n’est pas loin de se sentir outrée là ! Quand il ressort en lui tendant une vieille montre à gousset qui va lui faire rouler les yeux au ciel avant qu’elle ne les pose sur lui.

Sa petite réflexion là, elle lui ferait bien bouffer quand elle déplie lentement un de ses bras pour l’approcher de la montre avant de marquer une légère hésitation. Non mais franchement… C’est…
On entendra sûrement une autre inspiration, un peu plus profonde. Comme à chaque fois qu’elle essaye de contrôler on ne sait trop quoi. Et ce sera avec une certaine lenteur qu’elle va continuer à approcher ses doigts de l’objet jusqu’à venir le toucher. Mais pas que, parce qu’au final, elle aura laissé certains de ses doigts glisser sur la peau du jeune homme. Léger contact qui sonne comme une réponse à sa demande précédente, si c’en était une ? A moins que ce soit un ordre, encore ? Elle ne saura pas trop là.
Mais elle profitera de ce léger contact le temps que l’heure de départ du portoloin n’arrive et qu’ils ne se retrouvent dans un tout autre paysage.

L’atterrissage sera mieux contrôlé cette fois, rapport au fait que la surprise aura été moins intense qu’au moment de transplaner. Ou bien était-ce à cause d’autre chose ? Quelque chose qui disparaîtra sûrement, comme le reste quand elle tournera son regard vers les alentours avant de venir déboutonner son manteau d’une main pour finir par le retirer. C’est que la différence de température est frappante, surtout quand, l’instant d’avant on vous faisait attendre dans un froid ambiant et une humidité tout aussi désagréable qui aurait pu vous en faire friser les cheveux malgré toutes les lotions capillaires pour sorcier que vous pouviez utiliser.


 

KoalaVolant


b.a.d.b.i.t.c.h


I got mercy, I got grace. Desperado with the scales. Throw a rose on your body, Mask of Zorro, I'm so wanted! Watch me dance, watch me sing. Don't ever get caught again. You'll then see : The bad bitch
KoalaVolant
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t1194-sutton-skeeter
Theophilus M. Nott
Theophilus M. Nott

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Felix Mallard
Niveau : 54/100
Points d'Exp : 13687
Health Point : 2 700
PC (compétences) : 20/26
PC (caractéristiques) : 26/26
Scolarité et Métier : Il à fait ses études à Poudlard au sein de la maison Serpentard. Je suis à présent étudiant à Grimardent dans la résidence Magilignes.

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Mer 22 Nov - 20:45

Theo & Sutton.

Date : mercredi 1er janvier 2025
Lieux : Chemin de Traverse, Londres.
Participants : @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter.

Ce que Théo n’avait pas dit, et ne dirais probablement jamais : c’est que s’il n’avait pas amener avec lui Sutton chez Barjow et Beurk c’était avant tout pour la préservé, la protéger. A sa manière du moins, préférant lui laisser endurer la morsure du froid et l’interminable attente -de cinq minutes- plutôt que d’autres formes de tourment. Bien sûr, celle-ci ne lisant pas dans les pensées ne pouvait pas le savoir. Ce n’était ni la première, et ne serait très certainement pas la dernière fois que l’ancien Serpentard semblait agir de manière cruelle, injuste ou simplement en l’ignorant quand en réalité ses motivations étaient toutes autres. Mais ça, c’était un secret bien caché et peut de gens, si non aucun, n’aurait le loisir de l’analyser à moins de l’avoir sous le nez.

Quand ils avaient pris le portoloin, par exemple, on pourrait pensée que la force qu’il avait mis à prendre sa main une fois l’hésitation de la jeune femme terminée était né d’une nouvelle forme de rudesse, violence passive-agressive né du désir de lui faire comprendre qu’elle ne devrait pas essayer de le doublé. En réalité, c’était surtout de l’avoir vu tanguer après le transplanage, elle si sûr d’elle. Et d’avoir capter quelques-uns des traits de son visage même en donnant l’impression de ne plus la regarder du tout depuis qu’ils avaient quitter la buée de la salle de bain.

Atterrissant dans le petit village avoisinant l’école Africaine de magie, ils ne leurs restait plus qu’à prendre le lève charge magique qui flotterais jusqu’au portail de celle-ci. Chemin qu’ils avaient dû prendre tout deux. Et si Theo garde maintenant ses mains enfoncer dans ses poches tout en jouant à l’intérieur d’une de celle-ci avec la montre rendue inutilisable pour le moment, il n’est pas si loin de la jeune femme qu’il laissera tout de même prendre la tête de leurs petits duos. Theo s’attend, de toute façon, à ce que Emily soit seule à Uagadou. Forcément, il ne s’imaginait pas trois seconde que son frère soit avec ou même qu’il ait fait plus que tiré sa crampe si ça avait effectivement été lui l’imbécile qui l’avait mis en cloque. Petite précision à donner, en passant.

- Je te devrais donc un dîné ce soir. Tu veux du local ?

Oui, ça tombe de nulle part et comme un cheveu sur la soupe. En plus c’est dit d’un ton tellement détaché, tellement égal qu’il aurait bien pu lui parler de la météo -dont il se fou- que ça aurait été pareil ! Mais c’est bien ce qu’il avait dit plus tôt non ? Que si elle récupérait les documents pour lui, il lui promettait un dîner en échange. Et même si lui, ne ressent pas le besoin spécialement de meublé leurs ascension, la joueuse oui. En attendant de voir ce qui se passera devant les grilles de Uagadou après le passage de Noah et Emily du moins…

KoalaVolant



Theo Nott
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t753-theophilus-m-nott#16244
Sutton Skeeter
Sutton Skeeter

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Dove Cameron
Niveau : 60/100
Points d'Exp : 15873
Particularité : doppleganger palier 1/7 | magie antique - palier 0/7
Health Point : 3 000
PC (compétences) : 27/37
PC (caractéristiques) : 37/37
Scolarité et Métier : Je suis en septième année à Poudlard, dans la maison Serpentard. Je suis également la rédactrice en chef de la gazette des écoles, mais ça, vous devez déjà tous le savoir. A moins que vous ne soyez un demeuré ? Ou que vous viviez sur une île déserte au fin fond de l'antarctique...

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Mer 22 Nov - 21:36

Oser fouiner, c'est s'aventurer dans les trésors cachés de la curiosité.
feat. @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter


Il y a presque une forme de complaisance malsaine à bien y regarder. Comme si se conforter dans l'idée que l'autre n'a d'intérêt pour vous que ce que vous pouvez lui apporter. Que, la plupart du temps, c'est un connard fini qui devrait vous donner de l'urticaire parce que bon... C'est tout de même un peu passé de mode la femme objet. Même si ça reste fatalement dans les hautes sphères de la société sorcière. Ou dans certaines familles du moins. Mais vu qu'elle ne va pas en faire un exposer non plus, ni se mettre à rejoindre un mouvement féministe, elle va se garder cette réflexion pour elle. Réflexion qui irait bien rejoindre le fait qu'il devrait peut-être le lire, au final, le livre de sa mère. Nul doute qu'avec les bonnes preuves et les bons documents, ça serait sûrement du plus bel effet ! Oui, c'est peut-être un peu sadique et la moitié des sangs-purs, bien purs, n'y croiraient pas. Enfin, quand on voit avec les ferveur Nott Senior en refuse la publication, ça se pose là, n'est-ce pas ? Sauf qu'elle ne lui fera pas le plaisir d'en parler non plus et qu'elle ira juste grimacer quand il prend sa main avec un peu trop de force. Bien, elle va mettre ça sur le compte de son envie, irrépressible de la toucher pour une fois. Où de lui rendre la douceur qu'elle avait eu en effleurant sa peau quand elle avait posé sa main sur l'objet. Ça lui permettra de faire durer ce contact quelques instants après l'atterrissage. Avant ce moment où elle viendra déboutonner ce manteau pendant que le portoloin disparaît dans la poche du garçon, accompagné de ses mains.

Elle n'ira pas dire que aîné et cadet se ressemblent sur ce point, mais l'idée n'est pas loin. Mais ça, encore une fois, elle va le garder pour elle. Après tout, il y a quelques limites à avoir même dans sa méchanceté envers lui. Qu'elle ne prend pas comme telle d'ailleurs, puisque c'est avant tout un moyen de se défendre que de lui renvoyer l'image qu'il lui donne.
Peut-être, en réalité, que ce serait plus simple si ils arrivaient à se lâcher quelques mots un peu plus profonds que des banalités, si ils s'essayaient à la communication en somme. Mais vu que ça voudrait dire poser ses faiblesses sur la table, c'était impossible pour elle. Et tant qu'elle en sera incapable et bien ça devrait rester comme ça. Une sorte de petit jeu malsain, qui fait mal, parfois du bien et auquel on s'habitue même si le dégoût viens parfois se poser sur le tout.

Le manteau savamment plié pendant qu'ils se dirigent vers le moyen de transport magique qui leur permettra de rejoindre l'école de magie, elle aura fini par le glisser dans son sac. Et je peux vous assurer qu'il va rentrer et que ça ne se verra même pas. Parce qu'elle n'a peut-être pas la pouillerie -sortie d'une décharge- sans fond de sa sœur. Mais tout rentrera quand même, dans tous ses sacs, qu'importe l'aspect extérieur. Et maintenant que ses prouesses au Tetris ont été démontrée, elle pourra prendre le temps de lisser les plis de sa jupe. Après deux voyages accompagnés, autant dire qu'il y en a besoin et ajuster un peu le col de sa chemise. En tirant dessus légèrement histoire que le décolleté soit un peu plus plongeant. Juste un peu, malgré les apparences, l'enseigne de prostitué est loin de l'image qu'elle veut donner.
Durant tout ce petit bout de route, elle n'aura visiblement pas ouvert la bouche elle non plus. Laissant le silence s'installer quand elle n'accélère ni de décélère le temps de cette courte montée jusqu'au monte-charge. Au final, la distance sera restée exactement la même de bout en bout. Elle n'allait pas fuir après tout. Si ça avait été son idée... Comment dire, elle aurait déjà transplané et quand ils étaient encore à Londres cela dit en passant. Histoire qu'elle termine pas dans un rocher...

Le petit manège aura sûrement duré jusqu'à ce qu'ils atterrisse sur la plate-forme magique et qu'elle commence à fouiller dans son sac pour en sortir un petit miroir-poudrier tout ce qu'il y a de plus simple.

« Il y a un excellent restaurant à la capitale à ce qu'il paraît. Du genre qui nous conviendrait bien et sans insectes. »

Observant son reflet dans la petite vitre ronde, elle aura retracé les contours de son visage du bout des doigts, lissant ses traits avec précision et pinçant légèrement ses joues pour leur faire prendre une teinte un peu plus rose.

« Et puis, je n'aime pas ce qui est épicé et les gens d'ici... -Oui, il y aura eu un petit reniflement presque dégoûté là. Parce que franchement, y'a de la poussière partout dans cette brousse ! (on lui dit maintenant que la brousse c'est pas ça?)- ont des goûts trop particuliers. Des larves grillées et des insectes ! Franchement... »

Elle en lèverait bien les yeux au ciel si elle n'était pas concentrée à appliquer un peu de baume sur ses lèvres, peaufinant le tout du bout de l'index avant qu'elle ne referme le poudrier dans un petit bruit sec.

« Bien ! Comment tu me trouves ? »

Le retourné théâtrale des hanches et du corps de la jeune femme vers l'ancien Serpentard, pendant que le poudrier retourne dans le sac, aura été tel qu'il en aura fait volé ses cheveux blonds de chaque côté de son visage pour qu'ils aillent se poser, de façon un peu trop bien organisée. Sourire de pétasse-connasse à l'appuie  parce que ça lui va bien et que sa représentation va bientôt commencer.
Elle ne va pas lui faire un baiser volant non plus mais clairement, la question n'appelle pas de réponse vu qu'elle l'aura fait dans sa tête et pour elle-même. De toute façon, l'ascension aura sûrement eu le temps de se faire le temps qu'au duré sa mise en pli.

Une autre petite remise en place du col de son chemisier ? Oui, tout à fait. Avant que le claquement de ses talons sur le sol ne puisse se faire une fois le portail en vue. La brousse ! Elle assure que c'est la brousse ! La brousse de la technologie mais la brousse tout de même ! En plus, il fait chaud ! Mais laissons là râler le temps qu'elle sorte sa carte d'identité sorcière et qu'elle la tende à un péquenot qui doit faire la sécurité.

« Sutton Skeeter, j'ai rendez-vous avec madame la directrice pour une interview. »

Sourire de pétasse le retour. Parce que Miss Pestouille compte bien la faire son interview. C'est aussi l'une des raisons pour laquelle elle est venue jusque ici. Et elle se fera avec ou sans plume à papote ! Qu'elle ira récupérer dans les mains de sa sœur dés qu'elles aurons eu une petite discussion sur le fait de voler la propriété des autres -hôpital qui se fout de la charité.-
Bon, par contre, clairement, elle ne s'attendait pas à ce qui allait suivre. C'est que pour elle, comme pour l'ancien Serpentard, sa sœur est simplement passée par ici. Et vu son niveau intellectuel elle n'a rien pu provoquer d'autre qu'une chute de vaisselle dans la cuisine des Elfes.


 

KoalaVolant


b.a.d.b.i.t.c.h


I got mercy, I got grace. Desperado with the scales. Throw a rose on your body, Mask of Zorro, I'm so wanted! Watch me dance, watch me sing. Don't ever get caught again. You'll then see : The bad bitch
KoalaVolant
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t1194-sutton-skeeter
Theophilus M. Nott
Theophilus M. Nott

Mes compétences magiques
Maîtrises:
Bonus/Malus:
Coffre Gringotts:
Sortilèges:
Potion:
Familiers:
Classe principale:
Classe secondaire:
Photomaton : [2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Giphy
Feat. : Felix Mallard
Niveau : 54/100
Points d'Exp : 13687
Health Point : 2 700
PC (compétences) : 20/26
PC (caractéristiques) : 26/26
Scolarité et Métier : Il à fait ses études à Poudlard au sein de la maison Serpentard. Je suis à présent étudiant à Grimardent dans la résidence Magilignes.

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Mer 22 Nov - 22:07

Theo & Sutton.

Date : mercredi 1er janvier 2025
Lieux : Chemin de Traverse, Londres.
Participants : @Theophilus M. Nott & @Sutton Skeeter.

Insecte… On l’aura vu passer, la grimace che Theo. Généralement, quand il utilise ce mot, c’est pour qualifier des gens comme… Emily Skeeter ? De ceux qu’il écrase sous la semelle de ses chaussures et en ricane. Les réels insectes cependant ? Il compte bien sur ses elfes pour qu’ils ne croisent pas sa route. Ne lui prêté pas une quelconque peur, là n’est pas la question. Mais de son rang, on n’a pas à subir ce genre de… Désagrément, voyez-vous ?

- La capitale ce sera.

C’est ça manière d’acquiescer, toujours de ce ton égal. Toujours de cette voix presque emprunte à une certaine forme de lassitude. Comme si tout cela n’avait pas d’intérêt ou peu. De même que quand elle lui demandera « comment il l’a trouvé ». S’il à lever un œil vers elle, son regard ne retranscrira pas la pensée et restera distant.

- Pour une fois, pas du mauvais côté de la vulgarité.

C’est gratuit, mais d’un autre côté, elle à un peu beaucoup tendu le bâton pour ce faire battre. Les « murs » érigé par Theophilus sont aussi haut qu’ils sont épais et visiblement bien gardé par des barbelés tranchants à souhait. Mais, c’est fair-game, parce qu’on ne doute pas deux secondes qu’elle ne ce gênera pas pour le lui rendre dès qu’elle en aura l’occasion.

Quand il arrivera, qu’elle présentera sa pièce d’identité au portail, lui restera légèrement en retrait. Et si on lui demande son identité, autant dire qu’il lèvera un sourcil bien haut en présentant à son tour son papier d’identité avec la gestuelle impérieuse qui lui va si bien. Et là… On leurs demandera d’attendre. Ce qui fera lever le second sourcil de l’ancien serpentard avant qu’il ne les fronsse. Et le temps de cette attente, c’est quelques mots qu’il glissera à l’oreille de la demoiselle, juste pour elle.

- Je croyais que tu avais ton entrée ?

Le voilà, le bâtons qu’il tend pour lui aussi se faire battre ? Peut-être. Dans tous les cas, après quelques minutes et peut-être même une mini-joute verbale, allez savoir, c’est la directrice qui finira par arrivée devant eux en jetant un regard des plus impérieux à Sutton, emprunt également à la colère et une sorte de… dégout ? Remarque, elle doit avoir l’habitude maintenant ?

- Vous avez un sacré culot de revenir ici Miss Skeeter. Vous n’êtes plus la bienvenue à Uagadou, pas tant que j’en serait la directrice. Et je peux vous garantir que votre petit article ne verra jamais le jour. J’ai déjà écrit à la direction de votre école pour leurs rapporter votre comportement.

Cette intonation, qu’elle utilise, pour parler à Sutton. Ça ne plait pas du tout au Nott, quand c’est lui encore… Pourquoi pas. Mais pour qui ce prend cette girafe pour les prendre de haut à ce point-là ?

- Vous allez me remettre ce que vous avez écrit, vos notes et les photographie qu’a pris votre collègue.

C’est une menace ? Non mais pardon…. Apparemment ça veut y ressembler vu comment le chien de garde c’est redresser et commence à défaire les chaines de la grille en les fixant du regard. Et ça fait monter en pression Theo assez vite à vrai dire. Lui qui restait silencieux et en retrait avancera d’un pas. Les mains toujours dans les poches et son sourire en coin greffé sur son visage.

- Vous ne prendrez rien du tout à Miss Skeeter.

Sa voix et presque, voir encore plus impérieuse que celle de cette… « directrice ».

- Vous devriez vous y installer confortablement, sur votre place de… « directrice ». Il se pourrais bien qu’elle soit éjectable.

Ça, c’est une menace. Qu’il terminera en coulant un regard vers Sutton. Nul doute qu’elle pourrait, elle aussi, avoir quelques petites choses à dire. Ou à faire ? A moins que le mieux soit de trouver son idiote de sœur qui visiblement à user du nom de sa jumelle pour la mettre dans un sacré bourbier.

KoalaVolant



Theo Nott
https://umbra-noctis-movens.forumactif.com/t753-theophilus-m-nott#16244
Contenu sponsorisé

[2025.01.01] Londres - Ouganda | Theophilus, Sutton, Eiji et Kaneko - Page 2 Empty
Page 2 sur 3Page 2 sur 3 Précédent  1, 2, 3  Suivant
Sujets similaires
-
» [2024.10.25] Angleterre | Kassie, Eiji, Kaneko et Iwao
» [2025.01.02] Ouganda | Emily, Noah, Yara et Je-Ha
» [2025.01.01] Londres - Nouvel an 2024/2025
» [2024.08.13] Japon | Eiji et Kaneko
» [2025.01.02] Ouganda | Lily, James, Oriana, Samuel et Megan

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Nex Aeternum :: Flood, jeux & co' :: Les archives du forum :: Archives RPs-
Sauter vers: