NC (-16) | Avatar réel | Pas d'activité minimum | 150 mots mini IRP
Umbra Noctis Movens est un forum RPG, bien sûr, mais pas que. Il vous propose un système d'évolution. Gagner des exp en faisant vos RPs, en participant à la vie du forum, ect... Et monter de niveau pour développer vos maîtrises et skills de sorcier ! Plus encore, chaque personnage à une réelle influence sur les intrigues qui se jouent façon « roman dont vous êtes le héros ». Avec des fins alternatives à chaque épisode et chaque saison ! Vous pourrez aussi dès le niveau 10 avoir votre propre familier et le faire grandir, choisir de vous faire aimer par votre animal magique, ou au contraire le faire obéir par la peur. Vous collectionnerez les dragées surprises de Bertie Crochue pour vous en servir comme monnaie au marché noir, vous pourrez aussi remplir votre compte en banque pour faire du shopping à la boutique... En bref, UNM avec ses quêtes, classes, boss et j'en passe, c'est un habile mélange entre le forum RPG tel que nous le connaissons et le « mmo rpg » !
Nous sommes actuellement entre le 1er Janvier 2025 et le 30 Avril 2025. Voir le calendrier | Le Forum a été créé par Kassie (contexte, le système de jeu, intrigues, les annexes, etc...) et lui appartiens entièrement. NC(-16) présence de propos caractère hérotique et/ou violent, cb interdite aux mineur à partir de 00h.
Deux décennies après la guerre des sorciers, des groupes extrémistes menacent la paix magique. Vous incarnez les différentes factions sur un forum RPG et serez amenés à choisir votre camp lors du conflit qui s'annonce. Préparez-vous à prendre position et à influencer le destin du monde magique.
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Dove Cameron Niveau : 60/100 Points d'Exp : 15873 Particularité : doppleganger palier 1/7 | magie antique - palier 0/7 Health Point : 3 000 PC (compétences) : 27/37 PC (caractéristiques) : 37/37 Scolarité et Métier : Je suis en septième année à Poudlard, dans la maison Serpentard. Je suis également la rédactrice en chef de la gazette des écoles, mais ça, vous devez déjà tous le savoir. A moins que vous ne soyez un demeuré ? Ou que vous viviez sur une île déserte au fin fond de l'antarctique...
Mais voilà donc qui est très rafraîchissant ! C'est fou ça, ça lui avait presque manqué ! Ce genre de petite réflexion sur le fait qu'elle devait ressembler un peu trop à une prostitué à ses yeux. Qu'à cela ne tienne, ce n'est définitivement pas le moment de lui coller quelque chose dans les dents. Proche du fait que ça n'avait pas l'air de le déranger tant que ça quand il pouvait, largement et avec toute la délicatesse du monde, en profiter. Mais soyons raisonnable n'est-ce pas, à part crisper les muscles de sa mâchoire et la faire se retourner dans le même mouvement, ça n'aura rien provoqué d'autre. Pour l'instant. Quoi qu'en plus de se croire au théâtre, elle doit se penser sur un catwalk pendant un défilé de mode. Au moins les trois premières secondes avant de déposer tendre sa pièce d'identité. C'est que là, dans l'instant, on ne va pas mélanger les torchons et les serviettes, elle est là pour entrer et pas pour faire une scène dont elle a pourtant la spécialité. Ça, ça viendra quand il y aura moins de publique et qu'elle ne risquera pas de perdre toute sa crédibilité.
Bon alors, par contre, lui demander d'attendre... Elle va inspirer et faire son plus beau sourire au monsieur si gentil qui va la faire patienter. Il faut savoir être professionnel, n'est-ce pas. Même si le sourire va totalement disparaître quelques instants après quand elle va fixer le point vers où il se sera dirigé.
« C'était le cas quand j'avais mon laisser-passer. Tu sais, celui qui était à la réception et que ma très chère sœur à emporté... C'est pas là-bas que tu l'a croisée ? »
Et si Théo parle pas, ne doutons pas qu'elle parle tout aussi bas et entre ses dents. Si bien qu'au moment où la directrice arrivera, c'est comme si cette conversation n'avait jamais existée. Parce que si il y a bien une chose pour laquelle elle ne va pas se démonter, c'est entrer dans cette école pour faire son interview et, accessoirement chopper sa sœur pour lui tirer les documents. Dans cet ordre et pas autrement. Et autant dire que si ça met en jeu son avenir en tant que journaliste, ce n'est pas demain la veille que ça va changer. Par contre, on en parle de la directrice ?
Alors, très sincèrement. Cette femme peut bien lui parler comme elle veut, la traiter comme elle veut et vouloir l'écraser sous la plante de ses pieds, ça va lui passer tellement au-dessus qu'il faudrait qu'elle répète pour que ça puisse s'imprimer. Pas parce qu'elle à l'habitude en soit, que l'homme juste derrière elle la traite comme une moins que rien... Mais juste... Parce qu'elle n'a pas d'affect particulier pour la femme qui se tient en face d'elle et qui semble vouloir peser de tout son poids sur ses épaules. C'est après tout le lot commun pour beaucoup de journalistes et elle ne va pas se formaliser tout de suite de ces quelques débordements. En revanche, pendant que la directrice va parler, elle aura eu tout le loisir de faire sortir un petit carnet de son sac et la plume qui va bien avec. C'est que savoir jouer à tétris pour ranger, ça aide beaucoup à tout sortir sans rien faire tomber. Et si elle va bien voir du coin de l'oeil que l'idée était loin d'être bonne, elle va laisser la directrice de l'école terminer ses tirades acerbes sans la quitter des yeux. La plume roulant de droite à gauche entre ses doigts avant que ce ne soit Theo qui intervienne. Et à qui elle va laisser le champs libre. Parce que, Nott oblige -a moins que ces abrutis ne sachent pas lire- il y a quelques possibilités qu'ils ne viennent pas trop l'emmerder. Et oui, elle aura reculé en le pensant et tout en grattant quelques mots sur son papier.
« Mensonge... Non, c'est peut-être un peu léger ! -elle va donc rayer ce joli mot de son carnet- Calomnies ? Ça me paraît bien. Atteinte à la liberté d'expression ? -relevant les yeux vers Theo avec un réel regard interrogateur tout à fait faux, elle va les retourner sur son calepin tout aussi vite. Hmmm, menaces donc et... C'est une tentative pour utiliser la violence, ça ? »
On sait jamais. Elle ne voit pas très bien. Elle ne fait qu'un mètre cinquante-sept plus dix centimètres perchée sur ses talons...
« Je crois que j'ai tout. Ho, en passant -on va se retourner vers la directrice quelques secondes en rangeant le carnet et la plume- si vous aviez lu les fiches que je vous ai adressé la semaine passé, vous auriez pu remarquer que je fais mes interview seule exclusivement... Je ne sais donc pas à qui vous avez parlé mais, je peux vous assurer une belle place dans mes prochains articles rien qu'avec ces quelques mots. »
Et la sortie elle est ? Ah oui, par là. On va toujours compter sur Theo pour ne pas finir en chair à saucisse ou bourre-pif apéritif et donc y filer. Après un petit retour en arrière plutôt rapide pour venir tirer les deux petits papiers des mains du monsieur.
« Je reprends ça ! »
Avec un sourire toujours et... Non monsieur, ils sont pas là les yeux. Et hop, demi-tour histoire de se casser avec grâce et classe mais aussi, et surtout, avec rapidité. On a dit, le courage et la témérité, ils sont de l'autre côté ! Et là, quand son visage ne sera plus en face de celui de la directrice, ses traits vont radicalement changer jusqu'à se déformer quand ses ongles vont s'enfoncer si fort dans la paume de sa main qu'elle pourrait bien se faire saigner.
« Je vais définitivement la tuer de mes propres mains et en rayer toute trace dans l'humanité. »
Alors, c'est verbalement pensé. Et c'est une métaphore, mais... On pourrait en douter quand on la voit à cet instant là. Parce que vraiment, c'est pas son portrait qu'elle va refaire, c'est tout ce qui va avec. Et elle va tellement l'écraser qu'il faudra, plus tard, une loupe pour la retrouver. Et ça encore, c'est dit tout bas et bien entre les dents.
I got mercy, I got grace. Desperado with the scales. Throw a rose on your body, Mask of Zorro, I'm so wanted! Watch me dance, watch me sing. Don't ever get caught again. You'll then see : The bad bitch
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Photomaton : Feat. : Felix Mallard Niveau : 54/100 Points d'Exp : 13687 Health Point : 2 700 PC (compétences) : 20/26 PC (caractéristiques) : 26/26 Scolarité et Métier : Il à fait ses études à Poudlard au sein de la maison Serpentard. Je suis à présent étudiant à Grimardent dans la résidence Magilignes.
Un sourire en coin se dessine sur les lèvres de l'ancien Serpentard, taquin et plein d'amusement. Ses yeux pétillent d'une lueur espiègle, cachant avec habileté une lueur de fierté déguisée derrière l'apparence de l'indifférence. Il observe avec une tranquille assurance, comme s'il avait déjà deviné le dénouement de la scène. Son regard, bien que dissimulé par une façade d'apparente désinvolture, révèle une certaine satisfaction, une sorte de contentement dissimulé sous le masque de l'indifférence feinte. C'est comme s'il savait quelque chose que les autres ignorent, mais préfère garder ce savoir précieux sous un voile de nonchalance calculée. Il n’a pas relevé, quand elle aura presque mis une petite couche de reproche dans l’échange qu’ils avaient eu à voix basse : ce n’est pas à lui de veillée aux fait et geste de sa sœur. Il ne lui demande pas, après tout, de mettre sa plume à Papotte dans le cul de son frère n’est-ce pas ?
- C’est ça.
Il n’avait pas besoin de répondre, il le sait, mais il l’a fait. Non pas en regardant la petite Skeeter, avec qui il a surement échanger un regard. Mais en tournant plutôt ses pupilles, mauvaise et presque menaçante en direction de la directrice qui semblait avoir avalée une couleuvre vu la tête qu’elle tirait. Ce qui, donna grande satisfaction au Nott : n’en doutons pas.
Et en attendant que Sutton ne récupère les papiers dans les mains de l’homme qui leur faisait face, il aura lever son bras comme pour vouloir l’enrouler autour des épaules de la Serpentard, ce n’est pas le cas bien évidement. Même si sa main accompagnera le mouvement de l’adolescente pour rejoindre, à plat, le bas de son dos et accompagner sa « fuite ». De retour sur la plateforme qui descendra au village, il aura tout le loisir de l’entendre pester contre sa jumelle. Le visage égal et le regard tourné vers l’horizon quand ses mains aurons repris le chemin de ses poches.
Il attendra un peu, gentleman qu’il est -je m’étouffe- avant de reprendre la parole. Qu’elle ait, au moins, fini de vouloir assassinée l’humanité entière si tant soit peu qu’elle se mette entre elle et sa sœur. Ou du moins, qu’il puisse glisser quelques mots.
- Est-ce que tu as la moindre idée de où elle aurait pu aller ?
Et avec qui ? Encore la même petite bande que la dernière fois ? Pourquoi faire ? A moins qu’ils ne soient retournés en Angleterre ? Voilà qui était une bonne question. A laquelle on aura peut-être une réponse, maintenant ou un peu plus tard. Car quand ils seront presque arrivés en bas de la descente ils pourront très bien voir l’attroupement d’homme en pantalon treillis baguette à la mains et regard mauvais qui à l’air de les attendre : des braconniers ? ça en a tout l’air. Piéger comme des rats, Theo réfléchit déjà à comment se sortir de ce mauvais pas. Remonter n’est pas une option. Et engager un duel contre tout ça ? Non mais pardon, Sutton l’a dit, courage et témérité c’est de l’autre côté !
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Photomaton : Feat. : Dove Cameron Niveau : 60/100 Points d'Exp : 15873 Particularité : doppleganger palier 1/7 | magie antique - palier 0/7 Health Point : 3 000 PC (compétences) : 27/37 PC (caractéristiques) : 37/37 Scolarité et Métier : Je suis en septième année à Poudlard, dans la maison Serpentard. Je suis également la rédactrice en chef de la gazette des écoles, mais ça, vous devez déjà tous le savoir. A moins que vous ne soyez un demeuré ? Ou que vous viviez sur une île déserte au fin fond de l'antarctique...
Dans ce cas, si le grand -parce qu'il n'y a rien de petit chez lui, elle peux en témoigner- Theophilus Nott dit que c'est ça, alors c'est sûrement ça ! Et l'air de peste sur son visage quand elle fera claquer son petit carnet pour mieux le ranger aura été du plus bel effet pour appuyer cette remarque. C'est qu'on aurait presque l'impression qu'ils sont très doués dans ce genre d'expédition. Mais, après tout, étant donné que tout ceci n'est qu'une mise en scène pour mieux se tirer à la vitesse de la lumière -même si personne ne va se mettre à courir non plus parce qu'il ne faut pas pousser le bouchon trop loin- ça n'en reste pas moins finement joué de la part des deux verts et argents. Petit boost pour les egos en passant juste avant qu'elle ne commence à imaginer une bonne centaine de moyens pour faire avaler de la poussière toxique à sa jumelle. Et si elle continue de parler entre ses dents, le nuage noir au-dessus de sa tête va très bien se faire sentir.
« Elle n'est sûrement pas venue ici juste pour me donner une bonne raison de la tuer... »
Ce n'est pas le genre d'Emily. Qui, quoi qu'en dise sa sœur, à tout de même deux ou trois neurones en état de marche.
« Je supposes qu'elle avait autre chose en vue en venant ici, passer par l'interview était juste une manière d'entrer. »
En sommes, sa sœur doit toujours être dans le coin. Même si ça ne va pas les éclairer sur le 'où' exactement. Mais ça lance déjà l'idée que sa jumelle n'a pas du retourner tout de suite en angleterre, surtout si elle était accompagnée ? C'est qu'elle va finir par réfléchir la verte et argent pendant le temps de la descente. Assez pour croiser ses bras sur sa poitrine et baisser la tête dans un réflexion presque trop intense pour elle. C'est que c'est compliqué pour la blanche colombe qu'elle est -oui, son patronus est un corbeau ET ALORS- de se mettre à la place du rat d'égout qui partage ses gènes.
« Je suis plus intéressée par la personne qui l'a accompagnée mais, vu où elle était hier... »
Hmmm, merci de cette petite vague nostalgique qui suit le déroulement de pensée. Elle avait presque oublié !
« Ils n'ont peut-être pas vu tout le monde... »
La directrice à mentionné deux personnes dont une pour prendre des photographies et, raisonnablement, est-ce que quelqu'un imagine Lily Potter avec un appareil entre les doigts ? Non, vraiment pas. Cette conne est tellement emportée et empotée qu'elle le casserait en moins de trois minutes à cause de son mono-neurone qui lui ferait penser que c'est une ba-balle de Quidditch ! Elle allait donc devoir repasser tous les visages qu'elle avait eu le temps de voir la veille. Et vu le taux d'énervement ressenti après son réveil, on ne va pas se mentir, elle n'en aura pas noté la moitié. Le champion du tournois des trois sorciers ? Il est d'office retiré de la liste... C'est visiblement pas le genre de la maison de tenir un appareil, il y a plutôt une allergie de ce qu'elle se souvient de sa première tentative d'interview. Où il lui avait gentiment -on y croit tous- demandé -sans même parler- de le ranger bien sagement -et immédiatement- dans un contenant hermétique qu'il ne verrait plus devant ses yeux. Oui, tout ça en un regard à vous glacer les sangs, merci bien, elle se souvient ! Il restait qui ? Celle qu'elle avait aperçue sur le perron avant de transplaner pour rentrer ? Ça devait être une hallucination et puis, elle ne peut pas considérer quelqu'un dont elle ne connaît même pas le prénom.
Il restait qui... Ah, oui !
« Slughorn ? Elle était là aussi après tout... Et elles sont dans le même dortoir. »
Oui, elle nous fait un dérouler en solitaire là qui sera sûrement interrompu quand la plate-forme arrivera quasiment en bas. On ne la remerciera jamais assez de relever la tête à se moment là, même si c'était plutôt pour s'apprêter à sortir que décroiser les bras en ayant envie de reculer de quelques pas. Les autres d'abord et elle en suivant ? Oui, c'est tout à fait ça. Même si l'angoisse de l'instant va juste lui faire ouvrir la bouche, en silence pour une fois, quand elle va couler un regard vers l'ancien Serpentard. Elle aurait bien envie de dire un petit quelque chose comme 'génial !' mais bon... L'ironie à ses limites et elle ne trouverait pas preneur cette fois-ci. 'Merde' ? Non, c'est chez une de ses voisines de palier que ça revient le plus souvent. Chez elle, c'est juste en pensée. Et puis, ils ont l'air vraiment mauvais ces gens, non ? Donc une insulte, ce serait un peu léger ?
Transplaner ? Oui, pour aller où ? Retourner devant le portail ? Merveilleuse idée. Pour peu que ce soit possible d'ailleurs dans l'enceinte du périmètre magique. Le portoloin ? Si Emily est en Afrique, autant dire qu'elle va rester en Afrique, le temps de récupérer son article et, éventuellement, les documents pour Theo -Oui, chacun sa priorité-.
On entendra donc un joli bruit de bouche bien agacé quand elle retournera fouiller dans son sac avant que le monte-charge n'arrive au terme de sa descente. Parce que si il n'y a pas moyen de fuir vers l'avant, vers l'arrière ou vers le haut, il va falloir trouver une autre solution. Et s'en remettre à Theophilus pour la seconde partie du plan ? Tout à fait. Même si elle ne va pas avoir le temps de lui exposer son idée quand elle ressort sa plume et son carnet. Tournant la première page, elle va se mettre à écrire frénétiquement sur les autres, les tournants du bout de l'index pour mieux reposer de l'encre sur les feuilles du dessous.
La puissance de feu de Sutton ne réside pas dans l'utilisation frontale de la magie. Elle est nulle en duel. On ne parle même pas du fait que son niveau athlétique est pas loin de zéro et que c'est d'ailleurs un miracle qu'elle ait toujours la même taille fine que sa sœur. Quoi que, ça c'est l'utilisation excessive de techniques pour ne pas garder les aliments -un détail pour plus tard-. En revanche, elle est indéniablement douée pour les mots et c'est en venant coincer sa plume entre ses dents qu'elle va aller chercher sa baguette et la faire tourner, d'une mouvement de poignet, au dessus des pages. Un petit enchantement sur les lignes tracées qui, dès qu'ils seront arrivées en bas, bénéficieront d'un nouveau mouvement. C'est qu'une fois l'enchantement posé et la plus retirée de sa bouche pour retourner dans son sac, elle viendra faire glisser le bout de sa baguette sur chacun des morceaux de papier, les uns après les autres, ont pourra les voir se détacher du carnet et flotter dans les airs avant de devenir autre chose que de simple petites feuilles inoffensives.
Ça leur laissera même le temps de poser un orteil en dehors de la plate-forme pendant qu'un dernier mouvement de poignet va lancer, non plus des notes, mais ce qui se transforme en animaux de papiers sur les, gentilles personnes qui bloque la route ? Quoi, c'est une tentative de diversion, histoire que les petites bulles d'explosions viennent disperser un peu cette foule trop compacte pour que, même elle, elle arrive à se glisser dedans. Et ne parlons pas de Théo. Et ce sera donc maintenant que la seconde partie du plan devra commencer, parce qu'ils ne vont tout de même pas manquer une occasion de filer, n'est-ce pas ? Du moins, c'est l'idée. Si y'a un passage qui se créé... Sinon... Les autres d'abord et elle ensuite, n'en déplaise à l'ancien Serpentard...
I got mercy, I got grace. Desperado with the scales. Throw a rose on your body, Mask of Zorro, I'm so wanted! Watch me dance, watch me sing. Don't ever get caught again. You'll then see : The bad bitch
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Photomaton : Feat. : Felix Mallard Niveau : 54/100 Points d'Exp : 13687 Health Point : 2 700 PC (compétences) : 20/26 PC (caractéristiques) : 26/26 Scolarité et Métier : Il à fait ses études à Poudlard au sein de la maison Serpentard. Je suis à présent étudiant à Grimardent dans la résidence Magilignes.
C’est drôle, du point de vue de Theo quand il à quelques coups d’œil en direction de la jeune femme pendant cette descente -aux enfers- c’est petit nuage sombre et orageux semble se former au-dessus de sa tête, comme si un artiste dessinait la colère dans un dessin animé. Il gronde silencieusement, des éclairs invisibles zébrant sa forme cotonneuse. Ce nuage semble s'épanouir avec son agacement, prenant des teintes plus ombragées à chaque instant. Il est comme une bulle de tempête personnelle, tourbillonnant avec une énergie contenue, prêt à libérer une pluie de mots chargés de foudre à tout moment. Il ne sait pas encore, bien sûr, qu’elle est la fille d’Hadès, mais s’il l’avait su : il aurait pu facilement rire seul en ce disant qu’on avait dû l’échanger au berceau de l’Olympe avec un enfant des foudres.
Il écoutera le fil de ses pensées, qui à défaut de trouver réponses, offre au moins à la demoiselle un moyen de calmer la tension qui pourrait lui faire perdre pied si elle n’y fait pas attention. Ne doutons pas non plus que lui-même partage cette réflexion. L’inventaire chez lui de ceux présent hier est sans doute un peu plus clair. Mais de là à reconnaitre l’existence ou bien l’utilité de la plupart d’entre eux… Ne doutons pas qu’il à une réflexion similaire à celle de la Skeeter en ce qui concerne les Potter, les deux d’ailleurs et pas simplement Lily. Il ne verra pas le Dubois, pièce inexistante et inutiles, quant à Oriana…
- Oriana est aussi délicate que ses copines de dortoirs. Je ne suis pas certaine qu’elle sache dans quel sens se tiens un appareil photo… Ou une plume.
Ah pardon, amie de la famille ? Non mais pas pour lui. Si elle est plus ou moins proche de Thaddeus, elle l’est beaucoup moins de Theophilus qui ne la voie finalement que comme un nom -ou deux- de la liste de son ancêtre avec les coffres de Gringotts qui vont avec. Mais son intérêt pour la filleule de sa mère s’arrête là. Elle deviendra plus intéressante le jour où il sera question pour lui d’assouvir ses ambitions.
- Tu pense que la fille du ministre les aurais rejoint ?
Ce qui, en soit, pourrais être une bonne opportunité pour lui -ou pour Morgane- de se débarasser de Shackebolt avec le bon moyen de pressions. Après tout en dehors des frontières de grande Bretagne il n’a pas juridiction et qui sait ce qui pourrais malencontreusement arriver à la jeune fille en s’aventurant dans les terres sauvages d’Afrique ? Un accident est si vite arrivé…
Il n’y pensera pas bien longtemps cependant quand le monte-charge magique arrivera à une hauteur suffisante pour qu’il puisse contempler le piège qui se refermais sur eux. Derrière ? Les roches montagneuses. Au-dessus ? L’école qu’il venait justement de « quitter », car on ne fuit pas, on dispose simplement de plus de neurones que d’autres ! Et en bas ? Une sou race mixée de raffleur et de braconnier qui on l’air particulièrement sanguin. Ou bien est-ce l’attrait des gallions ? La première pensée de Theo ? Quoi qu’on vous paye, il le double ! Mais est-ce qu’il aura simplement le temps d’entamer les négociations ? Apparement pas, puisque la Skeeter est déjà en train de nous faire de joli petit origami. Il c’est taper une hallucination là… C’est pour ça qu’il n’a rien dit ! Ou presque… Parce que le petit :
- C’est mignon…
Il aura bien fini par passer la barrière de ses lèvres avec tout le sarcasme dont il s’abreuve ! C’est tout de suite moins mignon quand ça vole et que ça explose à la tronche des sous-fifres. Bon par la même occasion, c’est un grand « non » à la possibilité de quelques entourloupes qui le feront soupirer. Y-a-t-il encore des gens par ici capable de parler avant de passer directement à l’offensive ? C’est à croire que plutôt que d’user de mots comme des armes acérée, on préfère maintenant faire du « ouga ouga gourdin » à la James et Lily Potter ! Si c’est contagieux, il est bien content d’en être tenu suffisamment éloigné ! C’est très probablement tout ça que va retranscrire le soupire qui passera la barrière de ses lèvres quand il se retient très fort de pas les faire rouler dans leurs orbites. Et entre temps, si sa baguette lui à glissé dans la main droite, la gauche, elle est occupée à s’enrouler autour sur bras de la demoiselle.
- Vide toi la tête.
Encore une fois, il est sympa, il prévient. Tu vois Sutton, que dans le fond il ne te veut pas forcément du mal ! Sauf qu’il ne va pas avoir le temps de transplaner, donc on ne saura jamais où il comptait l’emmener ! Parce que c’est la seconde hallucination qui va démarrer quand une silhouette élancée va sortir de nulle part. Cheveux long d’un noir de jais accompagnant les mouvements du vent. Un masque de tissus fin remonter jusqu’à l’arrête de son nez. Des vêtements sombres d’un autre temps, d’un autre lieu. Ce n’est pas la première fois qu’il la vois. Il l’a vu hier et d’autre jours peut-être dans le sillage de « Kassie », quand elle ne ce n’était pas encore présenté comme Morgane. Un froncement de sourcil. Ils étaient donc suivis là aussi ?
Et pendant qu’elle est occuper à user de tous son savoir faire pour passer rapidement entre ses âmes qui bientôt aurons perdu connaissance, un bras ou bien… Ou bien ? Lui, aura coincé sa baguette sous son épaule pour tendre le bras gauche et dévoilé la marque qui se cache sous la manche de cette chemise dont il aura détaché les boutons de manchette. Dans trois seconde, n’en doutons pas, il pense bien appuyer dessus pour sonner les tambours. Après tout, Morgane avait été clair : ils en savent trop. Et leur loyauté n’est pas au bon endroit. Qui plus est, son fiancé est apparemment très impatient de voir quelques têtes lui être servis sur un plateau d’argent… Ah pardon les braconniers ? Il les a oublié, il ne doute pas que de toute façon ils ne seront bientôt plus un problème !
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« Primrose ? C'est une possibilité. Mais avec ce qui est arrivé à sa mère, je pense que le ministre a dû augmenter la sécurité autour d'elle. »
Rendant peut-être plus difficile une escapade en solitaire ou en groupe ? Sûrement un peu. Même si elle ne mettrait pas, non plus, sa main à couper que la jeune fille ne soit pas là. Pour autant, le fil de sa pensée, qu'elle déroule dans un flot presque incessant quoi que la cadence soit moins élevée que lorsque sa jumelle à un coup de stress, devra s'arrêter là. A ce moment où le carnet ressortira pour dessiner des lignes, fins mots aux courbes rondelettes, sur des feuilles de papier. La suite, on la connaît déjà. Ou du moins, on l'imagine quand elle remettra ses cheveux en arrière d'un air quelque peu agacé par la gentille réflexion du Nott. Parce que clairement, Sutton ne va pas prendre la peine de négocier avec des sous-fifres. De un, elle est agacée et ces gens -choses- se dressent entre elle et sa sœur. De deux, ce sont des sous-fifres ! Des espèces de gros tas de muscles sûrement écervelés comme doit l'être James Potter. Et franchement, quelqu'un a-t-il déjà essayé de négocier avec l'armoire à glace ? Elle, non. Sûrement parce qu'elle pense qu'avoir un corps d'athlète -plutôt bien monté on ne va pas se mentir- entre en corrélation avec le fait qu'il n'est pas de cerveau. Ou que ce dernier soit mal placé... Disons qu'il se trouve plutôt en dessous de la ceinture quoi... Quand on le voit. Ce qui est difficile malgré la stature du Potter. Et ça, c'est gratuit parce que c'est chez Theo que rien n'est 'petit'. Noah, elle n'a jamais vérifié... Mais... Ce n'est pas le sujet ?
Pardon, c'était la fin d'une réflexion qui ne sera pas énoncée à voix haute. Parce qu'on ne va pas froisser Theophilus en parlant ouvertement de l'anatomie de l’aîné des Potter. Ou bien de celle du cadet ? On sait pas trop franchement. Et puis, les petits papiers sont déjà en train de faire leur office. Juste avant qu'elle entende, à nouveau, le son de la voix du jeune homme et sente ses doigts s'enrouler autour de son bras. Elle aurait bien eu une ou deux remarques à faire mais aura été clairement coupée dans son élan en voyant la silhouette sortir de nulle part. Et si Sutton n'a pas vécu la précédente hallucination des origamis, là... Elle pense sérieusement être en plein délire. Ce qui va lui faire ouvrir la bouche et stopper le geste qu'elle aura eu pour récupérer son bras. Au moins le temps que Theophilus ne la lâche pour ouvrir ses superbes boutons de manchette et qu'il dévoile...
On ne mentiras pas sur le fait qu'elle aura eu un bon vieux frisson là. Instant de panique proche du niveau maximal en imaginant débarquer devant eux toute une clique de mangemorts qui... Bon, elle ne va pas se refaire la soirée d'hier...
« Theo.... »
Il ne va pas l'entendre, elle sait qu'il ne va pas l'entendre. Sûrement parce que c'est un souffle digne de la supplique qu'elle aura eu plus tôt dans une douche. Mais c'est tout de même lâcher dans l'air quand son regard ne sait plus trop si il doit resté sur la marque, passer sur le visage du garçon ou bien sur la forme qui fait tomber les âmes un peu plus loin. Et si elle ne va pas se mettre à paniquer réellement, où devenir tétaniser par la peur, elle va au moins avoir assez de doutes pour faire quelques pas en arrière. Juste assez pour buter contre quelque chose qu'elle ne va pas identifier tout de suite. Et là, on va les voir, ses deux yeux s'agrandir comme des billes pendant qu'elle sent une main glisser le long de son épaule avant de la quitter pour qu'elle ne puisse plus observer rien d'autre qu'un dos où de longues mèches de cheveux noires s'étalent, entremêlées de quelques bandes de tissus sombres qui doivent retenir le même masque qu'un peu plus loin.
Et c'est sûrement là, qu'on devra changer de point de vue. Pour passer sur la scène qui se sera déroulée autour d'elle et de Theo, qu'un œil extérieur aurait pu capter alors qu'ils étaient tout deux concentrés sur ce qui se déroulait devant eux. On pourrait même retourner quelques temps en arrière, quand la première ombre avait récolté des traces de magie après avoir laissé un message à la réplique qui se trouvait dans un autre lieu. Quelques fines lignes qui seront venues se tracer sur le bras du second qui aura bientôt rejoint son âme sœur. Un objet traditionnel entre les mains qui aura fini par être modifié. Transposer par la magie de ce qui sera devenu un portoloin. L'ombres, ou les ombres, auront sûrement suivi tout ce début d'expédition, en silence et à tir d'ailes, au moins pour l'une d'entre elle. Elle sera aussi redescendue, suivant la plate-forme pour voir se dessiner les silhouette un peu plus loin. Tombant silencieusement et toujours en direction du sol, proche d'une source de ces ombres qu'ils apprécient tant.
Le reste, sera gardé par le couvert de la plate-forme qui offrira quelques secondes de répit à celui qui devra reprendre sa forme. Juste assez pour lever les yeux vers les oiseaux de papier qui exploseront bientôt. Il n'en aura pas suivi les lignes, reposant son regard sur l'âme qu'il aurait préféré voir rester en Angleterre... Il n'inspirera, ni n'expirera pas quand les mouvements au loin traceront la finesse des actions de Kaneko. Il observera encore, une ou deux secondes avant de faire un pas silencieux, glissant derrière la petite blonde aux hauts talons avant de poser une main sur son épaule. Délicat touché quand il passera devant elle pour glisser au côté du jeune homme. En silence toujours, quand d'une main il enroule ses doigts autour du poignet de Sutton, sans y imprimer la moindre pression, et que dans l'autre soit déjà venue se loger une jolie lame. Brillante à souhait et qu'il va venir poser sur la gorge du jeune homme.
On pourrait presque lui prêter un sourire là, si ça avait été le style de la maison pendant que son regard, masqué par quelques mèches de cheveux, descend de ce visage à ce bras avant de remonter une nouvelle fois, l'acier glissant de quelques millimètres supplémentaire pour venir déposer sa marque sur sa peau. Douce pression si il en est, puisque le tuer maintenant n'aurait pas d'intérêt. En revanche, qu'il perde son bras ou quelques doigts ne serait pas un problème en soit. Mais on va laisser tout le loisir à Sutton de manquer d'arrêter de respirer en voyant ça, pendant qu'elle remonte sa main libre devant ses lèvres et en manquerait presque de perdre son sac. Parce que même si elle ne voit pas le regard, si l'ombre du geste n'est pour elle qu'une suggestion, elle sent assez bien la tension qui émane de cet être juste devant elle. Et ce regard qu'il doit avoir. Polaire et résolu. Presque trop connu pour ne pas être reconnu. Pour peu qu'on capte sa présence de temps en temps.
Elle est brillante cette lame, elle se rougie légèrement aussi. Et si elle ne le voit pas, c'est sûrement mieux comme ça. Mais on ne doutera pas du fait qu'il n'hésitera pas et que, plus loin, la scène doit lentement se terminer pour se perdre dans ce qui reste de silence une fois les corps tombés.
I got mercy, I got grace. Desperado with the scales. Throw a rose on your body, Mask of Zorro, I'm so wanted! Watch me dance, watch me sing. Don't ever get caught again. You'll then see : The bad bitch
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Felix Mallard Niveau : 54/100 Points d'Exp : 13687 Health Point : 2 700 PC (compétences) : 20/26 PC (caractéristiques) : 26/26 Scolarité et Métier : Il à fait ses études à Poudlard au sein de la maison Serpentard. Je suis à présent étudiant à Grimardent dans la résidence Magilignes.
La première forme d’hésitation, sans doute imperceptible, avait retardé le jeune homme en entendant la supplique. Il savait ignorer, certes. Mais il n’était pas sourd. Cependant, naïvement, il se disait aussi qu’on ne s’en prendrait plus à Sutton. Hier, elle avait été secouée, certes. Mais pas réellement mise en danger ? Oui, c’est ce dont il s’est convaincu. Que ce soit une réalité, ou pas. La reprise de son geste ne perdurera pas cependant quand il fait de nouveau glissé sa baguette le long de son bras pour en approcher la pointe de la marque. C’est comme au ralentis, cette lame dont il sentira la fine morsure sur sa gorge et qui lui fera légèrement relever la tête. Un regard des plus impérieux tourné vers la silhouette qui aura pris la place de Sutton en moins de temps qu’il n’en aurait fallu pour qu’il le voit, ou le capte, tout pris qu’il était dans ses propres gestes. Il déglutira, le Nott, plissant les yeux comme pour marquer la vitesse à laquelle il tentait d’analyser la situation. Et dans l’immédiat, c’était purement et simplement du « moi d’abord les autres ensuite » qui ne se retranscrivais pas un petit « Morgane attendra, ma vie passe avant ». Ou quelque chose comme ça. Et c’est sans doute pour ça qu’il lèvera doucement les mains de chaque côté de sa tête, en signe de reddition, la baguette toujours coincée entre ses doigts mais loin d’être menaçante pour autant. C’est juste… qu’il n’allait tout de même pas la laisser roulé sur le sol juste pour lui faire plaisir, sa précieuse ? Son regard coulera vers Sutton, ne marquant rien sur ses traits pour ceux qui n’en ont pas la lecture. Pour autant ses prunelles iront chercher les siennes l’espace d’une seconde avant qu’elle ne retrouve le chemin des iris d’un noir de jais de l’homme ( ?) devant lui. Pardon, oui il l’a reconnu. Mais avec les cheveux longs, tout ça, tout ça. Y’a un doute raisonnable.
- Pas besoin de te faire un ulcère, visiblement on va pas avoir besoin de renfort.
Et il est bien de retour, le sourire en coin. Même si ses yeux ne le réverbère pas. La joueuse notera que le Nott pourrais bien se prendre un coup de Katana. On note aussi qu’il est déjà en train de se demander si il ne serait pas achetable. Lui, sa copine, les deux. N’était-il pas le « garde du corps » de Kassie ? Donc ça doit vouloir dire qu’avec suffisamment de gallions… Quoi ? L’argent et graissée des pattes, toujours la solution pour Theo ? Totalement ! C’est que des sous-fifres, comme ceux qui tapisse le sol là-bas, une fois « acheté » ça peut servir. Débile ou pas, et justement. Plus c’est idiot plus ça ne voit que ce qui brille sans chercher plus loin. La question étant, aura-t-il la même opportunité avec le coupe-jaret devant lui ?
La plateforme finira par rejoindre le sol, avec une brutalité qui pourrais désarçonner ceux qui s’y trouve quand le monte-charge fini de se « poser » sur le sol. Derrière eux, la femme aux cheveux long ne dit rien, silencieux même dans ses gestes elle rattache simplement le bout de bois -on appel ça un fourreau Théo- à sa place. Elle n’en avait pas sorti la lame, pourquoi faire. Mais que voulez-vous, elle aime entendre quand ça sonne creux ! Droite comme un « i » elle tournera son regard vers la petite blonde. Puis vers Eiji. Le soupire qui passera la barrière de ses lèvres sera imperceptible, aussi invisible qu’elle. Sauf pour lui peut-être. Devant qui elle à l’air d’attendre quelque chose. Du moins, c’est ce que se dira Theo quand il aura tourné les yeux pour la regarder à son tour, avec peut-être même un peu trop d’insistance dans ses habitudes de passer au « rayon x » tout ce qui peut avoir un cul et des seins. Quoi que là en soit… Même doute raisonnable que pour Kurotchkine ?
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Yoo Seung-Ho Niveau : 100/100 Points d'Exp : 33323 Particularité : animagis palier 7/7 | occlumens palier 6/7 Health Point : 5 300 PC (compétences) : 21/103 PC (caractéristiques) : 00/103 Scolarité et Métier : Ayant presque autant de nationalités différentes que je n'en ai aucune, j'ai fait mes études à DURMSTRANG sous le nom de Eiji Kurotchkine, mon géniteur m'ayant acquis la nationalité BULGARE.
Après avoir été le vainqueur du Tournoi des Trois Sorciers, j'ai effectué une année d'apprentissage au Ministère de la Magie anglais en tant qu'apprenti Tireur d'Elite.
Depuis l'ouverture de GRIMARDENT, je suis étudiant en première année, en section défense et je réside chez les CRODEFER.
Niveau : 100/100 Health Point : 5 300/5 300 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
tout dans la pochette magique
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
tout dans la pochette magique
Sort utilisé à ce tour : ... Potion utilisée à ce tour : ... Objet utilisé à ce tour : ... Information(s) Hors-jeu : Un coup de katana pourrait bien se perdre u.u
Ouganda֍ La main devant les lèvres pour tenter de masquer une inspiration de surprise peu silencieuse, le regard de la jeune femme sera passé du dos de l'homme au visage de Theo en quelques secondes. Juste le temps que leurs iris se croisent et qu'elle est comme un bug qui lui fera baisser cette main, la bouche légèrement entrouverte sous l'effet de la surprise sûrement et, une forme certaine de peur. Parce qu'elle a beau lui en faire voir de toutes les couleurs et chercher parfois à ce qu'il ait des réactions un peu plus prononcées que celle de se faire ignorée. Elle l'aime bien, Theo. D'une façon étrange et délicate mais ça n'empêche que, depuis des années, si elle n'oublie pas, elle semble pouvoir tout lui pardonner. Ou, a minima, peu lui reprocher ses actions. Ce qu'on peut sûrement qualifier d'une bonne quantité d'intérêt. Et pas seulement parce que c'est un Nott en vérité. Ce sera donc sans surprise qu'on n'entendra pas trop la voix de la jeune femme qui aura finalement terminé par être totalement incapable de bouger. C'est que, même comme ça, il est impressionnant le 'garde du corps' de Kassie. Et on se souviendra assez bien aussi qu'elle a déjà eu un faible pour lui. Même si c'est passé depuis longtemps, ça non plus elle n'est pas prête de l'oublier. Mais l'amitié passant avant toute chose, surtout quand il s'agit de Kassie, le crush aura disparu comme il était venu. En silence.
De l'autre côté de ces doigts qui se sont enroulés autour du poignet de la jeune femme, on aura ce même silence. Et ce regard qui ne cille pas quand il semble observer les traits du mangemort qui va doucement lever les mains au ciel. Ce qui ne fera pas baisser la pression de l'arme tout de suite pour autant, puisque le regard d'Eiji va d'abord remonter le long de son bras pour venir se poser quelques instants sur la baguette qui est toujours en possession de son maître. Le mouvement lent des yeux retourneront vers le visage de l'homme avant qu'il ne glisse sur sa cousine. Il y aura peut-être une vague pression de plus sur cette lame, qu'on pourra mettre sur le compte du retour de la lame dans son fourreau quelques instants après. Ou bien est-ce autre chose qu'il aura senti, en plus d'avoir entendu les quelques mots du gamin devant lui ? C'est au choix, mais si Theophilus ne veut pas voir sa baguette brisée en deux, son bras pendre au dessus du sol ou goûter la morsure plus profonde d'une lame, il serait sage qu'il se restreigne un peu. C'est qu'on n'a pas grande tolérance pour le manque de respect par ici, surtout quand il vient d'occidentaux... De plus, c'est très impoli de fixer les gens ainsi... Même si, sur ça, il n'y aura aucun commentaire, pas même en pensée.
Lorsque la plate-forme finira par rejoindre le sol dans un bruit un peu trop sourd, il aura tout le temps d’amortir la secousse qui lui fera l'effet d'une souffle d'air frais alors que, derrière lui, on aura entendu le bruit sourd d'un sac qui tombe par terre lorsque Sutton sera venue s'accrocher à la ceinture (?) - non mais pardon, elle sait pas ce que c'est que cette large bande de tissus noué dans le dos du ninja – pour éviter de rejoindre le sol. Et il est assuré qu'en moins de trois secondes, elle aura tout récupéré pour se redresser et faire glisser son poignet hors de l'étreinte du ninja. Ce qui ne saura pas bien dur étant donné qu'il n'y met pas de pression et qu'il ne va pas, non plus, la retenir. Mais ça lui permettra, ainsi, de venir croiser ses bras sur sa poitrine avant d'essayer de... Lui passer devant... Ce qu'elle ne va pas réussir à faire puisqu'il sera déjà descendu du monte-charge à peine se sera-t-elle redressée.
Des mots ? Non, y'a pas de mots. Et y'en aura pas, non plus, quand il posera un artefact sur le sol qui se transformera en moto, un mouvement de poignet silencieux plus tard.
« Monte. »
Et bien si, y'en aura eu un. Ce qui finira de conforter les perplexes dans le fait qu'il s'agit bien du garde du corps de Kassie et qu'il est préférable d'obtempérer. Au moins pour Sutton ? Puisque c'est elle qu'il regarde quand il va aller s'installer dans un mouvement de tissu ? Alors, clairement, elle va avoir un instant d'hésitation là, quand elle va ouvrir la bouche après avoir regardé sa tenue. Et on pourrait presque la sentir, la blase intersidérale du ninja qui ne voit pas le problème... C'est pas comme si il la regardait vraiment de toute façon ou que quelqu'un aurait le temps de voir quoi que ce soit une fois l'engin en marche. Pardon ? C'est pas de ça qu'elle s'inquiète mais de la poussière ? Oui, tout à fait... La brousse elle a dit ! Ou, au moins, pensé. Mais puisque c'est si gentiment demandé. Elle va nous en faire une pause théâtrale avant de monter. De toute façon, elle aimerait autant ne pas trop nous l'agacer pour le moment. Lui qui va tout de même attendre de voir si le Nott obtempère où si il doit donner l'ordre de le disséquer en filets de poisson avant de commencer à filer loin d'ici. Visiblement, la discussion aura lieu quand il jugera qu'ils se sont assez éloignés. Et le retour en Angleterre sûrement aussi.
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Liu Yi Fei Niveau : 91/100 Points d'Exp : 26924 Particularité : animagis plalier 5/7 Health Point : 5 550 PC (compétences) : 39/79 PC (caractéristiques) : 09/79 Scolarité et Métier : J'ai étudier à Mahoutokoro au Japon. Je suis actuellement étudiante à Grimardent en médicomagie. Et je fait partie du clan Shikkoku No Hebi.
Jeu 23 Nov - 19:45
01.01.2024 - Ouganda
Oser fouiner, c'est s'aventurer dans les trésors cachés de la curiosité.
Niveau : 88/100 Health Point : 5 400/5 400 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Collier du clan Shikkoku No Hebi • Petit sac magique - transporte 5 objets et 7 potions • Bmw HP4 Race, • Katana Basique, • Arc Basique • Carcois et flèches Basique • Lot de 3 Kunai Basiques
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• ANTIDOTE DES POISONS RARES, • ANTIDOTE AUX POISONS COURANTS, • POTION DE RESTITUTION, • BAUME D'ACSLÉPIADE TUBÉREUSE, • ESSENCE DE DICTAME, • VENIN D'ACROMENTULE, • ÉLIXIR DE LONGUE VIE.
Sort utilisé à ce tour : // Potion utilisée à ce tour : // Objet utilisé à ce tour : Bmw HP4 Race Information(s) Hors-jeu :
Dans les profondeurs silencieuses de l'âme de Kaneko, réside un ressentiment teinté de l'obscurité des temps anciens. C'est comme si son cœur était un jardin zen envahi par les ronces de la déception, chaque épine évoquant un aspect de l'étrange fascination des occidentaux pour leurs propres travers. Elle se sent comme une geisha piégée dans une danse sans fin, où chaque geste, chaque regard, chaque souffle est imbibé de cette fascination stérile. Les traditions anciennes, tissées dans son être, se voient profanées par la frivolité des étrangers. Son ressentiment se déploie tel un cerisier en fleur en pleine tempête, ses pétales délicats emportés par les vents bruyants de l'ignorance. Elle est l'héritière de rituels anciens, mais pour eux, elle est devenue l'objet d'une curiosité malsaine, comme une ancienne relique exposée dans une vitrine d’occident.
Kaneko porte le fardeau d'une tradition qui se désagrège sous le poids des regards curieux. Elle est un katana précieux exposé aux mains inexpertes, une calligraphie ancienne noyée parmi les slogans publicitaires. Ses émotions sont des cerfs-volants pris dans les fils emmêlés de la compréhension incomplète, tirés dans des directions contraires par cette dichotomie culturelle. Chaque fois qu'elle voit un étranger s'emparer de ses traditions comme d'un trophée, un nuage sombre assombrit son regard, reflétant l'orage intérieur. Elle se sent parfois comme une geisha sur une scène de théâtre, jouant un rôle pour satisfaire la curiosité des autres, mais sous les couches de maquillage et de sourires, persiste une amertume silencieuse.
Son ressentiment, tel un kimono immaculé souillé par des mains étrangères, la pousse à garder ses secrets, à préserver ses traditions sacrées loin des regards avides. Elle est comme une danseuse du Nô, masquée derrière un visage impassible, cachant ses émotions dans les plis d'un tissu mystérieux. Kaneko, dans son être profond, est une gardienne d'un héritage ancien, mais pour eux, elle est devenue une énigme exotique, un tableau vivant figé dans le temps, perdue dans un monde qui ne sait pas comment lire son histoire. Et ne pourrais de toute façon pas la comprendre.
Ce garçon, là, à l’œillade trop insistante ne fait pas exception. Pas plus que la potiche à la mâchoire décrochée. Elle n’aura de regard ni pour l’un, ni pour l’autre. Des mots ? Encore moins.
Dans le silence imposant de Kaneko, chaque mot non prononcé est une lame tranchante, une affirmation de son désir de préserver l'intégrité de son héritage. Elle est une ombre qui se déplace dans le monde moderne, mais n’y appartiens pas. Ses pensées et ses impressions se jouant dans les nuances de son silence. Son mutisme est comme une armure, une protection contre la dilution de sa culture dans un monde étranger. Elle manie avec maîtrise l'arme ancestrale de son clan, un katana transmis de génération en génération, mais elle ne le dégaine que pour des occasions spéciales, sous la direction de son cousin, le chef de leur lignée. C'est un lien sacré, une extension de son être, imprégnée de la sagesse et de la force de ses ancêtres.
Son silence est comme un jardin zen, où chaque geste, chaque souffle, est soigneusement mesuré. Elle se déplace avec une grâce élégante, mais ses silences en disent plus long que des paroles. Lorsqu'elle croise le regard des étrangers avides de sensations, elle répond par un regard froid, une réserve digne d'une ancienne samouraï. Son cousin est son seul confident, le seul à qui elle se livre dans les moments les plus intimes. Ils communiquent souvent par des regards, des gestes, une connexion profonde qui transcende les mots. Dans ces moments, Kaneko retrouve la chaleur d'un foyer, un endroit où son silence n'est pas un poids, mais un écho compris et respecté.
Elle est l'ombre silencieuse de son clan, une gardienne vigilante des traditions, mais aussi une étrangère dans un monde qui ne peut comprendre la richesse de son mutisme. Son silence est une déclaration, un refus de se fondre dans une culture étrangère, une affirmation de son identité immuable. Dans chaque instant de silence, Kaneko incarne la quintessence de sa culture, une énigme pour ceux qui ne peuvent décoder les subtilités de ses non-dits. Son mutisme n'est pas un vide, mais une réserve de sagesse et de force, un témoignage d'une histoire qu'elle protège farouchement, même dans sa façon de ne pas parler.
Alors quand elle-même sortira l’engin bien trop moderne pour être tout à fait assortis avec ce qu’elle est, l’ordre sera donné là aussi dans le silence. Elle verra l’homme suivre du regard la jeune fille. S’il obtempère, c’est parce qu’il ne veut pas la laisser hors de son sillage. Il ne doit pas être assez stupide pour protester. Et l’instant d’après, la moto laissera ronronner son moteur. Détonnant encore d’avantage avec l’aspect général des lieux. Jusqu’à soulevée la poussière quand le vent viendra lui fouetter le visage et qu’à l’arrière, elle sentira le malaise de celui qui ronge très clairement son frein. On dit qu’il faut choisir ses batailles avec soin, fin stratège, ça aura été la pensée de Theophilus. Même si Kaneko, loin d’être legilimens comme l’es son frère, ne le saura pas. Et dans cette chaude journée de janvier, très loin de là où il devrait être, ils fileront tel un cortège vers l’heure qui pourra leurs permettre d’ajournée cette mission, ou tout du moins en finir.
Ça sera sans compter, bien sûr, la vibration d’un médaillon symbole d’un clan, qui d’ici peu de temps les forcerons à s’arrêter. Ou bien une douleur vive, milliers de petites aiguilles qui perturberons la conduite de son cousin à ne pas en douter quand la douillette les ressentira.
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Photomaton : Feat. : Dove Cameron Niveau : 60/100 Points d'Exp : 15873 Particularité : doppleganger palier 1/7 | magie antique - palier 0/7 Health Point : 3 000 PC (compétences) : 27/37 PC (caractéristiques) : 37/37 Scolarité et Métier : Je suis en septième année à Poudlard, dans la maison Serpentard. Je suis également la rédactrice en chef de la gazette des écoles, mais ça, vous devez déjà tous le savoir. A moins que vous ne soyez un demeuré ? Ou que vous viviez sur une île déserte au fin fond de l'antarctique...
Elle ne saura jamais vraiment combien de temps ils ont roulé. Ni même la vitesse auquel le 'garde du corps' de Kassie -oui, elle va garder les guillemets jusqu'à ce que la vérité soit connue de tous, une prouesse... Mais que ne ferait-elle pas pour sa meilleure amie?- aura poussé son engin tout le long de la route. Sûrement aura-t-il ralentit une fois sortis de ce village, l'école presque trop loin de ce qui pourrait être leur champ de vision. Honnêtement, elle ne va pas demander. Elle va plutôt s'accrocher à ce qu'elle peut et essayer de ne pas finir figé dans la position qu'elle tient actuellement. Parce qu'à personne peu confiante et peu rassurée par celui qui pousse l'engin trop loin, elle est loin d'être détendue la petite blonde. Sans compter qu'elle aura mangé assez de poussière pour devoir cacher son nez dans le dos d'Eiji qui, on s'en doute, aura vraiment apprécié la proximité !
A tel point qu'il aura fini par libérer les liens de son masque d'une main, profitant d'un souffle de vent pour le laisser glisser le long de ses traits avant de l'attraper du bout des doigts pour le lui tendre. Ce qu'elle serait bien capable de prendre pour de la gentillesse à défaut de le prendre pour ce que c'est ! De la praticité. On lui épargnera ce manque de discernement qui durera quelques instants avant qu'elle froisse le tissu devant son nez et en lâche ainsi la taille du jeune homme. Au moins d'une main même si l'autre va fermement resté accrochée. C'est qu'elle ne voudrait pas tomber ! Ni même s'égratigner ! Ni quoi que ce soit d'autre ! Bon, par contre... Il va rouler pendant combien de temps le 'garde du corps' de Kassie ? Jusqu'à ce qu'elle se fossilise sur le siège arrière ? La joueuse précise qu'elle n'a pas le choix pour faire passer le temps et arriver à la nuit. Et que le ninja ne compte pas resté en place, à moins d'y être contraint, avec un sous-fifre de Morgane dans les parages.
D'ailleurs, si on demande pourquoi il est encore là. C'est qu'avant de pouvoir retourner -ou pas- auprès de celle qui occupe le corps de Kassie, il va avoir besoin de répondre à quelques questions. Même si ça devra attendre le bon moment... Qui n'est pas maintenant ! Du coup, pour s'éviter tout un lot de question et de réflexion qui vont nous agacer l'homme aux traits impassibles ou sa cousine, on va faire comme si c'était normal. Ce que Sutton va définitivement croire ! Comme ça, au moins sur ce point là, elle ne va ennuyer personne ! Et puis ça va laisser le temps à la fin du jour de poindre et aux mauvaises idées d'un groupe qui se trouve plus loin de naître. Comme l'histoire du tatouage par exemple, qui doit arrivé en premier.
Et il est fort à parier qu'elle ne va pas aimer l'effet de surprise la petite blonde, surtout vu l'endroit où il est situé...
C'est qu'elle ne s'attendait pas à sentir les aiguilles s'insinuer dans sa chaire, surtout qu'elle n'analyse pas que ce sont des aiguilles et que ça la fait étouffer un cri la première seconde. De quoi la plaquer un peu plus contre le dos du nippon qui va royalement l'ignorée pendant les premières secondes. Le temps, peut-être, qu'il se rende compte que la prise sur ses vêtements continue de s'intensifier et que la plainte qui est née dans son dos se transforme en un véritable cri étouffé. Toujours surprise, la grimace qui va traverser les traits de Sutton n'aura rien à envier à la larme qui va perler bien malgré elle. Ce sera donc presque instantanément qu'elle aura lâché ce qui lui sert de mouchoir, le laissant se perdre dans le vent pendant que sa main viendra se plaquer dans son cou, juste derrière son oreille et qu'elle va fermer les yeux tout en se mordant la lèvre inférieure.
Qu'on soit bien clairs, elle à déjà un tatouage. Pour lequel elle n'a pas fait la maligne au moment où les aiguilles sont entrées en contact avec sa peau. Sauf que là, elle était prévenue avant. Là, maintenant, c'est juste comme si on lui labourait doucement la peau sans prévenir. Et si elle semble apprécier certaines formes de douleurs, celle-là ne semble pas en faire partie. Elle ne se rendra sûrement même pas compte que la moto sur laquelle elle est toujours accrochée ralentie doucement jusqu'à se mettre à l'arrêt. Elle ne sentira pas son léger mouvement de côté lorsque l'asiatique posera son pied au sol pour maintenir l'engin avant de jeter un regard à sa cousine. Si il a l'air de ne rien comprendre non plus, ça ne se verra pas sur ses traits pas plus que dans ses mouvements. Car malgré l'ordre de Kassie, Sutton n'est pas Kassie et, hormis l'empêcher de lui rentrer dedans en lui mettant la main sur l'épaule où la pousser en lui attrapant le bras, il ne va définitivement pas venir soulever ses cheveux blonds pour observer ce qui est en train de se passer.
C'est que si Kaneko ne parle pas, ou peu. Lui évite généralement de toucher les gens ou de se laisser toucher. Et très sincèrement, depuis le temps que la blonde est collée à lui c'est déjà pas mal qu'il ne nous aient pas fait une allergie.
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Photomaton : Feat. : Liu Yi Fei Niveau : 91/100 Points d'Exp : 26924 Particularité : animagis plalier 5/7 Health Point : 5 550 PC (compétences) : 39/79 PC (caractéristiques) : 09/79 Scolarité et Métier : J'ai étudier à Mahoutokoro au Japon. Je suis actuellement étudiante à Grimardent en médicomagie. Et je fait partie du clan Shikkoku No Hebi.
Ven 24 Nov - 22:34
01.01.2024 - Ouganda
Oser fouiner, c'est s'aventurer dans les trésors cachés de la curiosité.
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• Collier du clan Shikkoku No Hebi • Petit sac magique - transporte 5 objets et 7 potions • Bmw HP4 Race, • Katana Basique, • Arc Basique • Carcois et flèches Basique • Lot de 3 Kunai Basiques
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Sur les chemins capricieux de l'Ouganda, l'école de magie d'Uagadou s'estompe peu à peu dans le sillage de la moto de Kaneko. Telle une danseuse émérite, elle manie sa machine avec une grâce souveraine, déployant une aisance inébranlable sur les routes rocailleuses de cette contrée sauvage. Un passager s'accroche solidement à son dos, ses mains agrippées aux courbes élancées de la moto, oscillant entre l'excitation du voyage et l'appréhension du chemin à venir. Son regard acéré suit intensément la silhouette familière de son cousin, le chef de clan, qui fend l'air devant elle, son aura d'autorité inscrite dans chacun de ses gestes. À ses côtés, une petite blonde, sa présence trop proche, ses mains touchant son cousin, éveillent en Kaneko une pointe d'irritation, presque sourde mais indéniable. Derrière elle, Theo, son passager, cherche un équilibre, s'accrochant instinctivement, cherchant un point d'appui qui dérange subtilement Kaneko. Dans un soupir retenu, cette dernière, tout en maintenant son attention sur les aléas du chemin, adresse silencieusement à Theo un signe discret, l'invitant à trouver une alternative à l'encerclement de sa taille.
La terre rougeâtre de l'Ouganda s'étend à perte de vue, ses nuances ocre et sa palette de tons chauds épousant le paysage sauvage. Les montagnes, majestueuses gardiennes du territoire, dessinent à l'horizon des silhouettes imposantes, leurs sommets frôlant les nuages parsemés dans le ciel azur. Le soleil, maître absolu du temps, entame sa descente, projetant ses derniers rayons d'une intensité dorée, embrasant l'atmosphère de nuances orangées et roses. L'après-midi se fond peu à peu dans les teintes tamisées du crépuscule naissant. La lumière vacille, caressant les collines d'une lueur dorée, annonçant la fin imminente de cette journée.
Le vent, fidèle complice des motards, s'amuse à jouer avec leurs cheveux, une caresse fugace et insouciante dans ce ballet éphémère. L'arôme enivrant de la savane, cette symphonie subtile entre terre humide et parfums végétaux, enveloppe les voyageurs dans un cocon olfactif, berçant leurs sens dans une mélodie envoûtante. Malgré les distractions, Kaneko garde le cap, absorbée par la majesté des panoramas défilant à une vitesse folle. Chaque virage, chaque montée et descente de la route, sont des mouvements calculés, une chorégraphie précise entre la moto et le sol capricieux.
Le crépuscule s'étend progressivement, étirant son voile sombre sur l'horizon. Les étoiles timidement commencent à percer le firmament, parsemant le ciel de leur éclatante splendeur, annonçant la montée imminente de la nuit. Dans cette course contre le temps et les éléments, Kaneko poursuit sa route, tentant de laisser derrière elle les perturbations et les interférences qui ébranlent sa quiétude. Voguant vers l'obscurité grandissante, seuls le rugissement des moteurs et la symphonie de la nature restent pour accompagner leur chemin. Et, lorsque le crépuscule se glisse insidieusement dans les méandres du ciel, Kaneko perçoit avec une acuité singulière le ralentissement imperceptible d'Eiji, son cousin, qui trace la route devant elle.
Son attention se tourne vers la petite blonde, Sutton, accrochée à Eiji. Kaneko note avec une clarté déconcertante la crispation dans ses épaules, la moue anxieuse qui ourle ses lèvres délicates. Un frémissement inexpliqué court le long de son échine, une intuition subtile qui lui souffle que quelque chose ne tourne pas rond. Leur convoi, autrefois fluide et confiant, ralentit, puis se fige sur le bas-côté. Les moteurs, auparavant vrombissants, cèdent la place à un silence troublant, seul le bruissement de la nature nocturne accompagne l'arrêt abrupt des machines. Kaneko, avec une précision quasi chirurgicale, stoppe sa moto. La jeune femme se dégage avec une agilité féline de sa monture, son regard de prédateur scrutant l'environnement, perçant l'obscurité naissante à la recherche du moindre indice de ce qui ne devrait pas être là.
Le bas-côté, baigné par la lumière pâle de la lune, devient le théâtre silencieux d'une énigme à résoudre. Les motos, abandonnées pour l'instant, semblent être les seuls témoins silencieux de cet arrêt soudain, témoins impassibles d'une énigme qui demande à être dévoilée. La Nippone s’approchera à pas feutrer de l’adolescente, délaissant le mangemort qui en un geste trop brusque pourrais bien se trouver surpris des réflexes que peuvent avoir les Masaaki. Il ne tentera rien cependant, rien de plus que de s’approcher, lui aussi et les mains dans les poches, de la Skeeter en proie visiblement à quelques douleurs de ce qui peut être lu sur ses traits. Kaneko ne dira rien, le silence est son habitacle après tout. C’est le jeune homme qui finira par le rompre de sa voix trainante, serpentine.
- Qu’est-ce qui t’arrive ?
Il n’aura l’air ni inquiet, ni rien en réalité. Sa voix est égale, même s’il semble y avoir une petite ride naissante entre ses deux sourcils. Kaneko, elle se sera approchée, féline, de la demoiselle. Seul le bruissement de ses vêtements pourrait trahir ses mouvements, si eux aussi, n’avaient pas fait vœux de quiétude. D’un geste de la main, invitation silencieuse, elle aura l’air de vouloir intimer à la jeune fille de déplacer quelques mèches de cheveux pour pouvoir voir, de ses yeux, ce qui causais ce qui devait être une douleur atroce à en croise les réactions de la demoiselle. Du moins… De son point de vue ? Elle aurait presque oublié, l’espace d’un instant, qu’elle fait face à une occidentale. Qui d’ailleurs ne doit pas très bien comprendre la démarche de savoir garder bonne distance sans poser de mains là où elles n’ont pas leurs places sans y avoir invité. Mais ça, c’est un débat intérieur que Kaneko aura avec elle-même et qui, de toute façon, ne sera jamais vu ni sur ses traits ni dans ses mots.
Et si, effectivement, Sutton se dévoile, quand la Japonaise aura lever sa baguette éclairée pour voir les traces rougis de ce qui ressemble à des griffures marquée le corps de la jeune femme. Elle se sera alors tournée vers son cousin pour murmurer quelques mots, dans leurs langues natales.
- Un symbole. C’est comme si on lui écrivait sur la peau avec une plume acérée. Je pourrais l’apaiser avec de l’essence de Murlap si on a un chaudron.
Ou bien elle peut simplement serrer les dents. Elle ne verra pas le lien, forcément, Kaneko est intelligente et sait beaucoup de chose. Mais elle n’est pas devins et ce n’est pas encore aujourd’hui qu’elle fera le lien. Demain surement, quand les effets d’une potion lui seront trop familière dans leurs descriptions -surtout qu’elle est de sa fabrication- pour l’ignorée.
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Yoo Seung-Ho Niveau : 100/100 Points d'Exp : 33323 Particularité : animagis palier 7/7 | occlumens palier 6/7 Health Point : 5 300 PC (compétences) : 21/103 PC (caractéristiques) : 00/103 Scolarité et Métier : Ayant presque autant de nationalités différentes que je n'en ai aucune, j'ai fait mes études à DURMSTRANG sous le nom de Eiji Kurotchkine, mon géniteur m'ayant acquis la nationalité BULGARE.
Après avoir été le vainqueur du Tournoi des Trois Sorciers, j'ai effectué une année d'apprentissage au Ministère de la Magie anglais en tant qu'apprenti Tireur d'Elite.
Depuis l'ouverture de GRIMARDENT, je suis étudiant en première année, en section défense et je réside chez les CRODEFER.
Niveau : 100/100 Health Point : 5 300/5 300 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
tout dans la pochette magique
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
tout dans la pochette magique
Sort utilisé à ce tour : ... Potion utilisée à ce tour : ... Objet utilisé à ce tour : ... Information(s) Hors-jeu : Un coup de katana pourrait bien se perdre u.u
Ouganda֍ Si Kaneko est la gardienne d'un savoir ancestral, de toutes les valeurs de l'île, d'une mémoire et d'un passé qu'eux seuls peuvent partager. Alors il est un pont entre ce monde qui les a forgé et cette modernité avec laquelle ils ont tellement de mal à évoluer. C'est son essence même, la raison pour laquelle on l'aura envoyé à l'extérieur plutôt que dans l'école qu'auront fréquenté tous les autres. C'est le poids qu'il traîne derrière lui, tel un boulet qui l'empêche parfois d'avancer, de respirer. C'est la raison même de sa conception. Lui qui n'est ni tout à fait issu de cette île et encore moins de ce monde que les occidentaux aiment tant. Il est la différence au milieu du reste, le métisse qui se débat entre ses racines et qui cherche toujours, même maintenant, l'équilibre entre les deux. Il est celui qui se retrouve malmené, parfois tiraillé entre le poids de ses devoirs, de ses ancêtres, de ses vies qu'il tient entre ses mains et du futurs qu'il doit leur tracer. Celui qui se débat aussi, de cette part d'occident, des routes qu'elle trace, des contrats qui sont liés et de ce cœur qui n'en fini par de vouloir exister. A chaque instant, il se tient sur le bord de ce gouffre, cherchant à savoir si sauter vaudrait mieux que d'y rester.
A vivre ainsi, il pourrait parfois avoir cette impression qu'il va tout simplement cesser d'exister. Qu'une partie de ce qu'il est va s'envoler, que l'occident finira par le happer et toutes ces règles qui y sont liées. Le souffle de sa vie d'avant lui est parfois retiré si violemment qu'il en vient à douter, à se poser des questions qui ne devraient pas être. Et la seule âme qu'il voit, dans ces instants là, c'est celle qui se tient devant lui et dont il ne va pas quitter les mouvements des yeux. Elle est la douce lueur qui éclaire sa route, sur laquelle il laisse reposer tous ses doutes comme si elle pouvait les emporter. C'est la seule raison pour laquelle il ne se laisse pas tomber dans ce gouffre dans ses moments les plus sombres. Sans Kaneko, il y a longtemps qu'il ne serait plus ici. Puisqu'une vie sans elle, n'est pas une vie. Une vie sans l'âme sublime de sa cousine n'a aucun sens pour lui. Elle est la force qui le tient et cette fragilité qui pourrait bien le faire tomber.
Pourtant, dans leurs échanges, rien ne transparaît jamais. Rien qu'une autre personne ne pourrait comprendre, excepté eux.
Il n'aura pas bougé de sa moto au départ, laissant la petite blonde ouvrir la bouche pour lâcher un peu de son fiel, comme si sa douleur relative pouvait passer ainsi. Il aurait pu en soupirer en la voyant ouvrir la bouche, laisser filer son « Je n'en sais rien ! Ça fait juste mal. » qui, au fond, devait plus sonner comme un « Est-ce que tu à l'impression que j'en sais quelque chose ? » Ou bien un « Depuis quand ça t'intéresse ? ». Ça aura été tourné exclusivement vers le vert et argent auquel il n'accordera pas le moindre intérêt. Ce ne sera qu'une fois qu'elle aura relevé quelques unes des mèches de ses cheveux qu'il l'aura aidée à descendre. Passant une main sous son bras pour l'aider à glisser au bas du véhicule. Elle n'aura d'ailleurs pas tenu longtemps avant de finir accroupie sur le sol, maudissant sûrement la poussière où la vie elle-même tout en reposant une main où le symbole était apparu.
« Runes ? »
Il n'aura pas accordé un regard au Serpentard. Pas plus qu'à la fille qui se plaint toujours en serrant les dents. Car c'est une conversation qui se joue ailleurs qu'il est en train de mener. Une conversation dans le silence d'un regard, qui passe de l'un à l'autre sans qu'il y ait besoin de plus de mots que ceux qu'ils auront déjà partagés. Dans cette langue qui n'appartient qu'à eux.
Eux.
Il aurait pu avoir un soupir pour les mots du garçon, un intérêt quelconque l'espace de quelques instants. Mais c'est le silence qui aura accueilli ses paroles avant qu'Eiji ne sorte sa baguette. Faisant disparaître la moto et son ombre du bord de la route.
« On s'éloigne de la route. »
Il n'aura pas quitté Kaneko des yeux. Bien que l'anglais soit utilisé pour les deux qui se trouvent à côté et pour lesquels il n'aura pas plus d'explications que ça. Un pont n'est pas forcément présent pour être traversé, il peut aussi être tel un fil tendu dans une seule direction. Celle qu'ils ont besoin de prendre. C'est presque à regret qu'il finira par quitter sa cousine des yeux. On pourrait lire, si l'on sait regarder, un soupir dans le fond de son regard. Quelque chose de résigné qui se retrouve obligé de choisir entre ce qu'ils sont et ce qu'il pense devoir être fait. C'est sûrement pour ça qu'il va leur laisser trois secondes, aux deux autres, pour peser le poids de ses mots. Parce que si protéger Sutton est un impératif, une supplique qu'il entend encore chaque fois qu'il ferme les yeux, il est aussi en train de l'adapter à ce qu'elle est pour Kassie. Et c'est ainsi qu'on le voit encore, ce cœur qui bat lentement dans une poitrine morte, celui qui cherche à satisfaire les deux partis de la meilleure manière. Il se tient là, toujours, en équilibre entre ce qu'elle veut et ce qu'il devrait faire si un unique sentiment n'était pas venu, un jour, s'installer.
On l'entendra sûrement encore, la petite blonde, celle qui va s'inquiéter de ce qui est en train de lui arriver. Celle qui va se torde la cheville à plusieurs reprises sur des cailloux qu'elle aura peine à voir dans l'obscurité. Car si Sutton est capable de courir un marathon dans de nombreuses situations, on n'oubliera pas que c'est une sorcière de la ville, occidentale jusqu'aux bout des doigts et dont les prouesses athlétiques résident uniquement dans la vitesse à laquelle sa langue peut-être assassine. Il faudra suivre pour autant, avancer pour mieux disparaître et que ce qui doit être fait, soit fait.
Ne doutons pas qu'il ne comptera pas monter un camp dans les premiers instants, qu'il aura simplement tiré le nécessaire à la préparation de l'essence de Murlap avant de s'éloigner de quelques pas pour scruter les ombres. Ne doutons pas que son attention première aura toujours été de les faire repartir dés que tout aurait été réglé. Même si en garder un faisait aussi parti du plan. Mais ça, ça naîtra jusqu'à ce qu'il sente un médaillon vibrer sous l'étoffe. Qu'il sentira ce qui s'y dessine venir se poser sur son avant bras. Il observera sans le voir le tissu qui masque ce dernier avant de venir tirer sur quelques liens du bout des dents. Comme si le voir, plus que le sentir, pourrait l'aider à entendre ce qu'il vient de comprendre. On pourrait le voir là, le léger frémissement dans son regard quand il va se rapprocher de Kaneko pour dévoiler quelques fines lignes du tatouage mouvant jusqu'à ce que les kanjis révèlent à ses yeux quelque autre désagrément à envisager.
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Photomaton : Feat. : Felix Mallard Niveau : 54/100 Points d'Exp : 13687 Health Point : 2 700 PC (compétences) : 20/26 PC (caractéristiques) : 26/26 Scolarité et Métier : Il à fait ses études à Poudlard au sein de la maison Serpentard. Je suis à présent étudiant à Grimardent dans la résidence Magilignes.
Sort utilisé à ce tour : // Potion utilisée à ce tour : // Objet utilisé à ce tour : // Information(s) Hors-jeu :
On ne compte plus le nombre de fois où les yeux de Theophilus auraient pu rouler dans leurs orbites. S’il avait été une gamine du moins. Chez lui, ça sera plutôt ce même regard blasé passif-agressif emprunt à un certain dédain qui marquera l’absence de soupires. Que ce soit quand Sutton avait « gentiment » répondu à sa question, lui faisant enfoncer ses mains un peu plus dans ses poches quand il l’aura toisé. Ou bien quand les deux aliens ce seront mis à échanger dans une langue barbare d’un autre monde. Lui aussi aura eu la curiosité de jeté un œil à la griffure qui apparait derrière l’oreille de la jeune fille. Mais n’aura rien dit, pas tout de suite. Il aura coulé un regard, levé un sourcil aussi surement à se prendre un nouvel « ordre » de la part du mec au cheveux long. Il respire, du moins, il essai. Et s’il avance c’est parce qu’il n’oublis pas pourquoi il est là, mais aussi parce qu’li ne va pas laisser Sutton avec deux… barbares. C’est le mot, pour lui du moins. Car il n’y a rien de raffiné au fait d’user de subterfuges moldus. Comme cette garde en bois enroulé de tissus que la femme garde dans sa main quand ses grandes foulé reste à l’arrière du convoi, ne permettant pas à Theo de prendre la place qui devrait lui revenir : à l’arrière. On notera qu’il aura eu, à plusieurs reprise, la gentillesse « d’aider » Sutton dans ses chemins sinueux de la campagne. Pas beaucoup plus ravis de voir ses mocassins hors de prix être tâchée de poussière. Et quand enfin, on lui en laissera l’occasion. Ou bien que les deux ninjas soient occupés à suivre d’autres messages codés, il se sera mis dans le dos de Sutton pour soulever les quelques mèches de ses cheveux.
- C’est un dessins d’ici, ça a la même forme que les lettres sur le grillage de Uagadou. Un cadeau de leurs directrice ?
Non ce n’est pas ça, il s’en doute. D’ailleurs c’est pour ça qu’il y a une nouvelle ride qui se dessine entre ses sourcils, aussi furtive soit-elle quand il laisse retomber sa main pour la remettre dans sa poche.
- Ça ressemble quand même sacrément à un tatouage.
Pendant ce temps, si on se le demande, Kaneko sera allée voir les quelques lignes que lui aura présenté Eiji. Son regard sera parti vers l’horizon pour le profond soupire qui aura suivis. Dans cette posture, droite comme un « i », qu’elle porte si bien. C’est qu’elle c’était interrompu pendant la préparation d’une potion qui était à présent en train de mijoté après que les ingrédients avaient été exécuté avec autant de rapidité que de précision. Elle s’en retournera donc au chaudron, au moins pour finir cette préparation qui prendra encore quelques minutes avant qu’elle ne l’emporte dans un bol jusqu’à la petite blonde. Elle ne la regarde pas vraiment, même quand ses prunelles se pose sur la demoiselle. Et là, Theo va peut-être enfin perdre son bras parce qu’il à le culot de poser une main sur celui de Kaneko pour arrêter son geste, sourire de petit con en coin à l’appui.
- On veut bien savoir ce que c’est.
Le regard de Kaneko passera avec autant de lenteur que de menace de cette main, au bras pour remonter jusqu’au visage de l’ancien Serpentard avant qu’il ne se détourne pour aller trouver ceux d’Eiji. Parce qu’elle refusera, toujours, de parler aux occidentaux si elle n’en a pas l’ordre ou la nécessité. Du moins, ceux qu’elle refuse de considérer.
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Dove Cameron Niveau : 60/100 Points d'Exp : 15873 Particularité : doppleganger palier 1/7 | magie antique - palier 0/7 Health Point : 3 000 PC (compétences) : 27/37 PC (caractéristiques) : 37/37 Scolarité et Métier : Je suis en septième année à Poudlard, dans la maison Serpentard. Je suis également la rédactrice en chef de la gazette des écoles, mais ça, vous devez déjà tous le savoir. A moins que vous ne soyez un demeuré ? Ou que vous viviez sur une île déserte au fin fond de l'antarctique...
Niveau : 50/100 Health Point : 2.500/2.500 Objet(s) que vous avez sur vous : - Miroir à double sens - partagé avec Kassie... Sans commentaires... - Appareil photo magique - Anneau de protection - Pellicule photo - Plume à... AH BEN NON ! Potion(s) que vous avez sur vous : - potion de beauté - essence de dictame - nettoie-tout magique de la mère grattesec Sort utilisé à ce tour : // Potion utilisée à ce tour : // Objet utilisé à ce tour : // Information(s) Hors-jeu :
Est-ce qu'elle doit le redire ? Qu'elle déteste la brousse ?! Parce que la clairement, à défaut de brousse on est dans le fin fond de la campagne d'un pays à peine civilisé où le premier magasin sorcier est à l'autre bout du continent ! Maintenant que c'est dit, et penser. On va se concentrer sur sa marche catastrophique dans la poussière... rouge... qui va tacher ses chevilles chaque fois qu'elle se tord le pied. Alors vraiment, si on veut la mettre de bonne humeur, c'est la meilleure chose à faire ! Parce que quand Sutton n'est pas à l'aise visiblement, c'est son côté pétasse-connasse superficielle qui ressort. Et là, il ressort bien vu le nombre de soupirs bien agacé qu'elle lâche. Une chose est certaine, avec elle, les ninjas ont de quoi devenir sourds rien qu'en l'entendant respirer. Non puis on en parle du dialogue de sourds ? Pourquoi elle a eu un crush sur l'autre tartuffe là ? ON SAIT PAS ! Mais si il était pas déjà mort, le crush, la c'est définitif, elle vient de l’empaler au bout d'une pique et de le planter sur la place du marché ! Au moins, c'est radical. Vous voulez vous débarrasser de Sutton ? Amenez là à la campagne c'est radical ! Bien, on en était où maintenant ? Ah oui, c'est instant ou tartignolle aura jugé qu'ils étaient assez loin de la route...Si on peut appeler ça une route ! Et qu'il a sorti son matériel pour la -femme-homme-personne- qui portait un masque. Et là encore, elle va rien dire mais elle n'en pense pas moins.
C'est donc en train d'enlever la 'poussière' sur ses vêtements qu'on va la retrouver. Ce qui veut dire qu'en plus de se croire toute seule, elle ne va rien entendre de ce qui se passe derrière elle et étouffer un cri digne d'une souris -un couinement ça s'appel...- quand elle va sentir une main venir soulever ses cheveux. Elle en aura un frisson tellement lent et long qu'elle se retrouvera complètement figée avant de tourner son visage pour essayer d’apercevoir... Ah ben c'est Theo ! Ce qui va la faire planter l'espace de quelques secondes. Du moins, quelques secondes en plus avant qu'elle ne se retourne et commence à fouiller dans son sac. Les ninjas ? Pardon, elle les as oubliés l'espace d'un instant. Mais vu qu'ils sont en grande conversation silencieuse dans leur coin, on va pas se plaindre non plus.
« C'est la même sensation qu'un tatouage en soit. En plus douloureux, la peau est fine ici et puis...»
Oui, Sutton ? Un débat sur la douillette que tu es ? Ou bien sur ton tatouage sur la hanche ? Si on peut encore dire que c'est la hanche vu où il est ! Non ? Bien, parfait ! On en revient donc au principal et la fouille du sac. Parce qu'elle va finir par le sortir son miroir de poche, pour essayer de regarder derrière son oreille avant de pester en pinçant les lèvres.
« Tu peux le tenir ? Ou tu pourrais le dessiner ? J'aimerais voir ce que c'est... »
Non parce que bon, si ça s'en va pas... Merci bien ! Manquerait plus que ce soit un truc totalement farfelu qui veut dire on ne sait pas quoi. Oui, chacun ses priorités. Il y'en a qui veulent savoir d'où ça vient, elle veut savoir à quoi ça ressemble. De toute façon, quand sa sœur stresse elle parle, quand Sutton stresse elle devient aussi superficielle qu'un parfait cliché de film pour adolescentes. Qu'elle ne regarde pas ou n'a jamais regardé mais c'est pour situer le haut état de crétinité dont elle est capable -même si le mot n'a pas l'air d'exister!-
« C'est pas bizarre que ça arrive quand on les croise ? »
Alors oui c'est le 'garde du corps' de Kassie. Qui n'est justement plus dans son corps. Donc on pourrait se poser quelques questions. Mais elles ne seraient valable que si il avait été vu, un minimum depuis que... Le manoir à flambé ? Oui, voilà. C'est fou ce qu'on arrive à faire comme corrélation quand on y pense et qu'on fouine un peu. Donc non, ça devait pas venir de Morgane qui n'aurait, de toute façon rien à faire d'une Skeeter tatouée... Ce qui, par association, ne venait pas de celui qui portait une marque de mangemort sur le bras et qui se trouvait juste à côté. Si on enlève que les deux asiatiques avaient eu l'air... L'air de rien en fait... Ni surpris, ni ennuyés, ni étonnés... Juste rien... Hmmmm... Elle va continuer d'y penser pendant un instant, en essayant de sentir les contours avec ses doigts même si la sensibilité est toujours là et que ça pique quand même pas mal. Et qu'elle ne va rien sentir en plus parce que c'est loin d'être en relief sur sa peau... Mais c'était pour se donner une contenance. Ou voir jusqu'où ça faisait mal quand elle aura vu un bol-bras s'approcher et...
Elle va relever un sourcil en regardant la main de Theo et suivre sûrement le même chemin que celui qu'aura suivi Kaneko. La main, le bras... Mais à la différence de la nippone qui aura regardé son cousin, elle sera restée sur le visage de Theo, sa main toujours en train de parcourir la peau derrière son oreille -Oui c'est parfait pour la rendre encore plus rouge qu'elle ne l'est déjà- Et là, elle va juste sursauter. Parce qu'il a beau pas parler fort le 'garde du corps' de Kassie, il n'empêche que ça surprend, surtout quand on sait qu'il n'aura pas bougé de là où il était.
« Une préparation à base d'essence de Murlap. »
Il ne va pas ciller non plus, ni esquisser le moindre geste autre que celui de quitter le visage de sa cousine pour le poser sur l'ancien Serpentard. Alors, Sutton n'est pas bonne pour le body-langage des membres du clan. C'est normal, on voit rien sous leurs vêtements. Et puis c'est pas comme si elle était capable de communiquer par la pensée, elle. D'ailleurs, elle ne pourra même pas dire ce qu'elle ressent quand il leur tourne le dos et commence à sortir d'autres affaires, dont une tente qu'il va monter sans la regarder et d'un joli coup de baguette. C'est que, visiblement, il n'en a rien à secouer que Theophilus perde son bras, ses doigts ou d'autres bouts de son anatomie. Tant qu'on lui laisse un dernier souffle de vie pour l'instant où on voudra lui poser deux ou trois questions, ça passera. On notera donc qu'il ne va pas retenir sa cousine ni donner d'ordre contraire à une mort imminente pour le moment. C'est qu'il n'a pas dû apprécier, au fond -ou pas au fond d'ailleurs- que quelqu'un pose sa main sur le bras de sa cousine. Ou plutôt, de la princesse du clan ? Oui, parce que ça va jusque là et que... On sait très bien qu'il n'a aucune patience avec les orientaux qui pourraient la toucher, même lors d'une simple soirée, alors imaginons un occidental qui, en prime, n'a pas son aval. Pardon mais c'est une demande de voir sa vie écourtée et il compte pas aller contre la nature elle-même. On va donc le laisser ignorer royalement la chose et laisser Kaneko gérer ce petit handicape. On a besoin de ses pensées, pas de sa vie. Au pire, quelques fioles pour récolter de quoi remplir une pensine, on sait jamais ? Hmmm... Pardon... On en revient à Sutton qui, au milieu de tout ça et sûrement en moins de trois secondes, aura sûrement penché sa tête au-dessus du bol pour regarder la préparation.
« Ça ressemble assez à la description qu'on en fait, je pense que c'est bon. »
Elle va tout de même se demander pourquoi Theo est si... Enfin... Heu... Il doit vouloir ses documents ! C'est évident ! D'ailleurs elle sent bien qu'il va lui rappeler bientôt qu'ils ont autre chose à foutre que se balader dans la jungle -même si c'est plus désertique que luxuriant-.
« Ce serait bon pour sa blessure aussi ? »
Alors oui, Sutton elle s'en sort en potions. Pas en soin. Puis si elle a l'oreille à vif, Theo à perdu quelques gouttes de sang y'a pas si longtemps. Gouttes qui doivent toujours être sur la lame qui n'a pas été nettoyée... Ah ben il est en train de le faire maintenant, assis par terre... dans la … Des ploucs ! Ce sont des ploucs !
I got mercy, I got grace. Desperado with the scales. Throw a rose on your body, Mask of Zorro, I'm so wanted! Watch me dance, watch me sing. Don't ever get caught again. You'll then see : The bad bitch
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Liu Yi Fei Niveau : 91/100 Points d'Exp : 26924 Particularité : animagis plalier 5/7 Health Point : 5 550 PC (compétences) : 39/79 PC (caractéristiques) : 09/79 Scolarité et Métier : J'ai étudier à Mahoutokoro au Japon. Je suis actuellement étudiante à Grimardent en médicomagie. Et je fait partie du clan Shikkoku No Hebi.
Dim 26 Nov - 1:38
01.01.2024 - Ouganda
Oser fouiner, c'est s'aventurer dans les trésors cachés de la curiosité.
Niveau : 88/100 Health Point : 5 400/5 400 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Collier du clan Shikkoku No Hebi • Petit sac magique - transporte 5 objets et 7 potions • Bmw HP4 Race, • Katana Basique, • Arc Basique • Carcois et flèches Basique • Lot de 3 Kunai Basiques
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• ANTIDOTE DES POISONS RARES, • ANTIDOTE AUX POISONS COURANTS, • POTION DE RESTITUTION, • BAUME D'ACSLÉPIADE TUBÉREUSE, • ESSENCE DE DICTAME, • VENIN D'ACROMENTULE, • ÉLIXIR DE LONGUE VIE.
Sort utilisé à ce tour : // Potion utilisée à ce tour : // Objet utilisé à ce tour : Bmw HP4 Race Information(s) Hors-jeu :
Dans cet univers où le temps se mesure à l'aune des réactions, la patience est une vertu taillée dans l'étoffe du contrôle de soi. C'est comme si chaque mouvement, chaque respiration, avait été soigneusement chorégraphié dans le théâtre de l'attente. Les secondes s'étirent en un ballet silencieux, où la maîtrise de soi se pare de nuances infinies. Là, on trouve Kaneko, son regard naviguant entre les lignes présentées par Eiji, son horizon intérieur et le chaudron qui mijote, l'élégance d'une concentration sans faille. Son univers se déroule dans une lenteur calculée, une précision qui frôle la perfection. Même face aux gestes impromptus, comme cette main d'un intrépide Theo, posée sur son bras, son regard navigue, menaçant, depuis la main jusqu'au visage de l'intrus, avant de trouver refuge dans celui d'Eiji. Un silence éloquent qui dit tout de la volonté de ne pas céder, de ne pas dévier du rythme intérieur qui, tel un flux constant, guide ses actions et protège son intégrité.
Dans cet instant suspendu où la tension électrise l'air, Neko incarne la quintessence de la retenue. Son regard, tel un éclair gelé, parcourt la distance entre la main osant effleurer son bras et le visage téméraire de Theo. Une tempête intérieure gronde dans ses prunelles, mais elle retient avec une volonté d'acier le flot impétueux qui menace de déferler. Les secondes s'étirent, témoins silencieux de la lutte intérieure de Neko, entre la tentation de la réaction immédiate et la maîtrise farouche de ses pulsions. Son être entier, empreint d'une calme férocité, témoigne de cette retenue titanesque, alors qu'elle s'impose une pause, une fraction de seconde où la lame de son caractère acéré reste, pour l'instant, soigneusement enfouie dans son fourreau. Pour combien de temps ? On ne pourra pas le dire. Parce que le garder en vie encore deux jours et plus si affinités, ça tiendrait du miracle.
La blonde à parler, le garçon a retiré sa main et Kaneko a pris une inspiration, certes silencieuse pour les deux occidentaux, mais qui ne passera surement pas inaperçue à l’oreille de son cousin. L’imbécile ne se rend même pas compte qu’il vient de frôler une rencontre prématurée avec son créateur… Ironie de l’emploi d’une telle expression quand on sait que c’est la joueuse qui l’aura très fort retenue de pas lui brisée la main.
La Nipponne aura un regard pour la petite blonde, la toisant à son tour pour lui répondre autant avec le regard qu’avec les quelques mots qu’elle voudra bien consentir à faire s’élevée dans l’air dans ce qui ressemblerais presque à un murmure.
- Non.
Pardon… LE mot. Ne faudrait pas lui en demander trop non plus… Theo reprendra alors la discussion autour du « tatouage » improvisé et invisible.
- A la limite je peux prendre une photo avec ton appareil.
Dessiné ? Non. Peut-être qu’ils auront eu le temps de le faire, peut-être pas. Parce que si Kaneko est patiente, elle estime aussi perdre assez son temps comme ça et donc intimera à la jeune fille de s’asseoir. On doute que la réaction de Sutton ne doit pas être belle à voir, mais est-ce que Neko lui laissera vraiment le choix ? Elle ne va pas y passer la nuit à lui passer de la pommade… Pendant ce temps Theo, lui passera la main dans son cou en faisant une grimace qui n’a rien de charmante, mais, gardant sa composition ne dira rien sur le sang séché qu’il sent sous ses doigts… La tente en revanche ?
- Pourquoi il plante une tente ? On ne va quand même pas dormir ici. Il doit bien y avoir un village ou un motel quelque part pas loin ?
Si les ninja ignore les occidentaux… Les occidentaux font visiblement de même avec les ninjas. Parce que Theo n’a l’air de s’adresser qu’à Sutton.
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Yoo Seung-Ho Niveau : 100/100 Points d'Exp : 33323 Particularité : animagis palier 7/7 | occlumens palier 6/7 Health Point : 5 300 PC (compétences) : 21/103 PC (caractéristiques) : 00/103 Scolarité et Métier : Ayant presque autant de nationalités différentes que je n'en ai aucune, j'ai fait mes études à DURMSTRANG sous le nom de Eiji Kurotchkine, mon géniteur m'ayant acquis la nationalité BULGARE.
Après avoir été le vainqueur du Tournoi des Trois Sorciers, j'ai effectué une année d'apprentissage au Ministère de la Magie anglais en tant qu'apprenti Tireur d'Elite.
Depuis l'ouverture de GRIMARDENT, je suis étudiant en première année, en section défense et je réside chez les CRODEFER.
Niveau : 100/100 Health Point : 5 300/5 300 Objet(s) que vous avez sur vous :
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tout dans la pochette magique
Potion(s) que vous avez sur vous :
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Ouganda֍ Certaines choses arrivent rarement, si ce n'est jamais. Des petits éclats d'une autre réalité, comme venue d'une autre dimension. Quelque chose qui vient se poser doucement, là où on ne l'attend pas vraiment. Quelque chose, sûrement, qu'on aura jamais vu dans ces contrés d'occident. Encore moins quand il n'est pas là ou bien à trop de lieux pour que ça puisse être partagé. Ce qui est en train de se produire est si rare, qu'on pourrait presque penser que ça n'est jamais arrivé. Que ça ne pouvait pas venir de lui. Lui qui passait lentement une fine bande de tissu sur sa lame en acier. Lui dont les traits n'ont pourtant rien marqués. Lui qui n'aura même pas relever la tête de son office, si ce n'est pour admirer la lame luisante sous la lumière de la lune. Lui, si silencieux. Lui, si calme. Comme si la joie, le rire, le bonheur ne le touchait jamais. C'est sûrement le cas, surtout ici, surtout maintenant. Mais là bas, ce sont peut-être des choses qui sont déjà arrivées.
« Il est vraiment en train de penser qu'elle a été montée pour lui ? »
Ça aura filé dans l'air, murmure toujours égal pour celui qui ne quitte pas sa tache des yeux, bien qu'elle soit terminée. Il n'y aura pas eu l'esquisse d'un sourire, pas l'ombre d'un rire. Ni sur ses traits, ni dans ses yeux. Et pourtant, elle, elle pourrait savoir. Elle peut même le sentir, ce petit éclat de réalité. Un éclat que ce que les occidentaux les plus impolis pourraient appeler une boutade. Une petite touche d'humour ou d'ironie. Mais c'est pourtant autre chose qui vient de glisser dans leur langue natale. Car si il est une chose immuable chez Eiji, c'est son aversion profonde pour le manque de respect. Et ça là, parler de quelqu'un à la troisième personne comme si il n'était pas là, c'est la plus grande marque d'irrespect dont il est capable. Ça marque à quel point l'insignifiance de Theophilus Meredith Nott est grande. Puisque, même pour les morts, il en a du respect.
« J'apprécierais le voir trouver un 'motel' ou même un village sans qu'il puisse utiliser la magie. »
Que ce soit parce qu'il aura perdu un bras et qu'il ne pourra plus utiliser sa baguette. Qu'elle se retrouve étrangement cassée en deux. Ou bien qu'il soit dans l'incapacité de transplaner ailleurs que dans un lieu qu'il aura déjà visité. Il faut avouer qu'en l'ayant vu marcher plus tôt, ou plus certainement entendu quand il était dans son dos...
« Entre dedans. »
Le regard aura fini par quitter la lame qu'il aura fini par ranger avant d'observer Sutton du coin de l’œil. De voir la tête qu'elle tire à se retrouver accroupie par terre -encore- parce que non, elle ne va pas s'asseoir à même le sol, elle a déjà demandé à son elfe de brûler des vêtements un peu plus tôt dans la journée. Il ne faudrait donc pas trop pousser. Quoi que ? Et ça, c'est tout ce qu'il va se permettre de noter. Parce que les secondes d'avants, les minutes si il le faut, aurons totalement glissées sur lui. Insignifiantes interaction entre une personne qu'il doit protéger et une nuisance qu'il va, pour l'instant, juste observer. Ca ne l'empêchera pas d'avoir vu Sutton sortir son appareil photo avant de le tendre à l'ancien Serpentard. Juste avant que Kaneko ne revienne et que la scène d'un peu plus tôt se passe. De celle qui n'était pas loin d'ôter le dernier souffle de vie à quelqu'un. De celle qui reste gravée doucement dans la mémoire et qui s'étire à mesure que les secondes passent. Il aura aussi noté ce murmure, celui qui aura fait cesser, l'espace d'une seconde, toutes les potentielles complaintes et protestations qu'aurait pu avoir la blonde. Et vu les traits qui se seront dessinés sur son visage, autant dire que les efforts qu'elle aura déployés pour ne pas commander une autre potion, auront été assez importants.
C'est une précision qui pourrait se révéler intéressante, même si pas pour lui.
« Un hôtel, des gens comme ça ? »
Qui posent leurs fesses dans la terre... Non mais pardon. Elle n'en est toujours pas remise alors qu'elle regarde ce qui ressemble visiblement à une tente. Et dans laquelle elle redoute réellement de rentrer en s'imaginant tomber dans un taudis. Parce que, fatalement, ils ne peuvent pas avoir assez d'argent pour s'acheter quelque chose de décent ! N'en témoigne leurs vêtements ! Et on est ravis que Eiji soit occlumens et non legilimens pour le coup. Parce que si il endure l'irrespect quand il semble prononcé, il n'est pas dit qu'il l'endure en l'extirpant de certaines pensées.
« Tss... C'est bien parce que tu es le garde du corps de Kassie ! »
Ou bien parce qu'il lui aura glacer les sangs en l'observant un peu trop longtemps. Soit un quart de secondes. Ce qui, visiblement, est suffisant pour lui faire bouffer toute sa mauvaise volonté. Il l'entendra sûrement râler, ou pas. Puisque l'instant d'après, l'ombre semblera encore plus désintéressée qu'elle ne l'était avant. Là sans y être, ou pas vraiment.
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Photomaton : Feat. : Felix Mallard Niveau : 54/100 Points d'Exp : 13687 Health Point : 2 700 PC (compétences) : 20/26 PC (caractéristiques) : 26/26 Scolarité et Métier : Il à fait ses études à Poudlard au sein de la maison Serpentard. Je suis à présent étudiant à Grimardent dans la résidence Magilignes.
Sort utilisé à ce tour : // Potion utilisée à ce tour : // Objet utilisé à ce tour : // Information(s) Hors-jeu :
Une chose est certaine dans l’esprit de Theophilus à présent : les « champions » du tournois des trois sorciers ont vraiment été choisi pour leurs muscle -ou plastique- plus que pour leurs intellects il y a trois (deux ?) ans. Prenez Matthew Ollivander par exemple, du muscle ça c’est certain ! Mais de l’esprit ? Après sept ans dans le même dortoir à le voir dormir comme un enfant avec sa sœur, il en doute. Un fragile dans l’âme, il n’en démordra pas. Même si ça ne sera jamais dis ou montré, après tout les Nott et les Ollivander-Gaunt son deux anciennes familles « amis » au même titre que l’étais les Greengrass… Ou les Rowle ? Quoi que ses derniers gardent un rang inférieur à ses yeux.
Mais pour en revenir à celui de Durmstrang… C’est pas seulement tout dans la menace physique -à la moldu de surcroît !- Et ne parlons même pas de l’éducation… Bien sûr, il n’en dira pas mot, du fond de sa pensée. Il n’est pas idiot, eux cependant… Morgane les a bernés combien de temps déjà ? Et c’est tout ce dédain, ce dégoût, qui transparait dans son regard quand il entend la vois avec cet accent à avoir besoin d’un translatione.
- Effectivement, n’en demandons pas trop.
A des rustres, c'est la fin de phrase qui sera tu. Il se sera adressé à Sutton, avec un petit sourire mi-mauvais, mi-moqueur. Il laissera Sutton suivre les « ordre » du monsieur bien sagement, lui, ira plutôt s’appuyer contre un arbre, croisant les bras sur sa poitrine et ses jambes également en voyant la petite blonde disparaitre. Un coup d’œil à sa montre. Il faut croire que ça va être… long. C’est quoi exactement ? Une tentative de kidnapping ?
- Elle vous paye… pardon, payAIS combien Kassie ? Je suis presque certain que je peux le doublé.
C’est le retour du petit sourire en coin, qu’il n’adressera pas à Eiji directement mais à Kaneko avec tout le charme dont est capable un Nott ce faisant. Que ce soit dans le regard ou les petites mimiques. Un nouveau soupire de la Nipponne qui va regarder son cousin, c’est presque comme si elle lui demandait s’il était possible de l’assommé ? Il est fort probable cependant qu’aucune réponse n’a eu le temps de naître quand une flèche à la pointe rouge en forme de cœur fila dans l’air pour venir se planter dans le tronc d’arbre à quelques millimètres à peine du visage de l’ancien serpentard qui devins aussi blanc qu’un linge en laissant retomber ses bras le long de son corps avant de s’écarté doucement et de regarder l’objet en question avec des yeux rond comme des billes…
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Après avoir été le vainqueur du Tournoi des Trois Sorciers, j'ai effectué une année d'apprentissage au Ministère de la Magie anglais en tant qu'apprenti Tireur d'Elite.
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Ouganda֍ C'est avec une lenteur presque calculée qu'il sera venu enrouler ses doigts autour de la flèche. Coulant un regard vers le visage blanchit de l'ancien serpentard, un imperceptible sourire en coin au bord des lèvres. Invisible pour lui, peut-être, mais pas pour elle quand il tirera d'un coup sec pour en dégager la pointe jusqu'à venir retirer le bout de papier enroulé autour. La munition silencieuse rejoindra le sol l'instant d'après avant qu'il ne déroule le petit morceau de parchemin. Mot doux, si il en faut, qui pourrait bien le faire tiquer l'espace d'un instant avant qu'il n'aille le tendre à sa cousine. Il n'aura aucune considération pour le jeune homme, qu'il jugerait presque au bord de la syncope. Tout comme il n'avait eu aucun mouvement lorsque le trait avait fendu l'air, sifflant doucement dans le vent jusqu'à venir se planter à quelques centimètres de ce visage. Il l'avait vu pourtant, entendu bien avant que la pointe en forme de cœur n'apparaisse dans son champ de vision. Et ça aura presque été au ralentit qu'il l'avait suivi des yeux. C'était un fait, un événement, quelque chose qu'il aurait pu ignorer plus longuement mais qui avait fini par le faire se déplacer. En silence là aussi, jusqu'à cette scène où il vient couler un regard vers celui qui était trop proche de la cible.
Il n'aura pas de mot pour l'occidental qui retournera à la place qui lui sied tant. Celle d'invisible dans le monde qui l'entoure. Et c'est avec presque autant de souplesse qu'il retournera s'asseoir, sans commentaire, sans donner l'impression qu'il va en produire un. Il gardera la tente dans son dos, sans y avoir jeter un regard non plus. Et c'est sûrement dans ce même silence qu'on pourra croire, plus tard, qu'il se sera assoupi. Il n'en aura rien été, bien entendu. Et peut-être que celui qui a la langue trop bien pendue ou le pas trop lourd aura pu s'en apercevoir. Ou pas. Il n'est pas dit qu'Eiji lui adresse quoi que ce soit d'autre que de l'indifférence qui n'aura même pas besoin d'être feinte. Un peu comme il n'avait pas relever sa remarque sur le fait d'être payé. Une insulte de plus pour ceux qui vivent comme eux, une à noter peut-être, dans un coin de sa tête. Et qui pourra, ou non, ressortir plus tard.
Il y aura peut-être eu d'autres échanges, silencieux, entre une cousine et son cousin. Quelque chose qu'ils semblent tout deux aptes à supporter et qu'ils semblent apprécier. Même si ça aura été invisible à l’œil, inaudible aussi. Parce que ce qu'ils partage n'est pas fait pour les âmes profanes. Le reste de la nuit, une fois que Sutton aura terminé de pester et qu'elle se sera finalement endormie, sera sûrement passé sans l'ombre d'un souffle. Mis à part le mouvement lent de quelques respirations qui viennent soulever, par moment, les poitrines de ceux qui sont encore vivant. C'est aussi ainsi, que la nuit se sera finie, que l'aube aura fini par étendre ses reflets sur cette terre presque trop aride. Ce sont ses rayons qui l'auront fait bouger, se redresser, ressortir sa moto sans un mot jusqu'à ce que quelqu'un aille sortir boucle d'or de son sommeil. Un sommeil qu'elle aura sûrement eu agitée, emmêlée dans ses pensées et qui ne seront pas comptés. Parce qu'on imagine assez bien ce qui s'y trouve en plus de questions aussi existentielles qu'elles sont superficielles...
La route elle, n'attendra pas. Que chacun soit prêt ou pas. Puisqu'au bout d'un certain temps, dans ce silence mis en place par les ninjas -quoi qu'on ne doute pas des commentaires de ceux qui n'en sont pas- on pourra à nouveau entendre le vrombissements des engins occidentaux. Ceux qui fendront l'air comme ils l'ont si bien fait la veille et sur lesquels, on préférerait sûrement ne voir que deux silhouettes élancées. Plutôt que quatre dont l'une d'entre elle au moins, deviendra de plus en plus crispée. Jusqu'à, au bout d'un temps qui lui aura semblé infini, elle ne finisse par tout lâcher.
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Dans la dense forêt ougandaise, Theo s'était figé, une pâleur inhabituelle prenant possession de son teint. La pointe mortelle d'une flèche s'était fichée à quelques infimes millimètres de son visage, laissant une brume de danger flotter dans l'air. Cependant, un silence intransigeant prit place chez lui, le choc figeant ses mots avant qu'ils ne puissent s'échapper. Incapable de déchiffrer le message codé récupéré par Eiji, il s'accrocha à sa pierre de liaison avec la nature, invoquant ses pouvoirs pour créer un hamac éphémère où se reposer.
La magie s'éveilla autour de lui, vibrant en harmonie avec la nature environnante. Des lianes tissèrent un cocon aérien, berceau de paix suspendu entre les branches verdoyantes, offrant à Theo un refuge fragile dans ce tumulte silencieux. Des feuilles éclairées par la lueur argentée de la lune tissèrent un drapé protecteur, tandis que la brise nocturne caressait doucement son visage. Son repos fut enveloppé dans une symphonie de murmures végétaux, de frôlements d'ailes nocturnes et de chants discrets des habitants de la nuit.
Dans ce cocon de sérénité, Theo cédait à une somnolence troublée par des images furtives de la flèche sifflante, de sa pointe menaçante, alors que son esprit vacillait entre conscience et inconscience. Des questions qui le troublait et surtout… surtout du manque de confort dans cette nature qui ne lui ressemblait guère. Le matin vint, dévoilant un ciel strié de nuances rosées, les premiers rayons du soleil dansant entre les feuilles. Les aventuriers s'éveillèrent, se préparant pour une nouvelle journée d'exploration. Theo se retrouva à l'arrière de la moto de Kaneko, les routes sinueuses défilant sous leurs roues avec une vitesse enivrante.
Pour Theo, cette expérience sur l'engin moldu fut un tourbillon de sensations déroutantes. Les vibrations de la moto remontaient le long de sa colonne vertébrale, le vent s'engouffrait autour de lui, et l'accélération le poussait hors de sa zone de confort. Il s'accrochait à la moto, sentant une proximité non désirée qui suscitait des tensions palpables chez la Japonaise. Sutton, avec Eiji sur la seconde moto, ne semblait pas beaucoup plus à l'aise, même si le Nippon naviguait avec confiance à travers les chemins cahoteux. Les paysages changeaient, passant des sous-bois mystérieux à des plaines ouvertes et dégageant une impression de liberté sauvage.
Chaque virage, chaque courbe était une métaphore de l'inattendu, une danse effrénée avec l'imprévu. Theo, pour qui cette expérience était aussi exaltante qu'intimidante, se laissa emporter par cette aventure dynamique malgré son malaise évident. Les routes défilaient, les paysages se succédaient, peignant un tableau mouvant de la diversité de la nature ougandaise. Les moments de tension entre les passagers se dissipaient devant l'immensité majestueuse des panoramas, offrant une distraction temporaire à leurs préoccupations. Au fur et à mesure que le soleil s'élevait dans le ciel, les ombres s'étiraient, les contours des collines se dessinaient avec une netteté croissante. Ils avançaient, naviguant entre les nuances changeantes de la terre et du ciel, dans une quête où les chemins tracés se mêlaient à l'inconnu qui s'étendait devant eux.
Alors que la journée s'étirait vers la soirée, Theo demeurait attentif aux trépidations nerveuses de Sutton sur la moto d'Eiji. Ses mouvements agités semblaient en lutte avec les vibrations de l'engin, annonciateurs d'une imminente perte d'équilibre. Soudain, comme un éclair fend l'obscurité, l'inévitable se produisit. La moto d'Eiji bascula sous le poids plume de la jeune fille qui semblait connaître un nouvel élan de déroutement, le déséquilibre s'accentua, et Sutton, emportée par la force centrifuge, menaçait de chuter brutalement malgré la grande maitrise du chef de clan.
Dans un élan impressionnant, Kaneko, experte motarde, fit parler son agilité et son instinct. Sans hésitation, elle manœuvra sa propre moto, éclipsant les lois de la physique avec une audace quasi-insouciante. Theo, à l'arrière, retint son souffle alors que Kaneko se rapprochait de la jeune fille chancelante. D'un mouvement précis, presque chorégraphié, Kaneko saisit Sutton au moment même où elle vacillait. Ses mains aguerries trouvèrent les points d'appui, équilibrant presque miraculeusement la situation. Theo, témoin de cet exploit, sentit l'adrénaline couler dans ses veines, son cœur battant la chamade face à la scène qui se déroulait sous ses yeux.
Dans un ballet de réflexes fulgurants, Kaneko ajusta sa vitesse, harmonisant sa trajectoire avec une maîtrise stupéfiante. Elle stabilisa l’adolescente, permettant à cette dernière de reprendre son souffle, agrippée désormais à la machine comme si sa vie en dépendait. Pendant que son cousin maintenant l’équilibre de l’engin.
Le ronflement des moteurs s'entremêlait à une symphonie frénétique, la lueur du crépuscule peignait un tableau saisissant de cette scène héroïque. Kaneko, une aura de détermination et d'expertise émanant d'elle, avait préservé l'équilibre fragile de Sutton, évitant ainsi une chute qui aurait pu être catastrophique. Ne doutons pas cependant qu’Eiji aurait pu être tout aussi rapide, mais que sa concentration ne pouvais pas donner lieu à un don d’ubiquité. Theo, derrière Kaneko, ressentit un mélange de soulagement et d'admiration pour cette démonstration de maîtrise et de sang-froid. Il observa les gestes précis de Kaneko, la façon dont elle gérait la situation avec une assurance presque insolente, créant ainsi un moment à la fois épique et résolument "badass". Bien évidemment, il ne le reconnaitrait jamais. Pas même sous la torture !
Alors que la tension retomba après l'incident, ils décidèrent de faire une halte pour examiner Sutton, dont l'état semblait s'être détérioré. Son visage livide témoignait d'une fièvre brûlante, une chaleur émanant de son corps comme une aura menaçante. La nuit s'était installée, déployant son voile étoilé au-dessus d'eux. L'urgence de la situation planait dans l'air alors qu'ils amenaient Sutton à l'abri, cherchant un endroit où elle pourrait reprendre des forces. Kaneko et Eiji, habituée à gérer les situations complexes, coordonnaient les actions avec assurance. Ils trouvèrent un abri sommaire, un recoin abrité par la végétation dense où planter le camp. Theo descendit de la moto avec précaution, tandis que Kaneko, attentive à chaque signe de détresse chez Sutton, s'affairait à la sécuriser.
La peau de Sutton était chaude au toucher, son front perlait de sueur, témoignage de l'agitation de son corps en proie à la maladie. Eiji et Kaneko échangèrent des regards, le temps simplement de l’analyse de l’apprentie médicomage.
- C’est la potion que j’ai préparé pour sa sœur. – des mots dit dans sa langue natale. - Q’est-ce qu’elle a ? Qu’est-ce que tu as Sutton ? – interrogeât Theo. - Il faut la rafraichir.
Il n’y a pas de salle de bain, de baignoire d’un hotel de luxe à proximité. Il n’y a que la nature et un petit court d’eau dont on entend les clapotis réguliers non loin. Et si Theo aura eu le réflexe de vouloir soulevée Sutton, il aura sans doute trouvé quelques obstacles devant lesquels il aura protester. La joueuse tient vraiment à ce que ce soit cependant Theo qui a porté Sutton jusqu’à l’eau, un bras sous ses genoux et l’autre dans son dos. Mais avec les deux Ninja, rien n’est moins sûr. Le temps nous le dira. Quoi qu’il en soit, c’est le repos une nouvelle fois qui leurs sera imposer pour la soirée et possiblement -aussi- de quoi mangé ? Une chose et certaine, si on l’a laisser faire, Theo aura pu démontrer qu’il n’est pas toujours un véritable connard avec Sutton. Voir même, que lui aussi doit avoir quelques gênes de chien de garde quand ça lui prend puisqu’il n’aura pas voulu quitter son chevet. Que ce qui le secoue de l’intérieur soit lu, ou pas, sur des traits qui ne semble connaitre pourtant que le dédain et l’insolence.
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Ouganda֍ Elle en aurait eu des choses à dire sur tout le début de cette journée. Elle en aurait eu des remarques à faire et sûrement en aura-t-elle fait certaine. Mais plus les heures aurons défilées, plus le silence se sera installé. Que ce soit sur ses lèvres, dans ses mouvements ou dans son esprit alors qu'elle sent, à chaque instant, cette chaleur se répandre dans son corps. Eiji l'aura senti, lui aussi. Elle qui devient de plus en plus chaude à mesure que les heures défilent, que les paysages sont avalés les uns après les autres. Que la route continue d'être tracée pour rejoindre d'autres contrées. Comme si le mot laissé par Zoé avait permis de faire naître une autre idée. Celle sûrement, de rejoindre Iwao et toute sa petite bande d'empotés pour les ramener en Angleterre ou sur un sol où ils pourraient mieux les protéger. Pour autant, ni Kaneko, ni son cousin ne sont la bande qui se situe devant. Ils auront donc fatalement pris d'autres chemins, s'éloignant de ce cabaret et de cette ville où tout le groupe aura fini. Se retrouvant sous le couvert des bois quand les affres de l'angoisse auront emportés la petite blonde.
Il n'y aura que peu de doutes sur l'entente née entre les gestes de la princesse du clan et ceux de son cousin. Qui ont si peu besoin de communiquer entre eux, que la simple suggestion d'un mouvement déploie l'ombre du suivant. Il aura cependant fallu toute leur maîtrise pour retenir cette masse dont les muscles ne répondent plus. Elle qui finira par sombrer dans une semi-conscience si ce n'est complètement. Les émotions de Theo, celles qu'il pourrait avoir, celles qui pourrait se voir ou ne pas se voir. Eiji ne les aura pas. Tout simplement parce qu'il lit rarement les traits des visages ou qu'il ne les comprends pas. Theo pourrait bien lui hurler que c'est à lui de prendre soin de la petite blonde que ça rentrerait par une oreille pour ressortir par l'autre. Alors ne doutons pas qu'il aura été à l'initiative de la première résistance. Sa main venant se poser sur le bras de l'ancien Serpentard quand il aura eu l'idée de l'emporter. Sa main. Pas une arme. Qu'il aura fini par retirer non sans scruter son visage avant de laisser glisser ses yeux vers sa cousine.
Il n'aura rien dit. Rien fait de plus si ce n'est autorisé silencieusement au mangemort de rester à proximité de celle qu'il doit protéger. Parce que c'est une demande de Kassie et que les quelques mots vont venir peindre sur lui des inquiétudes qui n'étaient pas vivantes jusque ici. Et ne doutons pas qu'il aura demandé. Posé quelques questions, pas forcément les bonnes, pour entendre les réponses qu'elle pourrait lui faire. Ainsi le simple mot de Zoé n'aura plus été nécessaire pour l'empêcher de continuer à avancer. Et le lendemain encore moins. Car si Sutton aura pu se lever le lendemain, manger de ce riz qui aura été préparé -parce qu'elle ne va pas non plus manger du gibier chassé...- et remonter sur une moto, ça n'aura pas duré.
Quelques heures seulement, avant que sur sa peau ne se révèle de nouvelles stries, des marques un peu plus profondes et plus visibles que les précédentes. Des signes qui auront fait s'arrêter le convoi encore une fois. Qui auront vu renaître ce camp même si le paysage aura été bien moins agréable que le précédent. C'est un futon qu'elle connaît maintenant qu'elle aura retrouvé. Et là, cette fois, Theo n'aura pas pu la toucher. Car si Eiji l'a autorisé la veille, cet instant là, où le sang va commencer à se voir sur ses vêtements, ou les marques bleuies d'une chute qui n'a pourtant pas eu lieu vont apparaître. C'est le moment où plus personne ne pourra rien dire au chef de clan.
C'est l'instant ou son impuissance du moment va tellement lui sauter aux yeux qu'on en verrait presque les ombres de sa colère s'étendre. Une colère qui n'est dirigée qu'envers lui-même avant de chercher à s'accrocher à quelqu'un d'autre. Une colère et sûrement une angoisse qu'il arrive quelque chose d'irréversible à la meilleure amie de Kassie. Puisqu'on sait tous à quel point l'ordre doit être respecté et l'acharnement qu'il peut déployer pour satisfaire des demandes en particuliers. Le reste, il l'aura laissé aux bons soins de sa cousine, maîtresse dans l'art de soigner les blessures. Et si il aura peut-être dû sortir de cette pièce de fortune, de cette tente qu'il n'utilise jamais -encore moins pour dormir- ça aura uniquement été pour leur laisser un peu plus d'intimité et, pour surveiller. Ou bien veiller. Que ce soit sur celles et ceux qui pourraient être dans la tente ou bien l'extérieur de ce campement. Même si le mal semble déjà s'être glissé dedans et qu'il dessine déjà ses arabesques sur une peau qui ne devrait pas être marbrée.
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