Il est pas content la James, mais alors pas content du tout. On sait pas trop à quel moment sont chemin c’est séparer de celui de Noah. Surement pas loin des portes d’entrée menant au grand hall, quand il aura vu deux gamin en tenue de Quidditch rouge et or remonter du terrain. Il aura trottiné jusqu’à eux et clairement on les verra se décomposer face à cette voix froide, presque un aboiement de James. Quoi ? il à rien à faire à Poudlard ? Essayez de le renvoyer d’où il vient pour voir…

- Lily.

Le gamin lève à peine le bras pour pointé le doigt vers le terrain de Quiddich. Le mode Rapcorn est activé, moi j’vous le dit. Parce que le pauvre poursuiveur là, il doit plus avoir d’épaule depuis que James les a dépasser avec clairement une tête de quelqu’un qui va commettre un meurtre. Il le connais par cœur se petit chemin de terre qui descend jusqu’au terrain, il l’a emprunté presque chaque jour depuis sa sélection dans l’équipe en deuxième année. Que ce soit avec une fille à qui on devait présenté les gradins… les douches ? Les vestiaire ? … Bref ou pour les entrainements et match. Ou simplement les deux dernière année de sa scolarité pour siroté une bière avec Noah et quelques potes. Bref, on a compris l’idée. Il sait ou il va et on l’arrêtera pas.

On l’arrêtera pas même quand quelqu’un l’interpeler Perceval Hagrid à voir la taille. Finalement y’a peut-être quelqu’un de taille -littéralement- à arrêter James. Mais même pas, il suivra juste le jeune homme du regard d’un air à pas comprendre ce qui se passe ou ce qu’il fait là. Il continue sa route le Potter, il s’arrêtera pas dire bonjour, il est presque investit d’une mission. Et quand il arrivera enfin au terrain, il la verra la, à jouer à ce renvoyer des cognard avec sa pote Oriana Slughorn, leurs balais poser dans l’herbe. Sa mine s’assombrit encore un peu plus quand il vois sa frangine. Lily t’a déjà vu cette tête sur ton frère ? Je suis pas certaine. Parce que même à la joueuse, il fait peur là. C’est qu’il arrive et qu’il attrape Lily par le bras un peu trop fort là.

- James ! Mais lâche là !
- Va voir ailleurs si j’y suis Slughorn et reste à ta place.

Il a un peu trop hausser la voix la non ? Parce que même Oriana elle c’est décomposer et elle à reculer d’un pas alors que James lui, la main bien vissé sur le bras de sa frangine et la traine déjà de force hors du terrain. Qu’elle se débatte ou pas, il s’en bat les reins. On l’a dit, on l’arrêtera pas là. La colère elle est gravé dans ses traits, sous sa peau et elle fait froid dans le dos.

Il inspire.. Il expire… fort, très fort, profondément aussi en tenant toujours sa sœur. Il a conscience qu’il y va trop fort. Il a conscience qu’elle essai de se dégager. De là à l’entendre ? C’est autre chose. Parce qu’il la fait avancer sans trop lui laisser le choix et il à des grandes jambes James. Ton frère ce héro… Deviens ton frère ce bourreau ? Il aura même, regarder de nouveau Lily. Pas avant du moins qu’elle finisse par crier et qu’il l’entende enfin. Qu’il s’arrête aussi, au porte de ce stade. Il ne l’a pas lâcher pour autant quand il s’arrête net et ce tourne vers elle, la fureur dans les yeux. Sans doute un brin de folie aussi par-dessus ses iris sombre, si sombre.

- Tu vas venir avec moi Lily, tu va venir avec moi et je te conseil de pas faire ta maligne.

Elle est encore calme la voix, là. Elle est calme, c’est presque un murmure. Mais elle est aussi froide, si froide. Aussi froide que son regard, que sa fureur aussi. C’est l’inquiétude ? Ca ne peut être que ça qui le rend comme ça, qui le change à ce point. Il doit la protéger contre elle-même. Il doit aussi trouver qui à fait ça. Lysander, t’est un homme mort. C’est sa sœur, sa petite sœur. Son trésors. La rage, elle boue encore plus fort alors que Lily essai sans doute de rester planter sur place quand il veut ce remettre en marche. Une fois, deux fois. Il s’arrête et ce tourne vers elle de nouveau.

- NON MAIS TU TE FOU DE MA GUEULE LILY ?! COMMENT T’A PU ETRE AUSSI IRRESPONSSABLE ?!

Il explose, finalement ce n’était qu’une question de temps. Un bombarda à retardement, parce que la signature des Potter elle est à double tranchant. Et si c’est par la peau du cul qu’il doit la trainé au porte du château pour la transplaner à Londres, soit. Elle lui en voudra si elle veut. Mais elle à dix-sept ans sa petite sœur, PETITE sœur. Petite, encore une enfant à ses yeux. C’est juste pas concevable. Il à vrillée Potter, il à vrillée et elle est parti bien loin la moue de petit con qu’on lui connait.

Il la fixe maintenant, il la fixe avec un regard qu’il n’a jamais eu pour elle. Jamais. Jamais il n’a eu se regard froid, distant. Plein de colère et de déception pour sa petite sœur. Jamais. Mais là, c’est ce qu’il montre alors que le temps semble s’être suspendus pour les deux Potter qui ce font face sur ce terrain de Quidditch, qui pourtant jusque là ne rassemblait essentiellement que des bons souvenir pour l’un comme pour l’autre. C’était quelque part… comme souillée une sorte de sol sacré ? Il l’écoutera aussi, il l’écoutera et il aura serré la mâchoire plusieurs fois. Il a vu ses grandes iris bleue s’embuée, il l’aura vu et ça lui a fait mal. Très mal. Car faire du mal à Lily, c’est lui faire du mal à lui aussi. Il serre la machoir un peu plus quand il l’enttend explosée et sa prise sur son bras qui se serra désserée au départ reviendra de plus belle alors qu’il répliquera.

- MAIS DE QUOI TU PARLE ?! TU T’ENTTEND LA ?! C’EST QUOI LE PLAN HEIN ?! DE FOUTRE TA VIE EN L’AIR ?!

Elle a dix-sept ans Lily. Dix-sept ans, peut-être la majorité chez les sorciers. Mais toujours l’adolescence chez l’être humain. Elle n’a même pas encore passer ses ASPIC ! Et qu’en est-il de ses études ? De son avenir ? Est-ce qu’elle à seulement conscience des conséquences que pourrait avoir ses actes ?

- JE SUIS PEUT-ETRE QUE TON FRERE MAIS SI TU CROIS DEUX SECONDE QUE JE VAIS TE REGARDER BOUSILLER TON FUTUR POUR UN CON COMME SCAMANDER TU TE FOURRE LE DOIGT DANS L’ŒIL !

Fin de la discussion ? Pour lui en tout car qui lui tournera le dos de nouveau en avançant, sans lui laisser trop de choix d’ailleurs de suivre. Jusqu’à les passer les large porte en bois du terrain de Quidditch sous cette arche de pierre. Il y a un millier de choses qui lui passe par la tête à Potter. Un milliard de chose alors qu’il c’est de nouveau murer dans le silence. Elle comprend pas ? Elle comprend pas qu’il est fou de rage simplement par inquiétude ? Pas son père ? Pas sa mère ? Non, son grand frère mais aussi celui qui l’a toujours protéger. Celui qui aura toujours tout donner à sa petite sœur, céder à tout ses caprices même quand il avait parfaitement conscience de ses petits jeu. Sa petite sœur… Lily.

Il fixe un point James, un point à l’horizon par-dessus la tête de sa frangine qui est venu ce planter devant lui, l’obligeant à s’arrêter au passage. Il fixe un point à l’horizon et il respire, très profondément. Non, elle ne se rend pas compte. Elle n’a pas conscience qu’un accident comme ça au début de sa vie, ça peut tout gâché. Ses opportunité, son avenir. Son sourire aussi. Ce sourire qui est si communicatif qu’il s’imprime sur les traits de James dès qu’il le vois. Elle est trop jeune, beaucoup trop jeune pour ce genre de responsabilité. Beaucoup trop. Il l’imagine perdu, il l’imagine avoir peur aussi. Il l’imagine surtout incapable d’assumer ce genre de décision aussi importante dans la vie d’une femme seule. Parce qu’il n’a jamais eu confiance en les hommes, il est un homme. Il sait, il sait comment lui-même est, comment les autres sont. Il sait et il refuse ça pour elle. Il ne la regarde pas, droit comme un piquet. Il ne la regardait pas tout du moins, jusqu’à ce que la main de l’adolescente s’abatte sur son visage et lui fasse incliné très légèrement le visage sur le côté. Ce n’est que là qu’il daignera de nouveau tourner les yeux vers elle. Ce n’est que là finalement qu’il la regardera vraiment pour la première fois de cet échange. Il l’aura lâcher aussi. Aura laisser son bras retomber le long de son corps alors qu’il la fixe toujours mais que son regard à légèrement changer. Parce qu’il à vu autre chose, il à vu ce regard s’embuée. Parce qu’il vois la naissance de ses larmes et que c’est comme ce prendre une seconde gifle en plein dans la tronche. Un poignard dans le cœur, qui se tors et qui tourne pour bien imprimée sa morsure aussi. Il plante. Il plante James. Il à peur, peur pour sa sœur. Peur à en avoir oublié ses sentiments à elle. Peur au point d’avoir laisser son machisme prendre le contrôle. Peur au point finalement de lui avoir fait encore plus mal que tout ce qu’il redoute pour elle. Il est silencieux, y’a comme une boule qui ce forme au niveau de sa pomme d’Adam et qui lui fait serrer un peu plus la mâchoire. Il la vois et son regard à lui deviens celui d’un grand frère inquiet, d’un grand frère qui trésaille. Mais James pourtant ne faiblit pas, jamais. Il reste toujours je-m’en foutiste, toujours avec son air de petit con, son sourire en coin. Pas aujourd’hui, pas là. Si les Potter sont autant tout feu tout flamme finalement, c’est peut-être parce que le feu qui les animes brûle de leurs émotions. De l’émotion il en aura quand il l’attrape par les épaules et qu’il la presse contre lui. Quand il déglutis difficilement ce faisant. Il à agit comme un vrai con, il le sait, ne le dira pas ou ne l’admettra pas pour autant. Mais il ne la laissera pas s’échapper pour autant. Pas sa sœur. Pas Lily.

Il avait fini par enfouir son nez dans la chevelure de sa sœur. Ses yeux pourtant restaient toujours grand ouvert alors qu’il contemplait avec lui-même cette nouvelle arrivée comme une bombe qui lui avait éclatée à la tronche. On remerciera pas cette pute de Gaunt qui aurait pu y mettre les formes. Mais les formes, elle savait pas ce que c’était après tout. Il inspirais, profondément, en la serrant fort, très fort contre lui maintenant que ça redescendait un peu, cette pression qui lui avait fait explosée de rage au visage d’une Lily qui n’avait très certainement pas besoin de ça. Mais ce chemin-là, même si il est en court de progrès, on y est pas encore. Alors il resserrera sa prise en l’entendant s’excuser, mais il restera encore un petit moment comme ça sans bouger, à avoir l’air de vouloir foutre le feu à la pelouse avec son seul regard. Un moment encore avant qu’on l’enttente marmonée dans les cheveux de Lily.

- Pourquoi je l’ai appris par Kassie Ollivander et pas par toi ?

Oui, parce que ça, ça passait pas. C’est qu’il savait pas à quel point c’était frais pour Lily aussi. Et le fait est, que vu leurs relations à minima il aurait pensée qu’elle serait venue le voir, qu’elle lui aurait assez fait confiance pour être la première personne vers qui elle se tournerait. Ne l’avait-il pas toujours protéger ? N’avait-il pas toujours été de son côté ? La joueuse ne fera aucune réflexion sur le comportement de son perso, en lui pointant que c’est sans doute pour ça. Mais passons. Il fini par déposer un baisée au sommet de son crâne, reculant mais encadrant toujours les épaules de ses mains. Il semble la regarder. Son regard, on sait pas trop ce qu’il exprime là. Y’a encore une pointe de colère, mais visiblement pas tourné sur Lily. Y’a de l’inquiétude aussi quand il fronce les sourcils. Il sait pas, il sait juste pas gérer là. Il sait pas ce qu’il doit dire, il sait pas ce qu’il doit faire. Et il ne sait foutrement pas comment protéger sa sœur là, de suite. Et se sentiment d’impuissance, ça lui fou une haine terrible.

- Comment tu te sent ?

Ah ben VOILA ! Putain c’était si dur que ça James ? La vache on aura presque attendu que tu agisse enfin de manière censé là. Pfiouuuuu, on a du aller le chercher loin celui-là. Mais mieux vaut tard que jamais.

Voir autant d’étonnement dans le regard de Lily lui fera lever un sourcil. Parce que Kassie était pas censé le savoir non plus ? Il l’a vois perdre son souffle petit à petit et l’inquiétude le gagne encore plus alors qu’il ne semble pas déterminée à la lâcher d’une seule semelle. Elle aurait fait quoi ? Lui dire ? La question c’était pas plus pourquoi c’était pas elle qui lui avait dit de base ? Ah… ceci explique cela. Noah, Emily, il à pas fait le rapprochement tout à l’heure, comprenez le, d’ailleurs il le fait toujours pas. Mais il la regarde interdit parce qu’il connecte les neurones là sur un morceau de phrase : depuis hier. Hier… Effectivement James, ta frangine à juste pas eu le temps de dire quoi que ce soit et un hiboux dans ses moments-là, c’était pas forcément le meilleur plan. Alors il à entrouvert la bouche James, avant de la refermer et de l’ouvrir à nouveau. C’est soit quelque chose qui sort pas, soit il gobe les mouches. Il la retiens aussi, fort, il ne la laissera pas basculer alors que ses mains son toujours sur les épaules de la jeune femme. Tout… Poudlard ? Au courant ? Ben il parait sur le principe qu’il était effectivement le dernier à l’apprendre, mais là…

- T’est pale Lily, vraiment pale. T’a manger aujourd’hui ?

La seconde chose connu chez les Potter, après leurs caractère tout feu tout flamme, c’est leurs amour de la bouffe. Et si elle répondait non, c’est que vraiment ça allait pas. Il répondra pas à sa question, pas plus qu’avec ses sourcils froncé et l’inquiétude dans son regard. Parce que clairement elle à pas besoin de sa Lily, là maintenant. Quant à la Gaunt, elle paie vraiment rien pour attendre. Ils lui avaient donner le bénéfice du doute, visiblement ils n’auraient pas dû.

- Viens, on va à Pré au lard.

Règlement d’internat de mes deux ? Il s’en cogne comme l’an quarante. Y’a plus urgent là, comme de se retrouver avec sa frangine, préférentiellement en la voyant engloutir le premier truc qui lui donnera envie. Parce que ça fait beaucoup là, plus pour elle que pour lui. Même si la honnêtement il à presque la tête qui tourne James. Pourtant il a mangé, un peu au moins. Mais vraiment.. c’est.

- Faut qu’on envois un hiboux à papa et maman.

La joueuse recrache son café, James essai de ce montrer responsable. En soit, ce qui lui passe par la tête c’est avant tout de trouver un moyen, n’importe lequel de protéger sa sœur. Sa petite sœur… Lily. Non vraiment, y’a un truc qui à sauté dans son cerveau, c’est le brouillard. Pourtant il essai, sincèrement de garder la face et de jouer les rock.

- Qui est… qui a… enfin… c’est de qui ?

La délicatesse du monsieur, c’est que vraiment, les mots là étaient très dur à formuler pour lui. Il est calme pourtant, en tenant sa sœur contre lui depuis quelques instant déjà. Il fixe un point, là-bas. Il essai de pas trop réfléchir à comment ça c’est produit. Oui, il sait comment on fait les bébé, mais pas avec sa.petite.soeur. Putain.

James aura fini par reculer, d’un pas, puis deux. Il l’aura vu, vu naitre ce sourire, ce rire qui n’en est pas un. La folie dans son regard et qui fige ses trait. L’instabilité aussi de ce qu’elle peut bien ressentir pour le moment. Il aura reculer et il se sentira impuissant, si impuissant que ça fait mal. Ça fait peur aussi de la voir comme ça, s’éloigner petit à petit au point de ne même plus la reconnaitre. Il entend ce nom, ce nom et ce sourire fou. Il fronce encore d’avantage les sourcils si c’est possible. Sa sœur n’est plus elle-même, elle n’est ni fragile ni celle qu’il reconnait. Elle s’éloigne et semble si loin que même si il tendait les bras, là maintenant, pour poser à nouveau ses mains sur ses épaules ou la serrer dans ses bras, il aurait toujours l’impression qu’elle n’y ai pas. Qu’elle n’y est plus. Ca lui glace le sang, lui tire presque un frisson qui partira de la base de sa nuque et glissera le long de son épine dorsale. Loin, si loin. Il sent comme un fausser entre eux, un canyon même. Comme si en l’espace de ses quelques instant seulement la distance les avait engloutis pour créer un trou noir entre eux. Un chemin infranchissable, car il était aveugle face à la marche à suivre. Et il passe une main dans ses cheveux.

- Lily…

C’est pas qu’il veut de nouveau l’attrapper par le bras et la trainé de force là. C’est pas non plus qu’il veut l’obliger à appeler les parents, à parler. Elle ne semble de toute façon pas en être capable émtionellement parlant. Cette fille en face de lui, c’est vraiment Lily ? Si elle ne le reconnaissais pas l’instant d’avant, cette fois c’est lui qui à la senssation de ne plus la reconnaitre.

- Qu’est-ce que tu veux faire ?

Parce qu’au final, lui ne peut rien. Pas si elle ne lui laisse aucune place, aucun espace. Pas si elle sombre petit à petit dans cette bulle de folie où il sera incapable de l’atteindre, de la suivre ou de la rejoindre. Il ne sait pas là. Il ne sait pas et quelque part sa lui fou la haine au milieu de toute cette inquiétude. C’est qu’il irait bien taper des cognard avec sa frangine là, juste comme avant, juste pour faire sortir l’excédent et peut être aussi la retrouver. Lily… Lily où est tu ?

Il l’a perdu, il en a conscience. Cette fille… elle n’est pas sa Lily, pas tout à fait. Il y à se sourire figée à lui faire froid dans le dos. Ses rires nerveux à lui en donner la chair de poule. Elle est comme posséder. Et lui… Lui ne semble plus vraiment existé. Elle ne semble pas l’entendre quand il l’interpelle. Elle ne semble pas le voir quand il essai de ce mettre devant elle. Elle ne semble pas non plus le sentir quand il essai de lui attraper l’épaule, la manche. Elle avance, en boulet de canon. Et tout ce qu’il aura pu faire c’est la suivre. La suivre sans comprendre, la suivre dans sa sombre folie. Ce pétage de boulon dont il était en partie responsable. Elle l’aura menée à la cabane hurlante, hors de Poudlard. Bien loin du terrain de Quidditch ou des cuisines du château. Bien loin de tout et de tous. Qu’est-ce qu’elle avait en tête ? Qu’est-ce qu’elle essayer de prouver ? Et surtout, qu’est-ce qu’elle attendait ? James avait beau continuer d’appeler son nom, de capter son attention. Elle n’était plus là. Plus vraiment.

La suite s’enchaina si vite, qu’il aurait pu en avoir le tournis. Il aurait pu. Quand cet homme sorti de nulle part fis basculer Lily. Quand ce maléfice le frôla lui aussi, qui faisait face à sa sœur. Le faisant ce retourner en dégainant à son tour sa propre baguette. La stupeur, l’incompréhension aussi. Elle n’avait pas le regard vitreux d’un impérium. C’était autre chose. Quelque chose qu’il ne saisissait pas. Et cet homme qui ce levait, donnais des ordres et des indications. A eux ? Il serrais les poings James, très fort. A s’en faire blanchir les phalanges quand il tourna son regard de nouveaux sur le visage de sa sœur. Une première réponse ? Réponse à quoi ? A quel question ? Parce que là il en avait bien des dizaines de questions. Prévenir les parents…les parents. Qu’était-elle ?

Il les vois, ses iris bleu continuer de sombré de plus en plus. Il la vois, sortir sa baguette. Il vois aussi ses lèvres bouger, le son en sortir. Ses yeux s’écarquillerons alors qu’il semble vouloir bouger, esquisser un mouvement. Un mouvement qui viendra trop tard. Il n’est pas si rapide, sur ses planches de bois. Pas autant que sur un balai. Pas quand l’explosion retentis. Pas quand les planches s’envolent, que la poussière semble prête à les engloutir. Pas non plus quand il sent le plafond s’ébranler au-dessus de lui pour commencer à s’effrité avant de tomber. C’est comme un ralentis. Comme un ralentis quand il a tendu la main pour l’attraper, mais qu’il l’aura manquer. Comme un ralentis quand dans un grand fracas la cabane hurlante semble être anéantis. Quand il tombe, James Potter, et qu’une poutre lui arrive en plein sur le ventre pendant qu’il entend, au plus profond de ses os un grand « crac » au niveau de son épaule. Kaboom…