▬ Mes 3 premiers sortilèges :

Ils sont à choisir dans la liste de sorts proposée par le forum, dans ceux de niveau 1 (puisque vous commencez niveau 0 donc maîtrise de sort 1).

- Hyacinthum flama,
- Diffindo,
- Expulso,

▬ Ici vous allez nous renseigner sur votre moyenne ou vos notes aux buses/aspics afin que nous ayons une petite idée de votre niveau scolaire, évidement les surdoués qui aurons des "0" ou des "E" dans toutes les matières ne seront pas admis. Car personne n'est parfait.

• De la 1è à la 5è année :

→ Astronomie : P
→ Botanique : D
→ Défense contre les forces du mal : EE
→ Histoire de la Magie : O
→ Métamorphose : O
→ Potions : EE
→ Sortilèges : EE

• Option de 3è année :

→ Etude des runes : EE
→ Arithmancie : O

• 6è & 7è année :

→ Histoire de la Magie : O
→ Métamorphose : O
→ Potions : A
→ Sortilèges : EE
→ Etude des runes : EE
→ Arithmancie : O

• Etude à Grimardent :

→ Etudiant en politique internationale en filière principale,
→ Etudiant en littérature politique en secondaire.

La première chose qu’on pourra vous dire de ce jeune homme, c’est qu’il est la complexité incarné. On remarque à prime abord son égo, celui qui caractérise ça famille. Vous avez déjà rencontré son frère ? Et bien je vous dirais qu’ils ne partagent pas leurs sang pour rien. Theo est quelqu’un d’ingénieux, d’ambitieux et plein de ressources. Rusée, il ne recule devant rien pour atteindre ses objectifs. Vif d’esprit c’est aussi quelqu’un de débrouillard et déterminé. Cependant ne comptez pas sur lui pour être chevaleresque et venir à la rescousse : bien que ce soit quelqu’un de loyal, sa loyauté est à prime abord pour lui-même. Pour sa famille bien sûr. Et les autres ? Les autres… Tout dépend de savoir si ils servent un objectif ou non. On l’aura compris aussi, le jeune homme ne manque pas de confiance en lui, ça va avec le fait qu’il soit incroyablement autonome. Mais ça se couple avec un très gros orgueil et une fierté qui pourrait être son talon d’Achille. Theo se protège par sa malice, voir sa malveillance. Ce n’est pas un enfant de cœur : loin de là. Il se fiche de qui il blesse tant que ça sert ses objectifs en somme. Quant aux règle ? Il s’y plie tant que sa le sert, mais il aime en repousser les limites. Rien de mieux que de les connaitre ; les règles, les lois, pour les faire flancher à son avantage quitte à être borderline. C’est qu’il est sournois le garçon, sournois et calculateur. C’est un fin manipulateur ce qui va aussi avec le côté leader de sa maison sans doute. Concernant ses croyance, qu’on soit clair si il tolère les sang-mêlé, ceux-ci reste inférieur à lui par son rang de sang-pur. La noblesse internationale ne fait sens que quand il s’agit en face de véritable sang pur, en somme chez les Macaron si vous n’êtes pas Ballessaim ou Beauxbâtons, vous n’êtes rien. Ne parlons pas des sang-de-bourbe, hybride, cracmol et créature magique qui sont des sous-être. Et les moldus… On a besoin de le dire ? Pour finir, avec les femmes il n’a pas grand respect. Il ne s’approche pas vraiment des autres sang-pur qui ont un rang égal au sien. Et les sang mêlé sont bien pour s’amuser un peu, mais n’allez pas imaginez vous réveiller dans son lit, passer la nuit et encore moins qu’il vous propose le petit déjeuner. A la rigueur il vous proposera d’appeler le magicobus dès qu’il aura fini de remettre son pantalon…

Vous avez vu son second prénom ? « Meredith » ? Quand son frère, lui, à eu quelque chose de normal « N.O.A.H ». Voilà, ça vous donne une bonne image sur la base de l’inégalité entre premier et le second né des fils Nott. Et ce qui aura construit Theophilius de son enfance à l’âge adulte dans laquelle il entre à présent. Né de l’union de Pansy Parkinson, connu pour avoir été de la bande de Draco Malfoy auquel elle n’aura finalement pas pu être mariée et pour son épique « Mais il est là ! Potter est ici ! Que quelqu’un s’en empare ! » lors de la bataille de Poudlard. Et de Theodore Nott, fils ainé de la noble et ancienne famille de sang-pur ayant rédiger le registre des « vingt-huit sacré », dont le père à été connu pour avoir été un des Mangemort servant le seigneur des ténèbres. Ça vous donne déjà une bonne idée de l’allégeance de la famille. Ou de leurs croyances en soit et de facto de la manière dont les quatre enfant qu’on eu le couple a été élevé.

Car si au départ il n’était que deux, un troisième enfant vis le jour quelques années après Theo, leurs première petite sœur Theodora, encore élève à Poudlard à se jour et connu pour faire partie de la « bande de Kassie ». Puis la dernière et quatrième enfant, dotée à ne pas en doutée également d’un prénom en « T » car tel est la tradition de la famille. Qu’on puisse y échapper, ou pas. N’est-ce pas, Thaddeus ? ~

Être élevé dans une famille ancienne de sorcier, de sang-pur de surcroit et donc de facto d’un certain rang, car là est la Noblesse des îles Britannique, n’est pas une ballade de santé. Ceux qui vous dirons le contraire se fourvoie sur leurs rang ou bien vous mentent. Un peu comme toutes ses familles étrangères anoblis pour leurs compte en banque ou bien leurs grand fait qui n’ont pourtant plus rien de « pur ». Mais nous ne débattrons pas sur le sujet, n’est-ce pas ? Ils n’en valent vraiment pas la peine.

Nous nous concentrerons plutôt sur cette éducation, dans les règles de l’art. Celle qui place une hiérarchie entre les êtres. Les sang pur de prime abord, bien entendu. Les sang-mêlé, que l’ont tolère à la rigueur mais qui reste en dessous. Et ceux qu’on ne considèrent pas, voir qu’on exèdre : les sangs de bourbes, les cracmol, les hybrides et les créatures magiques. Et enfin les insectes, ceux qui ne valent pas mieux que des animaux finalement : les moldus. Qu’on le monte ouvertement ou pas, tel est l’éducation d’un sang-pur. Quelque soit le degré de tolérance de la-dîtes famille en soit. Et qu’on soit clair, chez les Nott, il n’y a pas de tolérance qui tienne. Si vous voyez un sourire polie sur leurs visage, ce n’est que douce façade. Mais soyez certain que vous n’êtes, pour eux, que des insectes en train de se débattre entre leurs mains, tel des petits papillon dont on s’apprête à arracher les ailes.

La compétition, entre les enfants, l’injustice aussi. Que ce soit le traitement des fils par rapport aux jeunes fille, car dans ses familles ancienne le patriarcat à toujours court. L’homme, surtout le premier né, est celui qui continuera à faire proliféré le nom. L’aîné celui qui héritera du coffre familial et de la tête de celle-ci. Les femmes ne seront que bon moyen pour de bons arrangement, des alliances. Ça vous parait archaïque ? Peut-être, mais dans ce cas c’est que vous ne connaissez pas le poids d’un héritage tel que celui qu’offre les familles nobles et anciennes. Et donc, que vous ne serez jamais concerné ni par une proposition de mariage, ni par une quelconque invitation dans leurs cercle très fermé. Mais vous pouvez toujours vous convaincre du contraire, c’est presque mignon à voir, quoi que naïf pour certain et complètement stupide pour d’autre.

Ce mot « injustice » il ne vaut pas que pour les inégalités de traitements entre les hommes et les femmes dans les familles de sang-pur [ou anoblis, mais eux on l’a dit ne compte pas]. Non, Theophilius lui aussi en aura souffert. Celle d’avoir la place du second né. D’être toujours dans l’ombre de son frère, quoi qu’il fasse, quoi qu’il dise. Quel que soit les frasques de son ainé aussi. Celle de toujours être comparer à lui, mais jamais félicité quand il fait mieux. D’être rabaisser par contre à l’inverse et allègrement. Celle de comprendre que son père ne le regarderais jamais comme il regarde Thaddeus, que sa mère bien que protectrice ne lui donnerais jamais non plus la même importance. Celle de se rendre compte qu’on doit être capable de marcher dans ses chaussures si il s’égare trop, mais finalement de n’être toujours que la roue de secours. Jamais assez bien, pas assez grand, pas né en premier. Donc demeuré à jamais le second.

C’est sans aucun doute, dans ses jeunes années, ce qui aura été le plus douloureux pour l’enfant qu’il était. Car petit, Theo était un petit garçon joueur, rieur, aimant même. Sensible aussi. Sensibilité qu’il aura perdu avec l’âge, autant que sa rêverie et que tout ce qui faisait de lui un petit « rayon de soleil ». Lui qui cherchait l’amour de son paternel et ne trouvais que de l’indifférence. Lui qui n’avait que tendresse pour son ainé mais n’avait en retour que la froideur. Lui à qui on interdisait même de pleurer dans les jupons de sa mère qui y répondait par des réprimande avant que « ton père ne vois ça ». Ce sont ses jeunes années qui l’aurons déconstruit pour le façonner tel que nous le connaitrons aujourd’hui. Habité d’une rancœur profonde pour Thaddeus pour bien des raison : jalousie, envie, peine aussi. Lui qui à choisi une autre famille, un autre frère et sans jamais ne ce retourner sur celui qu’il avait déjà. Pour son père aussi dont le manque d’intérêt pousse le jeune Nott à toujours vouloir faire mieux mais surtout enfin être vu et reconnu.

Était-ce une surprise quand à l’âge de quatre ans il montra ses premier signe de magie ? Bien sûr que non ! C’était pourtant jeune pour un enfant. Mais c’était considéré comme normal : il ne pouvait en être autrement. Était-ce une surprise quand, à l’âge de onze ans, il fus répartis au sein de la maison Serpentard à son arrivée à Poudlard ? Bien sur que non, c’était un Nott, il ne pouvait en être autrement. Était-ce une surprise quand sa réussite académique fus fulgurante ? Bien sûr que non, il devait faire honneur à son nom, il ne pouvait en être autrement. Et dans tout les cas, malgré ses BUSES admirable, on lui aura surtout souligné ses échec en Botanique et en Astronomie. Ça et le fait que son ainé la même année, passait lui ses ASPIC. De quoi une fois de plus, le mettre dans l’ombre d’un autre.

L’année suivante, tournois des trois sorciers, pour la première fois depuis des siècles les sixième année avait été autoriser à mettre leurs noms dans la coupe de feu. C’est au clair de lune et loin des regards qu’il y avait glissé son nom. Le tout pour se voir préféré Matthew Ollivander. Un échec qu’il garderais pour lui. Ne lui demandez pas ce qu’il pense de la mort de la vielle McGonagall ou de la Slughorn, il n’aura pas de mots gentil. Bien sûr, Oriana était la filleule de sa mère et il la connaissait depuis toujours. Mais elle trainait avec les Potter, les sang-de-bourbe et les sang mêlée, en phase de devenir une traitre à son sang, à son rang. Son seul intérêt étant qu’elle était dernière héritière non pas d’un, mais de deux héritage de vieux nom de famille : les Slughorn et les Greengrass. Deux coffres, deux puissances. Chose qui n’était sans doute pas ignorée non plus par sa mère ou son père par ailleurs. Mais qui ne le concernait pas directement, encore une fois. N’est-ce pas ?

Il ne vous parlera pas non plus des attentats du ministère, ce serait comme avouer à quel moment les Gaunt avait véritablement commencer à rallier leurs troupes. Parce que si Thaddeus avait eu la liberté de voyager à travers le monde, Theophilius dans sa septième année était celui qui accompagnait leurs père à ses fameuse réunion. Il était celui qui était là pour sa famille, qui essayait de lui faire honneur et d’en magnifier l’héritage. Pas l’autre, pas le premier né. Et même ça, c’était normal. Si normal qu’on ne lui reconnaissais pas non plus. On pourra faire mention de ses ASPIC, mais ses résultats avait été excellent ce qui ne sera finalement un choc pour personne. On pourra aussi vous faire mention de la Garden Party Chasnel : évidement qu’il y était. Mais est-ce vraiment utile ? Gardez donc ce que les journaux vous aurons dit, c’est bien mieux.

On peut vous dire que cette année il à intégré l’université Grimardent, c’est une évidence après tout. On peut vous dire qu’il suis un cursus en politique, mais là aussi, c’est une évidence. On peut vous dire qu’il y à bien des activités dans l’ombre qu’on ne détaillera pas. On peut vous dire aussi que depuis que son père à conclus un marché avec son ainé, lui, ce vois presque évincé des réunions et des petits secrets. Mais ce n’est pas grave. Car si sa famille ne reconnaitra jamais sa loyauté et si son frère le réfute, alors c’est ailleurs que Theophilius trouvera où la placer, cette loyauté, tant que sa sert ses intérêt à long terme. Qui, après découverte de son histoire, ne seront probablement pas si difficile à deviner.